Mon journal - II -

 II – LES VOYAGES FORMENT LA JEUNESSE ET PAS QUE...

12/L’hôpital militaire avant incorporation

Dès mon arrivée dans cet hôpital, je remarque un infirmier que je trouve très beau. Il est grand, mince, mignon et métis. Je passe ma première soirée, seul dans ma chambre, à m’imaginer faire des choses avec lui. Je ne tarde pas à arroser mes draps de mon sperme.
La seconde journée, alors que je reviens d’une batterie d’examens, un jeune homme, plus âgé que moi, est installé sur le lit d’à côté. Il vient d’être incorporé, mais ne veut pas faire son service militaire. Il me précise qu’il est prêt à tout pour parvenir à se faire réformer. Je lui indique que pour moi, c’est l’inverse. Chacun respectant le choix de l’autre, une fois seuls dans la chambre, nous discutons beaucoup.
Le soir, il me dit qu’il serait même capable de se faire passer pour un homosexuel afin d’être réformé. Intrigué (et subitement intéressé) je lui demande jusqu’où il serait capable d’aller. Il me répond qu’il pourrait tailler une pipe à un mec, en espérant se faire choper, mais pas plus. C’est malin, je bande moi maintenant ! Comme je n’ai pas l’intention d’être ce mec, je remonte une jambe sous mes draps, afin de cacher la bosse qui prend encore du volume sur mon bas-ventre. S’il espère se faire prendre dans cette position, pas moi ! Ce serait l’inaptitude assurée. Nous en restons là et je m’endors.
Je sens quelque chose d’humide autour du gland. Je suis sur le dos. Je bande. J’ouvre un œil. Il fait nuit. Il n’y a pas un bruit dans l’hôpital. Tout le monde dort. Je sens aussi quelque chose qui maintient mes couilles et les malaxe doucement. Je n’ose pas bouger. Je regarde vers le lit de mon voisin. Il est vide ! Je baisse la tête vers mon bas-ventre et je vois son crâne. Merde ! Il me suce ! Je ne veux pas, mais j’apprécie énormément sa délicatesse. Ce n’est pas un expert, mais c’est bon. Et puis, ça fait tellement longtemps….
Je me laisse aller et écarte légèrement les cuisses. Maintenant, il sait que je suis réveillé. Il s’arrête en tenant ma bite dans sa main, me regarde et me demande s’il peut continuer. Je lui réponds qu’au point où nous en sommes, il peut y aller. Je lui caresse la nuque puis descends dans son dos. Il arrête ma main lorsque j’arrive à la naissance de ses fesses. Pas touche ! Ok ! Je remonte et il prend de l’assurance. Il me pompe plus rapidement et plus loin. Je le préviens que je vais venir. Il se retire d’un coup et je crache sur mon torse une dose massive de sperme épais. Il repart aussitôt vers son lit et regarde le plafond. Je ramasse mon sperme avec les doigts que je porte discrètement à ma bouche. Puis, je l’entends demander tout haut : « Mais putain, il passe faire sa ronde à quelle heure, l’infirmier ? »
J’apprécie très moyennement l’idée qu’il se soit servi de moi. Heureusement, la ronde est faite plus tard et je le sais déjà. Je ne lui dis rien à ce sujet. Dans le même temps, j’avais les couilles pleines et il m’a fait du bien. Le lendemain, je lui propose de se chercher un volontaire dans une autre chambre, en profitant des pauses entre les examens. Il doit bien y avoir un autre mec comme lui, prêt à tout pour se faire réformer ! En attendant, à partir de maintenant, je dors sur le ventre et en sous-vêtement !
La nuit suivante, mon voisin a dû trouver un volontaire, car je le vois se lever et sortir de la chambre. Je dors lorsqu’il revient. Le matin, il me dit que l’infirmier, celui qui est beau gosse, a une énorme bite. Qu’il ne peut pas la prendre en entier dans la bouche. Purée !!!! Il se tape l’infirmier !!!! Je suis frustré, mais fais mine de rien. Comme il est de nuit en ce moment, ils doivent se retrouver la nuit prochaine. Il espère un coup de main de sa part pour la réforme.
Effectivement, je vois mon voisin sortir de la chambre la nuit suivante. Au bout de quelques minutes, tout le service est réveillé par des cris et des bruits sourds. Comme quand quelqu’un se bat. Je me précipite dans le couloir en slip. Je ne suis pas le seul. Une porte s’ouvre et tout le monde voit mon voisin de chambre sortir de la pièce en gueulant. Il est suivi par le bel infirmier qui se tient la mâchoire d’une main et le pantalon de l’autre. Des gradés, alertés, sont arrivés.
Mon voisin de chambre ne décolère pas. Il explique aux gradés que l’infirmier a tenté de l’enculer alors que lui ne demandait qu’à lui tailler une pipe. L’infirmier confirme d’un geste de la tête. Ils sont emmenés tous les deux par les gradés et chacun de nous regagne sa chambre.
Le lendemain, au réveil, mon voisin de lit fait ses bagages. Il est heureux. Il a obtenu satisfaction. Il est réformé, mais l’infirmier également.

Je termine mes examens. Je suis reconnu apte pour le service et je rentre chez moi le vendredi. J’ai encore deux semaines avant le retour de mes parents. Je cours beaucoup et vais régulièrement à la piscine municipale qui se trouve juste à côté de la maison. Le soir, je reprends aussi mes activités quotidiennes devant ma fenêtre de chambre. Ensuite, je m’installe dans le jardin avec mon télescope jusqu’à ce que mon envie de dormir prenne le dessus.
Lorsque mes parents rentrent et reprennent le boulot, ils me proposent de postuler pour un emploi temporaire à la Mairie de notre commune. La ville recherche quelqu’un de sérieux pour garder des bâtiments municipaux la nuit (salle de sport, écoles…) pendant des travaux de ravalement de façades et changement de fenêtres. Les polices municipales n’existent pas encore. Cela émerge à peine dans quelques villes. Ne sachant pas quand aura lieu mon incorporation, j’accepte et me présente dès le lendemain à la Mairie. Le poste est pour moi. J’ai un contrat de trois mois. J’attaque le soir même. Je dois assurer une présence et une surveillance active des bâtiments (un à la fois) de vingt-deux heures à six heures le lendemain. Je suis seul. Des patrouilles de police passent régulièrement me rendre visite pour vérifier que tout va bien. En cas de besoin, je peux téléphoner à mon responsable et au commissariat.
Dès la fin de mon contrat, je reçois la visite d’un gradé de la brigade de gendarmerie locale. Il me remet mon ordre d’incorporation. Je dois me rendre à Auxerre pour le 02 décembre 1982.
Je profite de mes derniers jours pour dire au revoir aux copains et copines du lycée, ainsi qu’à la famille.
 

*
 
13/ Service militaire :

Après avoir fait mes classes à Auxerre, puis le peloton « gradé », je suis affecté dans une unité d’autoroute dans le sud de la France. Nous sommes 15 militaires appelés du contingent. Nous occupons deux logements de type HLM situé au rez-de-chaussée d’un immeuble qui abrite l’ensemble de notre encadrement. Mon grade me permet d’obtenir une chambre individuelle. Mon intégration se passe très bien. Parmi mes camarades, j’en remarque deux en particulier. L’un est mince et brun, l’autre est blond et très bien foutu. Ancien espoir dans un club de foot près de Dijon, ce dernier a dû renoncer à sa carrière sportive suite à une blessure. Ils ont deux ans de plus que moi. Nous devenons tous les trois amis. Craquant habituellement sur les bruns, je jette mon dévolu sur Olivier, le brun. Mais rien n'y fait. Il n’est pas réceptif. Les mois passent et il ne se passe rien. Quelques jours avant sa libération, nous sortons faire la fête. Nous sommes avec Patrick, le blond, qui, lui aussi, est sur le départ. Nous nous remémorons les bons moments passés ensemble quand Patrick part aux toilettes. Olivier en profite pour me dire qu’il a compris depuis longtemps où je veux en venir avec lui, mais qu’il n’est pas intéressé. Il m’assure qu’il restera muet sur ce fait. Sinon, c’est le renvoi assuré pour moi. Il espère sincèrement me revoir après le service. D’autant que je dois être muté en région parisienne dans le cadre de mon volontariat pour un service long. La soirée se passe et nous rentrons dans nos appartements. Patrick loge dans le mien et Olivier dans l’autre. Tous les autres occupants de notre appartement sont en permission. Je me retrouve donc seul avec Patrick. Nous continuons à discuter, chahutons un peu et rigolons beaucoup, comme d’habitude. Puis, je lui indique que je vais me coucher et lui souhaite une bonne nuit. Il part dans sa chambre.
Je me déshabille et me couche, nu, comme à chaque fois. Alors que je m’apprête à éteindre la lumière, ma porte s’ouvre. Patrick porte un slip blanc, modèle fourni par l’armée. Il se précipite et se jette sur mon lit. Il tente et arrive à passer ses bras sous mes draps et me chatouille. Il passe ses mains partout où il peut sur mon corps. Ce que je devine dans son slip semble lourd et impressionnant. Cependant, je n’y suis pas du tout et tente de résister et lui rendre ses chatouilles. Patrick est sur moi, je réalise qu’il a retiré mes draps et je ne peux empêcher une totale érection. Aussitôt, il prend mes couilles à pleines mains. Je m’arrête enfin et me laisse faire. J’ose enfin regarder plus attentivement son slip et je vois un paquet qui me paraît énorme avec un barreau qui ne demande qu’à sortir. Pas un poil ne dépasse. Visiblement, il bande aussi ! Je passe ma main sur son slip. Je sens une masse bien épaisse, longue et surtout pesante. On se regarde. Plus personne ne bouge. Je donne le signal en baissant son slip et en libérant une bite bien veineuse qui dépasse mes espérances. Elle est au niveau de mon visage. Ses poils pubiens sont taillés courts, mais pas rasés. Surpris et ravi, j’ouvre la bouche. Patrick en profite et enfonce son gland entre mes lèvres. Je dois tellement écarter que cela me fait mal. Je sens alors Patrick commencer un va-et-vient dans ma bouche. Il y va doucement. Je ne peux pas tout prendre. Je lui caresse le dos, ses fesses musclées. Je suis excité comme jamais. Il me caresse les couilles et la bite. La mienne est beaucoup plus fine et plus petite, même si elle est, tout de même, au-dessus de la moyenne. Patrick se retire d’un coup. Il est sur le point de jouir et ne veut pas tout de suite.
Je l’aide à finir de retirer son slip puis il s’allonge sur moi, bite contre bite. Nous nous caressons. Pas un centimètre de peau n’est oublié. Je sens son corps musclé. Je m’aventure à passer un doigt vers son anus, mais il sert les fesses. Je retourne vers sa bite. Elle me fascine. Il refuse également que je l’embrasse sur la bouche. Maintenant, c’est lui qui s’approche de ma rondelle. Je la sens s’ouvrir sous ses caresses. Je soulève mes jambes. Son gland se présente tout seul à l’entrée. Je lui dis alors : « Vas y !! Prends-moi !! » Ce sont, je crois, mes seules paroles prononcées depuis qu’il s’est jeté sur moi et ce seront les seules avant la fin.
Visiblement surpris, mais excité, il crache dans ses mains pour lubrifier son gros pieu et tente de me pénétrer. Ça ne veut pas ! Mon petit trou n’a pas reçu de visite depuis plusieurs mois et l’excitation actuelle ne suffit pas à permettre l’entrée de son gros chibre. Il se lève, repasse son slip et part en me disant de l’attendre. Il revient très rapidement. N’ayant pas de gel sous la main, il est parti chercher du beurre dans la cuisine de l’autre appartement. Par chance, personne ne l’a vu. Je sors du lit et me mets debout contre le mur en écartant les jambes. Comme si j’allais me faire fouiller. En fait si, j’allais me faire fouiller par l’engin de Patrick. Et quel engin !!
Patrick introduit ses doigts dans mon trou et y dispose quelques morceaux de beurre. Il lubrifie son sexe qui n’a pas débandé et se présente à ma porte. Je le sens qui force le passage. Il pousse et je sens son gland me pénétrer, doucement, mais sûrement. Une chaleur m’envahit. J’ai le cul en feu. Patrick ne bouge plus quelques instants et, dès que je me détends, reprend sa progression. Je sens chaque millimètre de sa bite me pénétrer. Il m’écartèle la rondelle. Il se sert contre moi. Je sens son souffle sur ma nuque. Son torse chaud et imberbe caresse contre mon dos. Ses bras musclés et ses mains remontent sur mon torse. Il reste ainsi quelques secondes avant de commencer un lent va-et-vient. Je me détends encore. Je sens ses lourdes bourses taper contre mes cuisses. Il met une main sur ma bouche pour m’éviter de crier. Il accélère le mouvement. Je sens sa sueur couler dans mon dos. Puis, il s’enfonce à fond. Il se cramponne à moi et je sens mon cul se remplir d’un liquide épais et chaud. Nous restons ainsi quelques instants avant que Patrick ne se retire. Il me fait une petite tape sur la fesse et me souhaite une bonne nuit en précisant de ne pas trop rêver à ses 23 centimètres. Son sperme coule sur le sol.
J’efface toutes les traces avant de me coucher.
Après une courte, mais très bonne nuit, je me lève heureux et satisfait. Je retrouve mes camarades dans la cuisine pour le petit déjeuner.  Patrick est là, en short de sport blanc. Il m’ignore et ne m’adresse pas la parole. Je ne comprends pas, mais je ne peux rien dire. À l’époque, l’homosexualité n’est pas tolérée dans l’armée. Deux jours après, Patrick et Olivier rentrent chez eux, libérés de leurs obligations militaires.
J’apprends plus tard, par Olivier, que Patrick avait une copine ; il s’est marié peu de temps après son retour. Olivier rajoute : « je ne sais pas pourquoi, mais Patrick veut oublier cette période et ne veut plus voir personne. Tu aurais une idée ?  » Je réponds que je ne sais pas...
 
À la faveur d’une demande de volontariat, j’ai postulé pour intégrer une unité constituée dans le but d’effectuer une mission de quatre mois sur un théâtre d’opération extérieur. C’est une première. C’est la première fois que la gendarmerie participe à ce genre de mission en envoyant des appelés du contingent. La seule condition est d’être agréé pour intégrer une école sous-officier à l’issue de son service militaire. C’est mon cas. Je suis muté en région parisienne en tant que volontaire service long. Je rempile pour six mois de plus.
Les hommes du rang sont des gendarmes auxiliaires comme moi. L’encadrement est composé de sous-officiers et officiers d’active. Les quatre premiers mois sont consacrés exclusivement à la formation militaire.
J’ai vingt ans depuis une semaine lorsque nous partons pour un pays de l’Est du bassin méditerranéen. Avec mon peloton, nous sommes chargés de la sécurité du consulat de France. Nous sommes déployés dans le cadre d’une force multinationale.
Au bout de deux mois, les forces françaises sont les dernières à quitter la capitale de ce pays. La force multinationale est dissoute. Toutes les autres troupes étrangères sont déjà parties. Nous devons rentrer. Le bilan humain n’est que de trois blessés légers pour notre unité. Nous sommes relevés par un escadron de gendarmerie mobile. Pour eux, le bilan sera plus lourd puisqu’ils compteront deux morts.
Nous réintégrons notre caserne en région parisienne.
 

*
 

 14/ Exhibition et Voyeurisme à la caserne
 
 À la caserne, nous sommes douze par chambre, avec des lits superposés. À notre retour de permissions, il reste environ un mois avant le départ en école sous-officier. Nous bénéficions d’une semaine de permissions et rejoignons tous nos familles. À la fin de cette semaine de congés, j’arrive assez tôt la caserne. Ma chambre est déserte au début et se remplie au fur et à mesure des arrivées.
Je suis déjà au lit lorsque mes deux voisins de lits d’en face arrivent. Ce sont les derniers de la chambrée. Ils se mettent rapidement en slip et se couchent. L’un d’eux fait ma taille, typé asiatique, mon âge. Il a le lit du bas. L’autre, Alexandre, est plus petit (taille limite réglementaire), brun, poilu et plus âgé. Hétéro, il est marié et père d’une petite fille. Depuis le début, tous les mecs sont admiratifs de la taille de son sexe. Alors que nous ne l’avons vu qu’au repos, il a une vraie bite de cheval, accentuée par sa petite taille.
Avec les allées et venues et la lumière qui s’allume constamment dans le couloir, je ne dors pas encore. Lorsqu’il fait noir, j’entends Alexandre et son voisin de lit chuchoter. Quand la lumière s’allume à nouveau, quelle vision !! Alexandre se tient debout, de profil, en face de moi. Notre camarade, qui est assis sur son lit du dessous, lui suce la bite. Rapidement, ils se séparent et chacun se recouche. Mais c’est trop tard, je les ai vus !
Même si je n’en vois pas les détails avec la pénombre, quelle bite ! Déjà au repos, c'est impressionnant, mais là ! Elle paraît vraiment démesurée.
Instantanément, ma bite gonfle et se redresse. Je la prends en main et me caresse doucement. Alexandre l’avoue facilement : il est accro au sexe. C’en est presque maladif. Passé un certain point d’excitation ou d’envie, il se fout de savoir où et avec qui il se trouve. S’il a envie de se vider les couilles, il le fait.
Je caresse lentement ma bite d’une main, alors que de l’autre, je malaxe mes burnes, sans oublier de passer un doigt sur ma rondelle. La lumière s’éteint et les murmures reprennent à nouveaux. Les lits superposés grincent un peu. Puis, j’entends un « Ohh oui !!! » en sourdine, mais assez distinct. Ils insistent et remettent ça. J’en suis persuadé. J’augmente la pression sur ma queue. La lumière du couloir s’allume encore. Bingo ! J’avais raison !
Mais, cette fois, ils continuent au risque que la porte ne s’ouvre. Je suis aux premières loges avec un très bon angle de vue. Ils sont de profil. Alexandre a retiré son slip et se fait caresser les fesses. Son énorme bite va et vient dans la bouche de notre camarade du dessous. Alexandre lui tient la tête d’une main. Ce doit être un spécialiste des gorges profondes, car il le prend très bien. La lumière n’est pas encore éteinte que je vois Alexandre se crisper, se cramponner d’une main à son lit et, de l’autre, maintient la tête de notre camarade, sa bite bien enfoncée dans sa bouche. Alexandre gémit, immédiatement suivi du second qui ne cherche visiblement pas à se libérer. Je peux l’entendre déglutir. Alexandre jouit dans sa bouche et il avale tout !
La lumière s’éteint à nouveau. Je ne tiens plus et j’évacue une bonne dose de foutre sur mon torse. Je ramasse ce que je peux avec mes doigts que je lèche dans le noir. J’espère pouvoir assister à une nouvelle scène de ce genre. Et, pourquoi pas, me joindre à eux. Malheureusement, ils se feront beaucoup plus discrets par la suite et, de toute façon, nous allons bientôt tous être éparpillés dans les différentes écoles sous-officiers. 
 
 
Bien évidemment, je ne suis pas le seul à assister à la scène. Si je ne parle de rien, des bruits courent rapidement entre les appelés...
Après une semaine, nous bénéficions d’une nouvelle permission, la dernière avant de revenir pour deux jours, finir notre service et rendre le paquetage. Je repars chez mes parents.
 

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 15/ Quand tu rates ton train :

Je suis en permissions dans ma famille, en Normandie. Je dois reprendre le train pour retourner à la caserne pour mes deux derniers jours de service militaire. Ensuite, je pars directement vers Strasbourg rejoindre l’école sous-officier en Allemagne. Mon grand frère doit me déposer à la gare. Nous sommes en retard. Je vais louper mon train. Enfin, nous partons, la circulation est dense et ce qui devait arriver, arriva. Lorsque j’arrive sur le quai – avec mon frère qui, heureusement, m’accompagne – je vois mon train partir.
Normalement, une fois à Paris, j’ai 30 minutes de battement sur place avant de reprendre le dernier train en direction de la garnison. Mon frère, se sentant fautif, me dit de monter dans la voiture et nous voilà partis immédiatement sur Paris, qui se trouve à un peu plus de cent kilomètres. Nous sommes dimanche soir et, bien évidemment, il y a de la circulation. Je vois l’heure tourner et nous n’avançons pas beaucoup. Nous arrivons à la gare de Lyon à Paris après le départ du dernier train. Mon frère rentre et me laisse là. Je prendrai le premier train demain matin. Il pleut et il fait froid. Je tourne un peu dans la gare et je retrouve un camarade qui se trouve dans la même situation que moi.
Mon camarade est brun, un peu grassouillet alors que je suis blond, musclé, fin et sec. Nous nous installons dans un coin de la gare et nous nous préparons à passer la nuit sur place, mais la police passe pour évacuer les lieux avant la fermeture de la gare. Nous sommes contraints de sortir. Nous nous abritons sous un abribus quand un homme nous aborde.
Il est grand, noir, la trentaine et très avenant. Il nous indique qu’il attendait deux amis qui ne sont pas venus, il habite juste à côté de la gare et se propose de nous héberger pour la nuit, vu le temps et le froid. Il ne nous faut pas longtemps pour accepter. Je ne me voyais pas passer la nuit dehors sous la pluie et je n’ai pas assez d’argent sur moi pour payer une chambre d’hôtel. Nous le suivons jusque chez lui.
Effectivement, il n’est pas loin. Nous nous mettons à l’aise pendant qu’il nous prépare une boisson chaude. Il nous installe dans le salon dans lequel je peux voir tout un tas de photos accrochées au mur. Ce sont des danseurs entourant une artiste très connue de l’époque et malheureusement décédée aujourd’hui. Lorsqu’il revient, il est en t-shirt et caleçon. Un canon ! Des jambes et des bras musclés, un ventre plat, l'ensemble est parfaitement proportionné. Malgré mes tentatives furtives, je n’arrive pas à discerner ce qu’il cache sous son caleçon. J’apprécie énormément sa plastique, mais je dois faire beaucoup d’effort pour le cacher à mon camarade. 
    C’est là que je remarque que notre hôte est sur toutes les photos accrochées au mur. J’engage la conversation sur le sujet en buvant notre boisson. Il n’est pas loin de quatre heures du matin. Le premier train est à 06 heures 15. D’un coup mon camarade se lève et demande où nous allons dormir. Il se sent très fatigué. Notre beau danseur nous indique alors qu’un d’entre nous dormira sur un matelas à côté du lit et que l’autre partagera le lit avec lui. Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que mon camarade réagit : « je prends le matelas ! »
Nous nous couchons en sous-vêtement. Je me dépêche de me glisser sous les draps, car je suis déjà en érection et mon slip a du mal à tout contenir. À vrai dire, mon gland dépasse de la ceinture de mon slip. Mon camarade est couché sur un matelas juste de l’autre côté du lit. Notre hôte nous rejoint, se couche, éteint la lumière et s’installe dans son lit, à côté de moi, ou plutôt, à moitié sur moi….. Tout son côté gauche est sur moi. Mon bras droit se retrouve coincé sous son corps et je ne peux pas bouger. Mon cœur bat la chamade. J’ai l’impression qu’il s’emballe. Je ne dis rien et j’attends. Je n’ose pas !
Je sens, par-dessus les draps, une main se poser sur ma cuisse. Très doucement, cette main remonte. J’ai l’impression que cela prend une éternité. Puis, il arrive au niveau de mon sexe. La main se pose sur mon sexe et mes couilles. Il constate aussitôt mon état d’excitation. Il me malaxe les couilles. Il souffle un peu fort, lui aussi est excité. Il tourne la tête et me dit tout bas dans l’oreille : « Ne t’inquiète pas, ton copain dort déjà….. Il ronfle doucement ! ».
Je tourne ma tête vers lui et nous nous retrouvons bouche contre bouche. Nos langues se cherchent et se trouvent. Il se tourne en libérant mon bras droit. Nous nous enlaçons aussitôt et l’une de mes mains part à la conquête de son entre-jambe. En passant, je caresse ses fesses. Elles sont bien rondes et fermes. Je glisse mes doigts dans son caleçon. Je ne suis pas déçu !! Catégorie TTBM !! J'attrape son sexe bien raide. J’ai du mal à en faire le tour. Je le caresse, lui prends les couilles et me retourne. Lui, baisse mon slip pour avoir accès à mes couilles, ma bite et mon trou du cul. Je présente mes fesses face à son gros manche que je tiens toujours. Je ne veux pas le lâcher, de peur de le perdre. Je place son gland contre mon trou. Je fais des petits mouvements avec mes fesses. Je veux qu’il me prenne là ! Maintenant !
Il a bien compris le message et se retourne pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit. Mes yeux se sont habitués à l’obscurité et j’arrive à tout distinguer. Il prend du gel, en met sur ma rondelle et son sexe. Nous sommes allongés sur le côté et je le sens qui entre. Cette fois, ça rentre tout seul. Cette bite n’a rien à envier à celle de Patrick (que je n’ai pas oublié), même plus imposante encore. Le gel aidant, je la sens me fendre sans douleur. Je crois bien que j’ai fait les quatre coins du lit. Il m’a limé pendant un temps admirablement long et dans toutes les positions. Il jouit en premier. Je suis sur le dos, au milieu du lit, les jambes en l’air. Lui est debout, sa bite me perforant de tout son long quand il lâche la purée tout au fond. Nous nous retenons de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller mon camarade, mais franchement, là, j’en ai, et depuis un moment, plus rien à faire. Le plaisir est beaucoup plus important !
Après un petit instant, mon étalon se retire et s’absente en me demandant de l’attendre. Il veut me faire jouir à son tour. Avec du mal, je réussis à résister à l’envie de me finir pour dormir un peu. Je ne sais pas l’heure qu’il est. Je le vois revenir et se présenter à moi, nu, avec la bite à demi bandée et encore imposante. Il se met de côté et descend son visage vers ma bite toujours bien raide. Il embrasse mon gland mouillé. Tourne sa langue et descend pour la prendre en entier. Avec une telle excitation et après un tel traitement, je ne tiens pas longtemps. En effet, je finis par envoyer de gros jets de sperme dans sa gorge. Je sens que ça n’arrête pas. Je n'ai jamais autant craché. Je sens que c’est bien épais, consistant. Il lâche ma bite et me regarde tout en avalant mon sperme. Cette vue motivera quelques séances de branles à la caserne pour les semaines à venir….
J’en veux encore !
Je me retourne et grimpe sur lui. J’aperçois mon camarade qui dort à côté. Je roule une pelle à mon danseur et descends à mon tour tout en le léchant. J’arrive au niveau de son membre qui a retrouvé sa forme. Je passe ma langue tout autour de son gland. Je lèche sa bite sur toute la longueur. Je ne veux pas rater un millimètre. Je prends ses grosses couilles une à une dans ma bouche. Je joue avec ma langue. Je remonte et prends son sexe à pleine bouche….. Enfin, ce que je peux. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge et la ressort. À chaque fois, j'essaie de la prendre plus profond. Il me tient la tête et appuie quand je sens un liquide chaud et épais envahir ma bouche. Il se crispe et gémit. À mon tour, j’avale son jus….
Ce sera mon petit-déjeuner, car aussitôt, le réveil sonne. Nous nous précipitons pour remettre nos sous-vêtements. Nous avons vingt minutes pour prendre notre train. Ainsi, quand mon collègue ouvre un œil, nous venons officiellement de nous lever après une courte nuit de sommeil.
Nous nous habillons puis nous prenons congé de notre hôte. Je n’ai pas eu le temps de lui demander ses coordonnées. Je ne sais même pas comment il s’appelle. Nous sautons dans notre train et arrivons juste à l’heure pour le rapport. Je n’ai jamais su si mon camarade avait vu ou entendu quelque chose. La journée à été très longue mais le souvenir de cette nuit m’a aidé à tenir.

Après avoir rendu notre paquetage, nous sommes libérés de nos obligations militaires, mais, comme nous sommes tous admis en école sous-officiers, nous rejoignons Paris et nous dispersons en fonction de nos affectations en école. Nous nous retrouvons une petite trentaine à prendre le train pour Strasbourg.
Je me retrouve assis en face de mon camarade Alexandre dont j’ai pu admirer le profil avantageux, surtout quand il se fait pomper le manche. Un mec, qui n’était pas de notre chambrée, revient sur l’épisode de la pipe et lui demande si cela s’est réellement passé. Notre camarade confirme tout en précisant qu’il espère que cela n’aura pas de suite, ni de conséquences. Il explique qu’il a fini par céder aux avances de l’autre collègue, car il était en manque de sexe et que l’autre se proposait avec insistance. Depuis, il ne le lâche plus et l’a même relancé pendant les vacances. Enfin, Alexandre est soulagé de savoir qu’ils ne sont pas dans la même école. Personne ne semble offusqué et la discussion bifurque sur un autre sujet. Moi qui commençais à me dire que j’avais peut-être mes chances de me taper Alexandre, ça sent le roussi. En plus, il y a tout ce qu’il faut à Berlin pour se vider les couilles. Alexandre ne devrait pas être en manque trop longtemps. 
Deux semaines après notre arrivée, Alexandre est convoqué chez le commandant de l’école. Ce dernier vient de recevoir un appel téléphonique du Ministre de la Défense en personne. Le contrat d’Alexandre est résilié avec effet immédiat. Il a deux heures pour faire ses bagages avant de prendre un avion pour Paris, payé par l’Armée.
Entre deux cours, il vient nous dire au revoir rapidement. Il nous raconte qu’en fait, le mec qui l’a sucé pendant le service militaire n’est autre que le neveu d’un autre ministre en exercice. Alexandre ayant mis fin à leur relation, celui-ci a tout raconté à son oncle. Résultat, ils sont virés tous les deux, officiellement pour avoir eu des relations homosexuelles au sein de l’institution.
Je ne dis rien, mais je n’en mène pas large. Et si mon camarade me dénonce, après la nuit que nous avons passée à Paris chez ce beau danseur black ? Ce serait la fin de mon contrat et, à coup sûr, le renvoi de chez mes parents.
Après quatre mois, nous bénéficions d’une permissions. Je rentre chez moi. 


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16/ Centre-ville

Je suis en permissions chez mes parents en Normandie. Célibataire, il m’arrive souvent de sortir seul pour faire les magasins ou aller au cinéma. Nous sommes en semaine. Ce soir-là, je suis au cinéma situé rive droite et, n’ayant pas de voiture, je rentre chez mes parents à pied.
C’est l’été. La température est encore agréable vers 23 heures. Je marche tranquillement, sans me presser. Il n’y a plus personne dans les rues. Je passe le pont et continue tout droit. Je suis sur une avenue assez large, au niveau d’un immeuble résidentiel, lorsque j’entends quelqu’un siffler avec insistance derrière moi. Je me retourne et j’aperçois, sur le trottoir opposé, un jeune homme qui me fait de grands signes. Il est arrêté à l’entrée d’une résidence et ne semble pas vouloir avancer plus. Je ne me pose aucune question et je fais demi-tour pour aller à sa rencontre. On verra bien.
Je traverse l’avenue et arrive à sa hauteur. Je suis accueilli par un garçon très souriant, visiblement heureux de voir que j’ai répondu à son appel. Brun, ma taille, mince, peut-être un peu plus jeune que moi. Nous nous saluons. Aussitôt, il porte l’une de ses mains au niveau de son sexe et me demande :
« Lui :  ça te dit ? 
Moi : Je ne dis jamais non... (en passant ma langue sur mes lèvres et fixant son jeans).
Lui : Suis moi ! »
Nous marchons l’un à côté de l’autre, dans notre direction initiale, pendant plusieurs minutes. J’apprends qu’il m’a repéré au cinéma. Nous avons vu le même film. Il n’a pas osé m’approcher tout de suite, car j’étais placé au milieu de la salle. Par contre, il a été agréablement surpris de voir que nous prenions la même direction en sortant du cinéma. Il est donc resté en arrière pendant un bon moment. Après le pont, voyant que je prenais la même direction que lui, il s’est décidé à m’appeler.
Après la résidence, il y a un grand bâtiment municipal avec un petit parc public. Nous nous y rendons. Mon inconnu cherche un bosquet. Le troisième est le bon. Il me fait signe de le suivre.
Aussitôt entré, il se jette sur moi et m’enlace, me caresse au travers de mes vêtements légers. J’en fais de même. Il dégrafe rapidement mon pantalon et prend mes couilles à pleine main. Je bande raide comme jamais. En fait, je bande depuis que je suis allé à sa rencontre. Je caresse ses fesses et essaye de passer devant, pour prendre sa bite à mon tour. Il me retient et remet ma main sur ses fesses qu’il cambre. Pendant qu’il malaxe mes couilles et ma bite, je glisse mes doigts dans sa raie. Je trouve son anus. Il gémit un peu et s’offre encore plus. Il veut que je le prenne ! Moi qui ne suis que passif…
Nous restons debout. Nous retirons nos pantalons et ne gardons que le haut. La situation m’excite au plus haut point. Je vais le prendre… ici, dehors, en pleine ville ! Ma bite est raide comme elle n’a jamais été. Il se penche sur elle et l’avale. Il gobe mon gland. Je sens qu’il bave beaucoup. Nous n’avons pas de gel (pas de capote non plus), la salive fera l’affaire. Puis, il se redresse et se retourne. Debout, il me présente son cul et se penche en avant. Il écarte les jambes, prend ses fesses à deux mains et s’offre en me demandant de l’enculer.
Je prends ma bite bien raide et la présente devant son trou. Il s’ouvre. Je pousse et mon gland entre. C’est chaud. C’est doux et ferme en même temps. Il gémit et me dit d’aller plus loin. Je m’enfonce doucement. C’est une première pour moi ! C’est le premier mec que j’encule. D’habitude, c’est moi qui prends ! Je commence mes va-et-vient lentement. Son anus se détend. Je m’enfonce encore. J’aime beaucoup cette sensation de douce pression et de chaleur sur ma bite. Il se cramponne à une branche de l’arbuste. Maintenant, je sens mes couilles battre sur ses fesses. J’accélère. Il gémit de plus en plus en faisant attention d’étouffer le son.
D’un coup, nous arrêtons tout. Restons immobiles et retenons notre souffle. Je suis bien au fond de lui pendant qu’un véhicule de police passe à quelques mètres, juste devant nous, dans la rue transversale. Nous voyons la voiture tourner et s’éloigner. Ils ne nous ont pas vus….
Je reprends mes mouvements. Je le tiens par les hanches. L’excitation est à son comble. Je me cramponne à lui. Je le plaque tout contre moi. Je le préviens que je vais jouir et lui me répond de le remplir…. Ma bite est bien à fond dedans quand je lâche la purée. Je ne peux m’empêcher de crier. Lui aussi. J’envoie plusieurs jets de sperme au fond de son trou. Je me colle à lui avant de me retirer après quelques secondes. Il se retourne et s’accroupit. Il prend ma bite dans sa bouche et me nettoie. Nous nous rhabillons et nous séparons après un merci mutuel.
Depuis, lorsque je vais au cinéma, je me place au fond de la salle. On ne sait jamais...

Suite aux évènements survenus au début de la formation avec Alexandre, je ne fais pas parler de moi de tout le stage. J’évite la boîte gay qui se trouve à proximité de la caserne, car l’entrée de celle-ci est surveillée de l’ouverture à la fermeture. Si un militaire entre, il est renvoyé dès le lendemain.
À l’époque, le mur n’est pas encore tombé. Je suis toujours, officiellement, hétéro. Alors, pour faire « bonne figure », je fréquente un club dans lequel certains copains vont aussi pour se vider les couilles.


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17/ Sortie de fin d’école sous-off

J’ai eu la chance de faire mon école sous-officier à l’étranger, en Allemagne, Berlin plus précisément. La formation dure 10 mois. La tradition veut que chaque fin de stage soit marquée par une journée « détente » avec après midi récréative suivie d’un dîner dans un restaurant chic, avant de finir dans le club (bordel) où je vais régulièrement. Théoriquement, il est privatisé pour l’occasion.
À force d’aller dans ce club pour hétéro, j’ai mes petites habitudes et je ne vais qu’avec une seule fille. Elle a vite compris ce qui me plaît. Pendant nos ébats, elle me doigte le cul et c’est un bon moyen pour que je jouisse avec elle.
Pour en revenir à cette soirée, à la grande surprise de nos cadres, il y a un raté et nous ne sommes pas les seuls clients. Cela fait beaucoup de monde et les filles n’arrêtent pas. Avec deux ou trois copains, nous prenons une table juste devant la scène. Ainsi, nous ne manquerons rien du spectacle. Plusieurs filles font leur show : bof !
Vient le tour de celle avec qui j’ai l’habitude d’aller. Elle est brune, dans nos âges, typée asiatique. Elle a besoin d’un partenaire et sollicite les clients pour monter sur scène avec elle. Personne ne se bouscule, certainement intimidés par le monde dans la salle. Elle finit par me demander de venir et, alors que je m’apprête à y aller, la patronne fait signe que non. Elle ne veut pas que ce soit moi, car nous couchons ensemble régulièrement. Je me rassois et c’est un de mes potes qui se lève et monte sur scène. Je vous passe les détails, mais il finit à poil, bandant comme un taureau et la bite dans la bouche de la fille. Lui est bien foutu, roux, une longue bite, très longue, pas très épaisse, montée sur des petites couilles poilues.
Je ne rate rien du spectacle et je me sens à l’étroit dans mon jeans. Elle me regarde dès qu’elle le peut. Le show se termine lorsqu’il jouit dans sa bouche. Elle se tourne alors vers le public et montre comment elle joue avec le sperme de mon pote avant de le cracher dans un verre. En le faisant, elle me regarde avec un petit sourire auquel je réponds. Il se rhabille et nous rejoint à la table en me disant qu’il comprenait pourquoi j’allais toujours avec elle. Elle sort de scène et disparaît pour réapparaître quelques minutes plus tard.
Elle est complètement nue, alors que, d’habitude, les filles se rhabillent entre chaque passe pour revenir en salle. Elle traverse la salle et se dirige directement vers moi. Tout le monde la suit du regard. Elle pousse un copain pour passer et vient s’asseoir sur moi, face à moi. Elle me prend la tête et me roule une pelle alors que tout le monde nous regarde. Je sens le goût du sperme. Elle ne s’est pas rincée la bouche. J’ai le goût du sperme de mon pote. Je rebande aussi sec. Le spectacle n’est plus sur scène, mais à ma table. Je commence à la caresser. Elle aussi. Elle me malaxe le paquet et, sentant que je suis en forme, me dit que l’on doit aller dans une chambre. La patronne ne veut pas que l’on fasse ça ici. Elle se lève, me prend la main et m’entraîne vers les chambres. Elles sont toutes prises et il y a même une file d’attente. Quatre de mes collègues sont là aussi, avec trois filles. La plus grande chambre se libère. Le lit est immense et les filles nous proposent d’y aller tous ensemble en même temps. Un rapide coup d’œil aux copains et c’est ok. On y va !
Une fois entrés, tout le monde se dessape et va directement sur le lit. Au début, chaque couple et le trio prend une partie du lit et s’occupe dans son coin. Mais rapidement, tout le monde se mélange tant et si bien qu’on ne sait plus qui fait quoi. Alors que j’ai dans mon champ de vision les quatre filles, je sens une main se saisir de ma queue et de mes couilles. Ce n'est pas possible ! C’est obligatoirement un de mes potes. Le problème est que je ne sais pas lequel. Il me malaxe et me branle un peu avant de lâcher et passer à autre chose. Je ne suis pas en reste pour en faire autant. Un peu plus tard, je me retrouve avec une bite au-dessus de ma tête, à portée de langue. C’est si gentiment proposé que je ne résiste pas. Je gobe le gland mis à ma disposition et le suce jusqu’à ce que le mec bouge et se retire. Je passe sur les mains au cul, des mains plutôt viriles. Alors que je pénètre la fille avec qui je suis venu, je sens même un doigt insistant sur ma rondelle. Comme elles ont toutes les ongles longs, je sens bien que c’est l’un de mes potes. Je le sens tout contre mon trou. Il le caresse et je m’ouvre. Malheureusement, il arrête avant d’entrer. Nous finissons les cinq mecs allongés, serrés les uns contre les autres avec les quatre filles qui nous branlent. On se regarde tous et on ne peut pas s’empêcher d’éclater de rire. Les filles nous engueulent, car ça nous fait débander. On se reprend et on se concentre. Lorsqu’elles sentent qu’on est prêt à balancer la sauce, elles nous prennent en bouche pour recevoir le sperme avant de recracher dans l’évier de la salle de bain.
Au fur et à mesure, la chambre se vide. Je suis le dernier à jouir. Ma « copine » prend mon sperme et, au lieu d’aller le cracher, remonte vers mon visage et me roule un patin. Je récupère mon sperme et nous jouons avec un bon moment avant d’avaler. On se rhabille et libérons la chambre.
La soirée ne fait que commencer...

À ma sortie d’école, je suis affecté en Gendarmerie Mobile, en Lorraine, dans le trou du cul du monde (chaque région en a un !). La caserne est vieille. J’ai la chance d’obtenir un logement dans un pavillon avec jardin. C’est un ancien logement « officier » déclassé et j’ai la chance d’avoir un cumulus produisant de l’eau chaude. Cependant, il n’y a pas de salle de bain. Dans l’entrée, une extension en bois a été construite. J’y dispose de toilettes et d’une douche. Mais il n’y a pas de chauffage. Je me chauffe avec un poêle à charbon. Les autres « bénéficient » de cabines de douches situées tout au fond de la caserne qui est l’une des plus grandes, en superficie, de France. L’hiver, je dois casser la glace dans les toilettes. Dans le village dans lequel nous sommes, il n’y a qu’un seul bar. Celui-ci nous est interdit ! Bref, ce n'est pas la joie et, j’ai envie de faire demi-tour dès que j’aperçois la caserne pour la première fois.
Les gradés sont à l’image des bâtiments. Heureusement, je me fais quelques amis parmi mes collègues. Un tuteur m’est attribué. Philippe est jeune, deux ans de plus que moi, déjà de carrière et marié à Sophie depuis peu. Nous nous entendons tout de suite très bien. Notre unité n’assure que des déplacements sur Paris : soit de la garde d’ambassades ou le Palais de Justice.
Bon, j’ai quand même mon premier chez-moi et je me dois de fêter ça. Pour un week-end, j’invite mon copain, Olivier, du service militaire et les deux copains qui me restent du lycée.
Avec Olivier, nous sommes comme des frères maintenant. On se voit dès que possible et les nombreux déplacements sur Paris le favorisent. Ses parents m’ont adopté et je squatte souvent chez eux mes jours de repos. Lorsque je dors chez eux, c’est dans la chambre de mon pote. On se branle quelques fois en même temps, mais on ne touche pas la bite de l’autre. Sauf une fois, mais il ne m’a pas laissé aller jusqu’au bout et nous étions alcoolisés.
Bref, le week-end se passe super bien, on s’amuse et on boit beaucoup. Dans la soirée, alors que nous étions dans le jardin, Olivier m’attrape par la taille et va pour m’embrasser sur la joue. Au même moment, je tourne la tête et nos lèvres se rencontrent. Les deux autres copains nous chambrent et parient que nous ne serions pas capables de recommencer, volontairement cette fois. Olivier, alcoolisé, leur répond qu’on l’a déjà fait et, joignant le geste à la parole, prend ma tête entre ses mains et m’embrasse à pleine bouche, avec la langue. Ça, c’est une première avec Olivier ! Après quelques secondes, nous nous séparons en riant. Nous avons gagné notre pari. Nous en restons là et le week-end se termine avec le départ de tous mes invités, le dimanche midi.
Quelque temps après, je reçois une lettre de mes parents. Elle est signée de ma mère et de mon père. En gros, ils ont appris que j'ai roulé une pelle à mon meilleur copain devant mes anciens amis de lycée. L’ultimatum et le suivant : « Si tu es PD, ce n’est pas la peine de revenir à la maison ! Et si c’est le cas, nous te dénoncerons à ta hiérarchie ! »
Étrangement, aucun de mes amis du lycée ne me répond. Et bien, soit ! Je ne donne plus de nouvelles et je ne vais plus en Normandie ! Quant à ma hiérarchie, on verra le moment venu !
Quelques mois après mon arrivée, il est question de dissoudre l’unité. La caserne doit être rasée et refaite à neuf. Ceux qui veulent rester en Lorraine le peuvent, les autres partiront en Rhône-Alpes, dans des locaux neufs. En attendant, nous avons, enfin, l’autorisation de souscrire à un abonnement téléphonique à titre individuel. Jusque-là, nous devions passer par le standard de la caserne.
Bien évidemment, je saute sur l’occasion et j’en profite pour prendre un minitel. Cette formidable invention permet le démarrage des applications de rencontre. Hasardeuses, c’est la loterie. Il n’y a aucune possibilité d’échanger des photos. Quand on ne se fait pas poser un lapin, soit le mec correspond à la description donnée, soit c’est tout l’inverse et on rentre bredouille. Mais parfois, on a de très bonnes surprises...


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18/ Auto-stop après un plan cul 1/2 :

Je suis affecté en Lorraine, dans une petite ville située à quelques kilomètres de Bar-Le-Duc. Vingt-deux ans, je fais du sport tous les jours. N’étant pas du tout originaire du coin, inutile de vous dire que je m’ennuie grave. Bien que dépénalisée, l’homosexualité n’est toujours pas reconnue, ni admise, dans l’armée. Enfin, je dirais que tant qu’il n’y a pas d’histoires, et que l’on reste discret, ça passe… Mais, officiellement (parole de Ministre) : « Il n’y a pas d’homosexuels dans l’Armée Française ! » Pour les hétéros, le concubinage commence à peine à être accepté. L’ambiance au sein de mon unité n’est pas bonne et le cadre n’arrange rien. Fort heureusement, il existe le minitel.
Un vendredi soir, veille de repos, je me connecte sur un 36 15 et je tombe sur un mec habitant Reims. C’est l’été, il fait chaud. Nous nous mettons à discuter et on commence à se chauffer. Peu avant minuit, Pascal me demande de venir chez lui et me propose de rester la nuit. Il faut dire que de chez moi à Reims, j’en ai pour quelques heures en voiture. En partant maintenant, je peux y être pour trois heures du mat. Banco ! Je suis tellement chaud que je lui dis ok. Il me donne son adresse et je pars après avoir enfilé un bermuda, un t-shirt et mes baskets.
Pascal habite en centre-ville, près de la cathédrale. Je me gare sur la place et trouve facilement son immeuble. Je suis soulagé quand j’aperçois de la lumière par ses fenêtres du rez-de-chaussée. Il est 3 heures 30 du matin. Je sonne à sa porte et j’entends quelqu’un qui approche. J’espère que je n’ai pas fait toute cette route pour rien ! Un homme m’ouvre la porte. La trentaine, un peu plus petit que moi, légèrement trapu, brun. Exactement la description faite. Visiblement, il ne semble pas déçu, lui aussi et il m’invite à entrer.
Après les amabilités d’usage, il me propose un café que j’accepte. Je le suis dans la cuisine. Pendant qu’il nous prépare un bon café, nous reprenons notre discussion où nous l’avions arrêté, mais cette fois, de vive voix. Bisexuel, il est comédien intermittent du spectacle. Il ne me faut pas longtemps pour me sentir bien, très bien même….. Je sens mon sexe de plus en plus à l’étroit dans mon bermuda. Je ne porte rien en dessous. Pascal le remarque et parait apprécier. En buvant son café, il se caresse l'entre-jambe. Lui aussi, il bande. Mon regard quitte ses magnifiques yeux bleus pour se fixer sur sa bosse. Il pose sa tasse et, avec un large sourire, commence à dégrafer la braguette de son jeans. J’admire la scène. Lentement, il ouvre son pantalon qui ne tient plus que grâce à ses bretelles. Il écarte et plonge sa main dans son slip. Une légère toison brune s’en échappe. Je pose ma tasse à mon tour. Enfin, il ressort sa main. Il tient sa bite. Elle est raide, épaisse et veineuse.
Je ne tiens plus et me jette sur lui en m’agenouillant. J’ouvre la bouche en grand et avale sa queue au plus profond. Elle n’est pas très longue. J’aime son goût et son odeur. Il me tient la tête et m’impose quelques va-et-vient. Je ne me fais pas prier. Je sens ses couilles poilues battre contre mon menton. Je suis a genoux devant lui. Pendant qu’il me baise la bouche, je déboutonne mon bermuda et commence à sortir ma bite bandée comme jamais. Puis, Pascal me relève et m’emmène dans sa chambre. Devant son lit, nous nous roulons une pelle. En même temps, nous terminons de nous déshabiller pour finir complètement nus. Nos mains parcourent chaque centimètre de nos corps respectifs et nous nous laissons tomber sur son lit.
Pascal prend les choses en main et me retourne sur le ventre. Ses mains caressent mes fesses, les écarte. Je sens alors son souffle sur ma raie, puis sa langue qui passe sur toute la longueur. Après deux ou trois passages, sa langue s’arrête sur mon anus. Il le titille, l’aspire, le pénètre. Il repart sur mes couilles et recommence. Je m’abandonne entièrement et je m’ouvre….. Je sens alors un, puis deux doigts se présenter à l’entrée. Ils s’enfoncent. Un troisième les rejoints. Après quelques mouvements, je sens la bite de Pascal contre mon trou. Il pousse d’un coup sec et tout rentre à fond. Je crie de surprise avant de gémir de plaisir. Il me lime. Il entre, ressort complètement avant de re-rentrer. Je ne suis plus qu’un trou à la merci de sa grosse bite. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais il finit par se cambrer en se maintenant tout au fond de moi. Alors que je jouis littéralement par le cul, lui m’inonde de son foutre chaud…... Nous restons ainsi quelques instants puis il se retire. Je me retourne alors et après une nouvelle pelle, je descends et je prends son sexe à demi mou dans ma bouche. Il est surpris, mais me laisse faire. Je récupère ainsi les quelques gouttes de sperme restant avant de le lâcher. Je remonte et il m’enlace. Nous nous embrassons encore, en nous caressant tendrement, avant de nous endormir.
Lorsque je me réveille, il fait jour. Pascal me tient toujours dans ses bras. Il dort encore. Doucement, je me libère de son étreinte. Maintenant que j’ai les mains libres, je le caresse tout doucement. J’arrive au niveau de son bas ventre, je touche son sexe à moitié bandé. Aussitôt, je me glisse sous le drap et me retrouve avec sa bite à portée. J’ouvre ma bouche et caresse son gland avec ma langue. Sa bite sursaute. Aussitôt, je le gobe et prends sa bite en bouche. Je commence un va-et-vient. Il durcit. Pascal s’étend sur le dos et une main vient caresser le mien en remontant vers ma nuque. Il ne faut pas longtemps avant que je ne reçoive ses jets de sperme dans la gorge. Je garde tout en bouche et je remonte pour l’embrasser. Nous partageons son jus avant d’avaler.
Pascal me remercie pour cette douce et intense nuit puis, pour ce réveil particulièrement agréable auquel il n’est pas habitué. Malheureusement, il est temps de penser à reprendre la route. Nous prenons un petit déjeuner et, après une très bonne douche prise ensemble..., je reprends la voiture.


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19/ Auto-stop après un plan cul 2/2 :

Sur le trajet, à la sortie de Reims, j’aperçois, au loin, sur le bord de la route, plusieurs personnes faire de l’auto-stop sur une aire de repos. Je repère un jeune homme en short rouge très court et en débardeur. Sans hésiter, je m’arrête à sa hauteur. Fort heureusement, il voyage seul. Son short est vraiment très court et plutôt moulant. Il m’indique vouloir se rendre à Bar-le-Duc. Il est assez pressé, ses parents l’attendent. Je suis un peu claqué et avoir de la compagnie me fera du bien. Je n’imagine pas encore à quel point.
Il pose son sac à l’arrière et s’installe à côté de moi. Je démarre et reprends la route. Nous discutons de tout et de rien, de la chaleur…. Je ne peux m’empêcher de jeter un œil, le plus discret possible, dans sa direction. Il s’appelle Rémy, 19 ans. Il a les cheveux courts et blonds. Visiblement, il est sportif. Un visage d’ange avec de magnifiques yeux bleus. Il est assis bien bas sur le siège, les jambes écartées. Je distingue facilement son paquet qui me paraît fort intéressant. Il faut dire que son short le moule encore plus maintenant qu’il est assis. Je m’imagine passer ma main entre ses cuisses ainsi offertes et à portée.
J’écoute à peine ce qu’il me dit. Je suis dans mes pensées, entre le merveilleux souvenir de cette nuit passée avec Pascal et la vision angélique qui s’offre à moi à présent. Je bande et me sens à l’étroit dans mon bermuda. Je m’ajuste tout en conduisant. Rémy le remarque et apprécie, car, aussitôt, je sens sa main se poser sur ma cuisse. Je reviens à moi en laissant la main de Rémy où elle est. Il veut me remercier pour le transport et se propose de réaliser ce que je souhaite, me dit-il en remontant sa main vers mon paquet. Je lui réponds que cela me semble être un excellent programme. Il caresse ma bite au travers de mon bermuda. Il le déboutonne. Ma queue jaillie immédiatement, toute raide. « Fais attention à la route, je m’occupe du reste ! » me dit-il. Il se penche vers moi et avale ma queue. Je n'en reviens pas. Je me fais tailler une pipe pendant que je conduis !!
Je suis hyper excité, mais je dois continuer à conduire. Je sens sa langue faire le tour de mon gland. Puis il s’enfonce et m’avale autant qu’il le peut vu ma position assise. Je me mets le plus en arrière possible tout en m’avançant sur le siège pour lui dégager le passage. Avec sa main, il sort mes couilles du bermuda et les malaxe. Moi qui n’ai pas envoyé la purée de toute la nuit, je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je demande à Rémy d’y aller plus doucement afin de faire durer, un peu, le plaisir. Il relâche un peu la pression de ses mâchoires. Il me caresse de ses lèvres et du bout de la langue. Je sens que ça vient. Je ne tiens plus et le lui dis. Il reprend aussitôt ma bite en fond de gorge et je me libère. Je suis cramponné au volant et j’appuie sur mes talons en gérant au mieux l’accélérateur. Je gémis fortement en lâchant de puissants jets de foutre au fond de sa bouche. Il gémit aussi. Il n’en perd pas une goutte et se relève. Rémy me regarde en avalant mon jus avec un sourire malicieux. Je me sens vidé et heureux. Rémy me montre son short. Sans se toucher, il a joui aussi. Son sperme a traversé le short. Il le ramasse avec ses doigts. Alors qu’il dirige sa main vers sa bouche, je l’attrape et la tire vers moi. Je prends ses doigts pleins de sperme dans ma bouche et lui lèche avant d’avaler.
Reprenant nos esprits, nous nous rajustons et poursuivons notre voyage, satisfaits et ravis. Je dépose Rémy chez ses parents avant de rentrer chez moi. Des deux, je n’ai revu que Pascal, à la télévision, dans une publicité pour une boisson non alcoolisée...

En deux ans d’affectation en Lorraine, je n’aurais eu que deux aventures avec des mecs et tout ça sur vingt quatre heures. Mes parents ne m’ont pas dénoncé à ma hiérarchie. J’ai des nouvelles par ma sœur qui se fout de savoir avec qui je couche, mais je nie toujours.
Je suis muté en région Rhône-Alpes, ainsi que mon tuteur et sa femme, dans une caserne toute neuve. C’en est terminé des pavillons sans chauffage (excepté le poêle à charbon). Nous logeons dans des immeubles de quatre étages maximum. Pour ma part, je bénéficie d’un grand F 3 avec balcon donnant sur l’intérieur de la caserne. En fait, tous les bâtiments d’habitation forment un cercle. Ainsi, nous avons tous une vue sur tous les appartements de la caserne, sauf celui du commandant, qui est à l’écart. Il faut donc bien penser à fermer ses volets si on veut bénéficier d’une certaine intimité.
Rapidement, je dois remonter en Lorraine pour quelques jours...


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20/ Convoqué au Tribunal ou le V.R.P.

J’ai à peine 23 ans. Je suis depuis peu affecté dans la région Rhône-Alpes. Je suis convoqué au Tribunal de Bar le Duc (compétent sur mon ancienne affectation) pour une affaire de violence sur dépositaire de l’autorité publique, en qualité de victime donc. L’audience est prévue le matin vers 10 heures. Je décide d’arriver la veille et de prendre une chambre à l’hôtel situé à côté. Le voyage se passe sans encombre. À mon arrivée, je prends possession de ma chambre. Elle se trouve dans un bâtiment annexe, de l’autre côté de la rue. Je précise qu’il pleut sans discontinuer. Je vide mon sac et range mes affaires, mais j’y laisse toutefois les deux godes et le gel que j’ai prévu pour passer la soirée.
À l’heure du dîner, je descends à la salle de restaurant. Je suis placé à une table sur laquelle je vois deux couverts. Le serveur m’indique que le restaurant de l’hôtel étant complet, je vais devoir partager la table avec un V.R.P. de passage. Je m’installe et je commande une bière en attendant. Ma boisson arrive en même temps que l’homme qui va me tenir compagnie.
Il commande immédiatement la même chose que moi. Nous nous présentons et choisissons notre menu. Il fait à peu près ma taille, châtain foncé, la trentaine, marié (hétéro donc). Habillé en pantalon de ville et chemise. Je vois tout de suite que ce n’est pas un sportif assidu, mais il est quand même bien gaulé. Représentant en matériel médical, il fait le tour des hôpitaux de la région. Comme avec tout bon V.R.P., la discussion est facile. Le courant passe bien. Nous nous tutoyons. À la fin du repas, il me propose de continuer notre conversation dans sa chambre située dans le bâtiment principal, pour boire un dernier verre. Je le suis volontiers, mes godes attendront. D’autant que la pluie tombe de plus belle.
Nous arrivons dans sa chambre, il fait chaud. Il me dit de me mettre à l’aise et qu’il va en faire autant. Il se rend dans la salle de bain tout en continuant à discuter, sans fermer la porte. De là où je suis, je ne vois rien. Lorsqu’il revient, il porte un short en coton, style pyjama, et c’est tout. Mon regard est automatiquement attiré sur son entre-jambe. Je peux facilement deviner qu’il ne porte rien en dessous et je me dis que les godes ne me serviront peut-être pas. De mon côté, j’ai retiré mon blouson, mon sweat et mes baskets. Je suis en jeans, t-shirt et chaussettes. Il ouvre le mini-bar et me propose une boisson. Je prends un whisky. Nous nous installons à la petite table, dans les fauteuils de l’hôtel, l’un en face de l’autre. Doucement, mais sûrement, la discussion dévie sur le cul. Puis, sans être pressant, il me pose pas mal de questions, du style :
« Ça ne doit pas être évident de tirer un coup quand on ne vit qu’avec des hommes ? Ça arrive qu’il y ait des histoires entre vous ? Vous faites des partouzes ? »
Je lui réponds du mieux que je peux en lui expliquant que nous vivons entre hommes seulement pendant les déplacements. Le reste du temps, c'est chacun chez soi avec épouse et enfants pour ceux qui en ont. Que nous avons chacun notre appartement. Quant aux partouzes, je n’en ai fait qu’une, à la fin de mon école sous-officier, avec des collègues et quelques femmes offrant des services tarifés.
« Et entre vous ? Pendant la partouze, entre collègues ? »
J’hésite à répondre. Je n’assume déjà pas, alors le raconter à un mec hétéro que je connais à peine….
Il perçoit ma gêne et me dit :
« J’ai toujours été attiré par les mecs. J’aimerais beaucoup….. »
En même temps, il se touche le paquet. Je vois qu’il bande. J’aperçois même une petite tâche humide sur son short au niveau de son gland. Je remonte les yeux vers son visage. Je le regarde droit dans les yeux, lui souris et lui saute littéralement dessus. Je m’approche de sa bouche et lui fourre directement ma langue. La sienne réagit et nous jouons ainsi quelques minutes. En même temps, ma main droite va se coller à son paquet. Je malaxe ses couilles et sa bite. Lui, commence à me caresser le dos, mais je sens qu’il n’ose plus aller plus loin. Alors que nous sommes toujours bouche-à-bouche, je dégrafe mon jeans et le baisse autant que je peux. J’ai bien fait de ne rien mettre en dessous ! Ma queue raide jaillit devant lui, toujours assis. Je me redresse et lui mets sous le nez. Il me regarde puis la prend d’une main et se rapproche. Il passe sa langue sur mon gland, doucement au début, puis plus franchement. Il le gobe. Il s’enhardit et commence à descendre doucement sur mon membre. Ses lèvres m’enserrent la queue. Je sens mon gland battre contre son palais alors que sa langue glisse par le dessous. Pour un hétéro, il semble déjà avoir de la pratique !
Je me retire et lui propose d’aller sur le lit. J’en profite pour finir de me déshabiller. Il retire son short et je découvre enfin une belle tige bien veinée, je dirais dans la moyenne, et plus épaisse que la mienne. Il s’allonge sur le lit et je le rejoins en commençant par lui caresser les pieds. Puis je prends un gros orteil dans ma bouche et simule une fellation. Il gémit de plaisir. Je m’occupe ainsi de chaque orteil, de chaque pied avant de remonter doucement vers ses couilles. Je suis à quatre pattes, le cul tendu et il peut voir le reflet dans le téléviseur accroché au mur en face. Je lèche ses couilles. Elles sont petites et je prends les deux dans ma bouche. Je les fais rouler avec ma langue. Puis je relâche tout en aspirant, ce qui le fait sursauter. Je prends alors sa bite directement à fond. Je salive suffisamment pour que ça passe. En même temps, je sens mon cul s’ouvrir par spasmes. À chaque fois que j’enfonce sa queue dans ma gorge, ma rondelle s’ouvre !
Mon représentant me demande d’arrêter. Il ne veut pas jouir tout de suite. Je me retire et lui dit que maintenant, il m’en fallait un peu plus. Je lui demande s’il veut m’enculer et lui, fou de joie, me répond : « Quelle position tu préfères ? » Je me mets sur le dos, relève les jambes et, lui présentant mon anus, je lui dis : « Si ça te va, tu peux y aller ! Prends-moi ! »
Il se redresse et vient présenter son gland contre mon anus. Je lui demande de cracher dessus et d’y aller franchement. Ce qu’il fait. Son gland entre d’un coup, mais bloque après. Sans gel, ce n'est pas toujours évident (dommage, j’en ai dans ma chambre !). Il se retire, recrache et recommence. De mon côté, j’humidifie ma rondelle de la même manière et avec quelques doigts. Il est prêt et retente de me pénétrer. Cette fois, ça passe. Il s’enfonce doucement et à fond. Je sens son pubis contre moi. Puis, il se met à bouger. De petits va-et-vient au début. Ma rondelle est détendue. Il accélère et met de l’amplitude dans son mouvement. Je sens la chaleur monter. Il me lime ainsi plusieurs minutes puis finit par me donner de gros à-coups en gémissant encore plus fort. Je sens alors son jus chaud m’inonder l’arrière-train. Je prends ma bite pour me branler et je jouis aussitôt. Je lâche la purée sur mon torse. Il s’écroule sur moi et nous restons ainsi quelques instants. Son membre reste en moi et je le sens décroître pour, finalement, s’extraire tout seul. Je sens aussi sa semence couler sur le lit.
L’heure avançant, il est malheureusement temps de retourner dans ma chambre pour dormir un peu afin d’être à peu près en forme demain pour le procès. Nous nous remercions mutuellement de ce bon moment et je prends congé. Une fois dans ma chambre, je me couche tout de suite, satisfait. Le lendemain, en refaisant mon sac avant d’aller au Tribunal, je vois mes godes et le gel dans le fond. Amusé, je me mets à leur parler : « Dommage pour vous, j’ai trouvé mieux hier soir !. »
Dans une unité composée de cent dix personnes, des hommes exclusivement, des amitiés se créent. En plus de mon tuteur, j’ai plusieurs potes. Nous vivons en vase clos et il est facile de se couper du monde extérieur. L’inconvénient, c’est que tout fini par se savoir. Les épouses, qui sont peu nombreuses à travailler, passent leur temps ensemble et les discussions vont bon train. Il ne faut pas longtemps pour apprendre qu’untel a couché avec unetelle ou que machine organise des partouzes pendant que l’escadron est en déplacement. Malheureusement, l’homosexualité est toujours une cause de renvoi. Il faut être très prudent. Mais parfois, l’envie est trop forte...


