Sensuel et chaud


 

Souplesse


 

Quand t'as pas assez pour payer la course


 

Un bon sandwich


 

Petit déjeuner au lit


 

Faudra tout prendre !


 

Jolie trompe


 

En pleine action


 

Il a pas été sage...


 

Envie de sucer ?


 

Dans les coulisses des Dieux du Stade


 

A plus tard


 

Accélère !


 

A la découverte de son corps


 

Faciale


 

Il en veut encore


 

Fièrement dressée


 

Fuck !


 

Motard


 

Eruption


 

Un café


 

Quatre lutteurs à l'entrainement

 

 

 


 

Avant de retrouver maman


 

Faciale


 

Encore un peu de crème ?


 

Motivé


 

Il arrive en pleine forme


 

Où est la clé de la cage ?


 

Suspendu


 

Un bon selfie


 

Regarde


 

Il confirme. C'est un bon cul à lécher.


 

A trois dans la voiture

 

 

 


 

La vie secrète des animaux


 

Ration quotidienne


 

Pompe


 

J'arrive à quatre pattes


 

Il va ajouter la lessive


 

Urinoir


 

Les draps vont s'en souvenir


 

Bulge


 

Il rend hommage au vainqueur


 

Prêt à passer à la vitesse supérieure


 

Il donne tout pour signer son contrat

 

 

 


 

11/ Vacances en Hongrie

 Il se trouve que j’ai des origines hongroises par ma mère. Une partie de la famille est toujours là-bas et le contact n’a jamais été rompu. Il faut dire, qu’à l’époque, la Hongrie est l’un des pays les plus libéraux du bloc de l’Est, si ce n’est le plus libéral (d’un point de vue sociétal, pas économique ou politique). Ce qui ne semble malheureusement plus être le cas aujourd’hui. Nous nous y rendons, pendant les vacances d’été, tous les deux ans depuis plusieurs années. J’y ai une cousine de mon âge avec laquelle je m’entends très bien.

Bref, cette année, je repars dans ma famille habitant une grande ville du sud du pays. Avec toutefois une grande différence : A 17 ans, j’y vais seul ! Enfin presque, mes parents ne viennent pas, mais l’un des collègues de ma mère a réservé un séjour dans une ville voisine. Ils m’emmènent avec eux en voiture. Deux jours de route avec un arrêt en Allemagne pour la nuit. Je leur sers de guide pour le trajet et, une fois arrivés, ils me déposent chez ma tante avant de partir de leur côté. On se revoit trois semaines plus tard, pour le retour. Mon séjour se passe bien. Je visite le reste de la famille, les grandes villes, des sites touristiques, le cinéma et surtout : la piscine ! J’adore cet endroit. J’y passe toujours de bons moments et c’est aussi l’occasion de manger une spécialité que j’apprécie énormément : les lángos ! Nous y allons au moins une fois par semaine. Les piscines hongroises sont réputées pour leurs eaux bienfaisantes et sont bondées de monde dès qu’il fait chaud. La piscine où je vais le plus est située le long du fleuve qui traverse la ville, dans un grand parc équipé de bungalows sur pilotis pour les familles qui ont pu en réserver. Dans chaque bungalow, il y a deux pièces et une grande terrasse. Cette année, ma tante n’a rien réservé. Il faudra se contenter des vestiaires communs que je ne connais pas encore.

La première journée à la piscine se passe tranquillement avec ma cousine et ma tante. Mon oncle est au travail. Au moment de partir, je me dirige vers le vestiaire pour « hommes ». C’est une pièce rectangulaire avec des bancs et portes manteaux tout le long des murs. Je vois une place libre au fond de la pièce. Je m’y rends. Je croise des hommes ou enfants de tous âges. La plupart sont totalement nus, préparant leurs vêtements de ville. Certains discutent ainsi en prenant leur temps avant de se rhabiller. Je retire mon maillot de bain et fais comme tous ces gens. Je m’essuie puis sors de mon sac mes affaires. Je suis dos à la salle et, moi aussi, je prends mon temps. Lorsque je me retourne pour m’asseoir sur le banc, mes yeux sont immédiatement attirés. Une vision féerique : Deux hommes, je dirais 24 – 25 ans, bruns, cheveux courts et particulièrement bien foutus, sont arrivés entre-temps pour s’installer en face de moi. Ils discutent, rigolent complètement à poil. Tous les deux ont un petit cul bien rond qui paraît ferme. Et quand ils offrent à ma vue leur sexe au repos, WAOHHH ! Je ne peux plus détacher mon regard de ces deux apollons totalement imberbes. Je ne vois pas un seul poil ! Ils finissent par enfiler chacun leur jeans directement sans sous-vêtement. C’en est trop. Je baisse la tête. Me voilà bien !! Je suis seul au milieu de dizaines d’hommes, ne parlant que très peu la langue, entièrement nu avec la bite bien raide et même un peu de mouille au bout du gland. J’en ai oublié de m’habiller….

Je me reprends, enfile mon slip et mon short. Les deux hommes sont partis. Je termine avec mon t-shirt et mes baskets avant de sortir et retrouver ma cousine et ma tante qui m’attendent déjà. Inutile de dire à quoi je pense lors de mes prochaines séances de branle une fois dans mon lit !

La semaine suivante, j’ai eu toute une journée rien qu’à moi. Tous les membres de la famille étaient occupés et ne pouvaient rester avec moi. Depuis le temps que je viens, je connais assez bien la ville pour me débrouiller seul. Au moins pour aller aux endroits connus. J’ai prévu de retourner à la piscine. Va savoir pourquoi ?

Je prépare mes affaires et pars. Je m’installe sur le même coin de pelouse que précédemment et, après un premier bain, je prends un bouquin. Il y a toujours autant de monde. Des gens qui discutent et des enfants qui jouent en criant parfois (souvent !). Je suis sur le dos, les jambes légèrement repliées et écartées. J’ai du mal à me concentrer sur ma lecture. Je regarde aux alentours. Je remarque un jeune homme, à peu près mon âge, qui semble me fixer du regard. Il est accompagné d’adultes et d’enfants plus jeunes. Il est allongé sur le ventre, juste en face de moi. Il a vu directe sur mon maillot de bain et mon entrejambe. Lorsque je tourne la tête vers lui, il détourne le regard. Dès que je regarde ailleurs, il revient instantanément. Notre petit jeu dure un petit moment puis il se lève. Je l’entends dire et comprend qu’il va aux toilettes. En fait, il bande et son maillot de bain ne cache pratiquement rien. Je le suis des yeux. Il me fait un signe de tête m’invitant à le suivre. Ni une ni deux, je me lève et lui emboîte le pas. Il m’attend un peu plus loin, me prend par la main et m’entraîne vers un bungalow. Nous montons. Il me fait comprendre qu’il n’y a rien à craindre et, arrivés en haut, sur la terrasse, m’attrape par les hanches et se colle à moi. Effectivement, il bande bien et moi aussi d’ailleurs. Nous nous frottons ainsi quelques instants. Nos glands sont sortis des maillots. Je passe ma main sur sa bite. Il défait le nœud de son maillot avant de passer au mien. Je prends son manche en main et lui fait de même. En hauteur, nous sommes à l’abri des vues et nous entendons les cris des enfants qui jouent en bas et les parents qui discutent. C’est très excitant. Nous nous branlons mutuellement, l’un en face de l’autre. Au bout de quelques instants, je m’accroupis et pose mes lèvres sur son gland. Je l’entends gémir. Il s’adosse à la paroi de l’une des pièces et tend son sexe dans ma direction. Je n’ai qu’à ouvrir la bouche et son gland me pénètre. J’humidifie bien avec ma salive et commence un lent va-et-vient. Sa bite est plus petite que la mienne. J’arrive facilement à tout prendre. Il gémit, tremble de plaisir avant de lâcher plusieurs jets de foutre dans ma bouche. Il se mord la main en même temps. Je me relève et avale cette délicieuse crème. Il reprend ses esprits et attrape ma bite qui n’a pas débandé. En se collant à moi, sa bite contre ma hanche, il me branle jusqu’à ce que je crache à mon tour, mais par terre. Il me fait une bise sur la joue et me dit merci en hongrois. Je lui réponds et lui indique que je suis français. Par chance, il étudie le français en seconde langue. Nous arrivons donc à échanger quelques mots. En fait, il s’appelle Gabor. Nous avons le même âge. Sa famille a loué le bungalow et il a l’habitude de venir y faire un tout seul. Il en profite pour se taper une branlette en pensant à tous les mecs qu’il a pu mater dans la journée. Il me confie que j'ai déjà fait l’objet de l’une de ses branles, car il était déjà là la semaine dernière et m’a repéré. Jusqu’à aujourd’hui, il n’a jamais rien fait de plus qu’une branlette mutuelle avec un homme. Comme il me reste encore un peu plus d’une semaine avant de rentrer en France, je lui promets de revenir et lui propose de se retrouver ici.

Je retourne à la piscine, avec ma famille, trois fois avant mon départ. Étonnamment, toujours à la même heure, il faut que je me rende aux toilettes. Gabor et moi nous retrouvons au pied du bungalow et la suite est sensiblement identique. Sauf la dernière fois, où il a tenu à me sucer. Il voulait absolument goûter mon sperme et il n’a pas été déçu. 

 

Dune

 


 

Le texte complet de cette mise à jour est ici

Libération


 

Mes trous sont occupés


 

Ma bite vous salue


 

Mon bain moussant


 

Besoin de vidanger


 

Je crois que je la tiens bien


 

Je suivrai bien le revolver


 

Pas de crampons ?


 

Notre chien fait le guet pendant que mon mari se vidange