51/ Au bord de la rivière

 

Tom, qui a passé la semaine à jouer avec les deux chiens de ma sœur, est fatigué. Après un dîner léger, il va au lit de lui-même et s’endort très vite. Tom a toujours fait ses nuits, même bébé. Une fois qu’il dort, il peut y avoir du bruit à côté, c’est parti jusqu’au lendemain. Tant mieux ! J’en profite pour aller à la salle de bain. Pendant ce temps, Michel prépare un sac à dos. Je ne sais pas ce qu’il met dedans. La nuit est tombée depuis quelques heures quand nous sortons et nous dirigeons vers le bord de la rivière, dans le parc.

Nous ne croisons personne et descendons vers le tronc d’arbre. Michel pose une serviette sur le tronc. Il me demande de retirer mon short et d’enfourcher le tronc. Je me positionne. Mes pieds touchent le sol et je peux m’allonger en me penchant en avant. C’est solide. Rien ne bouge. Je sens une petite brise qui me caresse l’anus déjà bien ouvert.

Michel me rejoint et se place derrière moi. Il se colle à moi et me caresse le torse, passe ses mains dans mon cou et descend vers mon sexe. La situation m’excite et je bande. Il prend ma queue d’une main et commence à me masturber doucement. Il arrête et prend mes couilles, qu’il malaxe. Je sens son sexe contre le bas de mon dos. Il bande aussi. Il me lèche le lobe des oreilles et descend dans mon cou.

Michel me pousse en avant. Mon cul s’en trouve écarté et mon trou lui est accessible. Il attrape le flacon de gel et commence à me caresser l’anus. Je pousse et deux doigts entrent. Une péniche passe sur la rivière. Michel me fouille avec ses doigts. Le petit vent me fait frissonner, mais je n’ai pas froid. Je veux qu’il me prenne, qu’il me possède. Je le lui dis et Michel retire ses doigts avant de présenter son gland à l’entrée.

Il s’enduit de gel et pousse. Lentement, sa bite entre entièrement en moi. Plus d’une semaine que je ne l’ai pas senti me pénétrer ! Quel soulagement ! Il se redresse, appuie d’une main entre mes omoplates et commence à me limer. Je sens ses couilles battre contre les miennes. Il y met l’amplitude maximale pour ne pas sortir complètement de mon trou. Je sens chaque centimètre aller et venir. Je m’ouvre encore et commence à gémir. Il accélère. Je jouis rapidement sur la serviette.

Michel se retire et prend quelque chose dans le sac à dos. Je suis toujours en position et l’air frais qui caresse mon trou béant m’excite encore. C’est un gode ! Il l’enduit de gel et le présente devant mon anus qui ne résiste pas. Tout rentre ! Je sens alors comme un petit bruit d’air. C’est le gode gonflable ! Aussitôt, je sens mes entrailles se dilater et se remplir. Je cambre encore plus mes reins.

Michel pousse sur le gode pour le maintenir. Il est tellement gonflé qu’il a tendance à sortir tout seul. Puis, il relâche l’air avant de recommencer. J’ai l’impression qu’il est de plus en plus gros à chaque fois. Michel recommence une dernière fois puis, une fois gonflé, fait tourner le gode au fond de moi avant de me limer avec. Je ne peux retenir mes cris de jouissance. Je prends une main pour étouffer le son. Je jouis à nouveau, par le cul cette fois.

Michel me demande si ça va, si je veux bouger. Je suis si bien…. Enfin, il me demande si j’en veux encore. Quelle question ! À peine remis de mes émotions que j’en redemande. Il sort un nouveau gode du sac. Il remet le premier, gonflé juste assez pour être suffisamment ferme, puis le second. Ce doit être celui avec la poignée. Il pousse et je me retrouve avec les deux godes dans le cul.

Je sens le premier gode s’élargir un peu plus. Michel commence à les faire progresser. Il les fait aller et venir, sans sortir de mon trou. Il les fait tourner à l’intérieur. Je m’accroche au tronc d’arbre. Je ne sais pas combien de temps ce petit jeu dure, mais je prends mon pied. Encore ! Puis, Michel arrête. Il bloque les deux godes au plus profond et reprend la pompe. J’entends le bruit d’air et, instantanément, le gode gonflable reprend du volume. Je le sens pousser sur le second, sur toute la longueur. Cette fois, je crie littéralement ma jouissance. Je crie tellement que Michel est obligé d’arrêter et de me couvrir la bouche.

Aussitôt, les deux godes sont expulsés et je crie à nouveau. Je baisse le son. Il me tient toujours la bouche d’une main. D’un seul coup, il me pénètre à fond avec sa bite. Il ne perd pas de temps et me ramone de toutes ses forces.

Je rejouis en même temps que lui. Il crie en sourdine pendant qu’il déverse plusieurs jets de sperme, bien au fond de mon rectum avant de s’écrouler sur moi. Nous tremblons tous les deux, mais pas de froid. Nous restons ainsi un certain temps, collés l’un à l’autre, sur ce tronc d’arbre.

Cette fois, le froid se fait sentir. Nous nous redressons et sortons de là. En fait, j’ai un peu mal entre les cuisses. Depuis le temps que je suis sur le tronc, c’est un peu douloureux. Comme quand on fait un grand-écart. Dans mes mouvements, je sens mes deux fesses glisser l’une contre l’autre avec l’impression d’avoir un trou béant entre elles. C’est très agréable…

Nous nous rhabillons, rangeons nos affaires dans le sac et remontons vers l’appartement en nous tenant par la taille et nous embrassant tous les deux mètres. Peu de temps avant d’arriver au pied de l’immeuble, nous apercevons mon collègue et son « cousin ». Ils se dirigent, à leur tour, vers le parc par un autre chemin. J’ai envie de les interpeler en leur disant que la place est chaude mais, Michel m’en empêche.


Dune





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2 commentaires:

Maxime a dit…

hummm, ton récit est super excitant et bandant. C'est un merveilleux plan, c'est tellement bon de se faire exploser la rondelle en extérieur. Bisous

Coquin Belgium a dit…

Putain, tu m'as fait durcir avec ton épisode !