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21/ Je branle un collègue

Militaire, j’ai régulièrement l’occasion de prendre des douches collectives avec mes camarades. J’apprécie généralement la vue. Les formes de mes camarades ne me laissent pas indifférent. Dans le lot, l’un d’eux, d’origine espagnole, grand, très mince. Il est brun au teint mat. Diego présente une particularité physique qui intrigue tout le monde à la caserne. Ses parties génitales font penser qu’il a, non pas deux, mais trois couilles.
Nous avons le même âge. Nous avons vite sympathisé et le fait d'être voisins favorise certainement la chose. Nous sortons souvent ensemble (avec d’autres camarades) les soirs ou week-ends de quartier libre. Nous allons souvent en boîte de nuit et en faisons souvent la fermeture. Malheureusement pour moi, il est hétéro. Du genre à consommer sur place, dans une voiture, sur le parking ou à l’extérieur, mais ne ramène jamais de fille chez lui. Sa devise : « Tu baises tout de suite ou tu dégages ! ».
Un soir, ou plutôt un matin, après avoir passé la nuit dehors, un peu arrosée, mais sans excès, nous finissons tous les deux chez lui pour mater un film. Il se met à l'aise, en caleçon et me dit que je peux en faire autant. Je porte un slip tanga. Nous nous installons sur le canapé et il lance le film. C’est un film de science-fiction, notre genre préféré à tous les deux. Nous discutons un peu en regardant le film et j’ose lui demander l’origine de sa particularité génitale. J’apprends qu’il faisait du hand-ball, comme moi, avant de s’engager. Il était gardien de but. Au cours d’un entraînement, le ballon a terminé sa course dans son bas ventre. Il ne portait pas de protection. La puissance et la vitesse du ballon ont fait qu’une de ses bourses a explosée. Il me rassure et me dit qu’aujourd’hui, il n’en souffre plus et que les filles aiment beaucoup jouer avec. Nous reprenons le cours du film et il finit par s'endormir. Le jour commence à se lever.
À un moment, je constate que son boxer est plus que gonflé. Le bouton de sa braguette n’est pas boutonné. Le spectacle m’attire. Un morceau de chair ne demande qu’à sortir. Je ne regarde plus la télé, mais j’ai les yeux rivés sur ce que j’aperçois en partie. Son barreau m'appelle. Je le vois se tendre encore par petits coups. Son caleçon monte et libère encore plus la vue sur son engin. Je ne tiens plus. Il faut que je tente quelque chose. Je passe doucement ma main dessus en l’effleurant. Pas de réaction. J'appuie un peu plus mon geste et je fais des va-et-vient par-dessus son caleçon avec la paume de ma main. Toujours pas de réaction. Je glisse mes doigts par l’ouverture et j’entre enfin en contact direct avec sa bite. Je l’enserre de deux doigts et la sors délicatement par la braguette. Sa bite est fine et longue, très longue. Elle me paraît plus fine que la mienne, mais bien plus longue. Diégo ne bronche pas. Aucune réaction à part celle de sa bite bien raide. Je commence à la caresser en commençant par le gland. Un léger filet humide s’en échappe. Je le ramasse et le branle doucement. Je me risque même à passer le bout de ma langue sur son gland. Je récupère sa mouille. Il bouge un peu. Par réflexe, je me retire rapidement. Il dort toujours, ou du moins fait comme si, et me laisse faire. Je reprends sa bite en main. Je remonte et descends autour de son mat. Je place mon visage au-dessus, la bouche ouverte. Soudain, je vois qu’il se crispe. Je place mes lèvres autour de son gland bien rouge. Il envoie la purée. Son sperme est épais et abondant. J’ai la bouche pleine et quelques gouttes s’en échappent. J’avale sa semence au goût exquis.
Je lèche mes doigts et remets en place son sexe encore bien dur dans son caleçon. Il semble toujours dormir. À mon tour, je ne tiens plus. Je baisse mon slip et prends ma bite en main. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour arroser mon torse. Avec l’excitation, j’ai du sperme sur le menton que je ramasse avec mes doigts avant de les lécher. Je m’essuie le torse à l’aide d’un essuie-tout resté sur la table basse. Je remets mon slip en place et continue de regarder la télé avant de m'endormir à mon tour.
Diégo ouvre les yeux avant moi. Je suis contre lui, le visage sur son ventre et le bras droit sur sa cuisse. Nous sommes à moitié allongés et assis sur le canapé. Diégo me réveille doucement en me secouant légèrement l’épaule. Pendant notre sommeil, il a passé son bras droit par-dessus mes épaules. J'ouvre un œil avant de bouger. De suite, j’ai la bite de Diégo fièrement dressée et sortant de son caleçon juste devant les yeux. Quoi ? Je vais pouvoir le sucer ? Il a envie ? Je commence à peine à remuer, qu’il me dit : « Lève-toi, il faut que j’aille pisser ! ». Il se lève sans se cacher plus et va en direction des toilettes. Je me redresse et je réalise que, moi aussi, je bande. Ma bite est sortie de mon slip. Je la remets en place.
Lorsqu’il revient, il me dit avec un petit sourire : « Je vois que toi aussi, tu es en forme le matin ! » Je sens que je rougis et il conclut : « ce n'est pas grave, on est entre nous ! Par contre, il va falloir que je parte, je suis attendu !  ».
Je m’habille et rentre chez moi pour prendre une douche. Bien évidemment, j’en profite pour me soulager avec une bonne branle, d’autant que je n’ai toujours pas débandé depuis le réveil.
Quelques jours après, il me présente sa nouvelle copine. Celle-ci s’installe vite chez lui. Je comprends que cette soirée, seul avec Diégo, ne se renouvellera pas.


Si je cache mon homosexualité en ayant des relations d’un soir avec des femmes, je ne dois pas être le seul. Sur cent dix hommes, combien aiment la bite comme moi ? Alors, on se met à supposer, tenter des approches, trop souvent sans résultat. Puis, parfois, on a des surprises….


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22/ Soirée bisex imprévue

Un soir, tard, à la résidence, je suis nu sous mon peignoir et connecté sur mon minitel. Quelqu’un frappe à ma porte. Je coupe rapidement l’appareil posé sur ma table de salon, ajuste mon peignoir et vais ouvrir. C’est mon tuteur et sa femme. Il n’est pas rare qu’ils passent à l’improviste, mais jamais si tard. Ils reviennent d’une balade nocturne et, voyant de la lumière chez moi, ont décidé de passer.
Philippe s’assoit dans un fauteuil et Sophie sur le canapé. Le temps de leur servir un café et je les rejoins, sur le canapé. Sans perdre de temps, Sophie me dit en montrant le minitel : « On te dérange ? Tu étais peut-être en recherche d’un plan ? » J’hésite un peu avant de répondre que je venais de déconnecter. En fait, je me tapais une queue en lisant des textes érotiques gays.
Sophie me répond : « Tu sais, dès fois, on cherche ailleurs ce que l’on a juste à côté et à disposition. » En disant cela, elle pose sa main sur ma cuisse. Comme je suis nu sous mon peignoir et assis, ses phalanges sont en contact avec ma peau. Je suis surpris, très surpris ! Je regarde son mari qui me fait un sourire accompagné d’une moue approbatrice et un signe de tête qui veut dire oui. Je laisse faire.
Sa femme remonte et caresse du bout des doigts ma bite qui se redresse instantanément. Elle prend mes couilles et les fait rouler dans sa main. Philippe commence à se caresser le paquet. Pourvu qu’il ne se contente pas de mater !
Sophie me prend la bite et se penche pour la gober. Elle passe d’abord sa langue sur mon gland. Je sursaute. Puis, elle me prend délicatement entre ses lèvres. Sa langue continue de me caresser pendant qu’elle s’enfonce sur ma queue. Je prends un peu d’initiative en lui caressant le dos et la nuque. Je n’ose pas encore aller plus bas. Philippe se met à l’aise. Il a retiré le haut et dégrafe son pantalon. Je me dégage du peignoir et écarte encore les cuisses. Pendant qu’elle me suce, les mains de Sophie parcourent mon torse et me malaxent doucement les bourses. Philippe est maintenant complètement nu. Il se caresse tranquillement le sexe, mais reste sur le fauteuil. Il bande bien. J’ai peur qu’il ne veuille que mater.
Sophie lâche ma bite et se redresse. Elle nous regarde, son mari et moi, et nous dit : « Oh, mais j’ai du retard ! Vous êtes déjà à poil tous les deux ! Tu peux m’aider Patrick ? »
Je l’aide à retirer ses quelques vêtements. Elle s’allonge sur le canapé de façon à voir son mari. Elle m’attire vers elle. Je me penche et nous reprenons nos caresses. Je tourne donc le dos à Philippe. N’ayant plus mon copain dans mon champ de vision, je me concentre sur sa femme. Après lui avoir titillé les seins avec ma langue, je descends doucement. Je déteste faire un cunnilingus, mais la situation est assez excitante pour que, pour une fois, je fasse un effort. Je descends toujours. Je me retrouve avec une jambe sur mon canapé, l’autre au sol et le cul tendu. J’arrive à sa chatte et je commence à y passer ma langue. Heureusement, elle ne mouille pas beaucoup. J’ai horreur de la cyprine !
Je ne fais plus attention à Philippe quand je sens deux mains empoigner mes fesses et les écarter. Aussitôt, une langue me fouille l’anus. Très agréablement surpris, je me redresse en lâchant un : « Oh oui ! » Sophie me demande alors si j’aime ça. Je lui réponds que j’adore ! Visiblement, mon copain sait y faire. Il me lèche, me fouille, me pénètre avec sa langue. Je ne fais que gémir et ne m’occupe plus de Sophie.
Je leur propose d’aller sur le lit pour être plus à l’aise. Ils me mettent sur le dos, les jambes en l’air. Sophie reprend ma queue en bouche pendant que son mari alterne entre mes couilles et mon anus. Ils sont tous les deux experts en jeu de langue. Puis, Philippe se relève et vient se positionner à califourchon au-dessus de mon visage. À mon tour de lui lécher le trou. Il est serré, mais je sens qu’il s’écarte un peu. D’une main, je prends sa bite et le branle lentement. Il remue ses fesses contre mon visage tout en gémissant. Cette fois, c’est Sophie que j’oublie. Elle continue de jouer avec ma bite, de me sucer ou de me caresser les couilles, mais je ne m’en soucie plus. Je me concentre sur son mari.
Je mouille un doigt et tente une avancée. Philippe réagit bien. Il se cambre un peu pendant que mon doigt le pénètre. J’alterne entre mon doigt et ma langue. Il se penche en avant et prend ma bite dans sa bouche. Sa femme s’occupe de mon trou. Elle y met deux doigts qu’elle enfonce en douceur.
Le sphincter de mon copain se dilate et je peux y mettre, à mon tour, plusieurs doigts. Puis, Philippe laisse ma queue, se redresse et descend, toujours à califourchon. Sophie tient ma bite pendant que Philippe présente son trou contre mon gland. Un dernier coup dans la bouche pleine de salive de Sophie et mon copain s’empale sur mon manche. C’est chaud et doux, mais pas si serré que cela. De ce que je vois, Sophie à la tête entre les cuisses de son mari. Elle doit le sucer pendant qu’il s’active sur ma bite. Il accélère le mouvement. Je sens que je vais jouir et le leur dis. Philippe se retire et Sophie avale ma bite. Je ne tiens plus et lâche la purée au fond de sa gorge.
Après quelques secondes, mon pote me dit : « À ton tour ! Mets-toi a quatre pattes ! Sa femme se met sur le dos et glisse sous moi pour me sucer la queue. Philippe présente son membre bien raide contre mon trou et s’enfonce après avoir craché dessus. Il rentre tout seul, d’un coup, jusqu’aux couilles. Il commence ses va-et-viens doucement puis plus rapidement. Sophie aspire ma queue, me malaxe les couilles d’une main et de l’autre se caresse le clito. Je la sens aussi me caresser les fesses et faire le tour de la bite de son homme qui me lime maintenant à fond. Il va de plus en plus fort et se retire d’un coup dans un puissant râle. Je suppose qu’il envoie son sperme dans la bouche de sa femme qui ne s’occupe plus de moi.
Nous sommes à présent tous les trois allongés sur le lit à reprendre notre souffle.
Mon tuteur engage la conversation :
« - Tu te souviens Patrick, nos premières soirées de célibataires ensemble ? Celles où on se branlait chacun de notre côté devant un porno ?
- Moi : Oui, très bien… À l’époque, je rêvais d’attraper ta bite et de te branler !
- Qu’est-ce que j’aurais aimé… En fait, je n’attendais que ça !
- Moi : Merde ! Quel temps de perdu !
- Sophie : il n’est jamais trop tard. Voilà qui est fait, et très bien fait ! Bon mes chéris, ce n'est pas le tout, mais j’en connais deux qui bossent demain…
- Oui, on va rentrer se coucher. … Euh… ça reste entre nous bien-sûr !
- Moi : ne t’inquiète pas ! À demain, au rapport. »

Je passe une courte, mais très bonne nuit. Nous ne renouvellerons qu’une fois l’expérience. Sophie se sent légèrement mise à l’écart lors de nos ébats et cela ne lui convient pas. Cependant, nous restons toujours proches tous les trois.
Après un premier déplacement outre-mer sans histoire, nous repartons pour Paris où je vis une expérience inoubliable...


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23/ Train de banlieue

En déplacement professionnel sur Paris, je profite d’une soirée de libre, qui sera suivi d’une demi-journée de repos, pour me rendre à Melun, sur l’invitation d’un couple d’amis (hétéros). Je passe une bonne soirée et l’heure de reprendre mon train approche. Mes amis me raccompagnent à la gare et j’ai juste le temps de sauter dans le train. C’est le dernier train de nuit. Il s’arrête pratiquement à toutes les gares. Mon arrivée sur la capitale est prévue dans deux heures. Ça va être long ! Très long !
Je suis dans la dernière voiture et il n’y a personne. Je m’installe dans le sens de la marche, en bout de rame. Après quelques minutes, le train démarre, roule un peu puis s’arrête à nouveau à la gare suivante. Juste avant que les portes ne se referment, un homme monte dans mon wagon. Grand, athlétique, cheveux rasés et black. Il semble plus âgé que moi, je dirais vers la trentaine. Il me regarde en passant devant moi et va s’asseoir au milieu de la voiture, côté couloir, face à moi. Il s’installe, les jambes écartées et les mains posées entre ses cuisses. Je ne peux pas m’empêcher de le mater. J’essaie d’être discret. Je vois que lui aussi me regarde.
C’est alors qu’une de ses mains remonte et entre dans son jeans. Il doit remettre son matos en place, je suppose. C’est plus fort que moi, je le regarde directement. D’autant que sa main traîne, ne ressort pas, et bouge à l’intérieur. En fait, il se caresse en me regardant. Je lui fais un signe afin de lui faire comprendre que j’apprécie le spectacle. De sa main libre, il me fait signe de venir le rejoindre. Je me lève et m’exécute. Je suis comme ça : Réservé, voire timide, mais dès qu’une occasion se présente, je fonce !
Il dégrafe son pantalon et me demande de m’agenouiller devant lui. Il précise qu’à cette heure-ci, nous devrions être tranquilles jusqu’à Paris. Il porte un caleçon. Je mets mes mains sur son paquet et là, surprise…
Je n’ai jamais vu une bite aussi grosse et longue !!! Il se redresse un peu pour descendre son pantalon et son calbut sur les chevilles. Une bite épaisse surmontée d’un gland proéminent et une paire de couilles bien lourdes et pendantes sont à ma portée. Le tout sans aucun poil. Certains auraient pris peur, vu la taille de son engin. Mais moi, ça me motive. Je commence par lécher, en commençant par ses boules puis en remontant le long de son membre. Je lèche maintenant son gros gland. Je le prends en bouche en m’ouvrant un maximum. À force, je réussis à prendre son gland et, comme à mon habitude, j’essaie d’en prendre plus. Rien n'y fait ! Je ne peux pas ! Je me contente de son gros gland. Alors, je malaxe ses bourses d’une main et de l’autre, je branle sa bite que je ne peux pas prendre en bouche. Lui me maintient avec ses jambes. Il apprécie le traitement et lâche des « Ouais, c'est bon ! Tu es bonne toi ! » Encouragé, je persévère. Je mouille abondamment, ce qui me permet d’en avaler un peu plus. J’ai la gorge écartelée. En même temps, je sens mon anus s’ouvrir tout seul dans mon jeans. À chaque coup où j’enfonce son gland dans ma bouche, mon trou s’ouvre un peu plus.
Le train s’arrête à nouveau. Je continue sans lever la tête. Lorsque nous redémarrons, je sens les mains de mon étalon me caresser le dos et s’attardant de plus en plus sur ma chute de reins. Je me positionne de manière à ce qu’il puisse accéder plus bas. J’ouvre enfin mon jean. Ma queue et mon cul sont libérés. Je n’ai pas lâché son pieu pour autant.
Il me caresse la rondelle et y enfonce un doigt direct. Heureusement que je suis allé aux toilettes avant de partir de chez mes amis…. Je mouille du cul et il rentre tout seul. Un deuxième doigt me pénètre. Je bouge mes fesses pour faciliter le passage. Un troisième. Ça passe tout seul. Je me déchaîne sur sa bite. Il me redresse et me dit : « Toi, tu la veux dans le cul ! Tourne toi et prends là ! »
Je m’exécute. Je prends son manche d’une main et me tiens au dossier du siège d'à côté. Il crache sur son gros gland et je le présente devant mon trou. Je m’enfonce doucement. Aussitôt, il m’écartèle. J’ai chaud ! Mais c’est si bon… Je reste ainsi quelques instants, juste avec son gland. Avec l’aide des mouvements du train, mon anus se détend rapidement et je sens sa bite me pénétrer doucement, mais sûrement. Je me laisse glisser. Je m’agrippe au dossier du siège d’en face et je commence mes va-et-vient. C’est trop bon ! Je gémis, lui aussi. Il me dit qu’il aime mon petit cul bien serré. J’y vais doucement, mais, passant certainement sur un aiguillage, le train bouge plus qu’à l’habitude. Je suis surpris et déséquilibré. Je pousse alors un cri de douleur qui se transforme vite en jouissance. Les soubresauts de la machine font que je suis maintenant littéralement empalé sur sa grosse bite. Je l’entends crier « Ouais !!! ».
Il me dit de me mettre debout et, sans sortir un seul centimètre de son pieu dans mon cul, il suit mon mouvement. Il commence alors à me limer. J’ai le feu au cul ! À chacun de ses coups de reins, je sens son gros membre me pénétrer encore plus loin. Je crie. Il continue. Je n’en peux plus et j’arrose le dossier du siège de mon urine. Je prends un pied d’enfer !!! Il me besogne ainsi plusieurs minutes avant de se retirer précipitamment en me disant de me retourner et m’agenouiller. À peine le temps d’être en position qu’il envoie, en criant, de nombreux jets de sperme. J’en reçois sur le front, les joues, le menton et dans la bouche. Je me branle en même temps et j’arrose ses baskets de mon foutre. Il ramasse son jus sur mon visage avec ses doigts qu’il me donne à lécher.
Nous reprenons nos esprits et nous rhabillons. Le train est déjà en approche de la gare de Paris - Gare de Lyon. Aussitôt à l’arrêt, chacun part de son côté. Jamais ce trajet ne m’aura paru aussi rapide !!
Cette expérience est l’une des plus excitantes que j’ai pu vivre et son souvenir agrémente encore souvent mes séances de branles solitaires.

Généralement, après un déplacement, toute l’unité bénéficie de quelques jours de congés. 
Mon père me rappelle. Il a eu mon numéro par ma sœur et il veut que je revienne à la maison pour mes prochaines vacances. Il sait que j’ai des « copines » et que je ne suis donc pas PD. Les informations que je distille à ma sœur sont bien retransmises. Il tente d’excuser la réaction excessive de ma mère, quelques années plus tôt.
Finalement, j’accepte...


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24/ En transit à Lyon

Habitant la région Rhône-Alpes. Je suis toujours célibataire et, à l’époque, sans voiture. J’ai eu un accident et mon véhicule est chez un carrossier. Devant prochainement remonter dans ma Normandie natale, je prépare mon trajet en train. Je prévois un TER jusqu’à Lyon et quatre heures d’attente avant de prendre un TGV direct pour Rouen. Il va falloir que j’occupe mon temps sur Lyon.
La veille du départ, je me connecte sur le minitel, sur une appli de rencontre et, rapidement, je suis contacté par un garçon de mon âge. Nous échangeons beaucoup. Actif, il est disponible demain toute la journée. Il habite Lyon et se propose de venir me chercher à la gare en voiture, de me faire visiter (un peu) la ville puis d’aller chez lui avant de me ramener pour récupérer mon train. Le rendez-vous est fixé.
Je prépare mes valises le soir même. Ainsi, le lendemain matin, je n’ai plus qu’à m’occuper de moi en prévision de mon passage à Lyon….
Je monte dans le train qui me déposera, une heure plus tard, à la gare de la Part Dieu. J’ai hâte. Je n’arrête pas de penser à Cyril et à ce que nous allons faire. Je me sens à l’étroit dans mon jeans. Je bande et cela se voit ; moi qui ne porte que des pantalons très serrés. En rejoignant mon siège, je croise le regard d’un homme déjà assis qui fixe mon entrejambe. Je m’assois quelques rangs derrière lui. Il ne m’intéresse pas et il ne se passe rien. À part le fait que me savoir observé me fait bander encore plus. Plus le train avance et plus mon cœur bat fort. Je ne débande pas. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de coucher avec un mec. Trop longtemps à mon goût. Je réussis à rester zen. Je ne me touche pas, je ne vais pas aux toilettes.
Le train arrive en gare. Je récupère les renseignements notés sur un bout de papier sur le lieu de rendez-vous. Cyril m’attend dans sa voiture. Je me dirige vers lui et il descend de sa vieille Traction Avant très bien entretenue. Je découvre un jeune homme plus petit que moi, visiblement sportif, châtain clair aux cheveux courts. Il m’accueille avec un beau sourire auquel je réponds bien naturellement. Après avoir mis ma valise à l’arrière de sa voiture, nous partons en direction de la colline de Fourvière. Nous discutons de tout et de rien. Nous faisons une halte au niveau de la basilique et descendons de voiture pour aller voir le paysage. Cyril me sert de guide. Je me penche et m’appuie en avant sur la balustrade pour admirer la vue. Je sens sa main droite dans mon dos. Elle descend rapidement pour s’arrêter sur mes fesses. Il me propose alors de nous rendre chez lui. Enfin, nous allons passer aux choses sérieuses !
En fait, nous sommes juste à côté. Il se gare et nous montons à son appartement. Dès qu’il ferme la porte, il se retourne et nous nous sautons littéralement dessus. À grands coups de langues, je visite sa bouche. Il en fait de même. Nous nous déshabillons en même temps. Nous luttons pour nous séparer afin d’enlever ce qu’il reste de nos vêtements. Puis, nous nous retrouvons. Nous sommes nus, debout, bite contre bite. Nos mains parcourent nos corps, nos fesses. Les siennes sont rondes et fermes. Son corps est musculeux sans être bodybuildé. Par une légère pression sur mes épaules, Cyril m’indique qu’il faut que je descende. Je ne me fais pas prier. Je passe ma langue sur son torse légèrement poilu, en descendant vers son sexe. Bien raide, épaisse et veineuse, je sens que sa queue va me faire du bien. Son gland est proéminent, comme je les aime. Je ne le prends pas tout de suite en bouche. Je m’occupe d’abord de ses couilles. Une à une, puis les deux. Je les gobe, les fais rouler dans ma bouche. Il bande raide et gémis. Je les libère et prends d’un coup sa bite sur toute la longueur. Son gland tape contre le fond de ma gorge. Je ralentis le mouvement, on a le temps. Je commence un lent va-et-vient tout en lui caressant les fesses. Il me tient la tête. Reprenant le contrôle de la situation, Cyril me relève. Il m’embrasse et me pousse sur le lit. Dans le mouvement, mes jambes se lèvent. Il les attrape et se positionne devant. Je suis sur le dos, les jambes en l’air. Lui se présente face à moi, la bite bien raide. Il la prend en main et la frotte contre mes couilles. Il descend maintenant contre mon anus. J’ai envie qu’il me prenne. Je veux qu’il mette son pieu bien dur dans mon cul. 
Il continue de pousser sur mes jambes. Je suis plié en deux, le cul offert. Il approche son visage et je sens sa langue me titiller la rondelle. Il me mouille et me fouille. Je sens que je m’ouvre. Je n’en peux plus. Je le veux en moi et le lui dit. Il se redresse et présente sa queue bandée à l’entrée de mon trou. Je lui fais signe d’y aller. Il s’enfonce, doucement, plus loin, jusqu’au bout. La chaleur m’envahit. Je me détends et il commence un long va-et-vient dans mon cul. Enfin, je l’ai bien au fond. Tout en me regardant droit dans les yeux, il n’arrête pas de me pilonner en s’appuyant sur mes jambes repliées. Il entre et sort de mon cul sans même s’aider d’une main. Ses couilles battent contre mes fesses. Je gémis et je sens la jouissance arriver. Il transpire. Sa sueur tombe sur moi. Je lèche ce que je peux récupérer. Il ralentit d’un coup, me roule une pelle et continue ses coups de piston plus en douceur. D’une main, Cyril prend mes couilles, puis ma bite et me branle. Il y va lentement, au même rythme que ses mouvements de hanches. Lorsqu’il sent que je me raidis, il lâche ma queue. Je suis sur le point d’exploser. Il enfonce sa bite au plus profond de moi et reprend ses va-et-vient plus rapides. Je suis sur un nuage, totalement à sa merci. Il peut faire ce qu’il veut de moi. D’un coup, en râlant, il se retire. Plusieurs jets de sperme m’arrosent le torse, le menton et la queue. Je prends ma bite en main et me branle. Cyril n’a pas encore repris ses esprits que, moi aussi, je balance la purée. D’une main, il me caresse le torse et la queue avec nos spermes qui se mélangent. Il porte sa main au niveau de mon visage. Ses doigts dégoulinants de sperme effleurent mes lèvres. Je tire la langue et les prends pour les lécher. Cyril s’écroule sur moi. Nous restons ainsi, quelques minutes, enlacés. Mais j’ai un train à prendre.
Nous nous levons. Pendant que je prends une douche rapide, Cyril nous prépare un repas vite fait, mais consistant. Ensuite, il me ramène à la gare et j’arrive à temps pour monter dans mon train.
Bizarrement, j’ai écourté mes vacances en famille pour revenir passer quelques jours sur Lyon avant de reprendre le travail. Ce fut un long week-end des plus torrides qui, pour une fois, se renouvela….

