III – UNE VIE DE PSEUDO-HÉTÉRO PARISIEN
37/ Mon arrivée en région parisienne
À peine 25 ans et ma carrière prend un nouveau virage. Je change de subdivision pour devenir enquêteur. Je suis muté en région parisienne ; en petite couronne plus exactement. À l’époque, il y a encore des brigades dans presque toutes les communes. Me retrouvant une nouvelle fois sans voiture, je fais le trajet en train alors que mes meubles montent avec le camion de déménagement. Je me suis organisé pour voyager léger, juste avec un petit sac de sport acheté en Australie. Normalement, je dois arriver sur ma nouvelle affectation quelques heures avant le camion, qui n’est pas attendu avant 09 ou 10 heures. Le trajet se passe sans histoire. J’arrive sur ma nouvelle résidence à 07 heures 00, par le R.E.R. La gare n’est qu’à quelques minutes, à environ 600 mètres. Je sors et, le temps de me repérer, je prends l’avenue en me dirigeant vers mon nouveau chez-moi. C’est simple, c’est tout droit et au bout à gauche. J’ai l’intention de repérer les lieux puis d’aller prendre un café dans un bar du centre-ville en attendant de me présenter à ma nouvelle unité et prendre possession de mon appartement. Je n’aurai pas le temps pour le café...
Après Jack et Guillaume, j’ai décidé de m’interdire de tomber amoureux d’un mec. A partir de maintenant, je consomme et puis je jette ! Surtout pas d’attache !
De suite, je passe au niveau d’un immense chantier, ou du moins à ce qu’il en parait. Des palissades métalliques en barrent l’accès et la vue. Je continue à avancer quand je vois un homme marcher vers moi, sur le même trottoir. Il est châtain foncé, dans la vingtaine également, vêtu d’un jeans slim aussi moulant que le mien et d’allure athlétique. Arrivé à quelques mètres de moi, celui-ci me dit : « Oh ! Le charmant militaire ! …. En permission ? » Il s’arrête à mon niveau. Je lui explique que je suis affecté ici, je viens tout juste d’arriver et que je ne connais pas du tout le coin. C’est alors qu’il me répond : « Alors, j'aimerais te souhaiter la bienvenue… à ma manière. Ça te dit ? » en se caressant l’entrejambe. Guillaume occupe toujours mes pensées, mais il me faut avancer. Je lui réponds que je ne suis pas contre. Bien au contraire. Il me prend le bras et m’emmène quelques mètres plus haut. Il écarte deux panneaux de la palissade, entre et me tire de l’autre côté. Il semble bien connaître les lieux. C’est un immense terrain vague. Les travaux n’ont pas encore commencé et surtout, il n’y a personne ! Cela deviendra une immense zone d’activité.
Il m’attrape par les hanches et nous nous frottons l’un l’autre. Je sens son sexe dur et le mien n’est pas en reste. Je laisse tomber mon sac de sport au sol. J’ouvre son pantalon. Il dégrafe le mien. Je caresse sa bite au travers de son caleçon. Lui, glisse directement sa main dans mon boxer. Je fais comme lui et passe ma main à l’intérieur. J’attrape sa bite bandée et commence à le branler. Il baisse mon pantalon au milieu des cuisses et s’abaisse. Tenant toujours ma bite d’une main, il approche sa bouche. Sa langue me caresse et fait le tour de mon gland. Il passe, repasse dans tous les sens. Puis, elle descend le long de ma queue. Il prend mes couilles à pleine main et les malaxe. Il les embrasse, les lèche avant d’en gober une, puis deux tout en me branlant légèrement. Il libère mes couilles et gobe ma bite. Il se jette dessus comme s’il avait faim. Il mouille bien et prend toute la longueur avant de revenir juste sur mon gland. Il le tète, l’aspire et reprend ma queue de plus belle. Je vacille. Heureusement, je suis dos à la palissade, la bite en avant. Je gémis quand, n’y tenant plus, je crie en lâchant ma dose de foutre au fond de sa gorge. Il avale tous mes jets de sperme. Il n’en perd pas une goutte. Il reprend ma bite en main, recule légèrement pour me regarder droit dans les yeux. Avec un air satisfait, il me dit : « Voilà, bienvenue en région parisienne.» Aussitôt dit, il remet mon gland entre ses lèvres. Il lèche les quelques gouttes de sperme qu’il peut récupérer avant de le lâcher. Puis, il se redresse. Je vois qu’il s’est branlé en même temps. Il remballe sa bite encore à moitié bandée dans son jean et se réajuste.
Je lui dis que j’aimerais lui rendre la pareille, mais lui me répond qu’il doit prendre son train et qu’il est déjà à la bourre. Il me précise aussi qu’il ne vit pas ici et qu’il sort d’un plan cul dans le centre-ville. Je remets mon pantalon et nous quittons le terrain vague. Après un bref salut, nous partons chacun dans une direction opposée.
Un tel accueil laisse présager de bons moments dans cette nouvelle affectation…
Je ne l’ai jamais revu, ni croisé en ville.
Je suis affecté dans une petite brigade. Mon appartement est situé au dernier étage de l’unique bâtiment qui en compte trois, juste en face de celui de mon commandant d’unité. Nous sommes six enquêteurs dont deux gradés. Je sympathise rapidement avec les deux plus jeunes, un guyanais et un réunionnais. Je n’envisage rien du tout avec eux. Je me perfectionne dans mon nouveau métier et, au bout d’un an, m’inscris à la préparation du concours d’Officier de Police Judiciaire. Cette formation se déroule sur deux ans et demi, dans le meilleur des cas. Côté cul, rien ne m’intéresse, je n’ai pas d’envie particulière.
Ma seconde année de présence à l’unité, mon commandant d’unité part en retraite. Il est remplacé par un adjudant, père d’une jeune femme de mon âge. Aussitôt, je sens bien qu’avec son épouse, l’adjudant essaie de me mettre leur fille dans les pattes. Je suis le seul célibataire de la brigade. Ils s’arrangent pour que j’emmène leur fille lors de sorties avec les copains, etc. Ils en deviennent lourds. Franchement, ça ne la fait pas. Ni elle, ni moi, ne sommes intéressés. Il faudra que leur fille rencontre un mec pour, qu’enfin, ils arrêtent d’insister.
L’année suivante, je suis invité au mariage de mon camarade réunionnais, Thierry. Notre autre collègue, Jean-Luc, le guyanais, est son témoin. Je rencontre la famille du jeune marié, notamment l’une de ses cousines, Marie – C. Nous sympathisons et décidons de nous revoir. Elle vit dans un foyer de jeunes travailleurs, en attendant de trouver mieux. Elle vient régulièrement chez moi et, rapidement, s’installe. Mes godes sont relayés à la cave. On ne sait jamais.
Comme tout nouveau couple, l’activité sexuelle est intense, mais je commence à m’ennuyer au lit. Une routine s’installe vite. Au bout de quelques semaines, Marie – C me dit qu’elle aimerait beaucoup que je lèche sa chatte avant la pénétration. Aïe !! Je ne lui ai jamais fait et n’ai pas l’intention de commencer. Aussitôt, je lui réponds : « D’accord, si tu me mets un doigt dans le cul de temps en temps ! »
Sa réponse est catégorique : « Non ! » J’ai beau lui expliquer qu’en matière de sexe, pratiquement tout est permis dès lors que c’est fait dans le respect mutuel et entre adultes consentants, rien n'y fait ! Je lui réponds alors que je me contenterai de continuer comme je fais actuellement : Avec mes doigts. Et qu’il est hors de question que j’y mette la langue !
La fréquence de nos rapports baisse. On fait toujours la même chose. Cela devient chiant. L’avantage d’avoir une copine qui travaille, c’est que je peux profiter de mes jours de repos en semaine comme je l’entends. Mes godes reprennent du service. Je dispose aussi d’un bon observatoire...
*
38/ Depuis les fenêtres de mon appartement
Ma caserne est située en bordure d’un parc public. Mon appartement est au 3ᵉ et dernier étage. Les bureaux sont au rez-de-chaussée. La fenêtre de ma chambre donne sur une partie du parc. Un angle assez discret. Lorsque l’on s’y trouve, un énorme bosquet protège de la vue des autres. Fort heureusement, depuis ma fenêtre, j’ai un accès privilégié, et avec un minimum de discrétion, je passe inaperçu.
Avec l’arrivée des beaux jours, il ne me faut pas longtemps pour remarquer des allers et venues suspectes. Un week-end de beau temps, intrigué, je m’attarde discrètement sur un couple de jeunes hétéros qui passent et repassent en ayant l’air de chercher quelque chose. Ils sont jeunes tous les deux. À peine majeurs, s’ils le sont. Le jeune homme est brun, probablement d’origine maghrébine, et bien foutu. La fille est brune, jolie, mais, comme ce n'est pas ma tasse de thé, je ne m’attarde pas dessus. Enfin, ils s’arrêtent.
Le couple, après avoir vérifié dans toutes les directions, pense être seul. Ils se placent en orée du bosquet. Le garçon s'adosse à un tronc d’arbre, face à moi. Les deux tourtereaux s’enlacent et s’embrassent. Leur attitude me dit qu’ils ne vont pas en rester là. La tension monte et dans mon boxer aussi. Les mains du jeune homme descendent sur les fesses de sa copine qui, elle, caresse les fesses de son mec d’une main. Je ne vois pas la deuxième. Cela dure un instant, puis, les corps s’écartent un peu et là : Bingo !!
J’aperçois la seconde main de la fille autour d’une énorme queue. Elle branle son mec !
Avec mes fenêtres fermées, je n’entends rien, mais je devine facilement leur discussion avec leurs attitudes ou leurs gestes.
Ni une ni deux, ma bite se redresse complètement et instantanément. Je la libère et commence à me caresser doucement. Je ne veux pas aller trop vite, car le spectacle est extraordinaire. Je vois le jeune insister en appuyant sur les épaules de sa copine pour qu'elle s’agenouille. Visiblement, il veut une pipe. Elle se fait prier et c'est tant mieux parce que pendant ce temps, j’ai tout loisir pour admirer ce magnifique et énorme chibre. Je n’ai pas rêvé. C’est la plus grosse bite que j’ai jamais vu !
Elle finit par s’exécuter et s’accroupit devant son partenaire. Elle prend son pieu en bouche et fait ce qu’elle peut. Je vois clairement la scène et elle ne peut pas tout avaler. Je donnerais n’importe quoi pour prendre sa place….
Ils s’arrêtent certainement à cause de quelqu’un de l’autre côté du bosquet qui fait du bruit. Elle se relève brusquement et se plaque contre son copain pour cacher la vue au cas où. Effectivement, quelqu’un passe sur le chemin à côté, mais ne s’arrête pas.
Une fois le danger écarté, le jeune en redemande. Ils s’allongent sur l’herbe. J’ai une vue imprenable sur son gros bâton. Il s’est couché perpendiculairement à moi. Elle se met de l’autre côté et se penche sur lui pour le reprendre en bouche. Je me branle de plus en plus fort, en essayant toutefois de gérer. Je ne tiendrai plus longtemps. Je sens et je vois la jouissance du mec sur le point de jaillir. Visiblement, il ne la prévient pas quand il lâche un cri que je peux facilement percevoir. Elle s’arrête de bouger et reste avec l’énorme gland de son mec dans la bouche. Il lui tient la tête. Pas besoin d’être devin pour comprendre qu’il envoie la purée. De mon côté, je ne tiens plus et j’asperge le mur sous ma fenêtre. Je pense bien, car je vois la fille se dégager de la bite de son mec, passer au-dessus de lui et cracher une quantité impressionnante de sperme dans l’herbe.
