Alors que je reviens d’une dizaine de jours de stage informatique dans le centre de la France. Nous sommes presque en été et il fait chaud. J’arrive à ma station de R.E.R., au terminus. J’ai encore 30 minutes de marche avant de rejoindre ma caserne et mon logement. Mon patron m’attend au bureau pour que je lui rende compte de ma formation. Je porte un jeans clair et un débardeur. J’ai retiré ma chemisette. À l’approche du parc public qui me sépare de la caserne, je croise un jeune homme qui descend de sa voiture et se dirige vers son coffre. Il porte un short de sport et aussi un débardeur. Je ne sais pas si c’est mon look (tenue vestimentaire + cheveux à raz et sac militaire) mais, il s’arrête et me dévisage de la tête aux pieds pendant que je passe à sa hauteur. Nous échangeons un « salut » agrémenté d’un beau sourire. Visiblement, ce jeune homme me trouve à son goût, et c’est réciproque. Malheureusement, j’ai déjà prévenu mon patron de mon arrivée imminente. Je poursuis mon chemin et m’engage dans le parc, dernier point de passage avant d’arriver à la caserne, de l’autre côté.
Je ne suis pas arrivé au milieu du parc que j’aperçois, à nouveau, le même jeune homme. Il court dans ma direction. Il n’a pas pu faire le tour complet. Il a dû couper pour me croiser !
À quelques mètres de moi, il s’arrête et marche. Il me regarde et me sourit à nouveau. En même temps, je vois sa main se diriger vers son short. Il se malaxe le paquet en me regardant. C’est trop, mon chef attendra ! Je m’arrête à la hauteur d’un banc et refais l’un de mes lacets. Cela laisse le temps au jeune homme de s’approcher.
Toujours en se tenant le paquet, il me demande : « ça te tente ? » je lui réponds que oui, mais rapide. Pas de souci, nous bifurquons et nous dirigeons vers le fond du parc, toujours plus tranquille, surtout en semaine. Nous engageons la conversation. Je ne sais plus sur quoi, mais cela me laisse le temps d’admirer ce beau blond doté d’un très beau petit cul que son short de running met bien en valeur. Des cuisses musclées et de bons mollets légèrement poilus. Ses épaules sont larges et le ventre plat. Hormis la taille, nous nous ressemblons assez. Il est plus petit que moi, d’au moins une tête. Nous arrivons prêt des sanisettes et nous enfonçons dans le bosquet situé juste derrière.
Aussitôt, je sens ses mains parcourir mon jeans, à la recherche des boutons de la braguette. Ouf, je commence sérieusement à être à l’étroit dans mon slim ! Il libère ma queue qui sort fièrement et bien raide. Je ne porte rien en dessous. Il commence à me branler puis, tout en restant debout, se penche pour la prendre en bouche. Je le mets de côté. J’ai ainsi accès à son cul tendu. Je le caresse. Glisse mes doigts à l’intérieur de son short. Progressivement, je parcours sa raie de mes doigts. Il aime ça et commence à gémir. Lui, me tète littéralement le gland. Il alterne entre gorge profonde et léchage de ma bite sur toute la longueur et de mes couilles auxquelles il s’accroche. Il finit par s’accroupir. Je lui prends la tête. Il baisse encore mon jeans. Il glisse une main entre mes jambes et remonte vers mon cul. Tout en me pompant, il glisse un doigt sur mon anus et le titille. Il n’en faut pas plus. Je m’ouvre instantanément. Il se redresse aussitôt, me demande de le prendre maintenant.
Il se tourne, baisse son short et me présente son cul qu’il écarte de ses deux mains. Je crache sur sa rondelle pour l’humidifier et je présente mon gland encore dégoulinant de sa bave à l’entrée de son trou. Je m’enfonce doucement quand, d’un coup, mon partenaire a un mouvement de recul. Ma bite entre entièrement dans son cul. Il commence à bouger. C’est lui qui fait les aller-retours. Je le prends par les hanches et lui impose mon rythme. Il gémit et me dit d’y aller à fond. Il m’excite et j’accélère. Par contre, je dois me retirer avant de jouir. Il veut que je jouisse sur lui.
Je continue en alternant la vitesse. Je finis même par entrer et sortir complètement de son cul avant de céder. Sentant l’éruption proche, je le lui dis. Il se retourne, s’accroupit et se positionne le visage en face de ma bite. Je n’en peux plus. Je me branle à peine que mon sperme jaillit ! Je lui arrose le visage. Il ouvre la bouche et tente d’en récupérer le plus possible, qu’il avale. Je n’ai pas le temps de me remettre de mes émotions qu’il se lève, se retourne et me dit : « À mon tour ! ».
Je découvre, enfin, sa queue bien raide. Il est rasé, sa bite est dans la moyenne, mais plus épaisse que la mienne. Je m’agenouille et la prend d’une main pour la diriger vers ma bouche. D’entrée, il me prend la tête et pousse. Il force le passage et j’avale toute la longueur. Je sens son gland m’écarter la luette. Si j’avais encore mes amygdales, il pourrait les caresser avec son gland. J’arrive même à tenir plusieurs secondes lorsqu’il maintient ma tête avec sa bite au plus profond de ma gorge. J’adore ça ! Puis, il se retire et me relève. Il me roule une pelle en me fouillant la bouche avec sa langue. Pendant ce temps, ses mains, ses doigts sont déjà sur ma rondelle ouverte. Je me cambre et lui donne mon cul. Il me retourne et je fais comme lui tout à l’heure. J’écarte les jambes, me penche en avant et écarte mes fesses de mes mains. Ses doigts me fouillent. Je mouille du cul. D’un coup, je sens son dard me transpercer sans prévenir. Il entre à fond en une fois et reste ainsi quelques secondes. Je me retiens de ne pas crier. Non pas que j’aie mal, mais par la surprise. Je ne m’attendais pas à ce qu’il entre aussi brusquement que cela. Mais je dois dire que j'aime ça ! Je suis tellement excité qu’il a raison d’en profiter. Il commence ses mouvements de va-et-vient doucement, mais avec toute l’amplitude possible. Il accélère et me défonce sans aucun ménagement avant de repartir en douceur. Je me cramponne à ce que je peux pour ne pas tomber. Il me travaille le cul ainsi pendant de longues et merveilleuses minutes puis se retire en râlant. Je me retourne aussitôt et prends son gland dans ma bouche. Il est surpris, mais n’a pas le temps de se retirer qu’il crache de longs jets puissants de sperme au fond de ma gorge. Je le sens épais et légèrement sucré. Je me régale et prends mon temps avant d’avaler tout en me rhabillant.
Même pas 10 minutes après, je suis dans le bureau de mon patron pour lui faire le débriefe de ma formation avant de profiter de ma journée de repos. J’ai toujours le goût du sperme dans la bouche…
Dune
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2 commentaires:
…bois toujours le nectar du phallus !
-Beau Mec à Deauville
C'est si bon !
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