Au fil du temps, avec les nombreux déplacements, les périodes d’astreintes et l'impossibilité de nous voir régulièrement, nous mettons fin à notre relation.
Le phénomène des violences urbaines commence à prendre de l’ampleur...


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25/ Mon chef

Mon unité est appelée en renfort au profit d’une autre brigade de Haute-Savoie. Celle-ci vient de faire l’objet de dégradations après un long épisode de violences urbaines. C’est l’été. Un détachement de 8 hommes est envoyé en renfort, pour deux semaines, sur cette commune afin de prévenir et réprimer toute récidive. J’en fais partie. Nous effectuons nos propres patrouilles en lien étroit avec la brigade locale. Il semble que la situation soit redevenue calme. Dans ces conditions, il n’est pas prévu de nous faire travailler de nuit. Mais nous devons nous tenir prêt à intervenir à tout moment. Tous les matins, nous faisons du sport et patrouillons les après-midi. Nous sommes logés dans un centre routier, à proximité de la ville. À deux par chambres, je partage celle du chef de détachement. Il faut dire que nous nous connaissons de longue date, puisqu’il faisait partie de mon encadrement lorsque j’effectuais mon service militaire « long ». Depuis son arrivée dans mon unité, nous entretenons des relations respectueuses dues à nos grades respectifs. Cela ne nous empêche pas, après le travail et lorsque l’occasion se présente, de faire la bringue ensemble, avec d’autres célibataires de l’escadron. À aucun moment, en arrivant dans cette ville de Haute – Savoie, je n’aurai pensé que notre relation allait prendre une autre direction.
N’étant pas employés le soir, chacun est libre de faire ce qu’il veut, dès lors qu’il reste joignable et prêt dès le moindre rappel.
Le premier soir, tout le monde va se coucher en même temps après le film diffusé à la télé du centre. Je rentre dans la chambre le premier et commence à me déshabiller. Jacques, mon chef, entre à son tour. Je suis totalement nu, me dirigeant vers la douche. Entre militaires, il n’y a rien d’extraordinaire à cela et je ne me cache pas du tout. Je prends ma douche et, lorsque j’en sors, Jacques attend sur son lit, nu, pour prendre la place. Il a 42 ans, sportif, châtain, peu poilu, un peu plus grand que moi. Il se lève dès que je sors de la douche et nous nous frôlons pour passer. Nos corps se touchent un bref instant. Sur le coup, je ne pense à rien en particulier. C’est là que je remarque que les lits ont bougé. Nous avons chacun un lit une place séparés par une table de nuit. Cette dernière a été déplacée et les lits sont rapprochés, mais pas collés. Je commence à me poser des questions, mais je n’ose imaginer faire quoi que ce soit avec mon chef. Il faut dire que le Ministre vient encore d’annoncer officiellement que l’armée ne compte aucun homosexuel dans ses rangs...
Jacques sort de la douche, nu comme un vers. Je range mes affaires dans l’armoire de la chambre avant de me coucher. J’ai encore ma serviette autour de la taille. Nous discutons un peu. Jacques s’allonge sur les draps et je peux voir son sexe, au repos et ses deux petites couilles en dessous. En discutant, il se caresse un peu de temps en temps. Je le rejoins et m’allonge, à mon tour, sur mon lit. Je retire la serviette. Je suis aussi nu que lui. Je remarque tout de suite son regard qui se porte sur mon sexe. Je suis mal à l’aise et je n’ose rien faire. D’autant qu’à l’époque, le simple regard d’un mec peut me faire bander. Je sens l’excitation me gagner. Je me glisse alors sous les draps en pensant que cela passerait. Je bande !
J’ai vite trop chaud et je ne supporte pas d’être bordé. Je me redresse et défais les draps et couvertures pour me sentir plus à l’aise. Je m’allonge et me tourne vers Jacques pour continuer notre discussion. Je suis certain qu’il a vu ma queue raide, même furtivement. Il fait pareil mais se met dos sur la tête de lit. Ses draps lui couvrent juste les jambes jusqu’au pubis. J’ai la tête à cette hauteur, l'entre-jambe de Jacques au niveau des yeux. Tout en discutant, je suis comme hypnotisé. Je ne lâche plus son corps et son drap du regard. Je suis persuadé qu’il le remarque, car de temps en temps, une de ses mains descend sous le drap. Il se caresse de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps. Par moment, j’aperçois sa bite dépasser du drap. Je n’en peux plus. Il faut que j’en aie le cœur net. Avec ma main droite, si je veux, je peux l’atteindre. J’en ai très envie, mais je n’ose pas. Je change légèrement de position et j’en profite pour poser ma main sur son lit, juste à côté de son corps, de sa bite. Je suis tétanisé ! Et si je me trompais ? Je ne peux pas aller plus loin ! J’ai déjà vu des camarades nous quitter précipitamment pour cause d’homosexualité !
Fort heureusement, je n’ai pas à attendre longtemps. Jacques, qui ne dit plus rien, pose sa main sur la mienne. Il la prend et l’emmène directement sur son sexe. Il bande, comme moi. Sa bite n’a rien d’extraordinaire, mais est bien raide. Il n’en faut pas plus. Je me redresse et me penche aussitôt vers sa queue. Je baisse ses draps, attrape sa queue et la met en bouche. Je le suce en lui malaxant les couilles. Il ne lui faut pas longtemps. Il jouit dans ma bouche. J’avale son sperme chaud. Je me redresse et tente un baiser qu’il me rend. Il goûte à son propre sperme. Il en reste un peu dans ma bouche. Puis, il prend mes fesses et les tire vers lui. Je me lève et présente ma queue devant son visage. Il écarte les lèvres et je m’enfonce doucement. Nous ne devons pas faire de bruit, les murs de l’hôtel sont fins et nos camarades sont dans les chambres autour. Je le guide un peu puis le laisse faire. Je jouis à mon tour dans sa bouche, en silence.
C’est à ce moment que quelqu’un frappe à la porte. Je fonce me remettre dans mon lit en vitesse. J’ai à peine le temps de remonter mes draps que la porte s’ouvre. Et si quelqu’un nous avait entendus ? C’est l’un de mes camarades qui veut confirmation de la tenue à porter demain matin. Jacques lui répond un peu sèchement et la porte se referme. Je suis soulagé, Jacques aussi. J’apprends qu’il est bisexuel, célibataire, mais pas libre. Il a une copine qui l’attend dans sa région natale. Au niveau expérience, ce n'est pas terrible. Il en est encore qu’à la pipe. Il me dit aussi que cela fait longtemps qu’il a envie de moi ; depuis mon service militaire. Il paraît que je l’excite avec mes tenues moulantes. Nous en restons là pour ce soir. Il est tard.
Le lendemain, nous nous organisons, car nous voulons profiter de notre soirée. Sous un prétexte quelconque, mais cohérent, nous prenons congé de nos camarades très tôt ; dès le début du film qu’ils regardent à la TV. Une fois dans la chambre, nous nous déshabillons et nous enlaçons. Je descends rapidement vers son sexe bandé et le suce. Jacques me demande s’il peut me prendre. Il en a envie. Ni une, ni deux, je saute sur le lit à quatre pattes et lui tends mon cul. Je sens ses mains écarter mes fesses et sa langue titiller ma rondelle. Il souffle fort. Je sens qu’il tente un doigt. Je l’aspire avec mon cul. Un deuxième se présente, que je prends également. Jacques se redresse et présente sa bite devant mon trou bien élargi. Il mouille son gland avec de la salive et s’enfonce. Après quelques mouvements, il se crispe et balance la purée. Il se retire aussitôt. Je sens son sperme couler sur mes couilles. Il me demande de me placer sur lui et de me branler. Il veut me voir et recevoir mon sperme sur lui. Il s’allonge et je me positionne sur lui, assis sur sa bite maintenant au repos. Je prends ma queue et commence ma masturbation. Par moment, je m’avance pour placer mon gland sur ses lèvres, mais il ne veut pas les ouvrir. Il veut me regarder. Je finis par lâcher plusieurs jets sur son visage et son torse. Il me fait un bisou sur le gland encore humide. Une petite tape amicale sur mes fesses et me dit : «  Gardons-en pour demain ! »
Nous passons le reste du déplacement à baiser tous les soirs. Nous continuons une fois rentrés à la caserne, mais moins régulièrement. Je suis très flatté, moi, le plus jeune des deux, qui lui sert de guide. Du haut de mes 24 ans, j’apprends des trucs à mon amant de 18 ans mon aîné.  

Quelques mois après, Jacques m’annonce qu’il part. Il a fait valoir ses droits à la retraite et doit se marier avec sa copine dès son retour chez lui. Nous nous sommes écrits quelques fois, mais nous ne nous sommes jamais revus. Les mois passent. Je dois repartir, avec mon unité, pour un troisième déplacement en Nouvelle-Calédonie. Normalement, ce doit être mon dernier séjour outre-mer. 


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26/ Week-end de repos torride en outre-mer

Je suis en déplacement professionnel, pour plus de trois mois, en Nouvelle-Calédonie. Je suis basé sur Nouméa, la capitale du territoire. Notre cantonnement est excentré dans la banlieue. C’est mon troisième séjour sur ce territoire. Cette fois, notre boulot consiste à monter la garde autour et dans des bâtiments gouvernementaux. C’est assez cool et nous avons la possibilité de bénéficier de nos jours de repos hebdomadaires. Je ne sais plus par quel hasard, mais je pose deux jours de repos en semaine et je suis le seul de mon unité à en profiter ces deux jours-là.
Le premier jour, après ma présence au petit-déjeuner avec les camarades, je prépare mon sac à dos avec mes affaires de plage puis je prends le bus en direction du centre-ville. Une fois arrivé, je flâne un peu en regardant les vitrines des magasins. Passant devant le « Café Français », je décide de m’y arrêter pour prendre une boisson chaude. Je m’installe sur la terrasse et regarde les gens passer. J’ai tout mon temps et consomme mon café doucement. Alors que je pose ma tasse vide sur la table, prêt à reprendre mes déambulations, je suis accosté par deux jeunes hommes, la vingtaine, blonds tous les deux, ne s’exprimant qu’en anglais. Ils souhaitent visiter, je ne sais plus quel bâtiment et me demandent si je connais le chemin. Comme je suis justement en train de me dire que la journée allait peut-être être longue tout seul, je me propose de les accompagner. Surtout que le chemin à faire est assez compliqué à expliquer et encore plus en anglais. Ils acceptent avec plaisir. Je règle ma consommation et nous partons.
En chemin, j’apprends qu’ils sont venus en groupe depuis l’Australie voisine et logent en auberge de jeunesse. Ils s’offrent un séjour en Nouvelle-Calédonie pour marquer la fin de leurs études. Oliver et Jack sont amis de longue date et suivent le même cursus.
Le courant passe bien entre nous trois. Je suis à peine plus âgé qu’eux de deux ans. Après la première visite effectuée, ils me demandent si je connais d’autres lieux intéressants. Je leur en propose un ou deux. Comme je suis bien avec eux, je leur propose également que nous déjeunions ensemble au restaurant avant d’aller passer l’après-midi à la plage, sur la célèbre « Baie des Citrons », vers le Club Med. L’avantage de cette plage est qu’elle est située en plein centre-ville de Nouméa. Ils acceptent volontiers le programme. Nous voilà partis. Après les visites, nous arrivons à la plage. Heureusement, j’ai une grande serviette. Nous nous installons à trois dessus. Je retire mes vêtements (je porte déjà mon mini maillot de bain). Eux ne retirent que chaussures, chaussettes et t-shirt. Ils n’avaient pas prévu d’aller à la plage. L’auberge de jeunesse n’étant pas loin, je leur propose d’aller se changer et de revenir, mais ils refusent. De ce que je comprends, ils n'ont pas envie de voir les autres et surtout de risquer que l’un d’eux se greffe à nous. Nous passons le reste de la journée à discuter et rigoler. Le temps passe très vite et le soleil se couche. Nous nous rhabillons et Jack propose que nous retournions au « Café Français » pour boire un verre et manger tous les trois. C’est ok pour moi. J’ai un bus jusque tard dans la soirée pour rentrer au cantonnement. Nous nous attablons et commandons une tournée d’apéros, puis deux, puis trois… Pour le dîner, Oliver demande une bouteille de vin. À la fin du repas, nous sommes un peu chauds tous les trois et Jack propose que nous retournions à la plage. Il précise que, comme il fait nuit, ils pourront se baigner tranquillement. Oliver semble réticent, mais nous suit.
Une fois à la plage, bien qu’il fasse nuit, il fait toujours bon. À 23 heures, il n’y a plus un chat. Jack commence à retirer ses vêtements et nous le suivons. Sauf que là, je le vois dégrafer son bermuda, le retirer et baisser son caleçon. Il est complètement à poil sur la serviette et nous invite à faire de même. Oliver fait pareil. J’ai plus le choix. Je retire mon maillot de bain également. Jack me prend par la main et m’entraîne vers l’océan en courant. Oliver ne bouge pas. Il préfère garder nos affaires. Nous fonçons dans l’eau. Jack me lâche et nous nageons l’un à côté de l’autre jusqu’à un ponton en bois amarré un peu plus loin. C’est la première fois que je me baigne nu et je dois reconnaître que la sensation est loin d’être désagréable, au contraire. Nous discutons un peu, mais rapidement, la fraîcheur se fait sentir. Nous retournons dans l’eau et nous dirigeons lentement vers la plage. Oliver est toujours assis et nous regarde. Jusqu’à cet instant précis, jamais de toute la journée, je n’ai pensé au sexe, ou si peu, même si j’apprécie beaucoup leur plastique. Il est vrai que, depuis Jacques, je suis en jachère.
Alors que nous avons de l’eau un peu plus haut que la taille, la main de Jack m’attrape. Il me retourne, m’enlace et me roule un patin auquel je ne peux que répondre. Ses mains me caressent le dos, descendent sur mes fesses puis remontent. Les miennes aussi parcourent son corps d’athlète. Je sens ses muscles du dos, ses fesses très fermes. Je sens aussi que nos deux bites se frottent l’une à l’autre en bandant à fond. Je passe une main sur ses abdos bien dessinés dont j’ai pu apprécier la vue dans la journée. Je prends son sexe et commence à le caresser dans l’eau. Bien raide, elle est plus épaisse et plus grande que la mienne. Son gland est proéminent, un peu comme un plug au bout d’un bon gode. Tout ce que j’aime ! Je suis encore loin de me douter tout le plaisir qu’elle va me procurer... Alors que Jack trouve mon anus et le titille du bout d’un doigt, je sens deux autres mains parcourir mon dos. Quelque chose de dur pointe sur ma raie des fesses. On dirait une tête chercheuse qui ne demande qu’à trouver l’entrée. Oliver nous a rejoint. Je me retourne et nous nous enlaçons tous les trois. Nos langues se mélangent et nos mains parcourent chacune un corps.
Avec les vagues, ce n’est tout de même pas très pratique. Il est hors de question de poursuivre sur la plage (située en centre-ville). Je ne peux pas les emmener au cantonnement et eux ne peuvent pas me ramener à l’auberge de jeunesse. Nous convenons de prendre une chambre d’hôtel. Nous sortons de l’eau rapidement et nous rhabillons aussi vite que possible, tous les trois avec la bite dressée et bien raide. Des voitures circulent à dix ou quinze mètres de nous. Nous nous mettons en quête d’une chambre d’hôtel. Il est convenu que j’attende à l’extérieur pendant qu’eux négocient la chambre. À la seconde tentative, c’est bon. Une chambre est libre et ils la règlent. Jack me fait signe de venir. Nous montons tous les trois et ne tardons pas à nous retrouver sous la douche, heureusement suffisamment grande, pour retirer le sable qui commence sérieusement à gratter. Aussitôt, les mains baladeuses reprennent du service. Tous les deux s’attardent sur mes fesses et mon anus pendant que je me saisis de leur chibre. Oliver, lui, est équipé comme moi, dans les mêmes proportions. Je leur tâte les couilles puis reprends leur manche et commence à les branler doucement. Nous nous roulons encore une pelle à trois et je décide de descendre. Je passe ma langue sur leur torse, chacun leur tour, je lèche leurs abdos saillants et me dirige vers leurs glands fièrement dressés. J’en prends un, puis l’autre, puis les deux en bouche. Ils s’embrassent et se caressent. Ils coordonnent leur mouvement de bassin, léger, pour pénétrer ma bouche un peu plus. Jack me fait signe d’arrêter. Il coupe la douche. On se sèche et nous sautons sur le lit. Je me retrouve à quatre pattes. Jack se place devant moi et je le reprends en bouche. Oliver est derrière et je sens sa langue me caresser la rondelle, ses mains écartant mes fesses. J’enfonce la bite de Jack au plus profond dans ma bouche alors que la langue d’Oliver ouvre le passage. Il y glisse un, puis deux doigts avant de me pénétrer.
Ils changent de place. Jack se place derrière moi et présente directement son gland à l’entrée de mon trou. Il pousse, je m’ouvre et le prends en entier. Une fois au fond, Oliver se rapproche et me présente son gland qu’il met entre mes lèvres. Comme j’ai déjà la bouche ouverte, lui aussi pousse un peu et me pénètre. Je m’ouvre au maximum et détend mes mâchoires. Tous les deux sont coordonnés : ils poussent en même temps. Je passe un très, très bon quart d’heure ! Ils accélèrent le mouvement, le ralentissent, toujours en même temps. Ils entrent et sortent de mes orifices au même instant. Cette fois, c’est Oliver qui demande une pause. J’en profite pour leur dire combien j’apprécie le traitement. Ils me retournent le compliment.
Jack, qui est sur le dos, me demande de grimper sur lui et de m’empaler sur son pieu. Je crois qu’il n’a pas le temps de finir sa phrase que je suis déjà en position. Je prends sa bite et m’enfonce sur lui. Qu’est-ce que c’est bon !!!! Oliver se remet debout, devant et je le pompe. Jack me maintient les fesses en hauteur et c’est lui qui me lime de plus en plus vite. Je sens mon trou s’élargir comme jamais. J’adore cette position !! Tout en continuant, Jack dit à Oliver qu’il peut venir, c’est bon. Je m’attends à devoir bouger, mais non ! Jack ralentit la cadence, ne me tient plus les fesses et je m’enfonce jusqu’aux couilles. Il m’enlace et me penche en avant. Aussitôt, je sens le gland d’Oliver se présenter, lui aussi, devant mon trou déjà occupé. Pas besoin de me faire un dessin. Excité comme je suis, je leur dis d’y aller. Oliver pousse et sa bite finit par entrer, elle aussi. Je me sens comme écartelé. Je crie, mais c’est tellement bon que je râle de plaisir très vite. J'ai les deux bites dans mon cul ! Une fois la queue d’Oliver bien ancrée en moi, les deux se mettent à bouger. Je suis au septième ciel. Je m’accroche et eux me liment le cul, toujours en même temps. Je ne sais pas combien de temps cela dure. Je suis déchaîné. Ils se défoulent dans mon trou jusqu’à ce que je sente plusieurs vagues de liquides bien chauds m’envahir. Je n’en peux plus et je jouis aussi sur le torse de Jack. Nous restons ainsi tous les trois quelques minutes avant qu’Oliver ne se retire. Toutefois, il me maintient dans ma position. Je sens alors sa langue passer sur mon anus et la bite de son pote. Il récupère leurs spermes ! Il retire la bite de Jack de son alcôve. Je suppose qu’il le suce un peu et reprends mon trou. Il aspire tout ce qu’il peut puis me libère. Je me relève et pivote sur le dos, à côté de Jack. Oliver se précipite sur le torse de son pote et lèche mon sperme, puis il vient lécher ce que j’ai aussi sur mon torse. Visiblement, il adore ça ! En rigolant, je leur dis que j’aurais aimé goûter aussi. Ils me répondent tous les deux en même temps (toujours en anglais) : « Peut-être demain ? Ce sera ton petit déjeuner ! »
Nous retournons sous la douche tous les trois. Nous nous nettoyons mutuellement et j’ai l’impression qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que les affaires reprennent. Mais, cette fois, il est vraiment tard, ou tôt le matin. Il faut dormir un peu. Nous nous couchons. Je suis au milieu et tous les deux m’enlacent. On n'a pas besoin de berceuse pour s’endormir.
Après quelques heures de sommeil, je me réveille le premier. Il fait jour et nous devons rendre la chambre dans les deux heures qui suivent. Oliver et Jack sont toujours endormis, sur le dos et légèrement tournés vers moi. Je m’aventure à glisser mes mains vers leur bas ventre. Ils bandent tous les deux. Je commence alors à les caresser. D’abord les couilles, doucement, puis je remonte et prends délicatement leur queue. Je passe un doigt sur leur méat. Les deux bites ont un sursaut. Je continue et commence très lentement un mouvement de va-et-vient. Ils commencent à bouger et émergent gentiment. Jack ouvre un œil et sourit, suivi d’Oliver. Ils se mettent bien sur le dos et me laissent faire un moment. J’augmente légèrement la pression et le rythme. Jack donne le signal à Oliver. Ils se lèvent et me disent de venir les sucer tous les deux. Je suis à genoux et je tiens leur bite dans mes mains et les présente devant ma bouche. J’ouvre en grand et j’avale les deux glands. Dans le même temps, je les branle. Ils me tiennent la tête. J’arrête de les branler et je commence à malaxer leurs couilles. Il ne faut pas longtemps pour qu’ils m’honorent de leur jus. Il est chaud et très épais (ce que je n’avais pas pu vérifier la veille). Un arrière-goût sucré que j’adore. Bref, un excellent petit déjeuner protéiné. Bien évidemment, j’avale tout et je ramasse les dernières gouttes qui perlent au bout de leur gland. Je les remercie pour ce délicieux repas.
Cette fois, nous prenons une dernière douche, mais en restant sages. Il faut rendre la chambre. Nous nous séparons après avoir échangé nos numéros de téléphone (fixes à l’époque) et fait la promesse de garder le contact. Jack et Oliver repartent l’après midi même en Australie.

Pendant ce dernier déplacement en Nouvelle-Calédonie, toute mon unité est logée dans une tour, style H.L.M., dans la banlieue de Nouméa. Chaque groupe occupe un appartement, sans, toutefois, pouvoir utiliser la cuisine. Les repas sont pris en commun. J’ai la chance de ne partager ma chambre qu’avec un seul de mes camarades : Diégo !


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27/ Diégo, le retour

Diégo est égal à lui-même, sans fard. Une fois dans la chambre, la chaleur étant difficilement supportable, il se met totalement à poil, moi aussi d’ailleurs. Nous nous retrouvons ainsi tous les soirs, nus, sur nos lits respectifs et généralement sur les draps. Avant de dormir, nous lisons un peu ou écrivons une lettre à nos familles. On discute beaucoup aussi. Bref, on peut rester ainsi quelques heures. Ce qui m’arrange, car je ne rate pas une occasion de le mater discrètement. J’adore quand je le vois se tripoter la bite ou les couilles machinalement pendant qu’il lit. D’autant qu’il lui arrive aussi régulièrement de se mettre à bander. De plus en plus souvent d’ailleurs. Cela provoque immédiatement la même réaction chez moi. Après plus d’un mois de déplacement, on ne se cache plus, même dans cet état. Après tout, on s’est déjà vu bandant tous les deux, au réveil, chez lui. Mais c’est plus fort que moi, quand ça arrive, je me mets à espérer pouvoir renouveler l’expérience de cette nuit passée sur son canapé.
Un soir, vers le deuxième mois de déplacement, je vois Diégo perturbé. Nous sommes sur nos lits, nus. Il se caresse la bite tout en soupirant ou marmonnant d’un air agacé. Je l’interroge :
- « Qu’est-ce qu’il y a ? Ça ne va pas ?
- Je n'arrive pas à accrocher à l’histoire du bouquin... Ma copine me manque !
- Plus qu’un mois à tenir et c’est bon, on rentre.
- Oui, mais j’en ai marre de me branler sous la douche. J’ai envie de baiser moi ! Regarde ! (Il me montre sa bite bien raide)
- Je crois qu’on en est tous là (je montre la mienne), puis on n'a pas le choix (les yeux rivés sur son chibre). Tu peux toujours te trouver une nana en ville ou aller voir une pute. Certains le font, même des mecs mariés.
- Pas question que je paie ! Par contre…
- Oui ?
- Euh……. J’aurais bien une idée...
- Quoi ?
- Tu te rappelles quand on s’est endormi sur mon canapé ?
- Chez toi ? Oui, bah quoi ?
- Tu ne voudrais pas recommencer ?
- Recommencer quoi ?
- Tu sais..., je ne dormais plus. En fait, je me suis réveillé dès que j’ai senti ta main prendre ma bite.
- Euh….
- Tu pourrais même peut-être la prendre un peu plus longtemps dans ta bouche, c’était très bon !
- Ah… Et ta copine ?
- Ce qui se passe à Nouméa reste à Nouméa. Puis, ce n'est pas pareil, tu es un pote !
- Dans ces conditions…. »
Je saute de mon lit et fonce vers le sien. Je ne veux pas le brusquer alors, je m’accroupis par terre, la tête à hauteur de son manche. (J’ai déjà vécu une telle expérience avec un hétéro qui te chauffe de façon explicite et qui, au dernier moment, alors qu’on est déjà à poil, fait marche arrière. C’est plus que frustrant !). Je le regarde. Il hoche la tête et me dit doucement : « Vas-y, s’il te plait ».
Il ne m’en faut pas plus. J’attrape sa bite, me rapproche et embrasse son gland. Il me regarde faire. Je sors la langue et commence à passer partout autour, sur son méat, son frein sur lequel je m’attarde. Il commence à gémir tendrement. Puis j’enserre son gland entre mes lèvres et je descends en le regardant. Il n’en rate pas une miette. Sa bite a beau être fine, elle est longue et je ne peux tout prendre sans risquer un haut le cœur. Après plusieurs tentatives, je passe sur ses couilles. Je commence par celle qui est intacte. Je lèche, je gobe. Il me dit que je peux prendre l’autre sans crainte. Ce n’est pas plus sensible. Je change donc. J’ai l’impression d’avoir les deux couilles dans la bouche alors qu’il n’y en a qu’une. Il apprécie, je l’entends. Je tente une aspiration de son autre testicule qui rentre. C’est bizarre. C’est comme si je gobais trois couilles en même temps. J’ai la bouche pleine. Je le lâche et, au moment de revenir sur sa bite, il m’interrompt. Il me fait une place sur lit et me dit de venir m’allonger à côté de lui. Il me précise tout de suite qu’il ne me sucera pas, mais qu’il a envie de toucher ma bite pendant que je le suce. Je me mets en position et reprends là où j’en étais. Diégo me caresse le pubis et descend doucement pour enfin prendre ma queue et mes couilles. Il malaxe en douceur. Il fait attention. Pendant que je poursuis mes va-et-vient de la tête sur son chibre. Je sens ses doigts explorer chaque millimètre de mon sexe. D’un coup, je réalise que ses doigts descendent encore. L’un d’eux s’aventure entre mes cuisses, cherchant visiblement mon anus. J’écarte les jambes pour lui laisser l’accès libre. Je l’entends faire un petit râle de satisfaction.
Aussitôt, je sens un doigt devant mon trou. Il me masse avec. Il ne m’en faut pas plus pour que je m’ouvre (surtout après le week-end passé avec mes deux australiens). Sa première phalange est déjà entrée. Je sens qu’il bouge son doigt à l’intérieur et qu’il tente d’aller plus loin. De mon côté, j’accélère le mouvement. Je mouille de la bouche et du cul. Il s’enfonce encore au plus loin qu’il peut avec son doigt. Je le sens alors se raidir. Il va jouir. Je ralentis la cadence, mais trop tard. Il balance la purée dans ma bouche en plusieurs jets. Je retrouve le même goût que la première fois. De sa main libre, il a attrapé son oreiller pour étouffer ses gémissements. Je continue à le lécher doucement en récupérant les dernières gouttes de sperme qu’il me donne. Diégo n’a pas retiré son doigt. Il continue à remuer en moi. Nous nous regardons et il me dit que je peux me branler comme ça, si je veux. Je prends ma queue en main et commence à m’astiquer devant lui. Son regard passe de mes yeux à ma bite puis mon cul. Cela ne prend pas longtemps avant que plusieurs jets arrosent mon torse et mon menton. On se regarde à nouveau et partons dans un éclat de rire (en sourdine). Il retire son doigt. J’ai déjà ramassé mon sperme avec mes mains et tout porté à ma bouche. Je me lève et essuie le reste avec ma serviette. Il me remercie pour ce bon moment et réitère ce qu’il a dit avant : « Ce qui se passe à Nouméa reste à Nouméa ! » De mon côté aussi, je le remercie et lui indique que son doigt m’a quelque peu surpris, mais que c’était très agréable. Il me répond que l’idée lui est venue dans l’action. En tout cas, c’était une très bonne idée….
Ce qui est bien avec Diégo, c’est qu’il assume. Enfin, entre nous. Ce qui est fait est fait et si cela s’est passé, c’est qu’il le voulait. Donc, aucun regret. Nous avons passé une fin de déplacement paisible.
Un soir, je lui raconte même mon week-end avec les deux australiens alors que beaucoup pensaient que j’avais passé la nuit avec une prostituée. Ce soir-là, nous renouvelons notre expérience à la différence que, cette fois, il a aussi goûté à ma bite et à mon jus.
Et, effectivement, ce qu’il s’est passé à Nouméa est resté à Nouméa…. jusqu’à aujourd’hui.

De retour en métropole, après un ou deux nouveaux déplacements sur Paris, je bénéficie d’une longue période de congés. Je me prépare pour un long voyage. Jusqu’à présent, je ne considère les relations entre hommes que comme du fun, du sexe uniquement. Les sentiments sont réservés aux hétéros. Je vais me prendre une sacrée claque. La première...


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« Dans ce récit, en huit parties, la seule liberté que j’ai prise est dans les dialogues. Bien que je sois bilingue, je ne comprends pas toujours tout ce que l’on me dit du premier coup et je cherche souvent mes mots. Je suis donc allé à l’essentiel mais le résultat est le même. »


28/ Des vacances bien méritées : Mon arrivée

Plusieurs mois sont passés depuis mon dernier déplacement en Nouvelle-Calédonie.
Je suis toujours en contact avec Jack, l’un des deux australiens rencontrés lors de mon dernier séjour outre-mer. Jack m’a proposé plusieurs fois de venir passer quelques jours chez lui et, l’occasion m’étant donnée, j’ai finalement accepté. Ayant mis suffisamment de côté, je peux me payer le billet d’avion.
Jack vit encore chez ses parents. J’ai déjà eu l’occasion d’échanger quelques mots avec eux au téléphone. Ils ont confirmé l’invitation et nous prêtent leur maison de vacances pendant mon séjour. Ils savent que nous avons passé une nuit ensemble. Par contre, j’ignore s’ils ont connaissance qu’Oliver était aussi avec nous.
Je me dirige donc vers Paris en train, puis direction l’aéroport de Roissy. J’embarque enfin, excité à l’idée de revoir mes deux amants d’un week-end. En même temps, je suis un peu anxieux à l’idée d’être reçu par les parents de Jack. Les miens ne feraient jamais ça, surtout ma mère !
C’est reparti pour plus de vingt-deux heures de vol, mais je commence à être habitué. Le voyage se passe sans encombre. J’arrive à Sydney et, le temps de passer les formalités, je retrouve Jack et ses parents. Il est toujours aussi beau gosse, les cheveux un peu plus longs. Mon appréhension de faire la connaissance de ses parents est vite dissipée. Jack me saute littéralement dessus en me prenant dans ses bras, osant un smack devant tout le monde. Surpris, je jette un coup d’œil vers ses parents qui attendent leur tour avec un large sourire. Puis, Jack me libérant, c’est au tour de sa mère, Tricia, de m’enlacer et m’embrasser fort sur la joue. Son père, Henry, me souhaite la bienvenue en me serrant la main puis, m’enlace à son tour. Je ne suis pas habitué, je suis surpris et ravi. Personne ne parle le français, à part Jack qui a appris quelques mots.
Nous nous dirigeons vers la voiture et prenons la route. Jack est avec moi, à l’arrière. Pendant le trajet, nous nous remémorons notre week-end passé ensemble quelques mois plus tôt, sans toutefois parler de notre nuit, à l’hôtel, avec Oliver. Jack me tient la main en permanence. Nous arrivons à la maison, une belle petite propriété avec piscine dans un jardin, le tout entouré de maisons du même style, dans une banlieue chic de Sydney. Jack me fait visiter. Alors que je regarde tout autour du jardin, il me dit tout bas : « Demain, dans la maison de vacances, nous n’auront pas de voisin... »
Tricia a préparé un encas, nous nous attablons dans la partie ombragée du jardin. Il y fait bon. Tricia et Henry me disent combien ils sont heureux que leur fils se soit fait un ami français et que cet ami, moi, ait fait des milliers de kilomètres pour le retrouver, même si ce n’est que pour quelques jours. J’en profite pour leur donner le petit cadeau que j’ai ramené pour les remercier de me recevoir. Le repas, copieux, et le décalage horaire, me font piquer du nez. Tricia me propose d’aller faire une petite sieste. Jack m’accompagne jusqu’à ma chambre. Nous entrons. Ma valise est déjà là, déposée par Henry. Jack ferme la porte et me prend dans ses bras. Nos lèvres se touchent et s’attardent enfin. Nos langues se trouvent. Nous restons ainsi un bon moment. Je sens le sexe de Jack contre le mien. Nous bandons tous les deux. Jack s’écarte et me dit tout bas : « Il faut rester sage. Demain sera un autre jour ! » Je suis d’accord avec lui, d’autant que je meurs de sommeil. Jack prend congé et me précise qu’il viendra me réveiller avant le dîner, si je ne suis pas déjà levé. Après une douche rapide, je fonce sur le lit avec ma serviette autour de la taille.
Je m’endors immédiatement en restant sur les draps. Puis, je sens une main sur mon genou. Cette main remonte doucement sur ma cuisse. J’ouvre un œil et je vois le visage souriant de Jack tout près de moi. Il m’embrasse à nouveau. Il est l’heure de se lever si je ne veux pas être dans le gaz toute la soirée. Je me redresse, la serviette n’est plus attachée. Je bande. Jack tapote ma bite avec deux doigts et me dit : « Non, non. Attends demain ! Je n’ai jamais fait ça avec mes parents dans la maison ! » C’est une douce torture, mais je comprends.
Je m’habille et retrouve mes hôtes dans la salle à manger. Nous discutons et faisons plus ample connaissance. C’est assez compliqué, car j’ai du mal avec mon anglais et surtout l’accent de Henry. Mais on y arrive. Après l’apéro, un rhum-coca, nous passons à table. Ce qui est formidable, c’est que l’on peut parler de tout, même de sexe (sans toutefois entrer dans les détails et ça m’arrange). Bien évidemment, le sujet du SIDA, qui fait des ravages, est évoqué. Ils nous demandent de faire attention à nous et de prendre les précautions recommandées : la capote ! Jack rassure ses parents en leur disant qu’il a acheté deux boites et qu’il espère que cela suffirait. Je rougis instantanément. Tricia me prend le bras et me dit : « C’est pas grave, vous êtes jeunes. Profitez en ! » Décidément, ils sont très cool !
Après le repas, Jack me demande de le rejoindre pendant qu’il prépare ses affaires pour la semaine. En préparant son sac, il m’apprend qu’Oliver travaille et qu’il ne pourra nous rejoindre que le week-end. Il viendra seul, bien qu’en couple. Jack me précise que c’est un couple libre et qu’il ne comprend pas trop leur fonctionnement. Il est plutôt fidèle et a du mal à admettre que deux conjoints peuvent aller chacun de leur côté pour baiser et se retrouver après. Je lui réponds que c’est pareil pour moi : quand tu es célibataire, tu fais ce que tu veux. Une fois en couple, s’il doit y avoir un autre mec, ou plus, c’est tous ensemble ou rien ! Il approuve. Jack, lui, prend une année sabbatique avant de reprendre ses études. Il veut changer de branche, mais hésite encore entre deux. Nous passons le reste de la soirée à discuter entre deux baisers et quelques caresses au-dessus de la ceinture. Sur ses conseils, je prépare aussi un petit sac. Inutile de prendre toute la valise. Nous nous habillerons léger, très léger. Nous partons tôt demain matin et je vais encore subir les effets du décalage horaire. Je vais prendre congé de Tricia et Henry qui sont dans le salon, devant la télé. Puis je remonte souhaiter une bonne nuit à Jack qui me souhaite de faire d’aussi beaux rêves que lui, depuis qu’il sait que j’arrive. Je me couche et m’endors aussitôt.
Le matin, Jack vient me réveiller avec la douceur que je lui connais. Il me demande de ne pas trop traîner. Le petit déjeuner est prêt et l’on part dès que possible. C’est l’occasion pour moi de goûter la Vegemite, une pâte à tartiner locale. Je ne suis pas spécialement fan, mais mes hôtes ont tout prévu. J’ai droit à ma plaquette de beurre avec le pain. Nous terminons de nous préparer et disons au revoir aux parents de Jack. C’est parti pour environ quatre heures de route. Jack a son propre véhicule, un petit pick-up. Il me décrit l’endroit où nous nous rendons, me précise que nous y serons tranquilles, sans parents et personne pour nous déranger. Nous poursuivons notre conversation et revenons sur notre précédent week-end, cette fois avec les détails.
La discussion réchauffe les esprits et les bites. Jack revient sur notre nuit à l’hôtel en se caressant l'entre-jambe. Je le regarde faire en passant ma langue sur mes lèvres. Il me sourit et ouvre la braguette de son bermuda. Sa bite sort directement, bien raide et dressée. Je tends la main, il bouge un peu pour me faciliter le passage. Je prends son membre et commence à le caresser. Je descends et glisse mes doigts dans son bermuda pour attraper ses bourses. Je tire un peu sur le vêtement et les sors. Jack tend le bras vers moi et place sa main gauche sur ma nuque. Il ne m’en faut pas plus. Je me penche et gobe son gland. Je le tète en passant ma langue tout autour. Il gémit et dit : « Enfin  ! J’avais tellement hâte d’être enfin seul avec toi ! ». Je salive autour de sa bite et m’enfonce. Je vais au plus loin possible et commence tout doucement mes va-et-vient. Jack oscille sur son siège en gémissant. Il ne lui faut pas longtemps pour m’inonder la bouche de sa semence particulièrement épaisse et chaude. Je me redresse en avalant et en souriant. Je retrouve ce petit arrière-goût sucré que j’aime tant. Je lui fais un bisou dans le cou. Lui me dit de ne pas m’en faire. Avant cette fois, il n’a pas éjaculé depuis plus d’une semaine, préférant se garder pour moi. Jack a de la réserve...
Nous passons le reste du voyage à discuter, chacun une main sur ou entre les cuisses de l’autre. Nous nous arrêtons pour faire quelques courses et déjeuner avant d’arriver à destination. C’est une belle maison, aussi avec piscine, plus grande. La plage n’est qu’à quelques centaines de mètres, vite faits à pied. Mais surtout : elle est isolée de toute autre habitation. Aucun vis-à-vis ! Jack me fait visiter. Dans sa chambre, équipée d’un grand lit, il me dit que je peux retirer tous mes vêtements. Ici, sans la famille, c’est la liberté ! Joignant le geste à la parole, il retire tout en quelques secondes. Je l’imite aussitôt. Il me montre alors une chambre que ses parents ont prévue pour moi, si toutefois, nous ne dormons pas ensemble. Jack me regarde d’un air interrogateur. Je le fais languir un peu avant de lui répondre que, bien évidemment, il n’est pas question que je passe encore une nuit seul dans ce pays. Jack m’attrape et me roule un de ces patins, visiblement ravi de ma réponse. Nos deux corps sont serrés. Instantanément, nos bites gonflent et se redressent, collées l’une à l’autre. On se calme ! Rangeons les courses et installons nous d’abord.


*


29/ Des vacances bien méritées : Notre première soirée seuls

Il reste du temps avant le dîner. Jack m’entraîne vers la piscine. Nous plongeons tous les deux et, comme des gamins, nous jouons. Il ne faut pas longtemps pour que ma main lui caresse les fesses puis le sexe. Il n’est pas en reste. Il s’attarde sur ma rondelle. J’ai tellement envie qu’il me prenne, là, maintenant ! Nous sortons de l’eau, je prends une serviette et l’étale au sol. Je m’allonge dessus, sur le ventre. Lorsque Jack se place derrière moi, je relève mes fesses et lui tends mon cul. Il se jette aussitôt dessus et écarte. Je sens alors sa langue me lécher l’anus. Il passe, repasse. Je m’ouvre. Sa langue me pénètre autant qu’il le peut. Je n’en peux plus. Je le lui dis. Il se redresse, prend dans un sac le flacon de gel acheté avec les capotes et s’enduit la bite puis mon trou avant de présenter son gland. Je pousse et ma rondelle s’écarte. Je recule mes fesses, son gland me pénètre. Il reste ainsi quelques secondes avant de s’enfoncer lentement sur toute sa longueur. Il commence alors un lent va-et-vient. L’amplitude, puis le rythme s’accélèrent. Il me pilonne carrément le cul. Il entre et sort complètement son pieu avant de re-rentrer. J’ai l’impression de m’écarter encore plus. Je sens sa sueur dégouliner sur mon dos. J’adore ! J’ai la tête au sol. Je réussis à glisser une main, je cherche ses couilles. Alors qu’il ralentit la cadence, je les attrape et les malaxe en les maintenant au plus près de mon cul. Il ne lui en faut pas plus. Dans un cri, il se crispe au fond de moi. Pendant que j’arrose la serviette et mon torse de mon sperme, il me remplit du sien. Je m’écroule sur le sol et Jack me suit, sa bite toujours en moi. Nous restons ainsi plusieurs minutes en soufflant.
Le téléphone sonne. Jack se lève précipitamment en jurant. Je ressens le vide laissé par l’absence de sa bite et surtout de son gros gland ! Les parents de Jack s’inquiètent, car il devait appeler pour prévenir de notre arrivée et il a oublié. Après les avoir rassurés, il revient vers moi et propose que nous allions dîner à l’extérieur. Après une bonne douche, agrémentée d’une nouvelle pipe bien juteuse prodiguée par mes soins, on s’habille et nous partons en ville. Jack m’emmène dans un burger. Nous dînons sur place, l’un en face de l’autre. Nos pieds se touchent sous la table et nous avons du mal à détacher notre regard de l’autre. La tension remonte. À la fin du repas, Jack me propose de finir la soirée près de la piscine, avec une bière. Nous rentrons. Je dis à Jack d’aller s’installer, je m’occupe de la boisson. Lorsque je reviens vers lui, Jack, nu sur un transat, se caresse le service trois pièces présentant déjà une demi-molle. Il a le sourire. Je bois une gorgée et lui tends sa bouteille. Il la prend et boit aussi, tout en me regardant me déshabiller et continuant à se caresser de l’autre main. Je me jette sur sa queue que je prends directement dans ma bouche rafraîchie par la boisson. Il pousse un râle de plaisir et me confirme par la parole : « Oohh, c’est bon ça !! » Sa bite se redresse et est maintenant gonflée à bloc. Je le pompe en douceur, m’attarde sur son gland, malaxe ses couilles. Je le caresse avec mes lèvres quand il me dit d’arrêter. Il doit se lever pour aller pisser. Je ne sais pas pourquoi je dis ça, je ne l’ai jamais fait avant, mais ça vient tout seul : « Si tu veux, je suis là ! ». Je crois que je ne voulais pas voir Jack me laisser seul, ne serait-ce qu’un instant. Il me regarde avec surprise un moment qui me paraît très long, puis son visage s’illumine. Il redevient souriant et malicieux. « O.K., assieds-toi dans l’herbe ! ».
Je m’exécute aussitôt. Je suis à genoux, assis, les fesses sur mes talons. Jack se positionne devant moi, la bite en main. Il bande dur. Il se penche un peu pour diriger son gland vers moi. Le premier jet sort. Mes cheveux et mon front sont arrosés. Je sursaute, il s’excuse et baisse encore sa bite qui ramollit un peu. Maintenant, il m’arrose le torse de sa pisse. C’est chaud et très excitant. Je me branle d’une main et me doigte de l’autre en le regardant faire. Il n’oublie pas un centimètre carré, tout mon corps y passe, excepté le visage. Je suis tellement excité que je balance mon sperme sur l’herbe. Jack me regarde, il bande à fond à nouveau. Il m’attrape, me lève, me retourne, me plie en avant et enfonce sa bite directement et sans ménagement dans mon trou. Tenu par les hanches, je suis secoué et défoncé avec une frénésie encore plus forte que l’après-midi. Puis, dans un cri, Jack s’effondre sur moi. Je hurle ma jouissance. Je n’éjacule pas, je jouis par le cul ! Nous sommes pris de soubresauts, comme des convulsions. Jack jouit avec force, comme il n’a jamais joui, en moi. Nous finissons par nous écrouler au sol et restons comme ça un long moment avant de nous relever, finir notre bière et nous diriger vers la douche. Bien évidemment, nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre.
A suivre….


*


30/ Des vacances bien méritées : La plage

Le réveil est une merveille. J’ai encore les yeux fermés, mais je perçois le jour qui entre dans la chambre par la fenêtre. Je commence à peine à émerger et quelque chose me démange au niveau du ventre. Sans ouvrir les yeux, je passe une main. Je touche une touffe de poils... Non, des cheveux ! C’est la tête de Jack. Au même instant, je sens mon gland se faire aspirer par quelque chose de chaud et humide. Jack me suce. C’est la première fois ! Je m’étire et me place bien droit, lui offrant ainsi plus de facilité. Je caresse ses cheveux, son dos musculeux. Jack avale ma bite sans retenue maintenant qu’il sait que je suis réveillé. De sa main libre, il me caresse les cuisses en remontant vers mes couilles qu’il prend à pleine main. Je me laisse aller, c’est si bon. J’adore prodiguer ce genre de réveil, mais le subir : c’est très, très bien aussi ! Jack continue de me pomper et lâche mes couilles pour se diriger vers mon anus. Il me caresse la rondelle qui s’ouvre instantanément. En même temps, avec le traitement qu’elle a reçu hier, ce n'est pas étonnant. Et puis, le matin, je suis toujours détendu du cul. C’est toujours plus facile. J’écarte les jambes et il entre aussitôt deux doigts. Sa fouille et sa pipe ont raison de moi. J’envoie la purée sans prévenir. Aussitôt, j’ai peur qu’il se retire en gueulant, mais non ! Il reste sur mon gland et récupère tout mon jus. Il lâche ma bite et, fièrement, me montre qu’il avale tout. En même temps, il se positionne, la bite au-dessus de mon visage et commence à se branler. J’ouvre la bouche, prêt à recevoir ma pitance. Avec ma langue sortie, je cherche son gland, mais il le relève à chaque fois. En quelques mouvements, son sperme jaillit et arrose mes lèvres, ma langue et ma paroi buccale. Je lèche mes lèvres puis son gland, qu’il me donne enfin pour récupérer les dernières gouttes. J’avale tout à mon tour. Jack se penche vers moi, me roule un patin et nos langues jouent longuement entre elles. Il se redresse et me dit en français : « Bonjour, tu as bien dormi ? » Je suis flatté de son effort de langage et lui réponds dans l’affirmative. Je lui précise que j’adore son réveil-matin. Il sourit et me fait promettre de ne jamais en parler à Oliver. Il s’est toujours refusé à le faire. Ce sera notre secret. Je lui demande pourquoi ? Pourquoi moi ? "Parce que tu es spécial", me répond-il. Je suis un privilégié !
Aujourd’hui, Jack a prévu de m’emmener à la plage. Si tout va bien, et si ça me va, nous pourrons y passer la journée. Il suffit de préparer des sandwichs, de la bière et éventuellement du lubrifiant avant de s’y rendre. Je lui demande s’il y a du monde en cette saison. Il me répond que, n’étant pas en période de vacances, nous avons de grandes chances d’être seuls. Je souris et passe ma langue entre mes lèvres. Ses yeux s’allument. Il me gratifie de son sourire malicieux que j’adore et me dit de ne pas m’inquiéter, cela devrait bien se passer. Ma queue commence déjà à reprendre un peu de volume. Jack n’est pas en reste.
Nous prenons notre petit déjeuner au bord de la piscine puis nous dirigeons vers la salle de bain. Nous nous savonnons mutuellement sous la douche. Nos bites reprennent vie, mais nous convenons de patienter jusqu’à la plage pour reprendre nos ébats. Avant de nous « habiller » d’un simple maillot de bain, nous préparons les sandwichs et le reste. Jack joue avec moi en m’enlaçant pendant que je tartine les tranches de pain. Je sens sa bite contre mes fesses. Il bande à moitié et j’écarte les cuisses pour mieux le sentir. Il me met une petite tape sur une fesse en me disant : « Non, non ! Tout à l’heure ! » C’est malin : je bande bien moi maintenant ! On rigole, on s’habille et nous voilà partis.
À peine dix minutes en marchant lentement et en chahutant, et je découvre une petite plage de sable pratiquement blanc. C’est une petite crique avec un seul chemin d’accès. Il n’y a personne. Nous nous installons du côté droit, à proximité de la limite du sable sec et du sable mouillé par l’océan. Jack me dit que, si d'ici une heure, personne ne vient, nous pourrons retirer nos maillots de bain. En attendant, nous sautons dans l’eau en nous tenant par la main. Elle est bonne et cela fait du bien car il fait déjà chaud.
Après plusieurs minutes de nage et de jeux pas si innocents, Jack se retrouve agrippé derrière moi, Je sens sa bite contre mes fesses au travers de nos maillots. Il me caresse le torse et m’embrasse dans le cou. Je passe mes mains sur ses puissantes cuisses. Nous restons ainsi un long moment, mais le mouvement des vagues nous déstabilise. Nous remontons vers la plage pour avoir de l’eau jusqu’à la taille. Jack ne me lâche pas. Une fois trouvé un endroit et une position stable, il reprend ses bisous dans mon cou et mon dos. Ses mains descendent de plus en plus. Il me caresse le paquet et défait le nœud de mon maillot. Il me dit que l’on peut les retirer maintenant, plus personne ne viendra. Il baisse mon maillot en s’accroupissant dans l’eau. Je lève une jambe puis l’autre pour l’aider. En le faisant, il passe la tête sous l’eau et pose sa bouche sur mes fesses. Mes couilles et ma queue, libérées, apprécient les mouvements de l’océan et je bande. Habituellement, j’ai plutôt un « kiki de piscine » une fois dans l’eau. Je me retourne et le relève. Je l’embrasse sur tout le visage en finissant sur sa bouche. Nos langues se frottent. À mon tour, je défais son bermuda. Pendant qu’il lève les jambes, comme lui, je m’accroupis. La tête sous l’eau, je gobe son sexe également bien dressé. Je le suce en apnée et cela ne dure pas très longtemps avant qu’il ne m’attrape par les aisselles et me fasse remonter. Je reprends ma respiration, Jack me retourne et plaque sa bite dans ma raie. Il jette nos deux maillots de bain en direction de notre serviette puis, après m’avoir inséré deux doigts, prend sa queue et présente son gland sur mon trou. Je pousse un peu en écartant mes fesses de mes mains. Il s’enfonce, d’abord le gland puis de plus en plus. Je me fais enculer dans l’océan Pacifique ! Le rêve ! Il commence un mouvement du bassin et me pénètre plus fort et plus profond. Ce que je ressens est incomparable. Sa bite qui va et qui vient dans mon cul et les mouvements de l’eau sur mes couilles me font gémir rapidement. Jack va de plus en plus fort puis, brusquement, m’agrippe et me maintient. Il est au fond de moi. Il pousse un cri qu’il tente d’étouffer en jouissant. Je râle très fortement également en évacuant une bonne dose de sperme dans l’océan. Nous récupérons ainsi quelques instants, en nous caressant avant de nous décoller. Lorsque la bite de Jack se retire de mon trou, j’ai comme une sensation bizarre, mais loin d’être désagréable au niveau de mon anus. Nous sortons de l’eau, Jack me propose une bière. Ce n’est pas de refus, avec l’eau de mer que j’ai quand même un peu avalé, il fait soif.
Nous nous installons sur la serviette et sirotons notre bière en nous admirant et nous confiant combien nous apprécions, chacun, l’instant présent. Alors que Jack me propose de déjeuner, j’applique la crème solaire sur mon corps en insistant sur ma bite et mes couilles qui n’ont pas l’habitude de prendre autant le soleil. C’est alors que je sens un liquide assez abondant sortir de mon cul. Il n’y a pas que le sperme de Jack, c’est trop ! J’y mets les doigts. Jack rigole et me dit de ne pas m’inquiéter : j’ai dû aspirer de l’eau de l’océan lorsque son gland est sorti de mon trou. Il faut laisser couler. C’est comme un lavement, mais à l’eau de mer. Il me dit qu’il est flatté, car, pour lui, cela veut dire que j’apprécie ce qu’il me fait et, surtout, que j’en veux encore !
Nous dévorons notre repas et prenons une seconde bière. Jack me propose une petite sieste, le temps de la digestion. Mais avant, il veut me remettre de la crème, parce qu'il trouve que je n’en ai pas mis assez. Je me mets sur le ventre. Jack écarte mes jambes et se positionne entre elles. Il prend la crème solaire et commence à l’appliquer en commençant par la nuque, les bras et mon dos. Au début, son gland touche mes fesses. Je me dis que la sieste ne sera peut-être pas pour tout de suite. Mais il se redresse au fur et à mesure qu’il descend sur mon corps. Il poursuit l’application de la crème par un pied, puis remonte le long de ma jambe en s’arrêtant en haut de la cuisse. Il a oublié mes fesses blanches ! Il passe à la seconde jambe et fait pareil. Je bouge un peu mon bassin et Jack me dit : « Patience, j’arrive ! Je garde le meilleur pour la fin ! »
Jack reprend de la crème, beaucoup de crème. Il l’étale sur mes fesses et passe dans ma raie en descendant jusqu’aux couilles. Il remonte et me titille la rondelle. Il me dit que de l’eau s’en échappe encore un peu et qu’il va faire le nécessaire. Je lui dis qu’il peut faire ce qu’il veut, tellement je suis bien. Jack me répond qu’il est certain que cela me plaira. Aussitôt, je sens deux doigts me caresser la rondelle. Il les enfonce. Avec la crème solaire et mon trou déjà bien ouvert, ils glissent parfaitement. Il en met un troisième. Je fais onduler mon cul en signe d’approbation. Un autre doigt se présente et entre à son tour. Il entre et sort ses doigts en tournant sa main. À chaque fois, il pousse un peu plus. Je sens mon trou s’élargir. Son pouce est encore à l’extérieur. Je le veux aussi ! Je lui demande de tout mettre ! Il me répond : « O.K. mais préviens-moi si ça ne va pas, j’arrêterai tout de suite ». Il présente son pouce et force un peu tout en tournant sa main. Je n’ai jamais eu la rondelle autant écartelée. Mais ça ne passe pas. Jack ressort et recommence toujours en tournant dans un sens puis dans l’autre. Il remet un peu de crème. Je pousse et : L’extase ! Ses phalanges passent brusquement. Je pousse un cri de plaisir. Il reste ainsi en me demandant si ça va. Je lui réponds : « Oohh oui ! Qu’est-ce que c’est bon ! » Jack me répond que c’est aussi bon pour lui et reprend son mouvement du poignet. Il continue toujours à pousser lentement. Je n’arrête pas de gémir. Je lâche un jet d’urine sur la serviette. Je me contracte un peu et Jack se retire en douceur. Je souffle. Je ressens une très légère douleur lorsque les phalanges de Jack ressortent. Je me sens comblé et vide en même temps. Je tremble et ne peut refréner un large sourire béa. Je prends Jack par le coup et l’embrasse. Il me dit :
« - Tu as aimé ? Je ne t’ai pas fait mal ?
- J’ai adoré ! Et non, juste la sortie qui a été un peu plus sensible, mais non, c’était très bon !
- C’était une première pour moi….
- Pour moi aussi, Jack !…… Je n'en reviens pas ! Tu viens de me fister ! Et j’ai adoré la façon dont tu l’as fait, tout en douceur !
- Je pensais que ce serait plus compliqué. Mais tu mouilles tellement du cul quand il est bien travaillé ! C’est plus facile. »
Nous nous enlaçons et nous allongeons sur la serviette. Mais elle est trempée de mon urine. Jack se lève et me prend par la main. Nous retournons nous baigner. Quelques baisers et caresses plus tard, nous sortons de l’eau. La serviette est pratiquement sèche et, après nous être à nouveau enduits, mutuellement, de crème, nous nous installons pour un moment de repos, tournés l’un en face de l’autre. Nous nous tenons par la main, les doigts croisés. Nos regards ne peuvent se détacher, mais, rapidement, je lutte contre le sommeil avant de céder et de m’endormir.
Je me réveille, Jack dort, toujours sur le côté, face à moi. Sa main est toujours dans la mienne. J’admire son magnifique corps. Pas seulement son sexe qui pend et dont le gland touche la serviette, mais l’ensemble. Je suis bien avec lui et, il faut que je me rende à l’évidence : j'aime tout chez lui !
Il se réveille et me gratifie de son magnifique sourire. Il lâche ma main et remonte pour me caresser le visage un moment. Il se rapproche et m’embrasse. Je l’enlace. Il se colle à moi puis roule sur moi. Nous nous caressons pendant que nos langues cherchent à aller plus loin en bataillant dans nos bouches. Nos bites ne sont pas en reste. Elles gonflent et bataillent également. Puis Jack libère ma bouche et descend en embrassant chaque partie de mon corps. Il s’attarde très tendrement sur mes tétons qui durcissent sous ses caresses. Il descend encore, prend ma queue et l’avale tout aussi tendrement. Je lui caresse la tête. Mais, je ne vais pas tenir longtemps et je veux aussi sa bite. Je relève sa tête et lui demande de pivoter. Il s’exécute et nous continuons chacun avec la bite de l’autre dans la bouche. Jack alterne entre s’occuper en douceur de mon gland et tout prendre dans sa bouche tout en me malaxant les couilles. Dans le même temps, sa queue s’enfonce doucement, mais profondément, en moi, avec des mouvements du bassin très lents. Je caresse le bas de son dos et ses fesses. Sans insister sur son anus, je descends jusqu’à son périnée. Jack réagit immédiatement. Il gémit et amplifie son mouvement. J’extirpe sa queue de ma bouche pour prendre ses couilles rapidement avant de glisser ma langue sur son périnée. Il change vite de position pour me faciliter l’accès. Visiblement, il aime ça ! J’augmente mon rythme, tente d’aspirer son périnée. En faisant cela, mon nez bute contre sa rondelle. Lui qui n’aime pas qu’on y touche… Là, il s’en fout. Il prend son pied !
Ma jouissance n’est pas loin. Je reprends sa bite en bouche. Il me pilonne littéralement. Une fois au fond, il pousse encore. Je n’ai aucun haut le cœur. Je crois qu’il pourrait même aller encore plus loin. La voie est grande ouverte. De son côté, il a accéléré le mouvement également et va aussi au plus profond qu’il peut. Nous nous crispons exactement au même moment. Nous lâchons en même temps notre dose de sperme dans la bouche de l’autre, que nous avalons avant de nous rouler une nouvelle pelle bien juteuse.
Il est temps de rentrer, le soleil se couche. Nous remballons les quelques affaires, remettons nos maillots de bain et rentrons, main dans la main.
Après une bonne douche, toujours prise ensemble, nous préparons le dîner et mangeons. Pour passer la soirée, nous décidons de faire un jeu où le perdant doit faire un gage choisi par le gagnant. Nous rions beaucoup et buvons quelques bières . C’est aussi l’occasion d’explorer encore le corps de l’autre. On passe vite à l’essentiel, il n’y a aucun striptease à faire puisque nous sommes déjà nus. Nous finissons, par nous branler mutuellement, chacun notre tour, en éjaculant dans un même verre avant de se partager cette douce liqueur et d’aller au lit.


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31/ Des vacances bien méritées : En direction de Brisbane

Ce matin, nous nous levons tôt. Aussitôt réveillé, Jack entreprend de me réveiller tout en douceur, comme chaque matin. Ses mains parcourent mon corps juste en l’effleurant. Il évite soigneusement les zones sensibles pour ne pas être tentés et nous mettre en retard. Je tourne la tête vers lui, encore à moitié endormi. Il pose ses lèvres sur les miennes et aussitôt me dit que nous devons nous préparer. Jack a prévu de me faire visiter la côte.
J’ouvre les yeux, lui souris et dis : « O.K. Allons-y ! » Nous nous levons, nous préparons et prenons la route. Le jour se lève à peine. Jack m’explique que nous allons faire plusieurs haltes pour visiter les lieux, histoire que je reparte de l’Australie avec le souvenir de quelques beaux paysages. Je lui réponds que j’ai déjà le plus beau paysage d’Australie devant moi. Il me regarde visiblement flatté. Ma main est posée sur sa cuisse pendant qu’il conduit. Seuls mes doigts bougent pour le caresser légèrement pendant que nous poursuivons notre conversation. Nous faisons une première pause et prenons un café dans le bar d’un joli petit village de bord de mer. Après un rapide tour à pied, nous reprenons notre route. Le soleil est maintenant bien haut dans le ciel et la chaleur se fait sentir. Notre conversation dévie rapidement sur notre parcours et nos aventures d’ordre sexuel.
Alors que nous passons à la hauteur d’une aire de repos, Jack bifurque et s’engage. Il me regarde et me dit qu’il ne tient plus. Je pense à une envie de pisser et lui réponds que je l’accompagnerai bien volontiers. Jack me répond avec son sourire : « J’espère bien ! » Il se gare tout au fond de l’aire de repos, sort du véhicule en me demandant de le suivre. Nous nous éloignons du parking et, une fois à l’abri des regards, se tourne vers moi. Il dégrafe son bermuda, le baisse avec son boxer et me montre sa bite bien raide. Aussitôt, il me dit : « Suce-moi ! J’ai trop envie ! » Je ne me fais pas prier et me jette dessus. Alors que je prends maintenant sa bite entière dans la bouche, il me relève et baisse mon short. J'ai mis un short de bain avec slip incorporé. Je bande. Mon envie de pisser à disparue. Il me prend la bite et me dit : « J’ai trop envie de ton cul ! » Je ne demande pas mieux. Je me retourne et me penche. Il crache sur ma rondelle et présente son gros gland à l’entrée. Avec tout ce que j’ai déjà pris les jours précédents, il entre sans trop de difficulté. Il me lime en douceur tout en retirant ses vêtements. Il me redresse et retire mon t-shirt. Je dégage mon short de mes chevilles et écarte encore plus les jambes. Nous sommes complètement à poil tout près d’une aire d’autoroute ! Il ne reste que ce que nous avons aux pieds. Jack me donne de bons coups de rein avec la plus grande amplitude possible. La cadence n’est pas élevée et j’ai le temps de sentir son gros gland sur chaque millimètre. J’adore ! Je gémis de plaisir ! Je finis par pisser par terre pendant que la bite de Jack me ramone. J’en redemande et lui dis de continuer.
C’est alors que nous remarquons un homme, un peu plus loin, qui nous mate. Pas grave, on va pas s’arrêter en si bon chemin. L’homme se rapproche. Il se branle. Le fait de nous savoir observé m’excite encore plus. Je m’ouvre encore et Jack accélère. Je sens que je mouille du cul. Nos gémissements se font de plus en plus fort. L’homme tente une nouvelle approche, mais Jack lui fait clairement signe qu’il ne veut pas plus près. L’inconnu reste à distance et continue à se branler en nous regardant. Jack se crispe de plus en plus, ses mouvements sont saccadés. Je sens sa bite et son gland au plus profond de moi se contracter. Il crie en éjectant plusieurs jets de foutre. Je manque de tomber par la puissance de son dernier assaut. Je crie également en jouissant à mon tour. Du précum s’échappe de ma queue, je n’ai pas éjaculé. J’ai encore joui du cul. Jack se penche sur moi en me caressant tout le corps. Nous sommes trempés de sueur. Nous reprenons nos esprits et nous redressons. L’homme a disparu. Nous remettons nos shorts en rigolant et rejoignons la voiture, torses nus et satisfaits en nous tenant par la taille.
Nous reprenons la route en échangeant sur cette dernière expérience. Nous rigolons beaucoup. Je pose ma tête sur l’épaule de Jack alors que lui me tient par son bras gauche autour de mes épaules. J’éprouve un sentiment de plénitude et je sens que les choses vont finir par se compliquer pour tous les deux.
Nous arrivons à la prochaine ville – étape. Jack s’arrête devant un burger. Nous y déjeunons. A la fin du repas, Jack me dit :
« - Tu n’avais pas envie de pisser tout à l’heure ?
- Oui, mais j’ai fait pendant que tu me pistonnais.
- Ah, mince…… j’aurais bien aimé t’aider pourtant.
- Ce n'est pas grave, ça peut toujours se faire…
- Suis-moi ! »
Jack me précède, nous trouvons les toilettes et entrons dans la cabine. Il s’assoit et m’attrape par la ceinture. Il baisse mon short. Je bande à moitié. Ses lèvres prennent possession de mon gland. Il l’aspire. Je gonfle jusqu’à devenir raide. Il souffle fort. Je lui prends la tête. Il s’enfonce et commence à me sucer à fond. Je ne force pas, il le fait tout seul. Il avale toute ma bite et reste ainsi tant qu’il le peut. Juste après manger, j’ai peur qu’il vomisse, mais non. Il continue. Il entre, il sort et entre à nouveaux, à plusieurs reprises, jusqu’au maximum. Je sens mon gland buter et être à l’étroit au fond de sa bouche. En même temps, il me caresse les couilles. C’est quand il masse mon périnée que j'explose. Je tiens alors fortement sa tête au plus près et j’expulse une bonne dose de sperme en plusieurs jets. Je ne peux m’empêcher de crier. Il ne cherche pas à reculer et prend tout. Je relâche la pression et ma bite sort. Il se lève et colle ses lèvres contre les miennes. J’ouvre la bouche, il ouvre la sienne aussi. Il en a gardé. Sa langue pousse mon sperme vers ma bouche. Nous jouons ainsi un bon moment en faisant tourner nos langues avant d’avaler. Nous nous léchons mutuellement ce qui a pu sortir et qui coule sur nos joues avant de se rajuster et rejoindre la salle de restaurant. 
En nous dirigeant vers notre table, nous croisons le serveur, mignon, qui nous sort avec un sourire complice : « Puis-je vous proposer un dessert ? À moins que vous ne l’ayez déjà pris par là ? » Jack lui répond avec le même sourire : « Cela ira, merci…… Effectivement ! C’était excellent, mais là, on a plus faim ! »
Je règle la note et nous remontons dans la voiture en riant.
La journée est déjà bien avancée. Je demande à Jack si cela vaut le coup de continuer dans cette direction. Il me répond qu’ à ce rythme, on ne sera pas de retour à la maison avant demain. Je lui dis alors que, s’il préfère rentrer, faisons demi-tour. Après tout, il n’y a que lui qui conduit et je ne veux pas qu’il soit fatigué à cause de moi. Enfin, pas de cette fatigue-là !
Jack me remercie et sors à la première sortie pour reprendre la route dans l’autre sens. Je reprends ma position contre son épaule, une main sur sa cuisse. Notre discussion tourne sur nos parents respectifs et l’acceptation, ou pas dans mon cas, de l’homosexualité.
Après deux pauses, nous arrivons à la maison. Il fait nuit. Jack est fatigué. Nous prenons notre douche en nous lavant mutuellement, sans sexe. Juste des caresses. Nous nous mettons directement au lit. Un bisou et Jack se blottit contre moi. Je le caresse au niveau du torse tout en discutant un peu. Jack s’endort rapidement, je ne tarde pas à le suivre... 

Les deux jours qui suivent sont semblables aux précédents. Nous passons nos journées à la plage ou la piscine. Nos réveils sont toujours aussi doux, bons et humides. Les séances de sexe sont aussi fréquentes et intenses. Le sperme coule toujours à flot et Jack s’en abreuve autant que moi maintenant. Je ne peux m’empêcher de penser au fait que je sois le seul à qui Jack suce la bite et, surtout, avale le sperme ! Jusqu’à présent, il l’a toujours refusé à tous ses amants précédents. J’en suis flatté et honoré. De mon côté, je me sens bien avec lui. Que ce soit au niveau sexe que lors de nos discussions, nous sommes en phase. Tactiles tous les deux, les caresses ou petits gestes tendres sont fréquents.
Le week-end arrive à grands pas. Je suis partagé. Bien évidemment, j’ai envie de revoir Oliver, mais, en même temps, j’aimerais beaucoup passer ces deux derniers jours, seul, avec Jack. En fait, je ne veux plus le quitter. L’idée de rentrer en France me déchire et j’imagine plusieurs possibilités ...


*


32/ Des vacances bien méritées : Un samedi avec Oliver - 1ᵉʳ round

Le matin du septième jour, le samedi, je réveille Jack avec mes lèvres autour de son gros gland. Il me caresse la tête et me pousse à aller plus loin. Je m’enfonce et, après quelques va-et-vient, il éjacule dans ma bouche. J’avale et l’embrasse longuement. Il finit par se retirer et me dit :
« - Mince, tu m’en as pas laissé ! Tu as tout avalé avant !
- Bah, pour un mec qui ne fait jamais ça, je trouve que tu y prends vraiment goût.
- Il n’y a que ton sperme que je veux avaler, ou le mien si c’est toi qui me le donnes.
- Il est si bon que ça (le mien) ? Tu as déjà goûté celui d’un autre ?
- Je te l’ai déjà dit : il est spécial et j’aime son goût. Et non, ça ne m'intéresse pas de goûter celui d’un autre ! N’empêche, tu m’en as pas laissé. Tu as été vilain ! Tu seras puni !
- Ohh oui, puni moi ! (En me mettant à quatre pattes et lui présentant mes fesses)
- Pas maintenant, mais c’est promis (en me tapotant les fesses)……. Bon, il faut se lever. Ce matin, on va faire des courses. Oliver arrive cette après midi. »
Pendant que je prépare les tartines de pain, Jack se frotte à moi, sa bite version demi-molle contre mes fesses. Il me caresse le torse et m’embrasse dans le cou. Je fais un mouvement en arrière pour augmenter la pression. Jack, qui commence à bander sérieusement, s’écarte et me demande d’arrêter de l’allumer. Nous rions.
Une fois près, nous partons à l’épicerie faire le plein de bières, rhum, coca et de friandises à grignoter. Pour participer aux frais et comme il me reste de l’argent, je règle les courses. Jack trouve sur un présentoir un tout petit Koala en peluche. Il le prend et le paie. Nous remontons dans la voiture et je lui dis :
«  - C’est mignon, ce petit Koala, tu vas le mettre où ?
- Ce n'est rien….. Une bricole…..., mais c’est pour toi.
- Oh, merci !! J’adore !
- J’espère que tu le garderas en souvenir.
- Tu peux compter sur moi ! »
Je me penche vers lui et l’embrasse sur la joue. Jack me rappelle notre secret et me dit que si Oliver me demande quoique ce soit à ce sujet, je peux faire comme je veux. Ce sera peut-être même mieux s’il l’apprend. Puisqu’il en connaît la signification.
Nous arrivons à la maison et débarquons les courses que nous rangeons immédiatement. À peine terminé, Oliver arrive. Il est souriant. Il me prend dans ses bras et me fait un smack. Aussitôt, il feint l’inquiétude, se tourne vers Jack et demande s’il n’a pas fait une bêtise, s’il a le droit de m’embrasser sur la bouche. Jack lui répond, en souriant, qu’après notre week-end en Nouvelle-Calédonie, il a tous les droits. Avant de rajouter : « Ou presque ! »
Oliver ne relève pas cette remarque, gratifie Jack du même smack et pose son sac à dos. Il n’a pas changé, à part son attitude. Il est beaucoup moins réservé que lorsque je l’ai connu. Oliver rajoute à l’attention de Jack :
« - Dis-moi, tu ne m'avais pas dit que vous viviez à poil ici ?
- On vient juste de rentrer des courses et de les ranger.
- Bah, qu’est-ce qu’on attend ? »
Oliver retire son t-shirt, puis le reste. Nous le suivons. Jack prend les vêtements et va les poser sur son lit. Pendant ce temps, Oliver me montre le contenu de son sac à dos. Il sort un flacon de gel et un gros double gode. En me montrant ce dernier accessoire, il me demande si je suis toujours passif. Il me précise que, depuis que nous nous sommes vus, il a découvert, lui aussi, son côté passif et qu’il aime énormément ça. Jack nous rejoint. Je réponds à Oliver par l’affirmative, en tâtant le gros double gode. Je lui précise toutefois que je peux quand même enculer si je suis bien excité. Oliver semble apprécier ma réponse en regardant ma bite qui commence à gonfler. Jack me prend par la taille en se collant dans mon dos, sa bite contre mes fesses, et nous propose de prendre une bière et de quoi grignoter, puis de se diriger vers la piscine. Il a déjà placé des matelas au sol. Nous nous installons sur les transats. Oliver nous questionne sur notre semaine, sur ce que nous avons fait. Il se caresse le sexe en même temps. Nous lui racontons les détails sans, toutefois, préciser que Jack est devenu accro à mon sperme. Attendons qu’il pose la question, m’avait dit Jack ! Nous aussi, nous nous caressons et nos sexes gonflent en racontant nos histoires. Oliver bande bien maintenant et nous montre son état en disant : « Bref, vous n’avez pas arrêté de baiser mes salops ! J’ai du rattrapage à faire, on y va ? Je suis chaud là ! »
Nous sautons sur les matelas et nous plaçons tous les trois à genoux et nous roulons une pelle en nous caressant le dos. Nos bites se font face et sont toutes les trois bien dressées. La queue d’Oliver, moins impressionnante que celle de Jack m’attire moins. Je me baisse et prends le gros gland de Jack en bouche. Oliver se penche à son tour. Il me fait pivoter pour dégager l’accès à mon membre et l’avale. Jack n’a pas bougé et nous regarde faire en nous caressant le dos pour Oliver, la tête pour moi. Nous y allons doucement et cela dure un certain temps. Jack se libère de ma bouche et se place derrière Oliver. Je me retourne sur le dos. Je veux prendre la bite d’Oliver en bouche, mais celui-ci m’arrête. Jack me dit alors : « Mince, les capotes sont restées sur la petite table ! C’est plus prudent de mettre une capote avec Oliver. On ne sait pas avec qui il a pu baiser avant aujourd’hui. D’ailleurs, je vais aussi en avoir besoin rapidement ». Oliver confirme avec un petit sourire malicieux en précisant que c’est une simple protection. Aux dernières nouvelles, il n’est pas malade. Je récupère la boite et reviens me mettre en position devant la bite d’Oliver. Je donne une capote à Jack et en sors une pour la mettre sur la bite que je compte bien avaler. Je m’y reprends à deux fois, mais c’est bon, j’ai réussi. Je me replace sur le dos et attrape le sexe d’Oliver. C’est bizarre ! C’est ma première pipe avec emballage. Malgré le goût fraise, je n’apprécie pas autant. J’ai vite des hauts le cœur. J’arrête !
Je me relève. Jack encule Oliver, avec capote. Je passe derrière eux. Je caresse le torse et le dos de Jack et lui roule une pelle. Je le lâche et descends pour voir d’un peu plus près ce qu’il se passe en bas. J’ai une vue imprenable sur la bite de Jack qui ramone le cul, déjà bien ouvert, d’Oliver. Les couilles de Jack battent contre les fesses d’Oliver. Je caresse les bourses d’une main et pause mon autre main sur les fesses de Jack. Instantanément, Jack change légèrement de position et je vois, maintenant clairement, son anus rose et inexploré. Je pose mon nez dans sa raie et tire la langue. Je lèche et titille sa rondelle pendant qu’il encule Oliver. Il me tient la tête d'une main pour que je suive le mouvement. Jack commence à haleter. Oliver gémit de plus en plus fort. Jack s’arrête, sors et m’invite à prendre sa place. J’enfile vite fait une capote et m’enfonce d’un coup sec dans ce cul largement ouvert. Oliver râle de plaisir. Jack se positionne devant Oliver et lui présente sa bite à sucer. Il a changé de capote. J’accélère le mouvement et je ne tiens pas longtemps. Je crache mon sperme au fond de la capote en râlant. Oliver crie, suivi par Jack qui inonde aussi sa capote.
Nous nous désengageons et retirons les protections que nous mettons de côté. Nous sommes tous en sueur. Il fait chaud et il nous faut une bière. Nous faisons une pause... 


*


33/ Des vacances bien méritées : samedi avec Oliver – 2d round

C’est moi qui donne le départ du second round en disant :
« - Ce gode que tu as ramené Oliver, j’ai bien envie de le tester !
- Oliver : Fais-toi plaisir, quand tu l’auras inséré, je viendrai me mettre à l’autre bout.
- Jack : Ohh, je vais avoir droit à un beau spectacle ! »
Aussitôt, je m’installe sur les matelas. Je me tourne le cul face à mes deux spectateurs et m’enfonce direct trois doigts, afin de voir si le gode pourra passer. Il est plus épais que celui que j’ai chez moi. Une chose est certaine, je ne pourrais pas le plier pour prendre les deux glands en même temps ! Je l’enduis de gel sur un côté, tartine ma rondelle avec le reste de gel sur mes doigts et présente le jouet devant mon trou. Je force à peine et il entre. Jack et Oliver me félicitent. Oliver se lève et me rejoint. Il s’agenouille derrière moi, mais de façon à laisser Jack tout observer. Il prend le double gode et commence à me l’enfoncer en le tournant dans les deux sens. Je le sens bien m’élargir. Je le sens aussi s’enfoncer. Oliver force un peu sur la seconde porte, cela ne passe pas. Il ressort le gode et remet du gel. Puis, il l’enfonce à nouveau au plus loin qu’il peut. Il me lime le cul avec, tout en forçant lorsqu’il arrive au bout. Il continue jusqu’à ce que ma seconde porte cède. Je crie un peu, mais c’est tellement bon. D’autant qu’Oliver ne s’est pas arrêté. Il continue de me limer le cul. Il fait entrer et sortir le gland du gode juste au niveau de mon sphincter interne. Il se dilate. Oliver prévient qu’il va aussi s’installer de l’autre côté du gode. Je l’entends prendre du gel et, quelques secondes plus tard, je sens une poussée à l’intérieur. Le gode remonte encore en moi. Oliver demande à Jack de venir tenir le milieu du gode entre nos deux culs. Jack fait la remarque qu’il apprécie d’être aux premières loges. Oliver s’enfonce à son tour sur le double gode. Il me demande de pousser pour envoyer le gode plus chez lui. Ensuite, c'est lui qui pousse et moi qui reçois. Nous jouons ainsi quelques minutes, mais Jack est très excité et veut jouer aussi maintenant.
Nous lâchons le gode. Jack s’allonge et me demande de le chevaucher face à lui. Ce que je fais aussitôt, sans gel. Mon cul étant largement ouvert. Il me tire en avant et demande à Oliver de venir glisser sa bite dans mon cul. Il bande bien raide, contrairement à moi. J’ai tendance à débander quand on m’encule. Visiblement pas lui. Après avoir mis une nouvelle capote, il entre d’un coup. N’ayant pas mal, je ne crie pas. Je râle de plaisir et leur dit de me défoncer le cul. Ils s’activent et me bourrent sans ménagement. Après plusieurs minutes, ils n’en peuvent plus. Jack m’inonde le cul de son foutre alors qu’Oliver s’est déjà retiré pour se finir en se branlant au-dessus de moi. Il m’arrose le dos en évitant le visage de Jack. Une nouvelle fois, je jouis par le cul en criant.
Nous reprenons nos esprits quelques instants et Jack nous dit :
« - J’ai encore envie de jouer. Ça vous dirait que je m’occupe de vos deux trous du cul en même temps ?
- Moi : Tu sais bien que je ne dis pas souvent non.
- Oliver : Moi également Jack.
- Jack : Ok, on fini notre bière et en position ! Vous vous mettez à quatre pattes l’un à côte de l’autre en me présentant votre cul bien ouvert.
- Moi : Bien chef ! (en riant) »
Jack se place derrière nous, au milieu. Oliver ne se doute pas encore de ce qui l’attend, mais j’ai compris. Je demande à Oliver s’il s’est déjà fait fister. Oliver, surpris, me répond que, à sa connaissance, Jack n’a jamais fait ça. Il s’attend à recevoir sa bite ou le gode. Je regarde Oliver avec un petit sourire complice. Il comprend et semble apprécier l’idée.
Jack présente ses mains enduites de gel devant nos trous, et enfonce quatre doigts pour commencer. Il tourne un peu et ressort. Il revient et cette fois, tous les doigts sont présents. Il pousse, nous aussi, et la main entre. Nous émettons un léger son de satisfaction lorsqu’il commence à tourner sa main dans notre anus en même temps. Il tourne et enfonce encore. Nous l’entendons nous dire que l’os de ses poignets est déjà rentré. Même chez moi ! Il tourne encore, mais ne peut plus aller plus loin. Nos prostates sont sollicitées. Oliver et moi jouissons et arrosons le matelas. Heureusement que Jack a mis une protection. Il se retire doucement, se relève et commence à se branler. Nous nous retournons, Oliver et moi, nous nous positionnons la tête sous les couilles de Jack. Jack nous regarde nous rouler une pelle bien baveuse et nous honore d’une quantité de foutre encore impressionnante, que nous nous efforçons de rattraper et d’avaler.
Cette fois, nous sommes vidés. Nous nous réinstallons sur les transats, avec une serviette sous les fesses et reprenons une bière.
Le téléphone sonne. Jack répond et discute un peu. C’est le mec d’Oliver qui veut parler à son homme. Oliver part dans le salon et reprend le combiné. Jack vient s'installer tout près de moi. Il m’embrasse à pleine bouche.
Lorsque nos lèvres se séparent, je commets l’irréparable. Je lui tiens la nuque et je prononce tout bas les mots qu’il ne fallait pas prononcer à son oreille : « Je t’aime ! »
Jack me regarde un instant sans bouger. Des larmes lui montent aux yeux. Je lui caresse le visage. Puis il me répond : « Moi aussi, je t’aime ! » Il s’écroule sur moi. Nous restons ainsi sans rien dire, juste en se caressant doucement.
Oliver revient. Jack se redresse précipitamment et se lève.
Oliver nous dit :
«  - Les gars, j’ai une……..(il nous voit)……. mauvaise nouvelle ! Je ne peux pas rester jusqu’à demain. Il faut que je rentre ! Mon mec à un problème familial et je dois l’accompagner. On part demain à la première heure. Mais avant, j’ai une question à vous poser :
« - Oliver : Je vous ai bien regardé cette après-midi avec vos regards complices et vos petits gestes attentionnés. Il n’y aurait pas autre chose que vous ne m’avez pas dit ?
- Jack : Oui…..(En me serrant la main assez fort)
- Oliver : Tu l’as sucé ! (en parlant de moi) Jusqu’où ?
- Jack : La totale !
- Oliver : Oh merde !... Je suis super heureux pour vous, mais vous vous rendez compte dans quel merdier vous êtes maintenant ? Vous allez faire quoi ? Une relation très longue distance ?
- Moi : J’envisage de revenir et de vivre ici ! Mais ce n'est pas si simple…
- Oliver : Très compliqué même ! Et moi qui dois partir... Je suis désolé. Vous avez jusqu’à demain soir pour trouver une solution et prendre une décision. Ça va être invivable pour vous deux et je vous souhaite à tous les deux bon courage ! Quoi que vous décidiez ! On se rappelle Jack !
- Jack et moi : On va trouver, ne t’inquiète pas. Rentre et ne va pas trop vite, fais attention sur la route. »
Oliver s’habille, nous embrasse et part...

Nous nous affairons à ranger et effacer toute trace de nos ébats de l’après-midi avec Oliver. Nous retournons demain chez les parents de Jack. Nous travaillons en silence, chacun réfléchissant de son côté. L’atmosphère n’est, toutefois, pas pesante. À la première occasion, toujours à poil, nous nous enlaçons, nous caressant en nous faisant des bisous, avant de reprendre le ménage.
Une fois fait, nous nous installons dans la chambre avec le reste des friandises et une bière chacun. Ainsi, il ne restera que cette pièce à faire avant de partir demain.
La discussion s’engage et nous échangeons nos pensées sur les possibilités qui nous sont offertes. Aucune à court ou moyen terme ! Je ne veux pas que Jack s’exile en France pour moi. