Pas le choix, mais il y a de la perte...
45/ Au bureau
Pierre est devant la porte. Il vient tout juste d’arriver ! Il avait envie de me voir et n’a pas pu attendre demain. Je le fais entrer et on s’installe à mon bureau. En fait, il m’avoue qu’il s’est engueulé avec sa copine. Il voulait négocier le droit de passer la semaine avec moi et elle a refusé. Du coup, il est parti et le voilà. Je lui fais remarquer qu’il aurait été bon de m’en parler avant. J’ai peut-être, de mon côté, des choses de prévues pour la semaine. Passons ! Maintenant qu’il est là, je lui propose un café et changeons de sujet.
La conversation dévie rapidement sur la dernière journée passée ensemble. C’est vrai que c’était bon, très bon même. J’en frétille sur mon siège. Pierre, lui, se caresse le sexe au travers de son jeans. Il se lève et me montre le résultat. Avec son jeans moulant, ça lui fait un barreau d’enfer. Il bande et pas qu’un peu !
Je sais que je suis seul dans tout le bâtiment. Mes collègues sont soit en vacances, soit partis en week-end. Je me lève et attrape son paquet par-dessus le bureau. Je dois reconnaître que j’ai envie de prendre sa bite, là, tout de suite ! Pierre le sens et ouvre sa braguette. Il fait le tour de mon bureau et me dit de m’asseoir sur mon siège. Il se présente, la bite à l’air devant mon visage.
J’ouvre la bouche en grand et l’avale, enfin ce que je peux ! Il me tient la tête et me baise la bouche. Le téléphone sonne, je dois répondre… C’est pour une demande de renseignement. Pendant que je renseigne l’usager, Pierre me caresse la tête avec son gland en se branlant légèrement d’une main et me tient toujours de l’autre. Je raccroche et reprends où j’en étais. J’ouvre la bouche le plus possible et m’enfonce d’un coup au plus profond. Mes mâchoires me font mal, mais Pierre me maintient ainsi et recommence ses va-et-viens. Cette fois, nous ne sommes plus dérangés et il se vide au fond de ma gorge en râlant. J’avale ce que je peux. Quelques gouttes ont coulé sur mon uniforme. J’aspire ce que je peux, mais ça se voit. Heureusement, je suis en congé après.
Après avoir remis son jeans, Pierre me demande de m’asseoir sur le bord de mon bureau. Il prend mon fauteuil et s’installe à ma place, la tête entre mes cuisses. Aussitôt, il défait ma ceinture et ouvre la braguette de mon pantalon. Ma bite, sous mon caleçon, est comme libérée. D’une main, il la sort et commence à me branler. Je mouille. Il approche son visage et passe sa langue sur mon méat pour récupérer mon liquide. Je gémis. En me regardant, il ouvre la bouche et prend mon gland entre ses lèvres. Il l’aspire et joue avec sa langue avant de s’enfoncer à son tour sur mon pieu. Avec sa langue, il compresse mon gland au fond de sa bouche et fait de petits va-et-viens. Je ne tiens plus et le préviens que je vais jouir.
Pierre se retire d’un coup, s’écarte et me fini en me branlant. J’arrose le mur d’une bonne dose de sperme. Je ne me suis pas branlé depuis son départ, mardi dernier. Je reprends mon souffle et me rhabille.
Nous reprenons nos places et Pierre me dit d’un air satisfait : « Au moins, je peux dire qu’un vrai militaire en uniforme m’a sucé et qu’il a tout avalé ! »
Je vais pour lui répondre quand la porte des bureaux s’ouvre. C’est mon camarade Jean-Luc qui rentre de week-end. Je suis troublé. On a eu chaud ! Je ne l’ai pas entendu rentrer son véhicule dans la cour, ni même ouvrir le portail. Il vient vérifier le service du lendemain et commence à discuter avec nous. Pierre se présente comme un ami. Pour ma part, j’essaie de ne pas trop bouger. Mon sperme coule toujours sur le mur derrière moi !
Dune