Elle se relève. Lui, reprend ses esprits, toujours la bite à l’air. Il bande toujours autant et je le vois luter pour la rentrer et refermer son jeans. Il doit s’y prendre à plusieurs fois pour remettre en place son matos qui ne veut pas débander. Il finit par y arriver et se relève. Le couple s’enlace à nouveau et part.
Ce n’est pas ma première expérience de ce genre, mais cette fois, c’est en plein jour et je vois comme si j’y étais. Inutile de vous dire que pendant les neuf années où je vis dans cet appartement, j’en ai vu d’autres et pas seulement entre hétéros….
Marie – C, sentant certainement que notre couple commence à battre de l’aile, me tanne pour que nous nous mariions. Personnellement, j’ai deux objectifs : l’un, professionnel, étant de réussir le concours d’OPJ ; le second, d’avoir un enfant. J’accepte !
Avec le temps, je me fait quelques amis dans la commune. Notamment un policier municipal originaire de la Martinique. Prétextant un besoin de décompresser après le boulot, je négocie avec ma copine un « quartier libre ». Une fois par semaine, je passe la journée avec Christian, mon collègue municipal. Nous en profitons pour faire du sport avant de passer la soirée ensemble.
*
39/ Rapprochement interprofessionnel
Lors de ma journée hebdomadaire sans copine, que je passe avec Christian, policier municipal de la commune, nous allons à la salle de sport l’après-midi avant de passer la soirée ensemble. Si mon boulot le permet, il n’est pas rare que je dorme chez lui. Nos soirées sont assez arrosées et il ne serait pas prudent que je reprenne la voiture après quelques verres. Nous allons parfois en boite de nuit sur Paris, sinon, nous restons simplement chez lui à discuter.
Christian est originaire de Martinique. C’est un ancien danseur professionnel. Il est célibataire. La première fois que je le vois, il est au club de tennis de la ville, torse nu. J’ai immédiatement flashé sur lui, sa musculature. Je dois lutter pour détacher mon regard alors que nous discutons avec le responsable du club. Je suis en service, donc en uniforme. Nous avons le même âge et nous sympathisons rapidement.
Un soir, alors que nous sommes sur son canapé, je lui annonce mon prochain mariage avec Marie – C et lui demande s’il veut être mon témoin.
Il me regarde. Il a l’air dépité et me dit : « Tu sais ce que tu fais ? C’est une fille des Îles… Attends-toi à du changement après le mariage ! Elle ne te laissera plus sortir comme maintenant ! » Il a l’air triste. Je prends son visage entre mes mains et me rapproche pour lui dire des mots rassurants. Christian me regarde et, soudainement, ses lèvres se retrouvent contre les miennes. Surpris, je m’écarte. Je tiens toujours son visage entre mes mains. On ne dit plus un mot, mais nous nous regardons avec intensité.
D’un coup, on se jette l’un sur l’autre. Ma bouche s’ouvre, la sienne aussi. Nos langues se mélangent. Mes mains laissent son visage et caressent son dos musclé. On se lève et se déshabille mutuellement avec une rapidité fulgurante, tout en continuant à se galocher. Nos bites se frottent et nous bandons tous les deux. Christian attrape mes fesses et les soulève en les écartant de ses mains puissantes. Ses doigts se faufilent vers mon anus. Je râle. Cela fait tellement longtemps qu’un homme ne m’a pas touché ! Je lui dis de me prendre maintenant !
Je me retourne et me place sur le canapé, les fesses vers lui. Il se colle à moi et me caresse de tout son corps. Je sens ses muscles et sa puissance. Ses bras m’enserrent. Il me caresse le torse avec ses mains, me branle un peu avant de me caresser les flancs. Il me lèche le coup puis descend dans mon dos. Je sens sa langue parcourir chaque centimètre carré. Il finit sur ma rondelle qu’il lèche et aspire. C’est si bon ! J’en avais presque oublié le plaisir que l’on peut ressentir. Je m’ouvre. Je veux sa bite !
Je le supplie de me prendre ! Il met une capote et crache sur mon cul. Christian présente son sexe contre mon anus et pousse. Quel soulagement de le sentir me pénétrer ! Il s’enfonce. Je suis déchaîné et m’enfonce au plus profond sur sa queue. Il commence à aller et venir, d’abord doucement, puis plus rapidement. Il me besogne avec toute la puissance qu’il peut maintenant. Je suis totalement ouvert. Je sens sa transpiration couler sur mon dos. Je réussis à attraper ses couilles que je maintiens au plus près de moi. Il halète et se crispe en criant. Il jouit dans sa capote en même temps que je jouis du cul et en criant à mon tour. Quel pied !!
Nous restons allongés sur le canapé, enlacés, pendant quelques minutes. Je reprends la conversation là où nous nous étions arrêtés et lui indique qu’elle m'a garanti que je pourrais continuer à le voir comme maintenant.
Rassuré, il esquisse un sourire et nous fait rouler sur le canapé. Je me retrouve sur le dos. Christian m’embrasse à nouveau puis descend. Il lèche mon torse, s’attardant sur mes tétons avant de poursuivre sa descente. Je me remets vite à bander. Il gobe mon gland et l’enserre de ses lèvres charnues. Tout en me regardant, il avale ma bite et me suce avec une douceur telle que je ne résiste pas longtemps. Je le préviens que je vais envoyer la purée. Il remonte pour ne prendre que mon gland. Sa langue joue tout autour. Je ne tiens plus et l’inonde de mon sperme. Il garde tout dans sa bouche et remonte m’embrasser. Nous nous partageons mon foutre avant d’avaler.
Nous finissons par nous endormir, dans les bras l’un de l’autre, sur le canapé.
Christian devient mon amant régulier. Il se définit comme bisexuel. Nous nous voyons toujours une fois par semaine et le programme de nos journées est toujours le même : Sport l’après-midi et le soir, on baise. Il n’y a plus de sorties en boîte, on a mieux à faire.
La date du mariage, avec Marie – C, est fixée. Nous réunissons nos deux familles. Ma belle-mère fait le voyage depuis la Réunion. Mes parents, et surtout ma mère, sont ravis et fiers.
Christian est mon témoin. Thierry, mon collègue, est le témoin de sa cousine. Au cours du week-end, je n’ai pas un instant à moi. Je suis tout le temps sollicité. Il ne se passe rien de croustillant avec mon amant. Toutefois, on profite de chaque occasion où l’on se frôle pour se caresser discrètement en passant.
Notre relation dure ainsi, même après le mariage. Étonnamment, après chaque journée passée avec Christian, j’arrive à « honorer » ma femme plus facilement. Le rythme de nos rapports sexuels redevient hebdomadaire. Il faut dire qu’en le faisant, je ne pense qu’à lui. Ça m’aide à bander. Je me refuse toujours à prodiguer le cunnilingus qu’elle attend. Il n’y a toujours pas d’enfant en vue.
Cinq ans après mon arrivée en tant qu’enquêteur, je réussis le concours de qualification. J’obtiens enfin la qualité d’Officier de Police Judiciaire. Mes prérogatives sont plus importantes et je peux postuler pour l’avancement. Ma femme est devenue fonctionnaire et travaille sur Paris.
Christian m’annonce qu’il a une copine. C'est du sérieux. Il met fin à notre relation, après plusieurs années. C’est dommage. Je l’aime beaucoup, mais pas autant que j’ai pu aimer Guillaume ou Jack. Je m’en remets très vite.
L’avantage d’avoir une épouse originaire des îles et fonctionnaire, ce sont les congés bonifiés et la possibilité de cumuler sur trois ans ses droits à congés. Lorsque cela arrive, je pars un mois à la Réunion avec ma femme et je rentre. Elle reste un mois de plus. Je me retrouve donc seul de mon côté et j’en profite...
*
40/ Au cinéma
Je ne suis pas loin de Paris, de repos, je n’ai rien à faire aujourd’hui. J’ai comme une envie de sexe. Mes godes ne suffiront pas. Je veux de la bite ! Ma femme est encore à la Réunion. Je me prépare et m’habille léger. Un bas de survêtement et un sweat feront l’affaire.
Je pars vers la capitale, Place Pigalle. Je me gare et me dirige à pied vers un cinéma porno que j’ai repéré depuis un bon moment sans avoir eu l’occasion de m’y rendre. Je paie l’entrée et monte les escaliers. J’arrive au premier étage. Il fait noir. Je croise des hommes qui sortent ou qui attendent à l’entrée d’une première salle. Un film porno hétéro est diffusé. Que très moyennement intéressé par la bite de l’acteur, je sors et reprends ma déambulation. J’arrive dans une autre salle. Il n’y a personne et aucun film n’est diffusé. Je ne m’attarde pas et continue vers la dernière salle, au fond du couloir. Mes yeux s’habituent à l’obscurité. En arrivant, je vois que les sièges sont bien remplis. Visiblement, le film diffusé intéresse beaucoup plus de monde ici. J’entre. Enfin ! À l’écran, trois jeunes hommes baisent dans un spa. Je me dirige vers le fond de la salle. Un homme pouvant être mon grand-père est assis sur la dernière rangée de sièges. Je n’ai pas le temps de m’installer que je sens une main se saisir de la mienne. Un homme m’entraîne vers le couloir. Je le suis. Il me plaque contre le mur. Il doit connaître les lieux, car il me pousse dans un petit recoin isolé face à la sortie de la salle. Il me tient toujours la main et la dirige sur son sexe. Il bande ! Il porte un jogging qu’il fait descendre de sa main libre. Il ne porte rien en dessous et je distingue une bite bien raide. Nous n’échangeons aucune parole.
Je me baisse et prends son gland dans la bouche. Il me prend la tête aussitôt et commence à pousser. Il me lime la bouche rapidement. Il veut un coup rapide. Je le laisse faire. Il me pilonne la bouche, son gland bute contre mon palais. Puis, il se retire et envoie son sperme contre le mur. Il se rajuste, me remercie dans un français approximatif et s’en va. Je reste sur ma faim et je bande. Je me relève et je vois qu’un petit attroupement s’est formé à la sortie de la salle de projection pour nous mater. Il m’en faut plus !
Je rentre à nouveau dans cette salle et m’installe deux rangs avant le dernier. Vu mon état, je me caresse la bite par-dessus mon pantalon. Il ne faut pas attendre longtemps. Une main surgit de derrière et prend le relais. Il masse ma queue et me demande de le rejoindre au fond. Je ne perds pas une minute. Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre. Il descend mon survêtement et commence à me branler tout en douceur. Lui, c’est le grand-père de tout à l’heure. Dommage, il ne me laisse pas lui rendre la pareille.
Il me malaxe les couilles. Il passe des couilles à la bite en prenant son temps. Nos ébats ne passent pas inaperçus. Un homme s’approche et sors une bite énorme. Il commence à se masturber devant nous, en nous matant. Je lui fais signe de se rapprocher de moi. Ce qu’il fait. J’ai son gland devant ma bouche. J’ouvre en grand et passe ma langue dessus. Il apprécie et me lance : « oui ! Vas-y ! » Je prends son gland. Je ne peux pas tout enfourner tellement elle est grosse et longue. Il me laisse faire. Je suis maintenant allongé, les fesses sur les genoux du grand-père qui continue le massage de ma queue et de mes couilles, et avec une énorme bite dans la bouche. Mon sweat a volé et je suis torse nu, le survêt et le boxer sur les chevilles. Trois ou quatre spectateurs profitent du spectacle avec la queue à l’air. Après plusieurs va-et-viens, l’homme à la grosse bite se retire. Il râle en se masturbant. Je sens alors plusieurs jets de liquide chaud atterrir sur mon torse. Je passe une main. Il vient de balancer son sperme sur moi et pas qu’un peu… Il se rhabille et part.
Le grand-père est un expert. Dès qu’il sent ma jouissance proche, il arrête de me branler pour s’occuper de mes couilles ou me caresser le torse avant de reprendre.
L’un des spectateurs s’approche à son tour. Il veut aussi en profiter et je ne vais pas le décevoir. Après tout, je suis venu pour ça. J’ouvre la bouche et il enfonce directement sa bite. De taille beaucoup plus raisonnable, j’éprouve moins de difficulté. Il me tient la tête et me baise la bouche en douceur, mais profondément. J’aime sentir que je ne peux pas aller plus loin, que toute la bite est en moi. Que ce soit dans la bouche ou dans le cul. Je suis tellement excité que je n’ai même pas de haut-le-cœur. Tout rentre et facilement en plus. Son gland titille ma glotte. Lui aussi se retire d’un coup. Par contre, il n’a pas le temps de se tourner qu’il crache tout son jus sur ma tête. Il se réajuste et disparaît. Dans le même temps, je sens que mon tour est arrivé. Le grand-père ne peut plus empêcher ma jouissance et mon sperme de jaillir. Il continue de me branler pendant que je crache. Je reçois mon propre sperme sur mon torse et aussi sur mon visage. Le grand-père, qui a tout prévu, sors un mouchoir et m’essuie. Nous discutons un peu et faisons connaissance. Il vient ici tous les mardis après-midi, profitant que sa femme est avec des copines. Il me fait promettre de revenir, car il a beaucoup apprécié.
Je sors du cinéma satisfait avec l’odeur du sperme restant dans mes cheveux ou sur mon corps. Il doit forcément en rester. Avec la pénombre, difficile de tout essuyer correctement partout.
Moi qui m’étais préparé pour une totale, je n’ai qu’un regret. J’aurais bien aimé qu’un autre spectateur visite ma rondelle pendant que je m’occupe d’une bonne grosse bite.
Au retour de mon épouse, j’investis dans l’achat d’un ordinateur et souscris auprès de mon opérateur une connexion internet. Je passe mon temps libre sur l’appareil et découvre les sites pornographiques gays. Je me lève de plus en plus tôt pour pouvoir en profiter tranquillement avant que Marie – C ne se lève à son tour.
Je découvre également les premières applications de rencontre, mais je n’ose pas encore franchir le pas. Pour l’instant, je mate. Je me familiarise rapidement à l’informatique. Les premiers ordinateurs doivent bientôt équiper les unités gendarmerie. Volontaire, je suis désigné pour suivre un stage de formation dans le centre de la France.
*
41/ Dans le parc
Alors que je reviens d’une dizaine de jours de stage informatique dans le centre de la France. Nous sommes presque en été et il fait chaud. J’arrive à ma station de R.E.R., au terminus. J’ai encore 30 minutes de marche avant de rejoindre ma caserne et mon logement. Mon patron m’attend au bureau pour que je lui rende compte de ma formation. Je porte un jeans clair et un débardeur. J’ai retiré ma chemisette. À l’approche du parc public qui me sépare de la caserne, je croise un jeune homme qui descend de sa voiture et se dirige vers son coffre. Il porte un short de sport et aussi un débardeur. Je ne sais pas si c’est mon look (tenue vestimentaire + cheveux à raz et sac militaire) mais, il s’arrête et me dévisage de la tête aux pieds pendant que je passe à sa hauteur. Nous échangeons un « salut » agrémenté d’un beau sourire. Visiblement, ce jeune homme me trouve à son goût, et c’est réciproque. Malheureusement, j’ai déjà prévenu mon patron de mon arrivée imminente. Je poursuis mon chemin et m’engage dans le parc, dernier point de passage avant d’arriver à la caserne, de l’autre côté.
Je ne suis pas arrivé au milieu du parc que j’aperçois, à nouveau, le même jeune homme. Il court dans ma direction. Il n’a pas pu faire le tour complet. Il a dû couper pour me croiser !
À quelques mètres de moi, il s’arrête et marche. Il me regarde et me sourit à nouveau. En même temps, je vois sa main se diriger vers son short. Il se malaxe le paquet en me regardant. C’est trop, mon chef attendra ! Je m’arrête à la hauteur d’un banc et refais l’un de mes lacets. Cela laisse le temps au jeune homme de s’approcher.
Toujours en se tenant le paquet, il me demande : « ça te tente ? » je lui réponds que oui, mais rapide. Pas de souci, nous bifurquons et nous dirigeons vers le fond du parc, toujours plus tranquille, surtout en semaine. Nous engageons la conversation. Je ne sais plus sur quoi, mais cela me laisse le temps d’admirer ce beau blond doté d’un très beau petit cul que son short de running met bien en valeur. Des cuisses musclées et de bons mollets légèrement poilus. Ses épaules sont larges et le ventre plat. Hormis la taille, nous nous ressemblons assez. Il est plus petit que moi, d’au moins une tête. Nous arrivons prêt des sanisettes et nous enfonçons dans le bosquet situé juste derrière.
Aussitôt, je sens ses mains parcourir mon jeans, à la recherche des boutons de la braguette. Ouf, je commence sérieusement à être à l’étroit dans mon slim ! Il libère ma queue qui sort fièrement et bien raide. Je ne porte rien en dessous. Il commence à me branler puis, tout en restant debout, se penche pour la prendre en bouche. Je le mets de côté. J’ai ainsi accès à son cul tendu. Je le caresse. Glisse mes doigts à l’intérieur de son short. Progressivement, je parcours sa raie de mes doigts. Il aime ça et commence à gémir. Lui, me tète littéralement le gland. Il alterne entre gorge profonde et léchage de ma bite sur toute la longueur et de mes couilles auxquelles il s’accroche. Il finit par s’accroupir. Je lui prends la tête. Il baisse encore mon jeans. Il glisse une main entre mes jambes et remonte vers mon cul. Tout en me pompant, il glisse un doigt sur mon anus et le titille. Il n’en faut pas plus. Je m’ouvre instantanément. Il se redresse aussitôt, me demande de le prendre maintenant.
Il se tourne, baisse son short et me présente son cul qu’il écarte de ses deux mains. Je crache sur sa rondelle pour l’humidifier et je présente mon gland encore dégoulinant de sa bave à l’entrée de son trou. Je m’enfonce doucement quand, d’un coup, mon partenaire a un mouvement de recul. Ma bite entre entièrement dans son cul. Il commence à bouger. C’est lui qui fait les aller-retours. Je le prends par les hanches et lui impose mon rythme. Il gémit et me dit d’y aller à fond. Il m’excite et j’accélère. Par contre, je dois me retirer avant de jouir. Il veut que je jouisse sur lui.
Je continue en alternant la vitesse. Je finis même par entrer et sortir complètement de son cul avant de céder. Sentant l’éruption proche, je le lui dis. Il se retourne, s’accroupit et se positionne le visage en face de ma bite. Je n’en peux plus. Je me branle à peine que mon sperme jaillit ! Je lui arrose le visage. Il ouvre la bouche et tente d’en récupérer le plus possible, qu’il avale. Je n’ai pas le temps de me remettre de mes émotions qu’il se lève, se retourne et me dit : « À mon tour ! ».
Je découvre, enfin, sa queue bien raide. Il est rasé, sa bite est dans la moyenne, mais plus épaisse que la mienne. Je m’agenouille et la prend d’une main pour la diriger vers ma bouche. D’entrée, il me prend la tête et pousse. Il force le passage et j’avale toute la longueur. Je sens son gland m’écarter la luette. Si j’avais encore mes amygdales, il pourrait les caresser avec son gland. J’arrive même à tenir plusieurs secondes lorsqu’il maintient ma tête avec sa bite au plus profond de ma gorge. J’adore ça ! Puis, il se retire et me relève. Il me roule une pelle en me fouillant la bouche avec sa langue. Pendant ce temps, ses mains, ses doigts sont déjà sur ma rondelle ouverte. Je me cambre et lui donne mon cul. Il me retourne et je fais comme lui tout à l’heure. J’écarte les jambes, me penche en avant et écarte mes fesses de mes mains. Ses doigts me fouillent. Je mouille du cul. D’un coup, je sens son dard me transpercer sans prévenir. Il entre à fond en une fois et reste ainsi quelques secondes. Je me retiens de ne pas crier. Non pas que j’aie mal, mais par la surprise. Je ne m’attendais pas à ce qu’il entre aussi brusquement que cela. Mais je dois dire que j'aime ça ! Je suis tellement excité qu’il a raison d’en profiter. Il commence ses mouvements de va-et-vient doucement, mais avec toute l’amplitude possible. Il accélère et me défonce sans aucun ménagement avant de repartir en douceur. Je me cramponne à ce que je peux pour ne pas tomber. Il me travaille le cul ainsi pendant de longues et merveilleuses minutes puis se retire en râlant. Je me retourne aussitôt et prends son gland dans ma bouche. Il est surpris, mais n’a pas le temps de se retirer qu’il crache de longs jets puissants de sperme au fond de ma gorge. Je le sens épais et légèrement sucré. Je me régale et prends mon temps avant d’avaler tout en me rhabillant.
Même pas 10 minutes après, je suis dans le bureau de mon patron pour lui faire le débriefe de ma formation avant de profiter de ma journée de repos. J’ai toujours le goût du sperme dans la bouche…
Le temps passe, mes godes ont repris du service. La routine se réinstalle. Mes rapports avec mon épouse se dégradent à nouveau. C’est l’hiver. Ma femme me propose de partir une semaine, en vacances à Ibiza. Nous serons accompagnés d’un couple d’amis. Je ne suis pas certain que la destination choisie par Marie C soit propice à notre rapprochement mais, moi, j’y vois une opportunité….
42/ Vacances à Ibiza
Je compte bien profiter de nos vacances à Ibiza pour sortir et tester quelques boîtes dont tout le monde entend parler en France. Malheureusement, ma femme et le mari de sa copine ne sont pas chauds. Nos sorties du club de vacances sont faites exclusivement d’excursions organisées ou balades en ville. Je suis très frustré. Voir tous ces beaux mecs et ne pas pouvoir en profiter...
Lorsque nous sommes en promenade, mon épouse s’accroche à moi. Il faut dire que je me fais draguer à tous les coins de rues. Un grand blond, tirant sur le roux, et d’allure sportive, ça attire ! Du coup, elle ne me lâche pas ! Si je m’entends bien avec l’amie de Marie C, je supporte de moins en moins son mec. Il ne jure que par la religion, refuse même d’aller à la plage naturiste et je m’ennuie.
L’avant-dernier jour, nous décidons de nous rendre sur une plage située de l’autre côté de l’île. Je ne suis pas bien réveillé et pas de bonne humeur. Je suis le seul à conduire notre véhicule de location. En chemin, je ne dis pas un mot, jusqu’à ce que ma femme me demande ce qu’il y a. Je fais le bilan de notre séjour et reproche le fait que l’on n'ait pas profité à fond de ce que nous avions à disposition. Une dispute s’ensuit.
Nous arrivons à la plage et louons des transats. Je ne dis pas un mot. Lorsqu’ils partent se baigner, je reste allongé. Pris d’une petite faim, je décide de me diriger vers une cabane à laquelle je peux acheter un encas. Je porte un short de bain.
Une petite file d’attente s’est formée. Je prends ma place et je suis rapidement rejoint par d’autres personnes. Pendant l’attente, je sens régulièrement une main me frôler les fesses furtivement. Je me retourne et je découvre, juste derrière moi, un jeune homme, beau gosse, plus jeune et plus petit que moi, brun avec les cheveux courts. Il me regarde en arborant un beau sourire. Il se caresse le bas ventre, juste au-dessus de son maillot de bain taille basse. Agréablement surpris par la vue, je lui réponds en souriant et haussant les sourcils.
Le commerçant m’appelle. C’est à mon tour. Je me retourne, commande et me fais servir. C’est maintenant au tour du beau gosse. Il ne me lâche pas du regard. J’attends sur le côté en le dévisageant. La tension monte et mon sexe gonfle dans mon short. Je remarque que, de son côté, le maillot de bain semble de plus en plus petit. Une ouverture s’est formée au niveau de la taille. Sa bosse enfle.
Il me fait signe de le suivre. Tout en dégustant nos churros, nous nous dirigeons vers le parking. C’est un français, de l’Est de la France. Il est venu avec un groupe d’amis à qui il fait signe en passant. Que des beaux gosses !
Arrivés au bout de l'aire de stationnement, nous nous plaçons entre deux véhicules, sous les pins. Rémy, c’est son prénom, se retourne et m’attrape par la taille et se colle à moi. Il pose ses lèvres contre les miennes. J’ouvre aussitôt ma bouche et nos langues jouent ensemble un bon moment alors que nos mains parcourent nos corps.
Rémy se baisse, il tient mon paquet puis défait le nœud de la ficelle de mon short. Nous nous mettons à genoux. Je glisse une main dans son maillot de bain et lui caresse les fesses. Elles sont fermes et bien rondes. Il retire ma main et me fait légèrement basculer en arrière. Il tire sur l’avant de mon short et libère ma queue bien raide et fièrement dressée.
Rémy prend mes couilles d’une main et approche son visage. Il passe sa langue sur mon gland et dépose sa salive tout autour avant d’y poser ses lèvres. Il me caresse ainsi le gland en ne mettant aucune pression. Ma bite gonfle encore.
Enfin, il s’enfonce et avale ma queue en entier. De sa main, il tire mes bourses vers lui. Il ouvre encore plus grand sa bouche et gobe chacune de mes couilles. Rémy se retrouve avec ma queue et mes couilles dans sa bouche. Je suis à l’étroit dans ce fourreau chaud et humide. Je gémis de plus en plus.
Il libère mes bourses une à une et commence un long va-et-vient. Sa langue colle ma queue contre son palais. Je sens la jouissance monter. Rémy me regarde. Nous sommes les yeux dans les yeux. Il continue. Je vais cracher. Il le sent et me tient les fesses au plus près de lui. Je n’en peux plus et lui envoie plusieurs jets de foutre au fond de la gorge. Je n’ai pas joui depuis plus d’une semaine. Il est servi. Rémy semble apprécier. Il avale au fur et à mesure.
Ma source se tarit, il ressort ma bite et lèche les dernières gouttes qui perlent encore au bout de mon gland. Sa bouche est vide. Il n’a rien perdu. Il se redresse sur ses genoux et j’aperçois sa belle bite bien bandée, sortie de son maillot de bain. Je compte bien en profiter aussi.
Je le pousse légèrement en arrière et me penche pour le prendre en bouche à mon tour. Je lui prodigue la même caresse sur son gland avec mes lèvres et ma langue. Il gémit rapidement et me tient la tête. Je m’enfonce enfin doucement sur son membre un peu plus petit que le mien. Une fois bien au fond, il me bloque et je sens plusieurs jets m’inonder. Son sperme est épais, mais pas très abondant. J’avale et ne garde que son gland en bouche. Ma langue passe et repasse tout autour. J’aspire jusqu’à la dernière goutte avant de le libérer.
Nous nous relevons en rajustant nos maillots. Nous nous remercions pour ce bon moment. Rémy me propose de me joindre à son groupe. Ils sont tous gays et les soirées sont assez chaudes. Ils sont là depuis une semaine et ne sont qu’à la moitié de leur séjour. Malheureusement, je pars le lendemain et, pour la faire courte, je lui indique que je suis bi et que ma femme est là, avec moi.
Nous retournons sur la plage et nous séparons à la hauteur de son groupe d’amis. Après un dernier « merci », je fais un signe au groupe et me dirige vers les transats.
À mon retour, ma femme et nos amis sont assis et regardent dans toutes les directions. Je leur fais signe. Ma mauvaise humeur a disparu. Je me sens détendu et joyeux. Aussitôt, Marie C me demande :
« - T’étais passé où ?
- J’ai eu envie de faire un tour.
- Mais, ça fait deux heures qu’on est sortis de l’eau !
- Bah, je n'ai pas vu le temps passé…
- Tiens, on t’a pris des churros à la cabane.
- Merci, ça tombe bien, j’ai faim ! »
Nous restons encore une petite heure, puis décidons de rentrer. En regagnant la voiture, je jette un œil sur ma gauche mais le petit groupe d'amis a disparu.
De retour en France, quelques mois plus tard, en raison d’un problème familial, ma femme doit se rendre en urgence à la Réunion. Sa mère paie le billet d’avion. Je ne sais pas comment elle fait, mais elle obtient, de son boulot, le droit de partir un mois. Je ne dispose que d’une semaine de congé pendant cette période. Je reste donc là !
Le jour du départ, je suis de repos. Je dépose ma femme à l’aéroport, tôt le matin, et rentre chez moi. Je me précipite sous la douche avant de me connecter sur Cité Gay. Il ne me faut pas longtemps pour trouver un mec correspondant à mes attentes.
Connecté sur mon appli de rencontre, je contacte un mec qui se présente comme un black actif sur Paris. Il n’a pas encore de photo disponible et moi non plus. Nous discutons un peu via le tchat. Il me dit être originaire des Antilles, fonctionnaire en disponibilité et plutôt bien monté. Il est prêt à venir chez moi, si je peux recevoir.
Je lui réponds en lui indiquant ma profession et précisant que je vis au-dessus de mon lieu de travail. Soit il met fin à la discussion, soit ça le branche ! Il me dit alors que l’idée de baiser un flic l’excite beaucoup. Ça tombe bien, j’ai une grosse envie ! Il ne peut pas venir tout de suite, mais promet d’être devant chez moi à 14 heures 30. Je lui laisse l’adresse, mon téléphone fixe et l’attends.
14 heures 25, le téléphone sonne. C’est Pierre ! Il est garé devant la caserne. Je descends lui ouvrir. Il fait ma taille, très mince et porte un jeans très moulant. Mon regard est immédiatement attiré par sa poutre apparente. Je ne peux m’empêcher de passer ma langue sur mes lèvres. Il me regarde et me dit : « Je pense qu’on va bien s’amuser tous les deux... »
Je l’invite à me suivre et montons jusqu’à mon appartement. Vu la chaleur (nous sommes en période de canicule), je ne porte qu’un short en mode freeball et suis torse nu. Aussitôt la porte de mon appartement fermée, je lui saute dessus. Nous nous roulons une pelle d’enfer. Il aspire ma langue tant qu’il peut. Je sens sa poutre grossir de plus en plus contre mon pubis.
Je ne perds pas de temps et dégrafe son jeans. Il ne porte rien en dessous et je libère la bête. Elle n’est pas très longue, mais au niveau diamètre, record battu ! Même le mec dans le train de nuit ne peut rivaliser. Ses couilles sont rasées, grosses et pendantes. Il me faut les deux mains pour tenir tout ça !
Pierre est obligé de me demander de calmer le jeu si on veut que cela dure un peu. Ok, je lui offre un verre et, après nous être dessapés, nous faisons connaissance dans le salon. Il est bi. Il vit avec sa copine et elle est au courant. Elle sait même où il se trouve actuellement et pour quoi faire. Je l’envie ! En fait, il est comme moi, baiser avec un mec lui permet d’assurer après avec sa meuf. D’ailleurs, il me prévient qu’il peut faire ce qu’il veut à la condition de rentrer chez lui pour la nuit. Pierre a dix ans de plus que moi.
Pendant que nous discutons, je ne peux m’empêcher de le toucher. Nous sommes nus tous les deux et on se caresse. Son impressionnante bite reprend de la vigueur et se redresse. Je ne résiste pas. Je me penche et tente de l’engloutir dans ma bouche. Il me laisse faire et se positionne mieux pour me dégager le passage. J’ai du mal à prendre son gland tellement il est proéminent. À force d’insister, ma mâchoire se détend et je le gobe enfin.
Pierre me caresse les fesses et se dirige rapidement vers mon trou qui s’ouvre instantanément sous l’insistance de ses doigts.
Pierre me dit alors :
« - Toi, tu veux que je t’encule !
- Oh oui !!
- As-tu du gel ?
Je vais dans ma chambre chercher le flacon. Il me suit sans entrer dans la pièce. Il reste à la porte. Je lui tends le gel qu’il prend d’une main. De l’autre, il m’attrape, me retourne et me plaque gentiment contre le mur du couloir en me disant de ne pas bouger. Je me retrouve dans la position d’un mec qui va se faire fouiller. J’écarte les jambes. Il enduit mon anus de gel et commence à me fouiller le cul avec plusieurs doigts. Il fait ça en douceur. Je cambre mes reins pour lui faciliter l’accès. Je pousse et il me dit : « Encore un doigt et je te fiste ! » Je râle de plaisir.
Il retire sa main et présente aussitôt son gros chibre qui s’enfonce tout doucement en moi. Je suis comme écartelé et c’est trop bon ! Une fois bien au plus profond, il commence ses va-et-viens. Je suis serré au début, mais me détends très vite. Je crie tellement j’aime ça. Il continue en alternant entre rapidité et lenteur. Pierre me tient par le coup et me fait reculer. Je me penche encore plus.
Il me défonce littéralement le cul en y allant à fond. Nous sommes en sueur tous les deux. Il me prévient qu’il va jouir et me demande de me retourner. Il se retire d’un coup. Je me retourne et m’accroupis devant lui. Il tient sa bite face à ma bouche et envoie la purée. Quelle dose ! J’ai la bouche pleine ! J’avale en plusieurs fois tout en le regardant. Je reprends son gros gland en bouche pour ramasser les dernières gouttes qui perlent. Il me caresse le visage et les cheveux.
Je me relève avec son aide et nous retournons au salon. Nous reprenons notre discussion, devant une bière bien fraîche, en nous caressant.
L’heure tourne. Pierre doit rentrer. Je lui propose de prendre une douche, ce qu’il accepte. Malheureusement, on ne tient pas facilement à deux. Il y va donc le premier et se rhabille. Alors que c’est mon tour, Pierre reste dans la salle de bain et me regarde me doucher. Il prend ma serviette et me sèche. Je ne peux m’empêcher de bander à nouveau. D’une main, il prend ma bite, qui paraît minuscule à côté de la sienne, et me branle. Je ne tarde pas à arroser le carrelage de mon sperme.
Au moment de nous dire au revoir, Pierre me demande s’il peut revenir le lendemain. Je suis encore de repos toute la journée et j’accepte avec plaisir...
Il est dix heures du matin, Pierre m’appelle pour me dire qu’il est devant la caserne. Je viens tout juste de finir ma douche. J’enfile un short et sors lui ouvrir. Il fait déjà très chaud.
Devant un café, il me dit avoir parlé de moi avec sa copine. Bref, il a la permission de passer la nuit ici, avec moi. Nous allons pouvoir passer du temps ensemble jusqu’à demain matin. Je lui rappelle que je travaille le lendemain, jusqu’au dimanche soir, et qu’il faudra se lever tôt. Après, je suis en congé pour la semaine et ma femme ne rentre pas avant trois semaines. Cela lui convient.
Il fait tellement chaud que tous les volets de l’appartement sont fermés. Pierre a un peu de mal à se retrouver dans le noir et me demande si ça ne me dérange pas si nous sortons nous balader un peu. Il a repéré un parc boisé tout proche et aimerait y faire un tour. Je prépare un sac à dos et prends quelques bières fraîches que je place dans un sac isotherme. Pierre me demande de ne pas oublier le flacon de gel et une serviette, au cas où ! Ces derniers mots me font bander immédiatement. Cela va être une nouvelle très bonne journée…
*
44/ Le parc régional
En cinq minutes à pied, nous entrons dans le parc régional et nous précipitons à l’ombre des arbres. Nous sommes déjà en sueur. Plus habitué au parc municipal qui borde la caserne, je ne connais pas bien celui-ci qui est, au moins, quatre fois plus grand. Nous décidons d’en faire le tour. Il y a du monde. Beaucoup de gens recherchent la fraîcheur.
Tout en discutant, nous bifurquons sur la gauche et prenons l’allée. À un moment, Pierre me fait remarquer qu’il n’y a plus personne. Nous nous arrêtons et regardons autour de nous. Tout le monde passe par le chemin juste au-dessus. Nous pouvons les entendre. Entre les deux passages, il y a pleins de petits bosquets assez larges pour s’y tenir à l’intérieur. D’ailleurs, en y prêtant plus attention, l’un d’entre eux semble déjà occupé. On ne voit rien, mais on entend de petits gémissements. D’après les bruits, un couple s’y trouve déjà en pleins ébats.
Pierre me prend la main et m’entraîne vers un autre bosquet. Nous cherchons l’entrée et nous nous y engouffrons. L’endroit est propre et assez vaste, une fois allongés, plus personne ne nous voit et nous sommes tranquilles.
Nous sommes allongés sur le côté, l’un en face de l’autre. Je sors une bière du sac, que nous partageons. Une fois vide, Pierre me prend le bras et m’attire sur lui. Nos langues fraîches se mélangent. Ses mains parcourent mon corps pour se rejoindre sur mes fesses. Il en glisse une à l’intérieur de mon short et cherche directement ma rondelle. Je lui facilite le passage. Il ne tarde pas à m’enfoncer un doigt. Je gémis en sourdine et mes lèvres lâchent sa bouche. Je descends. Ma main dégrafe son premier bouton de jeans. Je descends encore mon visage en le léchant sur tout le torse. Je me redresse légèrement, afin de libérer mon autre main. Maintenant, je peux ouvrir son jeans et le baisser.
Pierre soulève ses fesses pour m’aider. Je baisse son jeans et sa grosse bite surgit devant mes yeux. J’ouvre la bouche et prends son gland entre mes lèvres. Il passe mieux qu’hier. De son côté, Pierre tente de baisser mon short, mais je suis à genoux. Je lâche sa bite et tente de me lever. C’est bon, personne en vue. Je retire complètement mon short avant de reprendre ma position, sa bite dans ma bouche. Pierre me demande de me mettre en position de 69. Ainsi, il a accès plus facilement à mon trou. Il prend le flacon de gel et s’enduit les doigts et mon anus. Aussitôt, je sens qu’il me fouille. C’est frais et ça fait du bien.
Excité par la situation, je m’ouvre très amplement. C’est dingue l’effet que cela fait de se faire fouiller le cul et de sucer une grosse bite en sachant qu’à trois ou quatre mètres, pleins de gens passent, s’amusent, discutent et rient sans se douter de rien !
J’ai maintenant plusieurs doigts dans le cul. Pierre me fouille toujours et je m’élargis de plus en plus. Tout d’un coup, je ressens une vive douleur et je me mords les lèvres pour ne pas crier. La main de Pierre est passée ! Ce n’est pourtant pas la première fois, mais Pierre a des mains beaucoup plus larges que celles de Jack. La douleur se transforme vite en plaisir et j’en redemande. Il me fouille désormais en profondeur. Je tiens sa bite d’une main, mais je ne peux plus le sucer de peur de le mordre. Ma tête s’écroule entre ses cuisses. Je me retrouve le cul en l’air avec une main dedans, en pleine ville, en plein jour et avec du monde autour ! Je prends mon t-shirt, le mets en boule et le porte à ma bouche pour étouffer mes cris de jouissance. Je jouis par le cul, mais aussi, j’arrose la bite de Pierre de mon sperme qui jaillit tout seul. Il retire sa main et je m’écroule complètement sur lui après un dernier râle. Putain ! Quel pied j’ai pris !
Je me retourne et m’allonge aux côtés de Pierre, tout contre lui. Je prends la serviette et essuie le mélange de sperme et de gel sur son corps. Nous restons ainsi quelques minutes puis il me demande de me mettre à quatre pattes en lui tournant le dos. Déjà prêt à remettre ça ? C’est que j’ai un peu mal au cul, là ! Mais non, il prend la serviette et m’essuie à son tour en me précisant qu’il se réserve pour plus tard. Une fois terminé, nous nous rhabillons et partageons une nouvelle bière. Le soleil tape bien et les bruits des gens se font plus rares. Heureusement, nous sommes à l’ombre. Avec la chaleur, la bière et notre activité, nous nous assoupissons.
Nous sommes réveillés par des bruits de gamins qui jouent à proximité. Après un bisou, nous décidons de bouger. Je range la serviette, qui est presque sèche, dans le sac. Pierre ramasse les deux canettes de bière vides et nous nous relevons pour rejoindre l’allée. Les gamins, surpris, s’arrêtent et nous regardent avant de reprendre leur jeu. Nous nous éloignons en riant.
Nous poursuivons notre chemin et finissons le tour du parc. Dès que l’on se trouve à l’écart du monde, nous nous roulons une pelle en caressant mes fesses pour lui et sa poutre pour moi. À chaque fois, nous sentons le sexe de l’autre grossir et nous devons nous faire violence pour arrêter.
De retour à l’appartement, après une bonne douche, Pierre propose de m’emmener sur Paris. Il souhaite m’inviter dans un restaurant qu’il connaît bien pour le dîner. J’enfile un jeans et une chemise, puis nous partons en direction d’une célèbre brasserie, tout près de la place de la Bastille. Nous passons une bonne soirée à discuter, bien manger, le tout en nous dévorant du regard. Pierre aimerait me faire connaître un établissement situé pas très loin. C’est une boîte, enfin, plutôt un bordel. Je n’ai encore jamais mis les pieds dans un tel établissement et je ne suis pas chaud. Quand, en plus, il me dit que c’est assez hard, je préfère décliner pour ce soir. Peut-être une autre fois. Pierre comprend.
Après une balade digestive, nous rentrons chez moi. Pendant qu’il conduit, je caresse sa cuisse. Je ne peux pas m’empêcher de monter jusqu’à sa poutre toujours apparente. Il dégrafe son jeans et me laisse faire tout en me demandant, toutefois, de ne pas aller trop loin. La soirée n’est pas terminée...
Une fois arrivés dans mon appartement. Il me déshabille entièrement avec douceur et en m’embrassant partout. Je fais de même. Nous bandons tous les deux et nous dirigeons vers la chambre. Nous tombons sur le lit en nous roulant des pelles. Pierre me retourne et me mets sur le ventre. Il se couche sur moi. Je sens son gros chibre se placer directement devant mon anus. J’écarte les jambes, il pousse et entre. Encore ouvert de la journée, il me pénètre sans aucune préparation, ni gel. Il me lime rapidement et avec puissance. N’ayant pas joui de la journée, il ne lui faut pas longtemps pour m’inonder de son foutre. Il s’écroule sur moi en soufflant et nous nous endormons ainsi.
Pierre n’est pas du matin. J’ai du mal à le sortir du lit alors que je dois me préparer pour aller travailler. Il finit par se lever. Je comprends vite qu’il ne faut pas trop lui parler avant son café. Nous prenons le petit déjeuner ensemble et fonçons à la douche. Il ne se passe rien, il a la tête dans le cul. J’aurais bien aimé une petite gâterie ou même plus, mais il n’est pas réceptif à cette heure. Dommage !
Un bisou et nous descendons ensemble. Nous sommes mercredi, il doit revenir le lundi suivant pour mon premier jour de congé. Entre-temps, Pierre m’appelle tous les soirs.
J’ai hâte de le revoir et, en même temps, quelque chose me chiffonne chez lui. Déjà, il vit chez sa copine avec qui j’ai eu l’occasion d’échanger quelques mots au téléphone. J’ai pu facilement constater qu’elle n’appréciait pas tant que ça la situation, même pas du tout. Si j’ai fortement apprécié la journée d’hier, je me dis que si nous nous étions fait choper dans le parc, je pouvais dire adieu à ma carrière. Je pressens qu’il a des envies que je ne suis peut-être pas encore prêt à assumer. Bon, on verra bien où cela nous mène. Je suis accro à sa bite et ses mains, mais je n’en suis pas amoureux. C’est un super amant, voilà tout.
Lorsque je travaille le week-end et que la brigade n’est pas d’astreinte, c’est très cool. Seul le sous – officier de permanence assure le service. Les patrouilles sont assurées par une autre unité. Les horaires aussi sont plus souples.
Sauf urgence, les bureaux ne sont ouverts que de neuf à dix-huit heures, avec une coupure de douze à quinze heures. J’assure donc un accueil du public pendant le week-end. Personne ne se présente le samedi et cela me permet de me mettre à jour dans mes procédures en cours. Le dimanche matin, j’enregistre une plainte vers dix heures et c’est tout. C’est un week-end très calme et j’attaque l’entretien des bureaux jusqu’à la pause de midi. Comme je suis seul à la maison également, je termine le ménage au bureau avant de remonter chez moi. Je déjeune et m’apprête à faire un tour sur internet lorsque l’interphone de la brigade sonne. Je dois redescendre prendre une plainte pour vol de véhicule. Je remets ma tenue et descends. La plainte enregistrée, je raccompagne le plaignant à la porte et…. Surprise !!
*
45/ Au bureau
Pierre est devant la porte. Il vient tout juste d’arriver ! Il avait envie de me voir et n’a pas pu attendre demain. Je le fais entrer et on s’installe à mon bureau. En fait, il m’avoue qu’il s’est engueulé avec sa copine. Il voulait négocier le droit de passer la semaine avec moi et elle a refusé. Du coup, il est parti et le voilà. Je lui fais remarquer qu’il aurait été bon de m’en parler avant. J’ai peut-être, de mon côté, des choses de prévues pour la semaine. Passons ! Maintenant qu’il est là, je lui propose un café et changeons de sujet.
La conversation dévie rapidement sur la dernière journée passée ensemble. C’est vrai que c’était bon, très bon même. J’en frétille sur mon siège. Pierre, lui, se caresse le sexe au travers de son jeans. Il se lève et me montre le résultat. Avec son jeans moulant, ça lui fait un barreau d’enfer. Il bande et pas qu’un peu !
Je sais que je suis seul dans tout le bâtiment. Mes collègues sont soit en vacances, soit partis en week-end. Je me lève et attrape son paquet par-dessus le bureau. Je dois reconnaître que j’ai envie de prendre sa bite, là, tout de suite ! Pierre le sens et ouvre sa braguette. Il fait le tour de mon bureau et me dit de m’asseoir sur mon siège. Il se présente, la bite à l’air devant mon visage.
J’ouvre la bouche en grand et l’avale, enfin ce que je peux ! Il me tient la tête et me baise la bouche. Le téléphone sonne, je dois répondre… C’est pour une demande de renseignement. Pendant que je renseigne l’usager, Pierre me caresse la tête avec son gland en se branlant légèrement d’une main et me tient toujours de l’autre. Je raccroche et reprends où j’en étais. J’ouvre la bouche le plus possible et m’enfonce d’un coup au plus profond. Mes mâchoires me font mal, mais Pierre me maintient ainsi et recommence ses va-et-viens. Cette fois, nous ne sommes plus dérangés et il se vide au fond de ma gorge en râlant. J’avale ce que je peux. Quelques gouttes ont coulé sur mon uniforme. J’aspire ce que je peux, mais ça se voit. Heureusement, je suis en congé après.
Après avoir remis son jeans, Pierre me demande de m’asseoir sur le bord de mon bureau. Il prend mon fauteuil et s’installe à ma place, la tête entre mes cuisses. Aussitôt, il défait ma ceinture et ouvre la braguette de mon pantalon. Ma bite, sous mon caleçon, est comme libérée. D’une main, il la sort et commence à me branler. Je mouille. Il approche son visage et passe sa langue sur mon méat pour récupérer mon liquide. Je gémis. En me regardant, il ouvre la bouche et prend mon gland entre ses lèvres. Il l’aspire et joue avec sa langue avant de s’enfoncer à son tour sur mon pieu. Avec sa langue, il compresse mon gland au fond de sa bouche et fait de petits va-et-viens. Je ne tiens plus et le préviens que je vais jouir.
Pierre se retire d’un coup, s’écarte et me fini en me branlant. J’arrose le mur d’une bonne dose de sperme. Je ne me suis pas branlé depuis son départ, mardi dernier. Je reprends mon souffle et me rhabille.
Nous reprenons nos places et Pierre me dit d’un air satisfait : « Au moins, je peux dire qu’un vrai militaire en uniforme m’a sucé et qu’il a tout avalé ! »
Je vais pour lui répondre quand la porte des bureaux s’ouvre. C’est mon camarade Jean-Luc qui rentre de week-end. Je suis troublé. On a eu chaud ! Je ne l’ai pas entendu rentrer son véhicule dans la cour, ni même ouvrir le portail. Il vient vérifier le service du lendemain et commence à discuter avec nous. Pierre se présente comme un ami. Pour ma part, j’essaie de ne pas trop bouger. Mon sperme coule toujours sur le mur derrière moi !
Fort heureusement, mon collègue ne reste pas longtemps et part en nous souhaitant une bonne soirée. J’attrape rapidement un chiffon et essuie le mur.
Il est l’heure de fermer les bureaux. Pierre me dit qu’il rentre chez lui essayer de calmer le jeu avec sa copine. Il prend congé et je remonte chez moi.
Le lendemain, je me lève tôt, comme d’habitude, et me prépare pour l’arrivée de Pierre. Vers midi, le téléphone sonne, c’est lui. Il m’annonce qu’il ne peut pas venir. Sa copine a pris sa journée et elle veut la passer avec lui. Il viendra demain. J’en profite pour faire un peu de ménage chez moi et surtout, nettoyer ma tenue sur laquelle les taches de sperme de la veille sont visibles.
Pierre arrive mardi en début d’après-midi. Nous passons rapidement au lit. Après avoir baisé pendant plusieurs heures, il me propose d’aller sur Paris, se faire un restaurant puis aller dans la boîte dont il m’a parlé. J’hésite. Mais, comme je ne veux pas mourir idiot, j’accepte.
Il me précise, pour me rassurer, qu’il sera toujours à mes côtés et qu’au moindre problème, nous partirons. Toutefois, passer une certaine heure, les portes de l’établissement se ferment et ceux qui restent à l’intérieur y sont jusqu’au bout de la nuit. Donc, il ne faut pas traîner. Pierre me dit aussi qu’il vaut mieux que je me prépare correctement avant. Je vais à la salle de bain et il me rejoint. C’est lui qui me fait mon lavement. Ce n’est pas désagréable d’être en compagnie de son partenaire pendant ce laps de temps. J’y prends même un certain plaisir.
Une fois prêts, nous partons en direction de Paris dans sa voiture. Le temps d’arriver, en passant devant la boîte, nous constatons que des mecs attendent déjà devant l’entrée. Je propose à Pierre d’y aller maintenant, on dînera après. Il est d’accord. On se gare et nous dirigeons, à pied, vers le bordel.
*
46/ Au bordel
Nous nous présentons à l’entrée de la boîte. Un mec habillé en latex nous ouvre. Il nous salue et discute un peu avec Pierre qu’il semble connaître. Visiblement, ils se sont vus très récemment. Nous entrons et Pierre m’emmène directement vers le vestiaire. Ici, tout le monde est à poil, en chaps ou en tenue latex. On ne perd pas de temps. J’ai mis un jockstrap et décide de le garder. Pierre se met à poil et enfile un cockring. J’apprécie la vue qu’il m’offre…
Ensuite, il me fait visiter l’établissement. C’est assez rapide. Nous entrons dans une grande salle assez lugubre, avec un alignement de banquettes en sky surmonté d’une barre métallique le long d’un mur. Les quelques mecs qui s’y trouvent déjà s’arrêtent à notre arrivée et se retournent vers nous. C’est plutôt impressionnant. J’entends l’un d’eux dire tout haut : « Chouette !! De la viande fraîche ! » Je ne suis pas un morceau de viande. Ça démarre mal ! Il y a aussi un sling. Au-dessus, un étage fait de grilles métalliques fait le tour de la pièce. Pierre me dit alors :
« - Quand tu es au-dessus, tu vois les autres se faire fouiller le cul soit avec des godes ou du fist comme là.
- Intéressant….
- Et si tu as envie de pisser, tu peux leur pisser dessus !
- Le premier qui me fait ça, je me casse direct !
- D’accord, je ferais attention. Je reste avec toi tout le temps !
Nous continuons la visite vers le fond de la grande pièce, je découvre des petites pièces plus discrètes équipées de sling également. Il y fait noir, mais, dans l’une d’entre elles, je vois deux seringues. Je suis de moins en moins chaud ! Désolé, déformation professionnelle ! Autant j'accepte le shit, autant je ne tolère pas l'injection de drogues dont la composition est plus que douteuse. J’en fais part à Pierre qui me convainc de rester. Nous allons nous mettre dans une autre pièce.
Je m’installe sur le sling situé au centre de la petite salle. Le plafond est hermétique, mais il n’y a pas de porte. Je penche ma tête en arrière et Pierre n’a qu’à se présenter pour que je prenne sa bite en bouche. Il ne bande pas à fond, je sens qu’il gonfle rapidement. Déjà, Pierre demande à un mec de partir. Il est devant la porte et veut s’occuper de mon trou pendant que je suce mon amant. L’homme fait demi-tour et disparaît. Nous reprenons.
Pierre bande bien maintenant. Il sort de ma bouche et se dirige vers ma rondelle qui lui est offerte. Il me caresse le cul, prend du gel et s’enduit la bite qui me paraît encore plus grosse avec le cockring. Aussitôt, il se présente et pousse en me tenant par une cuisse. Son gland rentre. Je râle de plaisir et lui fais signe de continuer. Il prend mes cuisses à chaque main et s’enfonce en me tirant vers lui. Je me laisse aller et m’ouvre, toujours en râlant. Une fois au fond, il se positionne et me fait aller et venir en tirant puis poussant le sling. Il n’a pas besoin de bouger et moi non plus. C’est trop bon ! Je me détends de plus en plus et je sens que mon sphincter ne serre plus autant la queue de Pierre. Elle entre et sort toute seule, comme dans du beurre mou.
Il se retire et, quelques secondes après, je sens les doigts de Pierre me fouiller doucement la rondelle. Je ne suis plus qu’un trou ! Je veux qu’il me le remplisse ! Je réussis à attraper son poignet entre mes cuisses et l’attire vers moi. Il a compris et pousse en tournant sa main dans mon cul. Je suis tellement bien ouvert que ses dernières phalanges passent sans aucune douleur. Il m’écartèle et c’est bon ! Il continue à tourner et pousser en même temps. Je sens sa main s’enfoncer. Il ressort et recommence. J’ai l’impression qu’il va de plus en plus loin à chaque fois. Je prends mon pied et le fait savoir.
C’est là que j’entends distinctement quelqu’un dire : « Et tu ne voudrais pas partager avec les amis ? » Pierre s’arrête et salue l’homme. Je regarde dans la direction de l’entrée et vois un jeune homme brun, fin, habillé tout en latex, sauf la tête. Il est plutôt mignon et de mon âge environ. Pierre me demande si j’accepterai que son pote prenne sa place. Il me précise qu’il reste avec moi. Me sentant vide sans rien dans mon intestin, je fais signe que oui. Aussitôt, l’ami de Pierre s’enduit les gants et s’enfonce en moi. J’apprécie la douceur du geste et me laisse aller de nouveau. Pierre me caresse le visage, le torse et n’arrête pas de me demander si tout va bien. Les mains de l’homme en latex sont plus fines et je pense qu’il va plus loin que Pierre. En tout cas, il semble apprécier ce qu’il me fait. Là, je l’entends dire à Pierre : « T’es un chanceux Pierre. Il est bon celui-là ! » Je ne relève pas sur le coup et continue de m’ouvrir en criant. Je ne peux m’empêcher de me pisser dessus. Pierre et son pote poussent, en chœur, un : « Oohh, oui ! »
D’un coup, j’entends du monde qui parle ; beaucoup de monde. Pierre et son pote, qui s’est retiré rapidement, me lâchent. Je redresse la tête et je vois un attroupement à l’entrée de la pièce. Visiblement le ton monte. Mes deux amants repoussent des mecs qui veulent, eux aussi, profiter du spectacle. Je me redresse encore et réussis à m’extirper du sling. Cependant, j’ai les jambes quelque peu engourdies et ne vais pas bien loin.
J’aperçois l’homme qui nous a accueilli à l’entrée. Il fait le ménage et tente de calmer tout le monde. Une fois fait, il nous conseille, à tous les trois, de quitter l’établissement avant la fermeture des portes. De toute façon, je n’ai pas l’intention de rester ici une minute de plus. Nous passons à la douche puis nous rhabillons avant de sortir.
Pierre invite son pote à nous accompagner au restaurant. Il fait les présentations. Le jeune homme en latex s’appelle Rémy. Effectivement, il est mignon et a l’air sympa. Pendant le repas, nous revenons sur ce qu’il vient de se passer. Je leur fais part de mes observations et de mes fortes réserves quant à ce lieu. Ils font la moue et répondent qu’il n’y a pas beaucoup de lieu comme celui-là sur Paris. Au cours du repas, je finis par apprendre que Pierre vient régulièrement et avec de nouveaux mecs à chaque fois. La dernière fois, c’était vendredi dernier, alors que nous nous connaissions déjà ! Je ne dis rien, mais n’apprécie pas du tout l’idée. Je sais bien que Pierre n’est qu’un amant, mais, j’ai du mal à me faire à l’idée qu’il pourrait avoir un mec pour chaque jour de la semaine, sans compter sa nana ! Je suis plutôt du genre fidèle. Si je couche avec un autre mec, c’est aussi avec le mien ou rien.
Nous terminons notre repas. Rémy prend congé et nous rentrons vers chez moi. Je ne dis pas grand-chose pendant le trajet, Pierre aussi. Je réfléchis. Il se gare à proximité de la caserne. Je me retourne vers lui et lui demande :
« - Si on continue tous les deux, ça va nous mener où ? Quels sont tes projets avec moi ?
- Je veux vivre avec toi !
- Et ta copine ?
- Je vais la quitter !
- Quand ? Et c’est toi qui pars ou elle ?
- Je ne sais pas….. C’est moi qui pars, je vis chez elle…
- Tu sais que je ne peux pas vivre avec un autre homme en caserne ! Même si je divorce, tu ne pourras pas venir vivre ici avec moi…… Puis, si t’es capable d’avoir plusieurs mecs en même temps aujourd’hui, pourquoi ça s’arrêterait ?
- Je sais bien, mais tu pourrais démissionner ? Je te ferai embaucher dans mon administration. Et pour ta dernière question, je ne peux pas te répondre…. Je pense que c’est parce que je n'ai pas trouvé le bon.
- Que comptes-tu faire maintenant ?
- Je vais continuer à chercher…
- J’espérais que tu me dises que tu l’avais enfin trouvé…. Ok ! C’est dommage ! Bon… Je crois qu’on va en rester là ! »
De toute la discussion, Pierre fixe son volant. Je l’embrasse sur la joue, ouvre la portière et sors de sa voiture. Je m’éloigne un peu en le regardant. Il démarre, fait une marche arrière et s’engage en direction de Paris.
Je passe le reste de la semaine bien sage. Je vais deux jours chez mes parents qui vivent à la campagne. Ma mère commence à m’inquiéter. Par moment, elle tient des propos inhabituels, parfois incohérents. On dirait qu’elle est de droite, très à droite maintenant ! J’en parle à mon père qui admet que parfois, elle est limite.
Je reprends le travail et suis pris par une enquête assez complexe et délicate. Je travaille au profit d’une unité spécialisée. Je n’ai pas de temps pour moi et ne rentre que très peu dans mon appartement. Heureusement, je peux me libérer quand ma femme rentre de son voyage à la Réunion. Tout va bien pour elle, le problème de famille semble réglé. La routine s’installe à nouveau.
Plusieurs mois plus tard, je n’en peux plus ! Je m’emmerde au lit avec ma femme et il faut vraiment faire quelque chose. J’aimerais beaucoup avoir un enfant avant mes quarante ans. Je réitère ma proposition de faire un plan à trois, avec un autre homme de préférence : Refus catégorique de sa part ! Elle me fait une autre proposition : nous pourrions partir en vacances, loin, au soleil, courant février. Cela devrait coïncider avec sa période d’ovulation et, loin du stress du boulot, nous pourrions nous atteler à la tâche. J’accepte à la condition que ce ne soit pas à la Réunion. Je ne veux pas voir ma belle-mère, ni mes deux belle-sœurs.
Nous sommes emmenés à l’aéroport par un collègue. Nous partons en direction d’une île paradisiaque et allons passer deux semaines dans un club de vacances. Je prends sur moi et me dit que c’est la dernière chance. Je vais faire tout ce qu’elle me demande, même le cunnilingus, s’il le faut.
À notre arrivée, nous sommes accueillis par le personnel du club. Immédiatement, j’en remarque deux, deux hommes. Visiblement, ce sont des « copines ». Ils sont très bien foutus et penser à eux me fait bander. Cela va m’aider à assurer avec ma femme. Le séjour se passe très bien. Entre le dépaysement, la plage, les excursions et les animations, nous sommes détendus. J’assure mon devoir conjugal chaque soir.
47/ La conception
Le dernier jour, après la plage, je vais sous la douche, pour retirer le sable blanc resté collé à ma peau. Marie – C entre dans la salle de bain et me rejoint. Qu’est-ce qui lui prend ? C’est bien la première fois…
Directement, elle attrape mes couilles et ma bite et s’accroupit. Je la laisse prendre ma queue dans sa bouche et m’aspirer tout en malaxant mes bourses de ses mains. Je me mets à bander aussitôt. Elle ne prend jamais tout en bouche, alors elle ne s’occupe vite que de mon gland. Je la prends par les aisselles et la relève en la retournant. Il ne faudrait pas que je jouisse trop vite. J’appuie sur le haut de son dos pour qu’elle se penche en avant. J’écarte ses fesses et lèche tout ce que je peux en m’attardant sur sa chatte. Je déteste ça, mais il faut bien payer de sa personne, si on veut du résultat. Elle commence à gémir et écarte encore les cuisses.
Je me relève, prends ma bite en main et la présente à l’entrée de sa moule. Sans ménagement, je la tire vers moi et la pénètre à fond d’un seul coup. Elle crie puis en redemande. Je m’adosse à la paroi de la douche et, la tenant par les hanches, je la fais avancer et reculer sur ma bite. C’est peut-être notre dernière tentative et je veux mettre le paquet. J’y vais de plus en plus vite et toujours plus fort. Elle se cogne la tête contre le mur, mais je continue. Je me calme et vais plus doucement avant de recommencer à accélérer. Je lui claque les fesses comme je ne l’ai jamais fait et surtout, comme je n’aimerais pas qu’un mec me fasse en m’enculant. Elle a le fessier bien rouge.
Elle crie, je continue. J’y vais de plus belle jusqu’à ce que je m’écroule sur elle en gueulant et en me vidant les couilles bien au fond de sa chatte. Nous reprenons nos esprits. Elle sort aussitôt pour s’allonger sur le lit, sans un geste à mon égard.
Je ne sais pas pourquoi, mais, intérieurement, je me dis que, cette fois, c’est la bonne !
Je termine ma douche, me sèche et enfile un short. J’ai soif et je sors pour aller au bar du club. Dans deux heures, nous avons le dîner d’adieu avant de rentrer en France demain matin.
De retour en France, nous reprenons le boulot et la routine s’installe, encore ! À une différence près. Je ne touche plus du tout ma femme. Je ne peux plus ! J’ai donné tout ce qu’il me restait pendant les vacances.
Un soir, Marie – C entre à la maison et me dit qu’elle a quelque chose à m’annoncer. Je m’assois et m’attends à tout. Elle paraît radieuse. Enfin, elle m’apprend qu’elle est enceinte. À 36, bientôt 37 ans, je vais être papa ! Enfin…… Ce n'est pas trop tôt !
Nous sommes comblés tous les deux mais cela ne change rien : je ne peux plus la toucher !
La grossesse se passe bien. Elle est chiante, comme toutes les femmes enceintes… Mes parents sont aux anges. Ils vont avoir leur cinquième petit-enfant, un petit-fils. Mon frère à trois enfants dont un garçon et ma sœur en a un également. Le choix du prénom n’est pas facile. Nous ne sommes pas d’accord. Nous finissons par établir chacun une liste et comparons pour voir ce que nous avons en commun. Ce sera Tom !
Professionnellement, je passe au grade supérieur et je dois être muté dans les mois qui viennent. C’est la règle. En fonction de nos résultats au concours, nous passons dans un amphi où nous choisissons notre future affectation. Je choisis un poste d’adjoint au commandant de brigade dans une unité située en zone exclusive, c'est-à-dire sans commissariat de police, en grande couronne. Cela n’arrange pas ma femme, car son temps de trajet est rallongé d’une heure, mais je ne lui demande pas son avis. Même si c’est plus long, elle aura une ligne R.E.R. directe pour rejoindre son travail.
L’accouchement est prévu pour le 16 novembre 2000. Je suis muté mi-octobre de la même année, dans l’unité demandée. Je ne sais pas si c’est le déménagement, mais, le premier novembre, vers 05 heures du matin, ma femme me réveille. Il faut se dépêcher. Elle va accoucher ! Tom naît à midi. À partir de maintenant, je me consacre exclusivement à lui et mon boulot.
Ma femme n’accepte pas les contraintes liées à mes nouvelles fonctions. Je suis beaucoup moins à la maison et suis souvent rappelé pour une urgence. Je ne suis vraiment tranquille que pendant les vacances. À côté de cela, je gère notre fils la nuit. Le matin, je l’emmène chez sa nounou et j’assure également les rendez-vous à la P.M.I. (Protection Maternelle et Infantile).
Alors que Tom a six mois, Marie C part à la Réunion pour trois semaines, afin de le présenter à la famille. Officiellement, je n’ai pas de congé, je reste donc en métropole. En fait, dès que j’ai connaissance des dates de départ de ma femme, je pose quelques jours. Je peux en profiter.
48/ Alain, un excellent plan cul mémorable
Dès le début de mon congé, je me précipite sur mon application de rencontre. Malheureusement, pour les parisiens, soit j’habite trop loin, soit je suis déjà trop vieux. Quand j’ai la chance d’avoir un rencart, c’est un lapin.
Mon dernier jour de libre, je suis contacté par un mec, Alain. Mon profil l’intéresse et ses photos sont très prometteuses. Il peut me recevoir et n’est pas pressé. Nous échangeons nos numéros de portables et il me donne son adresse. Je m’habille et pars le rejoindre sur Paris.
J’arrive en tout début d’après-midi en bas de chez lui, je l’appelle. Il me donne le code pour ouvrir la porte et je monte les six étages à pied. Alain m’attend sur le palier. Il correspond bien aux photos. Il a 29 ans, châtain clair et un peu plus petit que moi. Il porte un t-shirt et un bas de survêtement en coton. Il me fait entrer en arborant un beau sourire. Alain me propose un verre. Il fait bon et monter les six étages d’un bâtiment haussmannien m’a donné chaud. Nous nous installons à table et faisons connaissance. Nous échangeons sur nos goûts en matière de sexe et, visiblement, nous sommes compatibles. Il a aussi prévu le poppers.
Il décale sa chaise pour se mettre de côté par rapport à la table et me demande de regarder l’effet que je lui fais. Je me penche en regardant dans sa direction. Quelle merveille!! Il bande ! Sa bite est toute raide et droite, sortie pour moitié de son survêt alors qu’il ne l’a pas baissé ! Je vois un gland épais, monté sur une queue toute aussi large et longue.
Je me jette sur lui, à genoux, et prends sa grosse bite entre mes mains. Elle est bien ferme et lourde. Je tire sur son survêtement pour la dégager un peu plus. Elle reste bien droite. J’ouvre la bouche en grand et avale son gland. Il me caresse la tête. Ne pouvant tout prendre en une fois, je passe ma langue sur toute la longueur de sa bite avant de l’enfourner à nouveau. Il me donne faim et je veux la prendre en entier, mais elle est très longue.
Alain se lève. Je reste à genoux. Il commence à me baiser la bouche. J’ouvre au maximum et il s’enfonce de plus en plus. À chaque fois, il me maintient la tête quelques instants lorsqu’il est au plus profond. Après plusieurs va-et-viens, il dépasse mes amygdales. Quand il est au fond, il me maintient la tête le plus longtemps possible. Je ne peux plus respirer. Il relâche la pression dès que je lui fais signe, me laisse reprendre ma respiration et recommence. J’adore !!
Ni tenant plus, Alain sort sa bite et me présente ses couilles. Je les gobe une à une puis les deux ensemble. Je suis déchaîné ! Alain alterne entre sa bite et ses couilles puis me présente sa rondelle à bouffer. Je me retourne et m’assois sur les fesses. Il me tient la tête fortement contre lui pendant que ma langue s’active sur son anus. Il me fait m’allonger sur la moquette et vient s’asseoir sur mon visage. Je lui bouffe le cul pendant de longues minutes puis je reprends ses couilles qui pendent devant mon nez. Durant ce temps-là, Alain retire mon short. Il ne reste que mon jockstrap.
Alain se baisse en avant. Nous sommes en position de 69. Il attrape mes jambes qu’il lève et bloque avec ses bras. Mon cul lui est accessible et déjà bien ouvert. Il présente à nouveau sa bite bien raide devant ma bouche et s’enfonce le plus possible. Je penche ma tête en arrière pour lui faciliter le passage. En deux mouvements, il est de nouveau tout au fond de ma gorge. Il reprend selon le même principe pendant que ses doigts visitent mon trou. Je gémis déjà depuis un moment et profite d’un moment où sa bite est dehors pour le supplier de me prendre le cul.
Il se redresse, m’aide à me relever et me fait mettre à genoux contre son pouf en daim. Alain me dit en s’enduisant de gel : « Si tu as le cul comme la bouche, on va bien s’éclater ! »
Il prend mes fesses de ses deux mains et les écarte. C’est à son tour de me bouffer le cul. Il y met autant de vigueur que moi tout à l’heure avec le sien. Je m’ouvre encore. Sa langue me pénètre et tourne à l’intérieur. Il aspire et recommence. C’est trop bon !
Avec ses deux mains, il enfonce deux doigts et écarte mon trou avant de cracher dedans. Alain présente son gros gland, enduit de gel, et s’enfonce. Rien que son gland me rempli de bonheur. Il s’enfonce encore, mais bloque à la seconde porte. Il commence ses va-et-viens, doucement, puis il accélère. Il dégouline de sueur et se colle à moi. Cela m’excite encore plus. Il accélère encore.
Ma seconde porte fini par céder sous la pression. Alain pousse un « Ouaiiisss » de satisfaction et continue de me pilonner. Son pieu entre en entier maintenant et sans aucune résistance. Je suis en extase. Je ne veux pas que cela s’arrête. Alain crie de plus en plus fort au fur et à mesure qu’il me ramone. Je sens son sexe se tendre encore. Il sort entièrement et rentre à nouveau d’un coup, jusqu’au plus profond. Je jouis bruyamment ! Il reste au fond et, en criant, m’arrose d’une dose massive de sperme avant de s’écrouler sur moi. Je sens mon sphincter interne avoir des spasmes. Alain gémit à chacun de ses mouvements. Il est toujours bien calé, tout au fond.
Alain transpire à grosses gouttes sur mon dos. Nous haletons tous les deux. Je bouge légèrement pour me remettre dans une position plus confortable. Sa bite n’a pas débandé. Il se met à osciller doucement sur moi. Je sens son gland progresser en moi. Je gémis et Alain augmente l’amplitude de son mouvement. C’est trop bon, j’en veux encore ! Il pose ses mains sur mes épaules et tente de sortir. Mon sphincter interne s’est resserré et il force un peu pour extirper son gland.
Aussitôt passé, Alain revient à la charge. Il me martèle à nouveau en tassant son jus bien au fond. Je lui crie de continuer et il accélère à nouveau. Son gland passe comme dans du beurre. Je suis affalé sur le pouf, totalement offert et ouvert. Il continue ainsi jusqu’à m’envoyer une seconde rasade de son sperme dans le rectum. Après quelques minutes de récupération, il se retire lentement. Je me retourne et attrapes sa bite que je prends en bouche. Je récupère ainsi les dernières gouttes de sa semence en le regardant droit dans les yeux. Il pousse un petit cri et souffle en souriant.
Alain part chercher nos verres sur la table et me rejoint en s’allongeant sur la moquette à mes côtés. Je passe sur les compliments et l’expression de notre satisfaction réciproque. En discutant, nous nous caressons toujours. Je prends la bite d’Alain dans ma main et la remercie, elle aussi, pour le plaisir qu’elle m'a donné. Maintenant au repos, elle est toujours aussi lourde et de bonne taille. Alain m’attrape les fesses, glisse un doigt dans mon anus et fait de même. Toutefois, il poursuit en disant que, si j’ai encore le temps, il aimerait bien jouer une nouvelle fois avec.
Je ne suis pas contre, bien au contraire. En désignant sa bite, je lui suggère qu’elle a peut-être besoin de repos. Alain me répond qu’il y a d’autres moyens, en me montrant sa main. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je me repositionne à quatre pattes sur le pouf. En passant, je signale à Alain que j’ai joui dessus et que, s’il ne veut pas de tâche, il faudrait le nettoyer. On verra ça plus tard. Il se positionne derrière moi, m’attrape par les hanches et me tire vers lui. Je lâche le pouf et me mets le cul en l’air et le visage contre le sol. Déjà, ses doigts me fouillent. Mon anus, bien détendu, s’ouvre en grand instantanément. Sa main entre facilement. Je gémis. Il tourne en fermant son poing à l’intérieur et ressort.
Toujours le point fermé, il pousse sur mon anus pour entrer. Il n’a pas de grosses mains, mais elles ne sont pas fines non plus. Je l’aide en écartant mes fesses et…… il entre d’un seul coup en me faisant pousser un cri vite estompé par le plaisir. Il tourne à l’intérieur en s’enfonçant de plus en plus. Il ressort toujours le poing fermé. Il se présente à nouveau, les doigts tendus et entre sans aucune difficulté. Je sens alors sa seconde main se présenter. Ses doigts passent. Il force en bougeant les deux mains. J’écarte mes fesses encore plus. Je sens mon anus écartelé comme il n’a jamais été. Je crie, mais ne bouge pas. Les doigts d’Alain remuent à l’intérieur de moi. Il tourne ses bras. Ses deux mains sont entrées ! Je lâche un jet d’urine sur la serviette qu’Alain a positionnée entre mes jambes avant de commencer. Il sort une main, puis l’autre. Il se remet du gel et revient avec ses deux mains qu’il tente de joindre en entrant. Il pousse, je crie et ça rentre ! Il tourne un peu avant de ressortir les deux mains en même temps.
Alain me lâche un : « Putain, qu’est-ce que c’est bon ! » avant de revenir à l’assaut avec une seule main cette fois. Il entre facilement et s’enfonce de plus en plus en tournant son bras. Je sens qu’il va loin, plus loin que tout ce que j’ai déjà pris, mais je n’arrive plus à déterminer jusqu’où.
Alain change de position. Il se redresse sur ses genoux et je ressens comme un geste saccadé. Alors qu’il me fouille le fondement, il se branle devant mon trou. Alors que j’ai déjà joui du cul plusieurs fois, Alain, dans un grand cri, ne tarde pas à m’arroser d’une nouvelle dose de foutre. Il reprend son souffle et retire son avant-bras. Je l’ai pris jusqu’au coude !!!
Après une bonne période de récupération, nous retournons à la table et reprenons un verre. Il fait nuit. Alain veut me revoir ! Il est célibataire, avec juste un amant régulier. Il aimerait beaucoup me faire passer en numéro « un ». J’en suis flatté et m’en réjouis. Je le préviens tout de même qu’avec mon boulot et mes charges de famille, il se peut que cela soit compliqué par moments. Alain n’y voit pas d’inconvénient. Contrairement à Pierre, il n’est pas en couple et le seul engagement que nous avons est de baiser quand on pourra se revoir. Nous convenons de notre futur rendez-vous pour mes prochains jours de repos. Ce sera juste avant le retour de ma femme.
Malheureusement, la veille au soir de mon repos, une affaire me tombe dessus, en flagrant délit. Je suis obligé de décaler mes jours et n’ai pas la possibilité de prévenir Alain à temps. Je bosse sur cette enquête pendant plusieurs jours et je ne peux même pas aller récupérer Tom et sa mère à l’aéroport. Elle doit se débrouiller pour rentrer.
Lorsque je réussis à joindre Alain, il est déçu et, devant mon manque de sérieux, préfère en rester là. Il me demande d’oublier son numéro. J’ai beau essayer de lui expliquer, il ne veut rien savoir et m’indique être déjà passé à autre chose. Je raccroche.
Les mois passent et la routine reprend ses droits. Je baise avec des mecs à chaque occasion. Jamais deux fois le même. Les disputes avec ma femme deviennent plus fréquentes. Elle ne s’occupe que très peu de notre fils et rentre de plus en plus tard.
À la fin de l’été 2002, elle m’avoue avoir un amant. Cela m’arrange et ce n’est que justice. Je ne me prive pas de mon côté et, de toute façon, je ne l’ai pas touchée depuis près de deux ans. Par principe, je fais semblant d’être blessé par cette révélation et lui demande ce qu’elle compte faire. Marie C me répond : « Si ça continue comme ça, on va divorcer ! »
Aussitôt, je me lève du canapé, prend l’annuaire et appelle le premier cabinet d’avocats que je trouve et que je connais grâce à mon boulot. Lorsque je raccroche, j’annonce à ma femme que nous avons rendez-vous la semaine prochaine pour la préparation d’un divorce à l’amiable. Elle est surprise et me répond :
« - Déjà ?
- Bah, oui, pourquoi attendre ?
- Ah bon….. D'accord !
- Je serais toi, je me mettrais, dès maintenant, à la recherche d’un nouveau logement. Je t’aiderai si tu veux.
- Oui, mais où ?
- Dans le coin. Comme ça, nous pourrons assurer une garde alternée de Tom et, en cas de besoin, on pourra se dépanner. »
- D’accord »
Les négociations avec ma femme ne se passent pas trop mal et, six mois après, c’est acté. Nous sommes officiellement divorcés. Je suis libre !
Pas tout à fait tout de même, de son côté, elle négocie l’achat d’un appartement dans la ville voisine et son logement ne sera disponible que dans trois mois. Nous cohabitons encore pendant cette période dans mon logement de fonction. Bien évidemment, nous faisons chambre à part. Mes parents sont consternés et se font une raison.
De mon côté, un nouvel officier vient d’arriver au commandement du secteur (appelé Compagnie). Rapidement, il me propose la place de chef secrétaire. Le travail consiste à gérer son secrétariat et les quatre personnels placés sous mes ordres. Je dois également assurer le suivi des Ressources Humaines pour toute la compagnie (120 personnes environ). Les horaires sont fixes. Sauf catastrophe, je suis chez moi tous les soirs et au moins trois week-ends par mois.
J’accepte la proposition et établis ma demande de mutation. La réponse négative revient vite. Le poste convoité est un poste d’adjudant et je ne suis que MDL – Chef.
Le colonel, qui commande tout le département, m’appelle et me dit d’établir tout de suite une demande d’avancement. La date limite de dépôt est dépassée depuis longtemps, mais la commission ne se réunit que la semaine prochaine. Je rédige donc ma demande et vais la déposer directement à mon officier supérieur qui se charge immédiatement de rédiger son avis avant de la monter personnellement au Colonel. Il n’y a plus qu’à attendre…
Le jeudi suivant, les résultats de la commission d’avancement sont diffusés. Sans grande surprise, je suis inscrit au tableau et plutôt bien classé. La mutation étant la règle, je demande mon affectation au secrétariat de ma compagnie. En attendant une réponse, qui n’interviendra pas avant plusieurs mois, j’y suis détaché.
Je m’aperçois vite que j’ai du travail. Mon prédécesseur ne foutait rien. Les horaires, même souples, d’ouverture des bureaux ne sont pas respectés. Des surprises sont découvertes dans beaucoup de dossiers (exemple : des demandes en tous genres formulées par des personnels qui n’ont jamais été transmises….). Bref, je passe du temps à réorganiser et rattraper tout ça, même pendant mes jours de repos, y compris le week-end. Mon personnel approuve mes nouvelles directives, dès lors que je donne l’exemple.
Mon père m’appelle de plus en plus souvent. Il est désemparé. Ma mère débloque de plus en plus. Il s’est résigné à la faire examiner et le verdict est tombé. Elle souffre d’une maladie dégénérative. Il faut lui trouver une place dans un établissement médicalisé, en milieu fermé. Je me propose pour venir en Normandie, mais mon père refuse. Mon frère et lui gèrent déjà la situation et j’ai assez de choses à régler de mon côté. Mon père me précise que, si elle reconnaît encore mon frère et ma sœur, elle ne me reconnaît plus sur les photos qui lui sont présentées. Il me rassure en me disant que je ne suis pas le seul qu’elle a oublié. Je promets de venir dès que possible, quand elle sera placée.
Mon ex-femme emménage dans son nouvel appartement le 02 juillet 2003, alors que je commence à y voir plus clair au bureau. Je peux profiter de mes week-ends de repos en entier. Nous nous partageons la garde de notre fils une semaine sur deux, du dimanche au dimanche. Il ne va pas encore à l’école. Je conserve sa nounou habituelle et mon ex en trouve une autre près de chez elle.
Sur un plan personnel, je me « remets sur le marché ». Je m’inscris sur Bareback zone, sur internet. En même temps, j’en ai marre de faire semblant d’être hétéro. La société évolue dans le bon sens et l’armée parait suivre le même chemin. Je prends donc la résolution de tout faire, si je trouve un mec qui me paraît être le bon, pour le garder. Et si ça ne plait pas à quelqu’un, qu’il aille se faire foutre, ma famille y compris ! J’ai assez fait de concessions !
Depuis le départ de mon ex-femme, j’ai, au minimum, un plan cul par week-end, chez moi ou à l’extérieur. Mon fils est chez elle pour le mois. Ces plans, même agréables, sont plus ou moins rapides, et clairement juste pour un soir. Jusqu’à ce jour du 22 juillet 2003...
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire