Mon journal - I -

Bonjour à tous. 

Je vous livre ici quelques détails personnels sur mon parcours. J'éprouve ce besoin d'écrire. Cela me permet, aussi, de situer plus précisément chaque récit personnel que je vous propose en page d'accueil. 

Sauf cas exceptionnel, je fais volontairement l’impasse sur les phases de « préparation », telles que les lavements… Il faut alors considérer que lors des passages à la douche mentionnés, le lavement est inclus, parfois.

Tous les prénoms et lieux sont modifiés (ou pas…).

J'essaierai d'avancer au fur et à mesure de la publication de mes récits, au moins pour faire le lien. Ainsi, cette page évoluera régulièrement.

Je souhaite bonne lecture à ceux que cela intéresse.





Tout commence



I – DE L’ENFANCE A L’ADOLESCENCE



Je suis né en 1964, en Normandie, France. Je suis le dernier d'une fratrie de trois enfants. Je suis issu d'une famille d'ouvriers par mon père, et d'immigrés hongrois par ma mère. Mon père travaille dans l'industrie et ma mère dans le commerce. J'ai une sœur et un frère, respectivement plus âgés que moi de 7 et 8 ans. 

Politiquement, mon père se situe à gauche et milite pour le parti communiste. Ma mère le suit mais sans grande conviction. Si mon père est athée et fondamentalement laïque, ce n'est pas tout à fait le cas de ma mère. De son côté, j'ai un grand-oncle évêque et des grand-tantes bonnes sœurs. La religion tient une place importante dans sa vie. Toutefois, nous n'allons pas à la messe tous les dimanches. Nous sommes tous baptisés. Mon frère et ma sœur ont fait leur communion, pas moi. Ma fratrie, et mon père, s'opposent à ce que je fasse le catéchisme et cela m'arrange. Même pour les cadeaux, j'ai pas envie. Je suis plus proche de mon père sur ce point. Je n’entends jamais mes parents parler de sexualité. J’ignore totalement de quoi il s’agit et je ne connais même pas ce mot à l’époque. Encore à ce jour, je n’ai jamais vu un seul membre de ma famille complètement nu. Cela ne se fait pas.

Généralement, lorsque mes parents rentrent du travail, peu après 20 heures, je suis déjà couché et ne les vois pas. Mes frère et sœur,  plus grands, ont le droit de les attendre. Quoi qu'il en soit, à 20 heures 30, tous les enfants sont au lit. Nous avons chacun notre chambre. 

De ma naissance à mes sept ans, c'est notre voisine du dessus qui s'occupe de moi en semaine. Elle m'emmène et vient me récupérer à l'école, me donne le goûter, me fait faire les devoirs, s'il y en a, et prépare mon repas du soir. Je l'appelle "Maman Lilli". Ma nounou a également trois enfants. Une fille, l’aînée, et deux garçons. Son dernier à un an de moins que mon frère. Je m'entends très bien avec eux. Tous s'occupent souvent de moi pour aider leur mère.

J'ai beau être plus proche de ma sœur que de mon frère, ils sont plus grands et jouent rarement avec moi. Les week-ends, il n'est pas rare que, m'ennuyant, je monte un étage pour voir si je ne peux pas passer du temps chez "Maman Lilli".

J'aime bien être chez eux, ils discutent de tout. Les enfants peuvent s'exprimer, dans le respect. Les vacances, je les passe avec ma nounou. L'été, nous partons au bord de la mer. Mon frère et ma sœur partent avec mes parents. Les autres vacances, je pars à la campagne avec... ma nounou ! Maman Lilli et son mari, ont acheté un terrain dans l'Eure et ils construisent eux même leur future maison.




1/La révélation



C'est au cours des dernières vacances d'été avec ma nounou que je découvre mon attirance pour les hommes. 

Nous allons tous les ans dans un camping situé à proximité de la plage de Mimizan, dans les Landes. Ils ont une grande tente avec plusieurs séparations. Je dors avec les deux garçons, leur sœur dort toute seule de son côté. Bien évidemment, Maman Lilli et son mari ont leur coin à eux. Avec la promiscuité, il n'est pas rare que je vois l'un ou l'autre membre de la famille à poil et, jusqu'à présent, cela n'avait jamais provoqué de réaction particulière chez moi. 

Cet été-là, c'est la grande sœur que j'ai l'occasion de voir nue en premier. Comme je fais presque partie de la famille, et que je l’ai déjà vue par le passé, elle ne se cache pas spécialement. Il ne se passe rien de spécial et nous discutons pendant qu'elle s'habille, sans plus. Sa vue me laisse de marbre. 

Quelques jours plus tard, alors que je suis encore couché, j'entends comme un bruit vers le couchage d'à côté. J'ouvre discrètement un œil. C'est le plus jeune des fils qui dort là. Je ne vois rien de spécial. Son sac de couchage est surélevé au milieu et quelque chose remue à l'intérieur, toujours au même rythme. Il regarde le plafond. Peut-être l’instinct, mais quelque chose me dit d’attendre avant de bouger. Je ne sais pourtant pas ce qu'il fait, mais je me mets à bander, et pas qu'un peu ! Je ressens une sensation bizarre et agréable encore inconnue. Bien sûr, je me touche régulièrement le sexe, comme tous les bébés ou enfants en bas âge, mais, je n’ai pas encore conscience de l’acte en lui-même. À un moment, le mouvement, qui s'était accéléré, s'arrête. En même temps, il soupire et souffle. Il reste comme ça quelques secondes puis, ouvre son sac de couchage en repliant le pan supérieur dans l'autre sens. L'ouverture est de mon côté. J'ai une vue imprenable sur son sexe poilu entouré de poils bruns. Il y a comme un liquide blanc dans ses poils. Qu'est-ce que c'est que ça ? Son sexe me parait énorme. Il est tout raide et dressé comme le mien parfois. Mais moi, je ne sais pas encore quoi en faire. Je le vois prendre un mouchoir et s'essuyer. Cette vue me plait énormément. Il voit que je suis réveillé et se cache rapidement. Trop tard, j'en ai vu assez. Je lui demande ce qu'il fait et il me répond après une courte hésitation : "Ce n'est rien Patrick, tu comprendras dans quelques années et tu verras, ça fait du bien ! Par contre, tu ne dis rien ! Il ne faut pas le dire aux parents !"         

De tout le reste des vacances, je tente de le surprendre à nouveau, espérant en voir plus, mais non ! Je pense qu'il se retient jusqu'à la douche. La douche, un merveilleux endroit que je vois d'un nouvel œil depuis cet épisode. Sur toute la fin des vacances, je mate tous les hommes qui s'y trouvent à poil, jeunes ou vieux, en espérant voir leur sexe. Je ne suis pas déçu... Et, à mon âge, même si je suis à poil et que je me mets à bander, ce n'est pas grave ! J'ai tout de même l'occasion de le revoir nu, avec le sexe au repos. C'est tout aussi intéressant et me provoque la même réaction ; je bande ! Alors que les autres membres de la famille de ma nounou me laissent indifférent, lui, je le trouve très beau. Il est brun, mince avec une peau mat. À chaque fois que je le vois à poil, ou en maillot de bain (c'est-à-dire tous les jours), c'est un festival dans mon slip et dans ma tête. Inutile de vous dire que je ne le lâche pas de toutes les vacances. Je suis un vrai pot de colle. Je garde cette vision de lui et mes premières séances de branle, en solo, lui seront consacrées.



Après ces dernières vacances dans les Landes, ma nounou déménage. J'ai huit ans. C'en est terminé du camping, mais surtout, je ne verrais plus son plus jeune fils ! C'est la fille d'une autre voisine qui s'occupe de moi le soir. Elle me récupère à l'école tous les jours et me garde jusqu'à l'arrivée des parents. Le matin, c'est ma sœur qui se charge de moi et m'accompagne à l'école. Les vacances scolaires, hors été, nous sommes au centre aéré de la commune. J'aime bien, puis je suis avec ma sœur. Pour l'été suivant, mes parents prévoient de me placer en colonie. Grave erreur ! J'en ai ras-le-bol de ne pas profiter de ma famille, déjà que je suis triste de ne pas aller chez ma nounou Maman Lilli.... C’est la première fois que je me demande si je ne dérange pas mes parents. Je mets un tel bordel dans la colo... Je pisse et je chie partout, sauf là où il faut, et c'est volontaire ! Je refuse toutes les activités. Si bien que mes parents doivent venir me récupérer au bout d'une semaine. Les animateurs n'en peuvent plus. À partir de maintenant, ils m'emmèneront !

Pendant l'année, mes parents changent de métier. Ils deviennent, tous les deux, employés municipaux. Ma mère occupe un poste à l'état civil et mon père devient gardien d'un parc municipal. À ce titre, il bénéficie d'un logement de fonction. Nous quittons l'immeuble pour une maison avec jardin. Je deviens plus autonome. Nous dînons désormais avec nos parents. La religion et le sexe sont toujours des sujets tabous. Cependant, ma mère évoque quelques fois les "PD", race à exterminer, ou, au pire, émasculer. Je ne sais pas et ne comprends pas de quoi elle parle.

N’ayant plus de nounou et l’emploi du temps de ma sœur ayant changé, je vais à l'école et en reviens tout seul, comme un grand. Avec une chambre de moins, mon frère aîné doit partager sa chambre avec moi.

 




2/Première branlette



J'apprécie moyennement l'idée, tout comme lui, de partager la même chambre, jusqu'au jour où je vois mon frère se masturber sur son lit. Un soir, sans même vérifier si je dors, il descend ses draps, prend sa bite en main et se branle jusqu'à l'éjaculation. C’est la première fois que je le vois nu et en plus, il se fait du bien. Je n'en rate pas une miette. Je profite ainsi du spectacle quasi quotidiennement. Un soir, il me dit : 

" — C'est bon, je sais que tu me regardes ! Viens ici !" (je me lève et m'approche en cachant mon sexe bandé) Allonge-toi à côté de moi et regarde ! (j'ai déjà les yeux braqués sur son engin) Comme ça, tu vois mieux ?

- Oui, mais... euh.... est-ce que je peux toucher ?

- Certainement pas ! Je ne suis pas PD ! Par contre, tu as le droit de faire pareil. (Je prends ma petite bite bien bandée dans ma main et m'astique comme lui - Il ne peut s’empêcher de rire en comparant la taille de nos sexes). Alors, tu aimes ce que ça fait ?

- Oh oui, c'est bizarre, mais qu'est-ce que c'est bon !.... 

Mon frère éjacule sur son torse. Je n'ai jamais vu de sperme de près. C’est impressionnant la quantité. Je me demande d’où ça vient. J'ai encore envie de toucher, mais il refuse. Au même moment, je ressens ma première jouissance. Je ne suis pas encore fertile et rien ne sort. Il ramasse sa semence avec un mouchoir. Je le questionne et il m'apprend tout ce que je dois savoir au sujet de la masturbation, de l'éjaculation et du sperme. Nous renouvelons l'opération quelques fois. Il me laisse prendre sa grosse bite à une seule occasion. Ma main en fait à peine le tour. Mais, dès que j’amorce un mouvement de bas en haut, il m’arrête en me tenant le même discours. Et si j’insiste, il le dira aux parents et je devrais quitter la famille pour aller chez les fous.

Je lui demande pourquoi. Il me répond que ce sont les PD qui font ça. Mais c’est quoi un PD au juste ? Il me dit que c’est un homme qui fait l’amour à d’autres hommes, ou une femme avec des femmes. Que c'est sale. Il me précise aussi que si quelqu'un fait ça, il doit aller en prison ou dans un hôpital pour les fous.



Je suis un petit garçon poli, courtois, comme on dit, bien élevé. En société, je vais facilement vers les autres. À la maison, souvent seul, j’apprends à jouer avec mes jeux ou mes jouets, seul dans ma chambre ou dans le jardin. Maintenant qu'ils sont plus disponibles, je peux profiter de mes parents tous les soirs avant d’aller au lit. Profiter étant un bien grand mot. Mon père reste distant. Il ne s'occupe pas de moi. Même pour me punir, si je fais une bêtise. Il demande toujours à ma mère de le faire. Je réalise qu'en fait, il ne s'est pratiquement jamais adressé à moi directement. 

 

 

3/L’humiliation



Chaque année, mes grands-parents paternels réunissent la famille au grand complet pour le jour de l'An, chez eux. Mes grands-parents sont très âgés et plus très alertes. Avec huit oncles et tantes, tous mariés et parents, cela représente du monde.

J'ai 10 ans, presque 11 (je suis né en janvier). Tous les enfants sont réunis au bout de la tablée. À l'autre bout, mes grands-parents et, juste à côté, mon père. Nous en sommes au fromage. Chaque enfant dispose d'un petit Babybel enveloppé de cire rouge. Avec le bruit des discussions, on n'entend rien de ce qui se dit trois chaises plus loin. 

Et, d’un seul coup, comme cela arrive souvent : un blanc ! Plus un bruit ! sauf mon père qui s'esclaffe en riant : "Patrick ? Il doit être PD !" 

Tout le monde se tourne aussitôt vers moi, interloqué, choqué. Tout le monde sait que j'ai entendu ! Ma mère se lève et commence à engueuler mon père. Cependant, ce n'est pas pour ce qu'il a dit, mais pour son manque de discrétion... Je ne bronche pas. Je regarde mon verre et attends. Comme personne n'est jamais revenu sur le sujet, je ne sais par quelles couleurs je suis passé. Mais j'étais certainement rouge de honte, mais aussi de rage. Mais surtout : je prends peur ! Après ce que m’a dit mon frère sur les PD, cette phrase prononcée par mon père, et le ton employé, me font craindre le pire. Et si j’étais vraiment PD ? Va-t-on m’envoyer chez les fous ou en prison ? Qu’ai-je fait ? Les discussions reprennent. À ce moment, je me dis tout bas : "Toi, un jour, tu me le paieras !". Et pour commencer, je prends mon Babybel dans les mains, fais des petites boulettes avec la cire rouge et propose à mes cousins et cousines de les coller au plafond. Nous ruinons le plafond et le rouge de la cire reste bien marqué Certaines restent collées et je sais que ce sont mes parents qui doivent se charger du ménage une fois tout le monde parti.

À la fin du repas, tous les enfants demandent à sortir de table. Nous nous réunissons dans une chambre pour jouer ou discuter. L'incident n'a jamais été évoqué. Il y a juste un cousin qui me dit : « C’est dégueulasse ce qu’il a dit ! »



Dès lors, moi qui étais avenant, limite bavard, décide de me murer dans le silence, surtout avec mes parents. Je ne leur parle que quand j'ai besoin ou que ma mère m'interroge. Aucun de mes parents ne revient sur ce que mon père a dit. Soit ! 

La vie continue. Comme beaucoup, je profite des catalogues de vente par correspondance de ma mère, pages "sous-vêtements masculins" pour me masturber, toujours autant. Un après-midi, je me fais griller par ma mère, sur mon lit, le pantalon ouvert et la bite à la main. J'ai droit à un sermon interminable.

Pour mon premier CM2, j’ai une nouvelle institutrice nouvellement affectée. C’est une bonne amie de ma mère. Cette dernière est ravie de savoir qu’elle m’a dans sa classe. Jusqu’au jour où ma mère apprend que cette institutrice est lesbienne. Quelle honte ! Malgré ses demandes, elle n’obtient pas que je sois changé de classe, d’autant que c’est bientôt la fin de l’année. Mon institutrice, qui venait souvent à la maison, devient « persona non grata ». Je ne sais pas si j’en ai fait les frais, mais je redouble.

À 12 ans, j’entre au collège. J’ai perdu mon meilleur copain de primaire, Paulo, qui a intégré un autre établissement déjà depuis un an. Étrangement, il ressemble légèrement au fils de mon ancienne nounou.

Ma sœur a des problèmes. À 17 ans, elle fugue et la police la retrouve sur Paris. Elle s’est installée avec un mec de trente ans. De ce que je peux entendre, il serait connu pour proxénétisme. Mes parents la récupèrent et la mettent en pension. .

Arrivent mes 13 ans. Je commence à m'affirmer et, comme tout le monde, je m'intéresse à la musique. Un samedi soir, pendant la diffusion d’une émission de variété correspondante à mes goûts, mon père n'arrête pas de tout critiquer. À croire qu'il en fait exprès. Je ne peux même pas écouter la télévision. Il faut dire qu'à cette époque, il est ivre pratiquement chaque soir après le travail. Je lui demande de me laisser écouter. Il continue. Ma mère s'en mêle et le fait taire. Tout bas, mais pas assez, je dis : "Espèce d'abruti !" Aussitôt, je reçois un aller-retour (une gifle multipliée par deux, pour ceux qui ne connaissent pas) de ma mère et je dois monter dans ma chambre. 

Mon frère quitte la maison. Il a un travail et se trouve un appartement. Je suis maintenant seul avec mes parents. Ils me font changer de chambre. Je récupère celle de ma sœur. Elle est plus petite et sans porte. La grande chambre sera pour ma sœur lorsqu’elle rentrera, ou pour les invités.



4/Je retrouve Paulo, mon meilleur pote de l’école primaire



Mon frère a une nouvelle copine et c’est du sérieux. Les parents de sa fiancée et son petit frère sont invités à déjeuner en vue de la préparation du mariage. À leur arrivée : Oh surprise ! Le petit frère n’est autre que Paulo ! Il a grandi, comme moi. Je fonds littéralement en le voyant. Il ressemble comme deux gouttes d’eau au fils de ma nounou. Même la coiffure me paraît identique. Il fait chaud. Il est habillé d’un jeans et d’une chemise à moitié ouverte, laissant apparaître son torse et sa peau halée.

Comme la pièce est exiguë, nous nous installons tous directement à table. Moi aussi, je porte une chemise. Discrètement, je la déboutonne un peu plus et on voit bien mon torse, plus que celui de Paulo. Avec mon pote, nous occupons un angle et rattrapons le temps perdu. Nous sommes à l’étroit. Tant et si bien que, sans le chercher, nous nous retrouvons chacun avec un genou de l’autre entre les jambes. Je ne remarque rien jusqu’à ce qu’il bouge un peu sur sa chaise. Son genou vient alors me toucher l’intérieur d’une cuisse, assez haut. Je jette un coup d’œil discret. Je me dis que la situation est intéressante et que son geste est peut-être un appel. J’avance discrètement mes fesses sur la chaise et mon genou arrive directement tout près de son paquet. Il s’avance également et, cette fois, je suis contre et son genou est contre le mien. Je bande ! Je commence à monter et descendre ma jambe pour le caresser en douce sous la table. Il fait pareil. Au-dessus, nous discutons comme si rien n’était. Heureusement que nous en sommes au dessert, car j’aurai joui dans mon froc ! Car, ça y est : j'éjacule !

Aussitôt après le dessert, je demande à quitter la table et emmène mon pote dans ma chambre. On s’installe sur le lit et discutons. En même temps, je tente une main sur sa cuisse. Il la regarde et me laisse faire. Je remonte doucement pour finir la main collée sur sa braguette. Je sens qu’il bande, enfin, je pense. Mais aussitôt, il retire ma main et me dit :

« - Arrête, ce n'est pas bien !

- Je croyais que tu avais envie ?

- Sur le coup, oui, mais j’ai réfléchi et... non, il ne faut pas ! En plus j’ai une copine qui le fait déjà.

- Excuse-moi ! Je ne recommencerai pas !

- T’inquiètes ! C’est moi qui m’excuse. Je t’ai quand même un peu allumé avec mon genou. C’est aussi ma faute. Je ne dirais rien. 

- Mais tout de même, tu bandes encore là !

- Ah non, pas du tout, je t’assure.

- Je ne te crois pas !

- O.K., je te montre, mais tu ne touches pas ! »

Aussitôt, il se lève, se recule et dégrafe son jeans. Je lui fais remarquer que je vois bien sa poutre dans le slip. En me répétant qu’il ne bande pas, il baisse son slip et je vois sa bite, molle, tomber. Elle est hyper longue ! Et dire que je rate ça. Qu’est-ce que ça doit être en érection ? Il me demande si je suis content et se rhabille

 

 

Nous reprenons notre conversation sur nos collèges respectifs et le reste de la journée passe. Aujourd’hui encore, 46 ans après (putaing, 46 !!), nous sommes toujours potes et en contacts réguliers malgré la distance.

Quelque temps après, mon père est muté. Son poste est supprimé et il doit intégrer les locaux de la mairie. En fait, ma mère est intervenue auprès du Maire, car mon père s'est fait de mauvaises relations, notamment en ce qui concerne la consommation d’alcool. Dans le même temps, mes parents deviennent propriétaires d'un ancien bar, dans un autre quartier de la ville. Ils le retapent et le transforment pour en faire une grande maison. Dès que les travaux sont terminés, nous déménageons. J'ai enfin une chambre qui ferme ! Elle est située au 1ᵉʳ étage, tout comme celle de mes parents. De ma fenêtre, j'ai vu sur une cité H.L.M. toute neuve. 



Ma sœur revient provisoirement vivre avec nous. Elle a obtenu son diplôme avec mention et quitte la pension. Vu ses résultats, elle est rapidement embauchée dans un centre comme éducatrice spécialisée auprès d’enfants handicapés. Elle se trouve rapidement un petit appartement et finit par quitter définitivement la maison.

J’obtiens de très bons résultats scolaires et me destine à une carrière scientifique. Comme à son habitude, dès que le sujet est abordé avec d’autres personnes, mon père n'hésite pas à me dénigrer en disant que je n'y arriverais jamais. Je fais du sport. Après un an d’athlétisme, je suis membre de l’équipe de handball du club municipal depuis quatre ans. J'y vais tous les samedis après-midi. Comme je sais que l’entraîneur connaît bien mes parents, je me tiens à carreau et ne fais pas parler de moi. Cependant, j'en profite pour mater tous les mecs dans les vestiaires. Ce qui agrémente mes séances de branles nocturnes. L'année se déroule ainsi, sans évènement majeur, jusqu'à l'été...



5/La première fois que je touche un autre homme


À 14 ans, je passe mes vacances d'été en famille, dans le sud de la France, chez mes cousins, dans la nouvelle maison de ma marraine. Il n'y a pas assez de lits pour tout le monde. Je partage celui de mon cousin Alain. Il n'a qu'un an, à peine, de plus que moi. Le premier soir, il fait chaud, Alain me demande si cela ne me dérange pas s'il dort à poil. Bien sûr, je lui réponds que cela ne me dérange pas et que d'ailleurs, je vais en faire autant. Je délaisse mon pyjama pour la première fois.

Lorsqu'il baisse son slip devant moi, je découvre un sexe qui, bien qu’au repos, est plus imposant que le mien. J'ai du mal à détacher mon regard de ce merveilleux spectacle qui me fait immédiatement réagir. Je me mets instantanément à bander. Ma bite est raide comme du bois dans mon slip. Un regard furtif me permet de voir qu'elle en est même sortie. Je ne veux pas qu'Alain le voit alors, je retire vite mon slip et me glisse sous les draps.

Alain ne se couche pas tout de suite, il déambule nu dans la chambre sous mes yeux en rangeant ses affaires. Ce qui ne me calme pas. Je vois son sexe et ses couilles ballotter à chacun de ses pas. Il se les touche parfois... Sous les draps, je passe ma main sur mon gland et je sens que je mouille. J'ai peur de lâcher la purée. Il faut que je me retienne... Enfin, il se met au lit !

On discute un peu puis il éteint la lumière. Je bande toujours. Je me tourne sur le côté, les fesses vers Alain. Je n'arrive pas à dormir. La vision de mon cousin nu devant moi ; le fait de le savoir juste tout près de moi, dans le même lit, m'excite au plus haut point. Mais je n'ose pas bouger. Je sens aussi les fesses de mon cousin contre les miennes.

C'est alors qu'Alain se retourne et se rapproche de moi. Je sens ses jambes contre mes jambes. Je sens aussi son corps contre mes fesses. Je ne réalise pas tout de suite, mais je sens son sexe dur contre mes fesses. Mon excitation est à son comble. Je me reprends un peu et oscille mes fesses. Sa bite, qui me paraît énorme, vient se loger directement contre ma raie. Alain met alors son bras autour de moi. Il me caresse très doucement. Je sens sa respiration aussi forte que la mienne. Sa main descend. Il arrive à mon nombril et effleure mon gland tendu. Il reste comme ça un temps qui me semble être une éternité. J'en peux plus et il faut que je fasse quelque chose. Je me retourne et me met sur le dos. Alain attrape mon sexe. Il l'enserre dans ses mains.

De ma main gauche, je cherche alors la grosse bite de mon cousin et la prends à mon tour. Je n'ai pas rêvé. Elle est énorme, plus grande et plus épaisse que la mienne. Je lui masse les couilles à peine poilues alors que je suis déjà bien pourvu. Je remonte et reprends sa bite dans ma main. Alain retire le drap et allume la lumière. J'apprécie la vue et de voir nos deux corps… (C'est peut-être pour ça que je n'aime pas baiser la lumière éteinte ??)

Nous sommes tous les deux allongés, nus, sur le dos, le sexe bandé. Nos regards sont portés sur le sexe de l'autre. Je commence à le branler. Il en fait autant. Notre excitation est au maximum. Il ne faut pas longtemps pour que nous éjections, en même temps, une dose massive de sperme bien épais sur nos corps. Nous nous sommes un peu caressés encore, puis Alain essuie nos deux spermes avec des mouchoirs en papier ; histoire que sa mère ne découvre pas de traces suspectes dans le lit le lendemain. Nous nous faisons un bisou rapide sur la bouche puis nous nous recouchons, satisfaits, en nous enlaçant.

C'est la première nuit des vacances et cela promet un merveilleux mois à venir..."

 


6/La première bite dans ma bouche


Décidément, ce mois de vacances chez mon cousin Alain se déroule parfaitement bien. Depuis plusieurs soirs, nous explorons nos bites respectives avec les mains. Je ne me cache plus en me déshabillant..... tout en bandant comme un âne, et lui aussi !!!

Nous explorons plusieurs façons de se faire plaisir et d'envoyer la sauce, mais toujours à la main. J'adore sentir sa grosse teub chaude dans ma main et faire des va-et-vient sur sa bite m'excite terriblement.

Un jour, nos parents nous laissent seuls pour la journée. Il fait toujours aussi chaud et nous décidons de faire trempette dans la piscine installée pour les vacances. Étant seuls, je propose à Alain de ne pas mettre de maillot de bain, mais il refuse. Il a peur de se faire surprendre par quelqu'un. Il faut dire que beaucoup de gens viennent chez ma tante et ils peuvent entrer dans la propriété comme ils veulent. Ce n'est pas grave, me dit-il, on se rattrapera ce soir au lit !!!!! Je suis déçu, mais soulagé. J'ai eu soudain peur que mon cousin veuille tout arrêter. J'ai pu constater le soir même que ce n'était pas le cas.....

J'attends avec impatience l'heure de se coucher. Une fois dans la chambre, nous nous déshabillons très rapidement en bandant tous les deux. J'ai envie de sentir sa bite entre mes doigts. J'en fais à peine le tour... Je veux la faire cracher, mais cette fois, je veux qu'il jouisse sur moi.

Nous nous caressons tout juste et prenons nos bites dans nos mains. Alain me demande de faire comme lui. Au lieu d'un va-et-vient, je dois abaisser ma main pour tirer son prépuce vers le bas en décalottant complètement son gland et rester comme ça. Alain se met sur moi, au niveau des cuisses, sa bite face à moi. Je m'exécute pendant qu'il fait de même avec ma queue. Alain frotte ses couilles contre les miennes. C'est sans doute la frustration de la journée et l'excitation de savoir qu'on allait se rattraper le soir, mais il ne faut pas longtemps pour que nous libérions la purée qui jaillit de nos bites pour m'arroser jusqu'au visage et les cheveux..... Putain, nous avons éjaculé sans nous branler !!! Malgré nos précautions, nous avons dû émettre quelques râlements en jouissant, car j'entends ma mère derrière la porte de la chambre demander si tout va bien. Je lui réponds et nous partons, Alain et moi, dans un fou rire. J'essuie le sperme sur mon visage avec mes doigts que je porte à ma bouche. Alain a l'air surpris...... Visiblement, il n'a pas pensé à tout, ou n'ose pas ? Nous finissons de nous essuyer puis nous endormons dans les bras l'un de l'autre, comme toutes les nuits.

Le lendemain soir, lorsque j'entre dans notre chambre, Alain est déjà en train de se déshabiller. Il bande très fort. Pendant que je m'accroupis pour délacer mes baskets, mon cousin arrive, nu, près de moi sous prétexte de ranger ses affaires dans l'armoire. Bien évidemment, je le suis du coin de l’œil dans son déplacement, et je vois une bite de plus en plus grosse se rapprocher. Je lève les yeux vers lui et j'ai sa grosse bite et ses belles couilles juste devant mon visage, à portée de langue. Je ne peux plus détacher mon regard. Je n'ai jamais vu la queue de mon cousin d'aussi près. Elle est énorme et bien raide. Il la prend dans sa main et me caresse le front, puis tout le visage avec son gland. J'en ouvre la bouche d'excitation. Il en profite et le glisse entre mes lèvres. Il ne m'en faut pas plus. Le signal est donné ! J'ouvre en grand et j'avale tout ce que je peux. Alain me tient la tête et me baise la bouche. Je sens son gland buter au fond de ma gorge et j'adore ça !

Sa queue est si épaisse que j'ai l'impression que ma mâchoire va se décrocher, mais je ne veux surtout pas qu'il s'arrête. Je le laisse faire, je sens ses couilles battre contre mon menton. Je mets mes mains sur ses fesses et je l'accompagne dans ses mouvements. Alors que je sens qu'il ne va pas tarder à lâcher son foutre, je l'empêche de se retirer en maintenant ses fesses au plus près de moi. Il ne peut pas sortir sa bite et il jouit dans ma bouche. Je sens ses jets puissants, son liquide chaud et épais m'envahir. Alain se mord la main pour ne pas crier et encore attirer l'attention. Et comme je ne fais jamais les choses à moitié, je finis par avaler son sperme qui a très bon goût. Je n'en perds pas une goutte. Alain me relève et me roule une pelle comme nous n'avions encore jamais fait. Puis il va au lit, bandant toujours. Je termine de me déshabiller et le rejoint.

Il ne perd pas de temps. Il attrape ma queue et me suce à son tour. Visiblement, ce n'est pas son truc, car il arrête vite et me termine à la main. Il ramasse mon sperme avec ses doigts qu'il me donne à sucer. Je préfère le goût de son foutre au mien, mais je lui nettoie chaque doigt. Nous faisons ainsi jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien sur mon corps.

Alain me dit qu'il a envie de se faire tailler une pipe depuis longtemps par sa copine (?), mais elle refuse. Me voir lécher mes doigts la veille au soir lui fait penser que je le ferais. Il a bien vu !!!! Je suis le premier et pour moi aussi, c'est une première !! Il veut recommencer dès demain. Bien sûr, je ne dis pas non..…"


*


Nous poursuivons nos vacances ainsi jusqu'à la dernière nuit, en retardant de plus en plus le moment de la jouissance et en nous perfectionnant. Nous avons eu raison d'en profiter, car ce sont nos dernières longues vacances ensemble. Malheureusement, mon autre cousin, le petit frère d'Alain nous surprend alors que nous nous caressons par-dessus nos vêtements. Quelque temps après, il raconte ce qu'il a vu à sa mère qui prévient sa sœur. Du coup, terminé les vacances chez mes cousins, mais ce n’est pas tout.

C'est ma mère qui s'arrange pour m'obtenir un rendez-vous chez le psy. , Officiellement, c’est pour un problème relationnel avec mon père. D'accord, ce n'est pas terrible, mais je ne suis pas chiant : Si tu ne me parles pas, je ne te parle pas !  Il n'y a donc plus aucun cri, de colère, d'engueulades, puisqu'il n'y a rien ! Elle prend comme prétexte mon : "Espèce d'abruti" formulé près d'un an plus tôt. Ça, c’est la version qui m’est vendue.

Déjà, dès la première séance, j’apprends que le psy avait proposé les mercredis après-midi afin de ne pas perturber mes cours. C’est ma mère qui insiste pour que les rendez-vous soient fixés les jeudis après midi. Ainsi, chaque jeudi, je quitte le collège avant l’heure en expliquant que j’ai rendez-vous chez le médecin. À force, les professeurs intéressés par mon absence, et surtout les copains, s’interrogent. Mais où va-t-il ? Qu’est-ce qu’il a ? Dire que l’on consulte un psychiatre (pas un psychologue) à cet âge, ce n'est pas évident. Merci à ma mère pour cette humiliation supplémentaire !

Au début, le psy réclame la présence de mon père. Vu le motif, je trouve ça normal. Mais quand je lui dis, la fois d’après, que mon père refuse de venir, le psy me répond : « Ce n'est pas grave ! » Ah bon ! D’accord...

Lors des séances, je suis toujours reçu seul. Le sujet tourne toujours autour du sexe, de la masturbation. Combien de fois ? Comment (si je me mets un doigt dans le cul par exemple ou un autre objet) ? L’ai-je déjà fait avec un copain ou quelqu’un d’autre ? Si oui, quel plaisir j’en ai retiré ? Comment je vois l’avenir et avec qui ? Et professionnellement ? Etc. Mais rien sur mes relations avec mon père. Si j’admets me branler une fois de temps en temps, je nie tout le reste. Cela dure pendant huit mois à raison d’une séance par semaine, vacances comprises (sauf les jours fériés, mais je ne sais plus s’il y en avait, au moins un).

Après quelques semaines, je me permets de lui poser la question de savoir pourquoi je suis là exactement ? Est-ce réellement pour des problèmes relationnels avec mon père ? Je ne sais pas s’il est fatigué ou autre, mais il me répond : « Pas du tout ! »

O.K. À partir de cet instant, je m’amuse. Je connais mon texte. Il a beau changer la tournure de ses phrases, il en revient toujours au même en tournant autour du pot.

Pour la dernière séance, il me reçoit avec ma mère. Il commence par la questionner un peu. Je ne suis pas venu pour rien ! J’apprends que j’aurai dû avoir un frère encore plus grand, décédé à l’âge de deux mois. Mon grand-père maternel s’est suicidé la semaine de ma naissance. Et enfin, j’apprends que je suis un accident ! Je m’en doutais un peu, mais là, j’en ai la confirmation. Et tout ça en une seule séance ! Ensuite, il donne ses conclusions. Le psy me décrit comme un jeune homme intelligent, posé et très mature pour mon âge. Il lui indique que je souffre d’un manque de reconnaissance de la part de mon entourage ; que j’ai besoin qu’ils m’épaulent en me laissant vivre mes passions. Il invite mes parents à me laisser vivre mes propres expériences en précisant que je suis capable de faire la part des choses. Il rappelle à ma mère qu’il n’est pas anormal qu’un ado se cherche et teste, même en matière de sexe...

Quand je pense au fric qu’ils ont dépensé pour ça, j’en rigole intérieurement. Je jubile ! Dans l’histoire, c’est moi qui en apprends le plus, et en une seule fois ! Si seulement ils savaient que, depuis quelques mois, je me prends une vraie grosse bite dans le cul et ça, la veille de chaque séance !

Finalement, c’était une très bonne idée, de me faire aller chez le psy pendant les cours au lieu du mercredi après-midi...



7/Mon dépucelage


Je ne manque jamais une occasion de mater les mecs qui m'entourent, notamment mon professeur de sport. Un rugbyman, dans la trentaine, super bien foutu. J'adore aller à la piscine, mais pour la fin du cours uniquement. Nous sommes entre mecs. Pas de fille, elles ont leur vestiaire à elles qui ne communique pas avec le nôtre. Je me surprends à aimer me balader à poil devant les copains, entre le vestiaire et la douche. Nous sommes très peu à prendre notre douche complètement à poil, beaucoup gardent leur maillot de bain. Je me souviens de mon prof qui n'a, comme beaucoup de sportifs, aucune gêne. Je me régale à le mater sous la douche. Et quand il s'essuie… Difficile de ne pas bander !!! Sa peau est cuivrée, poilu, mais pas trop et brun de la tête aux pieds. Pas très grand et massif. Son sexe semble lourd même si je ne le vois qu’au repos. Le vestiaire est aussi un endroit propice aux jeux entre jeunes adolescents. Certains s'amusent à montrer leur bite ou leur cul en commençant à se caresser devant les copains, avant que le prof n'arrive. Certains se touchent mutuellement. C’est toujours un spectacle que je ne manquerai pour rien au monde. Mais je n’y participe pas, je ne veux pas d’histoires. J’apprécie grandement le fait d’être spectateur. Il n'y a aucune cabine, le pied !!!! Je ne sais pas combien de fois j'ai pu me branler en pensant à ces visions, le soir, une fois seul dans ma chambre.....

Depuis quelque temps, j'agrémente mes séances de branle en me mettant un doigt dans le cul ou un étui à cigare que j'ai réussi à piquer à mon père et à planquer dans ma chambre. Je ne peux plus m'en passer. À chaque branle, il faut que je mette quelque chose dans mon cul. Le temps est venu pour moi de franchir le cap.

Un bon ami de mon père passe régulièrement à la maison. Il est retraité. Il a certainement l'âge d'être le père de mon père. Bien conservé (comme on dit), il porte toujours un jeans plutôt moulant. Il a une jambe raide suite à une blessure de guerre, m'a-t-on expliqué. À l’époque, il lui arrive de passer des journées entières à la maison et il s'occupe de moi après les cours. On fait des jeux, et je lui demande parfois de l'aide pour mes devoirs. Je me rends chez lui tous les mercredi après midi après les cours, mes parents travaillant.

Un jour, alors que nous sommes assis sur le canapé de la maison, je l'entends se plaindre auprès de mon père que sa femme ne veut plus rien faire avec lui alors qu'il aimerait bien. Elle dit qu'elle est trop vieille pour la bagatelle. Je me souviens de la tête de mon père lui faisant signe que j'étais juste à côté de lui....... En même temps, j'avais presque 15 ans !! Bref, la conversation tourne court et passe à autre chose. À un moment, mon père s'absente du salon et je me retrouve seul avec son ami. Je sais que mon père en a pour un bon bout de temps. Je ne sais pas ce qui me prend, mais j'y vais direct. En posant ma main sur sa cuisse et en me tournant vers lui, je glisse à l'oreille de René, l’ami de mon père : « Si tu veux faire des trucs avec moi, je veux bien remplacer ta femme ». Il tourne sa tête et me regarde sans rien dire. En disant cela, je sens la chaleur monter. Je dois être rouge comme une pivoine. Mais je ne me démonte pas, c’est trop tard ! En me tournant, ma main est remontée jusqu'à son entre-jambe et je sens bien que quelque chose se passe dans son jeans. Je pose ma main dessus. Il ne l'enlève pas ?? Je sens sa bite prendre du volume. Nous restons ainsi sans rien dire ni bouger, en nous regardant, pendant quelques secondes qui paraissent interminables. Mon père revient et je retire ma main rapidement. Nous faisons comme si rien ne s'était passé durant tout le reste de la journée.

Le mercredi suivant, comme d'habitude, dès la sortie du collège, je me rends chez l'ami de mon père. Depuis le matin, je suis tout excité à l’idée de passer l’après-midi chez René, d’autant que je sais que sa femme n'est pas là. Elle est partie en famille, à la campagne, et ne rentre que le lendemain. Il me fait entrer et me sert un jus de fruit, comme tous les mercredi. Je suis assis à table dans la cuisine. René se place tout près de moi, debout, mais ne fait rien. Il me colle, ne dit rien et reste figé en me regardant boire. Je dois prendre l'initiative. Tout en buvant mon verre, ma main libre commence à caresser son jeans. Il ne bouge toujours pas et respire fort. J'appuie alors mon geste pour que ce ne soit pas qu'un simple effleurement. Je passe ma main de haut en bas sur le côté puis, sur l'avant. Il ne fait rien et me laisse faire. Je pose mon verre et place la paume de ma main sur son paquet que je prends et malaxe doucement. Il bande !!! Je sens une bite de cheval, épaisse et longue ; et de grosses couilles sous son pantalon. Je me retourne vers lui. Il met ses mains sur mes épaules et, sans un mot, me tire vers lui. Mon visage est au niveau de sa braguette. Je déboutonne son jeans. Il porte un caleçon. Je vois une barre de chair en travers de l'ouverture. J'abaisse le tout et son sexe jaillit, épais, lourd. Son gland est proéminent et décalotté, sa bite est épaisse, bien dure avec des veines apparentes qui m'excitent. Je soupèse ses couilles, grosses et poilues. Aujourd'hui, je pourrais dire qu'elles étaient pleines...... Il me laisse faire, ne me tient plus et me regarde. En croisant son regard, j'ouvre ma bouche et sors ma langue que je pose sur son gland. Il sursaute. Je lèche son sexe, ses couilles puis remonte vers son gland que je prends entre mes lèvres. Il a du mal à passer, j'ouvre de tout ce que je peux et je commence à l'avaler. Il pousse déjà des gémissements. Je vais de plus en plus vite et j'essaie d'aller de plus en plus loin. Je la veux toute entière, mais n'y arrive pas. Soudain, il me pousse la tête en arrière. Je reste la bouche ouverte, sans sa bite à l'intérieur, et le regarde. Il s'adresse enfin à moi en disant : « Attends, ça fait tellement longtemps, je n'ai pas envie de jouir tout de suite ».

On fait une courte pause et on en profite pour aller dans sa chambre se mettre à l'aise. Je me déshabille pendant qu'il enlève le haut. Je suis nu, le sexe bandé, quand il me demande si je peux l'aider à retirer la chaussure de sa jambe raide. J'enlève sa chaussure, sa chaussette et termine de retirer son jeans et son caleçon qu'il avait sur les chevilles. Nous sommes maintenant nus tous les deux. Il bande toujours autant. J’ai la tête entre ses cuisses.

Je me mets à quatre pattes sur le lit et lui présente mon cul en lui disant que j'ai envie qu'il mette sa grosse bite dedans. Il sort un tube de vaseline de sa table de nuit et commence à m'enduire le trou. Je sens quelque chose de dur tenter de me pénétrer. Ce n'est pas sa grosse bite, mais juste l'un de ses doigts. Il a de grosses mains avec de gros doigts. Bien que ces ongles soient coupés, je sens surtout son ongle et je me demande s'il ne va pas me déchirer. Je prends mes fesses à deux mains et les écarte. Doucement, il finit par entrer. Je sens son doigt qui s'enfonce en douceur. Une petite douleur laisse vite place à la chaleur. Son doigt coulisse bien maintenant. J'aime ce que je ressens. Puis, il essaie de se mettre en position derrière moi. Avec sa jambe raide, il n'y arrive pas. Je lui dis de s’allonger, de se mettre sur le dos et de me laisser faire.

Je m’assois au-dessus et face à lui, je prends sa grosse bite dans ma main et la présente à mon cul. Son gros gland est contre mon anus et je fais des petits mouvements pour l'aider à entrer. Il s'enduit le sexe de vaseline à nouveau et là, je sens une vague de chaleur me pénétrer. Son gland est en moi....... Je ne ressens aucune douleur, j'ai juste envie de la prendre en entier dans mon jeune trou du cul. Je m'enfonce doucement, en m'arrêtant de temps en temps pour souffler, puis je reprends. Je sens que tout s'écarte sur le passage de sa bite. Puis, je ne peux plus aller plus loin........ J'y suis !!!!! J'ai une bite dans le cul, et elle est énorme !!!!!!!

Je commence alors des va-et-viens. Je suis déchaîné. Je vais de plus en plus vite. Je remonte jusqu'au gland pour m'enfoncer à nouveau à fond. C'est alors que je sens une main prendre ma queue bandée. Il ne m'avait pas encore touché. Il commence à me branler pendant que je m'empale sur son pieu. C'est si bon, mon sphincter se contracte et je ne peux retenir de puissants jets de sperme. J'enserre sa queue pendant que mon foutre n'en fini pas de jaillir. Je crie, j'ai l'impression de hurler mon plaisir... J'en envoie partout. Il a du sperme sur le front et les cheveux. Je reprends mon souffle, sa bite bien encrée au fond de moi. Je veux reprendre mon mouvement. Il m'arrête en me disant qu'il va jouir aussi et il veut quelque chose de spécial. Un fantasme que sa femme lui a toujours refusé... Il veut jouir dans ma bouche !

Toujours haletant, je relève mon cul doucement pour bien sentir encore cette grosse bite énorme dans mon cul. Lorsqu'elle sort complètement, je ressens comme un grand vide en moi et j'ai l'impression d'avoir le trou béant. S'il y avait eu un miroir, j'aurais pu le vérifier. J'ai froid. Je m'allonge à côté de lui. D'une main, je caresse mon cul et j'y mets trois doigts d'un coup et sans aucun problème. Chose que je n'avais jamais réussi à faire seul. J'approche ma tête de sa superbe grosse bite. Je la lèche puis je tète son gros gland. Je sens alors sa queue se raidir encore plus. Il râle. Une de ses mains me tient la tête et, dans un cri, il lâche une dose de foutre très épais et chaud dans ma bouche. J'ai l'impression qu'il ne va jamais s'arrêter d'envoyer la purée. Je ne sais pas combien de jets je reçois. Ma bouche est pleine, son sperme déborde et coule le long de son sexe. J'avale en plusieurs fois tellement il y en a. Après quelques secondes de répit, je me mets à le nettoyer. Je ramasse son sperme avec ma langue et récupère ainsi tout son foutre que j'ai pu laisser échapper de ma bouche.

Il me prend dans ses bras et nous restons comme ça quelques minutes. Il est bientôt l'heure de rentrer chez mes parents. Nous nous levons et je vais prendre une douche rapide. Pendant que je m'habille, et que je l'aide à se rhabiller, mon amant me demande de ne rien dire à personne et de garder ce secret pour nous. Vu mon âge et mes parents, ce n'est pas moi qui allais nous trahir !!

La fois d'après, il me demande si j’ai une envie particulière. Je lui réponds que j’aimerais qu’il me prenne dans la cuisine, debout. Aussitôt dit, je me retrouve accoudé à la table. Il se place derrière et, après m’avoir fouillé avec ses doigts, me pénètre sans ménagement. J’ai encore pris un pied fou.

Notre relation dure ainsi plusieurs mois, presque jusqu'à la fin du collège. Nous nous voyons tous les mercredis après midi chez lui, ou chez mes parents si sa femme est là. Le meilleur, c'est que mes parents sont rassurés de me savoir en sa compagnie. Au moins, pendant ce temps-là, je ne fais pas de bêtises......... S'ils savaient !!!!

 

 

*              *

 

 

Lors de ma dernière année de collège, je me consacre essentiellement à mes études, enfin presque. Je m’accorde toujours mes après-midi récréatives du mercredi avec René. J’arrête le sport et je révise le week-end. À cette période, il est possible d’obtenir son Brevet des collèges par un examen continu. Seuls ceux qui sont trop justes passent l’examen. Il faut également faire ses choix d’orientation. Il m’est demandé de choisir trois métiers, dans l’ordre de préférence. J’indique :

1- Astronome

2- Architecte

3- Dessinateur industriel.

Je précise ensuite mes choix d’établissements, en fonction des filières. Le dossier est remis, dans les temps, à mon collège.

L’année se déroule, sans évènement majeur, jusqu’au dernier jour.

Toutefois, courant mai, mon père, qui fait des efforts de communication depuis quelque temps, m’apprend que René ne pourra plus me recevoir les mercredis après-midi. Il a des problèmes de santé et, pour l’instant, est hospitalisé. Il me précise qu’il n’y a rien de grave, à priori, mais que son état nécessite un suivi régulier. Il me promet de me tenir au courant.

Je dois reprendre mon étui à cigare. Rapidement, je m’aperçois qu’il n’est plus suffisant. Je teste tout ce que je peux trouver, dans la maison, qui a une forme à peu près phallique, pour essayer de me l’insérer dans le cul. J’arrive ainsi à occuper mes mercredis après midi sans René avec un flacon de bain moussant, immortalisé un peu plus tard dans un film de Cadinot.

Enfin ! L’année scolaire se termine. J’obtiens mon brevet sans avoir eu à passer l’examen. L’année prochaine, une nouvelle étape m’attend : le lycée. J’espère obtenir la filière demandée : scientifique.


8/Les derniers jours de collège


Au collège, je me suis fait (pas au sens propre) de nombreux copains et copines. Notamment un, d’origine polonaise, un an de plus que moi, plus grand et plus baraqué. La pratique régulière du sport, avec son père, se voit tout de suite. Bref, un beau gosse déjà bien musclé, avec des cheveux blonds, presque blancs.

Il vit seul avec son père qui est une connaissance de mes parents. Cependant, ils ne sont pas amis au sens où jamais, ils ne sont venus à la maison et réciproquement.

Pour la fin de la dernière semaine d’école et le week-end qui suit, le père de mon copain part préparer leur futur logement. En effet, Michel et son père quittent la région dès la semaine suivante pour s’installer à l’étranger. Sur ma demande, mon copain passe la dernière semaine chez nous. Mes parents nous ont installé dans la même chambre, celle des débuts avec mon frère. Nous dormons dans des lits séparés, l’un à côté de l’autre, avec juste un passage entre les deux. Si les journées se passent normalement : présence au collège, sorties dans le quartier avec les copains jusqu’à l’heure du repas, le soir est un peu plus tendu, dans le bon sens !

Après le dîner, nous montons à l’étage prendre notre douche (l’un après l’autre). Michel passe toujours le premier et ressort toujours avec sa serviette autour de la taille. À chaque fois, je devine une grosseur entre ses cuisses qui ne me laisse pas indifférent. Aussitôt que je le vois ainsi, je commence à bander. Je fonce à mon tour sous la douche et j’en profite pour me soulager. Généralement, lorsque je reviens dans la chambre, il est déjà au lit, un livre à la main. De mon côté, je retire ma serviette et lui offre mes fesses à sa vue. Je trouve toujours un truc à faire, de préférence à l’autre bout de la chambre, afin de faire durer le plaisir, avant de me glisser sous les draps. Oui, j’ai laissé tomber le pyjama et je dors nu depuis les dernières vacances chez mes cousins. Nous discutons un peu avant l’extinction des feux. Ainsi se déroule le programme de la semaine.

Puis arrive le week-end. Fini l’école, terminé l’extinction des feux à 21 heures imposée par ma mère. Après le repas, mes parents nous proposent de rester avec eux pour regarder la télé. Michel les remercie et leur dit que nous allons monter dans notre chambre pour faire un jeu de société.

Nous montons donc et, direction la douche selon le même rituel. Sauf que cette fois, quand je reviens dans la chambre, Michel n’est pas couché. Il est assis sur son lit, avec la serviette autour de la taille. Il a les jambes écartées. J’ai donc une vue plongeante sur sa bite qu’il est justement en train de caresser d’une main. À demi-molle, elle semble fine, mais assez longue. Surpris, je me mets à rougir, mais sans détourner mon regard. Michel rigole en me voyant rouge comme une pivoine et me dit :


« - Je te propose un genre particulier de jeu de société. Si on se branlait ? Plus besoin de le faire sous la douche comme ça ! 

- Ok, mais pas de bruit, ma mère a une ouïe fine et on est juste au-dessus du salon. »


Je me dirige vers mon lit pour m’installer, mais Michel me fait signe de venir. Il me fait une place à côté de lui, sur son lit, et me dit de faire comme chez moi. D’ailleurs, c’est le cas. Je défais ma serviette qui, pour une fois, n’est pas tombée toute seule, et dévoile ma queue qui s’est instantanément redressée à l’idée de me branler à côté de lui. En comparaison, la mienne est légèrement plus épaisse et un peu plus courte. Je commence à me caresser à mon tour.

Malheureusement, ma mère n’arrête pas de monter à l’étage. Nous sommes constamment dérangés, même si, au final, elle n’ouvre jamais la porte de la chambre. Tant et si bien que nous préparons, sur mon lit, un jeu de cartes et ainsi, à chaque alerte, nous sautons sur le lit d’à côté en remettant nos serviettes.

Lorsque nous reprenons notre séance de branle, nous discutons, de cul évidemment. Mais il ne parle toujours que de sexe hétéro. Je ne dis rien, j’acquiesce juste à ce qu’il me dit. Moi, ce qui m’intéresse, c’est de voir sa bite juste à côté de moi, branlée, même si ce n'est pas par moi. Sentir son bras tout contre ma peau. Il ne faudrait pas beaucoup pour qu’il dévie et prenne ma queue. Je ne lâche pas son pieu du regard. Je ne cherche même plus à être discret. Pendant qu’il me parle de meufs, je m’imagine m’asseoir dessus et le sentir s’enfoncer entre mes fesses.

Sans prévenir, j’envoie plusieurs jets de foutre sur mon torse. J’en ai aussi sur les cheveux, le front et le menton.

Lui aussi, n’a rien raté de la scène. Aussitôt, il sort un « Oh Purée !! » en crachant son jus dans toutes les directions. Il m’arrose un peu le torse et surtout le bras. Pendant que nous reprenons nos esprits, je rapproche instinctivement mon bras de ma bouche et je récupère son jus épais que je lèche et avale.

Il me regarde faire, surpris, et me dit qu’il n’a jamais avalé de sperme, pas même le sien. Je l’invite à essayer. Il me répond qu’il le fera la prochaine fois. Nous nous essuyons, enfilons un slip et entamons une bataille avec le jeu de carte placé sur mon lit. Mes parents sont couchés quand nous rejoignons chacun notre lit.

Nous nous réveillons tard. Il est presque l’heure du déjeuner et nous sommes encore au lit. Nous nous levons rapidement et constatons tous les deux notre érection matinale. Nous échangeons un sourire complice avant de nous préparer à descendre rejoindre mes parents qui commencent à s’impatienter. Mon père doit nous déposer dans le centre-ville en début d’après midi.

Nous nous baladons sans évoquer la soirée d’hier une seule fois. Nous décidons d’aller au cinéma. Dans le noir, je vois la main de Michel entre ses cuisses. Je suis même certain que ses doigts bougent sur ses couilles, au travers de son jeans. Je ne tente rien, je n’ose pas dans ce lieu public. Ensuite, nous rentrons à pied jusqu’à la maison. Pendant ce temps, j’apprends qu’il n’est pas très heureux de déménager. Il ne connaît personne là-bas et donc, pas de copine.

C’est maintenant notre dernière soirée. Demain, Michel repart chez son père et déménage. Nous remontons aussitôt après le repas dans ma chambre, avec le même prétexte que la veille. Suivant le même scenario, nous reprenons notre « petit jeu particulier ». À la différence que, très rapidement, Michel me dit :

« Ça me dirait bien... si tu me suces, je te suce ! »

Enfin !!! On passe la vitesse supérieure. Je ne l’espérais plus !

Je ne me fais pas prier plus que ça. Je lâche ma queue pour prendre la sienne dans ma main tout en me penchant vers lui. Je m’apprête à le prendre en bouche quand il me dit d’arrêter.

Surpris, je le regarde d’un air interrogatif. Aurait-il changé d’avis ? J’ai, d’un coup, peur que ce ne soit qu’un test, pour voir jusqu’où j’irais. Et s’il racontait tout à mes parents ?

Il me répond d’un air rassurant :

« On va le faire en même temps, c’est mieux ! » Alors là, je n'en ai plus rien à faire de mes parents, du bruit et du risque de se faire surprendre à tout moment.

Je me place sur lui, tête bêche. Il descend un peu et nous avons chacun la bite de l’autre devant les yeux. J’ouvre la bouche et enfourne son gland que je caresse avec ma langue. Lui me lèche le gland pour commencer et pose ses lèvres délicatement autour. Sa langue me titille le bout. Je m’enfonce un peu en m’aidant de ma salive. Je commence mes va-et-vient sur sa tige. Il me suit et fait pareil. J’accélère mon mouvement en essayant d’aller de plus en plus loin. Il finit par me tenir les fesses, mais ne cherche pas à aller au fond. Il a vite des hauts le cœur. De mon côté, je réussis à tout prendre. Je me baise la bouche sur son pieu. Cela ne dure pas longtemps, car, alors qu’il se tend, je sens de puissants jets d’un liquide très épais et chaud gicler jusqu’au fond de ma gorge. Il ne m’en faut pas plus pour, à mon tour, déverser mon sperme dans sa bouche. Il me pousse légèrement pour n’avoir que mon gland en lui pendant que je continue de me vider. J’essaie de ne pas en perdre une goutte en me retirant. Je me redresse et me retourne quand il libère ma queue. Nous nous regardons avec un sourire béa, bien que nous ayons tous les deux la bouche pleine de la semence de l’autre. Après avoir fait rouler ma langue dans ce jus plusieurs fois afin de bien m’imprégner du goût, j’avale tout et lui montre ma bouche vide. Il fait exactement comme moi puis m’attrape par les épaules avant de m’embrasser dans le cou.

Nous restons ainsi plusieurs minutes, mais je sens quelque chose d’humide sur mon épaule. Il pleure ! Lui, la grande gueule, le gros dur du collège !

Je lui demande ce qu’il y a et il me répond :

« Depuis le temps que j’en rêvais ! C’est enfin arrivé ! Tu es le premier mec avec qui je fais ça, car je voulais que ce soit toi…. Dommage que ce soit trop tard…. Demain, je ne serai plus là…. Tu vas me manquer ! »

Nous passons toute la nuit dans le même lit, enlacés, malgré les risques de se faire choper.

Après son départ, je n’ai plus jamais eu de nouvelles.

 

 

Mes parents ont tiré les leçons de mes séances chez le psy. Un jour, je leur annonce que j’aimerais m’acheter un télescope avec l’argent de poche que j’ai économisé. C’est une grosse somme, mais j’ai assez. J’indique qu’il y en a un bon en vente chez l’opticien du centre commercial d’à côté. Je compte bien le prendre ce week-end avec eux, car il me faut une voiture pour le ramener à la maison. Le soir même, mon père rentre du travail avec... le télescope. Je suis aux anges. Et eux, sont visiblement heureux de me voir heureux. C’est la première fois que mes parents me font un cadeau en dehors de la période des fêtes de fin d’année (qui correspond aussi à mon anniversaire).

Les sujets tabous demeurent interdits. Mon père m’apprend que René et sa femme ont été admis en maison de retraite médicalisée. Impossible de le revoir. Heureusement, j’ai toujours mon flacon de bain moussant.



9/ Voyeurisme, fantasme et exhibe


Cette année, grande première. Mes parents partent deux semaines en vacances avec un couple d’amis et me laissent la maison pour moi tout seul ! En cas de besoin, je peux toujours appeler ma sœur ou ma belle-sœur, la femme de mon frère. Ils me laissent de l’argent. À moi de gérer mes courses.

J’imagine déjà le programme : Branlette, re-branlette et, pourquoi pas, nouvelle branlette. Le tout sans oublier le flacon de bain moussant dans le cul.

C’est pendant l’une de ces activités que mon regard est attiré par quelque chose dans la cité H.L.M. d’en face. Deux hommes, torses nus, sont accoudés au rebord d’une fenêtre. Ils fument et discutent. Aussitôt, je retire le flacon de bain moussant logé entre mes fesses et me précipite dans la chambre de mes parents. Je sais que mon père possède une paire de jumelles. Je la prends et me positionne discrètement à ma fenêtre pour les mater. Ils ont environ la trentaine et semblent bien foutus. Au début, je ne remarque rien de spécial, mais, à bien y regarder, je vois que l’un des deux caresse le dos de l’autre. Je me remets aussitôt à bander. La situation m’excite et les battements de mon cœur s’accélèrent. Je les imagine complètement nus, faisant une pause après avoir baisé. Malheureusement, je ne peux rien voir en dessous de la ceinture ! Cependant, je vois clairement un bout de bras monter et descendre entre les deux corps, dans le dos de l’un d’eux. Puis, le bras parait descendre plus bas, je dirais au niveau des fesses. Je vois alors, à l’aide des jumelles, que celui qui se fait caresser arbore un large sourire. En même temps, il semble se baisser en avant, comme s’il tendait son cul à l’autre pour lui faciliter le passage. On dirait qu’il se fait doigter.

Je me verrais bien, assis sur le sol, pendant qu’ils fument, suçant leur bite l’un après l’autre ou en même temps. Ils pourraient aussi me prendre chacun leur tour ou tous les deux, un devant et un derrière. Et pourquoi pas les deux en même temps dans le cul ! Il ne m’en faut pas plus. J’ai déjà ma bite en main et, en quelques va-et-viens, je crache mon foutre contre la vitre. Oups !!! J’en ai oublié la discrétion !

Alors que les deux hommes quittent leur position, je réalise que je suis devant ma fenêtre, à poil, la bite raide à la main, une paire de jumelles de l’autre, du foutre partout et surtout : à la vue de tous ! Ma fenêtre de chambre n’est pas aux normes. Elle est plus petite et beaucoup plus basse que les autres. Un rapide coup d’œil aux alentours me permet de voir qu’il n’y a personne dans la rue. Je passe alors ma langue sur les carreaux pour ramasser mon sperme qui coule.

Par la suite, pendant l’absence de mes parents, et même après, chaque séance de branle et, ou, de godage, se fait devant ma fenêtre, les yeux rivés sur celle de mes voisins d’en face. Malheureusement, je ne revois jamais les deux hommes ensemble. C’était peut-être un plan cul ?

 

 

Mes parents rentrent de vacances. Il ne se passe plus rien de spécial. Le soir, dans ma chambre, j’essaie toujours de mater la fenêtre d’en face, mais il n’y a rien à voir.

Trois semaines avant la rentrée, je m’inquiète auprès de ma mère de n’avoir toujours rien reçu concernant la prochaine rentrée scolaire au lycée : Aucune nouvelle !

Après avoir encore patienté une semaine, elle contacte mon ancien collège. Le responsable d’établissement lui assure que mon dossier a été transmis en même temps que les autres et la dirige vers le rectorat. L’interlocutrice répond à ma mère que mon dossier n’est, vraisemblablement, pas revenu du dernier lycée demandé. Elle doit les contacter et nous rappeler. Deux ou trois jours plus tard, le rectorat appelle mes parents. Mauvaise nouvelle : Aucun des lycées demandés n’a reçu mon dossier ! Je suis inconnu pour eux ! Ma mère rappelle que je ne suis pas en âge de quitter l’école et exige que j’obtienne une place dans l’un de mes choix. Son interlocutrice doit en référer au recteur d’académie. Nous obtenons un rendez-vous avec ce dernier la veille de la rentrée. Ma mère me demande de préparer tous mes bulletins scolaires et mon Brevet des collèges avant de nous y rendre. Nous ne sommes pas reçus par le recteur en personne. L’homme qui nous reçoit explique que tous les établissements formulés dans mes vœux sont complets. Mon dossier a été retrouvé dans mon ancien collège, oublié dans un tiroir ! Il précise également que la seule solution est d’attendre d’éventuelles défections, après la rentrée. Ma mère soulève la question de savoir ce que l’on fait de moi en attendant. L’école étant toujours obligatoire à mon âge. Le fonctionnaire lui répond :


« - En attendant, gardez-le à la maison !

- Je travaille et mon mari aussi ! Et si aucune place ne se libère ? Combien de temps faudra-t-il attendre ?

- Je ne sais pas ! Vous pouvez aussi chercher une place dans le privé ! »


Bien évidemment, toutes les écoles privées correspondantes à mes choix sont soit complètes, soit hors de prix, soit les deux. Nous essayons même un centre de formation en maçonnerie. Ils ont bien de la place, mais, vu mes résultats et mes aspirations initiales, je risque fort de m’ennuyer : ils me refusent.

Deux semaines après la rentrée, je n’ai toujours rien. Lorsque nous n’avons pas de rendez-vous dans un établissement scolaire, ma mère me dépose au rectorat et j’y reste la journée. Elle vient me récupérer le soir après le travail. Au moins, même si je ne peux suivre de cours, je suis sous la responsabilité de l’Éducation Nationale. Je passe mes journées dans un couloir. De temps en temps, quelqu’un me fait entrer dans un bureau s’il fait froid. Le midi, j’ai accès à la cantine et je règle mon repas avec l’argent donné par ma mère.

Enfin, ma mère trouve un établissement susceptible de m’accueillir au début de la troisième semaine. C’est un lycée professionnel. Il reste de la place en B.E.P. Comptabilité. Elle en fait part au rectorat qui, dans un premier temps, refuse. Ce n’est pas aux parents de faire les recherches, mais à leur service ! Bref, deux jours plus tard, je me présente, avec ma mère, au directeur du lycée professionnel. Nous établissons, sur place, tous les documents nécessaires à mon admission. J’attaque le lundi suivant.

Mon lycée est situé à onze kilomètres de mon domicile. Je m’y rends en transport en commun. L’établissement compte trois cents élèves avec seulement 11 garçons, dont six sont dans ma classe. Les bâtiments sont vieux, pourris pour certains. Je cherche la motivation pour suivre ce cursus et, grâce à l’ambiance de la classe, j’y parviens. Au fil du temps, nous devenons un groupe soudé, garçons et filles. Il n’y a aucune histoire de cul entre nous (peut être une ou deux, mais sans conséquence). Nous bossons, sortons souvent tous ensemble. Il n’est pas rare que toute la classe se retrouve un samedi ou un dimanche après midi, pour passer le temps ou réviser ensemble.

J’aide mes camarades en math et en français, d’autres aident dans les autres matières et ainsi, tout le monde progresse (même si, parfois, j’ai l’impression de régresser dans mes matières préférées, le programme n’étant pas aussi poussé).



10/Ma première expérience hétéro


J’ai maintenant 17 ans. Tout se passe mieux avec mes parents. Mais, ma mère désespère : je ne parle jamais de petite copine. Un jour où elle me prend bien la tête avec ça, je me dis : « Banco ! Tu veux que j’aie une copine ? Tu ne vas pas être déçue ! »

Dans une autre classe, une fille me court après depuis un moment. En plus d’être une fille, elle est moche et je repousse déjà ses avances depuis un bon bout de temps. Cette fois, c’est ok ! Bien que plus jeune que moi, elle n’est pas farouche et rapidement, se pose la question de savoir quand et où on va pouvoir coucher. Je lui propose de me rejoindre le mercredi après-midi suivant, chez moi. Lorsqu’elle arrive, je fais durer le « plaisir » avant de l’emmener dans ma chambre. Elle me croit puceau. Avec une fille, certes oui ; mais présente-moi ton frère et tu verras ! L’heure tourne et nous nous retrouvons sur mon lit. On se déshabille et se caresse un peu. Je suis un peu perdu : j’aime bien avoir les mains pleines, et là, à part ses seins, je n'ai rien à prendre.

Elle me caresse la bite et les couilles et passe même un doigt sur ma rondelle. Malheureusement, elle ne s’y attarde pas. Elle prend ma bite dans sa bouche et me suce un peu puis, elle me demande de mettre ma tête entre ses cuisses. J’y vais, mais j’abandonne vite, très vite. C’est dégueulasse ! Hors de question que je mette ma langue là-dedans ! J’ai déjà envie de vomir... Je tourne autour de sa chatte et je mouille alors mes doigts avec ma salive et la doigte. Elle grimpe vite, trop vite. Attends, j’ai besoin que ça dure encore un peu….

Je me retourne et sa main attrape mes couilles. Ce qui me permet de maintenir une semi-érection. Je regarde furtivement, mais régulièrement, l’heure sur mon réveil. C’est bon ! Je peux y aller !

Je me relève et me mets sur elle. J’empoigne ma bite et me branle en serrant assez fort à la base. Je présente mon gland devant son trou et m’enfonce dans sa chatte. Je la lime doucement. Je regarde l’heure. Elle gémit, mais pas moi : j’écoute ce qu’il se passe en bas. J’entends alors la porte d’entrée s’ouvrir. Ma mère vient tout juste de rentrer du travail. J’accélère alors le mouvement et défonce littéralement ma « copine ». Elle hurle de plaisir ! C’est exactement ce que je voulais. Impossible que ma mère ne l’entende pas. Je crois que tout le quartier l’entend. Mon lit grince et cogne contre le mur. J’y vais tellement fort, qu’une latte du sommier cède. D’accord, elle était peut-être déjà fatiguée. Après m’être bien branlé dans sa chatte, la jouissance arrive. Je me retire et, dans un cri aussi puissant que possible, je l’arrose de mon sperme.

Nous restons quelques secondes et je lui dis que l’un de mes parents est rentré. Il faut se rhabiller et descendre. Arrivés au bas de l’escalier, nous sommes accueillis par ma mère, tout sourire. Elle paraît fière. Elle nous a préparé un goûter et nous dit : « Vous devez avoir faim ! »

Je fais les présentations. Je suis hilare. J’ai réussi mon coup ! Je devrais avoir la paix pour un moment.

Nous prenons notre goûter puis ma « copine » rentre chez elle. Ma mère est rassurée : elle m’a entendu baiser une nana que je largue la semaine suivante.



Avec la réputation de « salop » que mon ex « petite copine » me fait au lycée, je suis tranquille. Plus aucune fille ne me court après. Je poursuis l’année tranquillement, avec les potes, et je suis admis à préparer l’examen du B.E.P. Comptabilité et le C.A.P. Secrétariat.

Pour me féliciter de mes résultats (et peut-être de mon dépucelage hétéro ?), mes parents me laissent partir seul en vacances, sans eux.



11/ Vacances en Hongrie


Il se trouve que j’ai des origines hongroises par ma mère. Une partie de la famille est toujours là-bas et le contact n’a jamais été rompu. Il faut dire, qu’à l’époque, la Hongrie est l’un des pays les plus libéraux du bloc de l’Est, si ce n’est le plus libéral (d’un point de vue sociétal, pas économique ou politique). Ce qui ne semble malheureusement plus être le cas aujourd’hui. Nous nous y rendons, pendant les vacances d’été, tous les deux ans depuis plusieurs années. J’y ai une cousine de mon âge avec laquelle je m’entends très bien.

Bref, cette année, je repars dans ma famille habitant une grande ville du sud du pays. Avec toutefois une grande différence : A 17 ans, j’y vais seul ! Enfin presque, mes parents ne viennent pas, mais l’un des collègues de ma mère a réservé un séjour dans une ville voisine. Ils m’emmènent avec eux en voiture. Deux jours de route avec un arrêt en Allemagne pour la nuit. Je leur sers de guide pour le trajet et, une fois arrivés, ils me déposent chez ma tante avant de partir de leur côté. On se revoit trois semaines plus tard, pour le retour. Mon séjour se passe bien. Je visite le reste de la famille, les grandes villes, des sites touristiques, le cinéma et surtout : la piscine ! J’adore cet endroit. J’y passe toujours de bons moments et c’est aussi l’occasion de manger une spécialité que j’apprécie énormément : les lángos ! Nous y allons au moins une fois par semaine. Les piscines hongroises sont réputées pour leurs eaux bienfaisantes et sont bondées de monde dès qu’il fait chaud. La piscine où je vais le plus est située le long du fleuve qui traverse la ville, dans un grand parc équipé de bungalows sur pilotis pour les familles qui ont pu en réserver. Dans chaque bungalow, il y a deux pièces et une grande terrasse. Cette année, ma tante n’a rien réservé. Il faudra se contenter des vestiaires communs que je ne connais pas encore.

La première journée à la piscine se passe tranquillement avec ma cousine et ma tante. Mon oncle est au travail. Au moment de partir, je me dirige vers le vestiaire pour « hommes ». C’est une pièce rectangulaire avec des bancs et portes manteaux tout le long des murs. Je vois une place libre au fond de la pièce. Je m’y rends. Je croise des hommes ou enfants de tous âges. La plupart sont totalement nus, préparant leurs vêtements de ville. Certains discutent ainsi en prenant leur temps avant de se rhabiller. Je retire mon maillot de bain et fais comme tous ces gens. Je m’essuie puis sors de mon sac mes affaires. Je suis dos à la salle et, moi aussi, je prends mon temps. Lorsque je me retourne pour m’asseoir sur le banc, mes yeux sont immédiatement attirés. Une vision féerique : Deux hommes, je dirais 24 – 25 ans, bruns, cheveux courts et particulièrement bien foutus, sont arrivés entre-temps pour s’installer en face de moi. Ils discutent, rigolent complètement à poil. Tous les deux ont un petit cul bien rond qui paraît ferme. Et quand ils offrent à ma vue leur sexe au repos, WAOHHH ! Je ne peux plus détacher mon regard de ces deux apollons totalement imberbes. Je ne vois pas un seul poil ! Ils finissent par enfiler chacun leur jeans directement sans sous-vêtement. C’en est trop. Je baisse la tête. Me voilà bien !! Je suis seul au milieu de dizaines d’hommes, ne parlant que très peu la langue, entièrement nu avec la bite bien raide et même un peu de mouille au bout du gland. J’en ai oublié de m’habiller….

Je me reprends, enfile mon slip et mon short. Les deux hommes sont partis. Je termine avec mon t-shirt et mes baskets avant de sortir et retrouver ma cousine et ma tante qui m’attendent déjà. Inutile de dire à quoi je pense lors de mes prochaines séances de branle une fois dans mon lit !

La semaine suivante, j’ai eu toute une journée rien qu’à moi. Tous les membres de la famille étaient occupés et ne pouvaient rester avec moi. Depuis le temps que je viens, je connais assez bien la ville pour me débrouiller seul. Au moins pour aller aux endroits connus. J’ai prévu de retourner à la piscine. Va savoir pourquoi ?

Je prépare mes affaires et pars. Je m’installe sur le même coin de pelouse que précédemment et, après un premier bain, je prends un bouquin. Il y a toujours autant de monde. Des gens qui discutent et des enfants qui jouent en criant parfois (souvent !). Je suis sur le dos, les jambes légèrement repliées et écartées. J’ai du mal à me concentrer sur ma lecture. Je regarde aux alentours. Je remarque un jeune homme, à peu près mon âge, qui semble me fixer du regard. Il est accompagné d’adultes et d’enfants plus jeunes. Il est allongé sur le ventre, juste en face de moi. Il a vu directe sur mon maillot de bain et mon entrejambe. Lorsque je tourne la tête vers lui, il détourne le regard. Dès que je regarde ailleurs, il revient instantanément. Notre petit jeu dure un petit moment puis il se lève. Je l’entends dire et comprend qu’il va aux toilettes. En fait, il bande et son maillot de bain ne cache pratiquement rien. Je le suis des yeux. Il me fait un signe de tête m’invitant à le suivre. Ni une ni deux, je me lève et lui emboîte le pas. Il m’attend un peu plus loin, me prend par la main et m’entraîne vers un bungalow. Nous montons. Il me fait comprendre qu’il n’y a rien à craindre et, arrivés en haut, sur la terrasse, m’attrape par les hanches et se colle à moi. Effectivement, il bande bien et moi aussi d’ailleurs. Nous nous frottons ainsi quelques instants. Nos glands sont sortis des maillots. Je passe ma main sur sa bite. Il défait le nœud de son maillot avant de passer au mien. Je prends son manche en main et lui fait de même. En hauteur, nous sommes à l’abri des vues et nous entendons les cris des enfants qui jouent en bas et les parents qui discutent. C’est très excitant. Nous nous branlons mutuellement, l’un en face de l’autre. Au bout de quelques instants, je m’accroupis et pose mes lèvres sur son gland. Je l’entends gémir. Il s’adosse à la paroi de l’une des pièces et tend son sexe dans ma direction. Je n’ai qu’à ouvrir la bouche et son gland me pénètre. J’humidifie bien avec ma salive et commence un lent va-et-vient. Sa bite est plus petite que la mienne. J’arrive facilement à tout prendre. Il gémit, tremble de plaisir avant de lâcher plusieurs jets de foutre dans ma bouche. Il se mord la main en même temps. Je me relève et avale cette délicieuse crème. Il reprend ses esprits et attrape ma bite qui n’a pas débandé. En se collant à moi, sa bite contre ma hanche, il me branle jusqu’à ce que je crache à mon tour, mais par terre. Il me fait une bise sur la joue et me dit merci en hongrois. Je lui réponds et lui indique que je suis français. Par chance, il étudie le français en seconde langue. Nous arrivons donc à échanger quelques mots. En fait, il s’appelle Gabor. Nous avons le même âge. Sa famille a loué le bungalow et il a l’habitude de venir y faire un tout seul. Il en profite pour se taper une branlette en pensant à tous les mecs qu’il a pu mater dans la journée. Il me confie que j'ai déjà fait l’objet de l’une de ses branles, car il était déjà là la semaine dernière et m’a repéré. Jusqu’à aujourd’hui, il n’a jamais rien fait de plus qu’une branlette mutuelle avec un homme. Comme il me reste encore un peu plus d’une semaine avant de rentrer en France, je lui promets de revenir et lui propose de se retrouver ici.

Je retourne à la piscine, avec ma famille, trois fois avant mon départ. Étonnamment, toujours à la même heure, il faut que je me rende aux toilettes. Gabor et moi nous retrouvons au pied du bungalow et la suite est sensiblement identique. Sauf la dernière fois, où il a tenu à me sucer. Il voulait absolument goûter mon sperme et il n’a pas été déçu.



Je rentre de vacances et attaque ma dernière année au Lycée professionnel. Nous sommes en 1981. Je retrouve les potes. Il y a deux ou trois nouveaux que nous intégrons facilement au groupe. L’un de nos camarades a arrêté sa scolarité. Il s’est engagé dans la Gendarmerie. Ne me voyant pas exercer le métier d’aide-comptable, je me dis que ce serait, peut-être, une bonne idée.

Cette année, au niveau cul, c’est le calme plat : Pas de mec et pas de fille. Maintenant, nous pouvons, pour la plupart, sortir le soir. Les week-ends, nous allons en boîte de nuit et rentrons parfois chez nos parents dans un état minable. Nous nous retrouvons aussi tous les mercredis après-midi, mais pour bosser cette fois.

À 18 ans, je suis désormais majeur. Je passe mon permis de conduire que j’obtiens du premier coup. L’idée de faire mon service militaire dans la Gendarmerie fait son chemin. Je participe à plusieurs forums et réunions. Bien évidemment, on nous vend du rêve, comme partout. À l’époque, seul le Brevet des Collèges est nécessaire pour postuler. Je décide de faire mon dossier de candidature. Pour mettre un peu plus de chances de mon côté, je vais chez le coiffeur et coupe mes longs cheveux qui tombent sur mes épaules. Je retire également les piercings que j’ai aux oreilles. Ainsi, je corresponds un peu mieux à un potentiel membre de la communauté militaire. Une fois fait, je prends rendez-vous avec le commandant de la brigade locale en vue d’un premier entretien. Je lui remets mon dossier complet. Au cours de l’échange, j’apprends qu’il connaît très bien ma mère. À la fin, le commandant de brigade me fait savoir qu’il transmet mon dossier de candidature avec un avis : « Très favorable ».

Je termine ma scolarité en obtenant mon B.E.P. et le C.A.P. Début juillet, mes parents sont partis en vacances de leur côté et je suis convoqué pour mes « trois jours » à Vincennes. Je passe tous les tests, mais, à la visite médicale, le médecin militaire détecte chez moi un problème cardiaque qui pourrait justifier une inaptitude. J’insiste et demande des examens complémentaires. Je suis invité à me présenter dans un hôpital militaire à Paris, dès le lundi suivant. Je suis admis pour une semaine d’examens divers et variés. Je suis installé dans une chambre avec deux lits, mais seul, pour le moment...

 

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La suite est ici.

4 commentaires:

Jaques a dit…

Merci bel histoire bandante Bonne pipe..

Xersex a dit…

Une série d'histoires merveilleuses, qui ont en plus l'avantage d'être vraies. L'un des cadeaux de Noël les plus précieux. J'espère que t'ajouteras bientôt d'autres chapitres.

Dune a dit…

Merci pour vos encouragements.
Je publierai une suite dimanche

Jean a dit…

Très beau texte merci et tout mes vœux