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Il se régale


 

Belle branche


 

Il le prend bien aussi


 

On échange ?


 

En plan cam


 

Pour s'envoyer en l'air


 

Bulge


 

Métro


 

Il y est presque


 

La pression était trop forte


 

Il en voulait une bonne...

 

 

 


 

Tu pars déjà ?


 

Bien pris


 

Une zone sensible


 

Dans l'entrepôt désaffecté


 

Un selfie


 

Il touche presque au but


 

Il manie bien le manche


 

Bien installés


 

Une fontaine


 

Prêt à tout prendre ?


 

Invitation


 

Tu as la tête dans le lave-linge et ton coloc arrive


 

Relax !


 

Concentrés


 

En escale


 

Une battle dans les vestiaires


 

Deux amants dans la voiture


 

Il se rapproche


 

Bien rempli


 

A fond !


 

Attends moi ! J'arrive !


 

Un bon trou

 

 

 


 

Plaisir interdit

Depuis mon très jeune âge, j'ai toujours eu de l'admiration pour mon travailleur social. Il était un homme doux, sensible, rieur et affectueux avec moi. Il m'encourageait toujours à faire de mon mieux, à travailler plus fort afin d'atteindre mes objectifs. Je m'intéressais à tout ce qui l'intéressait lui aussi. Je me levai à 6 : 30 le matin pour aller faire du jogging avec lui. Je raffolais de ces matins où je pouvais l'avoir pour moi tout seul. À l'école, je me surpassais dans le but d'être le meilleur, pour qu'il soit fier de moi. Le soir, après son retour du travail, il m'amenait avec lui presque partout où il allait. Nous étions très proches l'un et l'autre. Depuis la mort de mon père, tué par un chauffard ivre, il y a près d'un an, ma mère s'est complètement désintéressée de moi. Elle passe ses journées au lit à dormir et prend des tonnes de médicaments.

Mon frère a toujours été du genre indépendant. Il a ses amis, ses activités. Sa chambre est remplie d'affiches de filles nues et d'après ce qu'il dit, il baise une fille différente chaque fin de semaine. Cela ne me dérange guère, car j'ai Paul, mon travailleur social, juste pour moi. Rendu à l'âge de 18 ans, je prends conscience de mon homosexualité et le sexe commence à m'intéresser. Je ne pense plus qu'à ça. Je me masturbe à tout moment, imaginant faire l'amour avec des vedettes de cinéma. Je pense tellement au sexe que je regarde les entre-jambes de tous les hommes que je rencontre, Yvan y compris. Quand je dors chez lui les fins de semaine, il m'arrive de me cacher dans la salle de bain pendant qu'il prend sa douche. Bien des fois, je l'entends se masturber sous la douche et cela m'excite encore plus. Ma mère, enfoncée dans sa dépression, se fout bien que je passe presque toutes mes fins de semaines chez lui.

Un soir, alors que sa femme et ses 2 filles sont parties, je me retrouve seul avec lui. Je me rends dans ma cachette en sachant qu'Yvan va prendre sa douche. Comme d'habitude, je me rends ensuite dans ma chambre. Couché sur mon lit, je dégrafe ma braguette et fais glisser légèrement mon pantalon. Je sors mon pénis de mon sous-vêtement et me branle doucement pour faire durer le plaisir. Mon plaisir est si intense que je n'entends pas entrer Yvan. Lorsque je me rends compte de sa présence, je rougis. Je suis gêné, presque honteux. Il me sourit et me dit :


- "Ça t'excite à ce point de me regarder prendre ma douche ?"

Je constate qu'il se masturbe à travers son survêtement. Sous le tissu, je peux voir que sa queue est bien raide. Je suis estomaqué de voir qu'il sait tout. Je suis troublé par la situation, mais en même temps si excité. Semblant deviner mes pensées, il me dit :


- "Se masturber est une chose bien naturelle, même si tu le fais en fantasmant sur moi."
Il s'approche de moi et prend mon sexe entre ses mains. Il le branle lentement. Il me demande de descendre son pantalon de sport. Je m'exécute et je fais aussi glisser son slip. Devant moi, se dresse sa queue bien longue, au moins 18 cm et je la prends dans mes mains. Je sens son membre palpitant et chaud entre mes paumes. Je le trouve beau, doux et soyeux. Je commence à le branler. Vite, il jouit sur mon torse et mes cuisses et j'éjacule aussi. Son sperme me colle et il me dit :
- "Viens, on va prendre une douche."

Le jet d'eau vient à peine de mouiller mon corps que je sens ses mains se balader sur tout mon corps. Intérieurement, j'ai honte de prendre plaisir à ses attouchements, mais je trouve ça si bon. Il prend le savon qu'il met au creux de sa paume et me savonne. Il n'oublie ni mon sexe, ni mes fesses. Mon érection est immense. Lui aussi prend plaisir à me toucher. Sa queue est démesurément grosse, je sais qu'il est plus expérimenté que moi. Il me branle énergiquement et je ne tarde pas à éjaculer de nouveau. Il prend mes mains et se branle avec. Je continue de le branler jusqu'à ce qu'il inonde mes paumes de son sperme. En sortant de la douche, il m'avoue que c'était la première fois qu'il fait ça avec un autre homme. Il m'assure qu'il ne regrette rien et qu'il est aussi surpris du plaisir qu'il s'est procuré en me touchant. Je me dépêche de me sécher et je me rends à ma chambre.

Assis sur mon lit, je ne cesse de penser à ce qui venait de se produire. Je suis partagé entre le plaisir et la honte. Je veux me convaincre que ce n'était pas si mal ce que je viens de faire avec lui. Il m'a fait découvrir le plaisir. Pourquoi pas lui plutôt qu'un autre… Je repense à ses caresses et je sens l'excitation envahir à nouveau mon corps. Je me sens frustré de ne pas avoir tout connu. Je voulais en découvrir plus. Sentant mon sexe se raidir dans mon slip, je me rends dans la chambre d'Yvan. Je le vois nu, allongé sur son lit. Il se caresse ! Sa verge est bien dure et bien droite. Il me voit et ne s'arrête pas pour autant. Je m'approche de son lit et, tout en retirant mon slip, je lui dis :
- "Yvan, j'ai tellement envie de toi, fais-moi découvrir le plaisir."

Étendu près de lui, ses mains parcourent toutes les parties de mon corps. Il se couche sur moi et sa bouche se pose sur mon torse et glisse vers mon sexe. Sa langue excite mon gland. À chaque succion, tout mon corps vibre. Le plaisir me submerge. Pendant qu'il me suce, je ne peux me retenir de crier tellement j'aime ça. Sentant que je vais jouir, il se retire et me demande de le sucer à mon tour. Je suis un peu réticent, mais je le fais de bon cœur. J'approche mes lèvres de sa queue. Une odeur de sperme envahit mon nez. Ma langue touche le gland comme pour me rassurer. Puis j'avale son pénis entièrement. Je trouve sa queue plutôt appétissante. Lentement, je me mets à le sucer avec délice. Je l'entends gémir. Il pose sa main sur ma tête pour pousser sa queue bien au fond.

C'est lorsqu'il me fait découvrir le 69 que je ne peux me retenir bien longtemps. Je suis certain que je ne pourrais pas jouir une troisième fois, mais je me trompe. J'accepte qu'il éjacule dans ma bouche, mais je recrache le tout. Je passe la nuit dans son lit, couché et serré contre lui, sentant son sexe sur mes fesses. Le lendemain matin, il me dit que je ne devais parler de ça à personne, car étant mon travailleur social, il n'a pas le droit de baiser avec moi et qu'il risque bien des problèmes. Je lui promets que jamais, je ne parlerai.

Avec le temps, j'ai découvert avec lui bien des façons de jouir. La première fois qu'il me pénétra, je crus mourir tellement j'ai eu mal. Mais par la suite, c'est moi qui le suppliais de me défoncer, tellement ça me faisait jouir. Nous sommes devenus amants et jamais sa femme ou ma mère ne surent ce qui s'est passé entre nous.

Ken 

 


 

Sous les aisselles


 

Il apprécie le coup de main


 

Jeu de langues


 

Il est motivé


 

Un copilote attentif


 

Le perdant suce


 

Bien épais


 

Un infirmier zèlé


 

Moi aussi, je peux jouer avec ?


 

Je veux le même examen


 

Dans un monde fantasmagorique

 

 

 


 

“La caresse est le produit d'un long polissage..." Pierre Reverdy


 

Un bisou


 

Ils sont heureux et ça se voit


 

Sur le parking de la concession


 

Doigté et branlé par un monstre


 

Jusqu'à la dernière goutte


 

Avale !


 

Il a le feu au cul


 

Sa température remonte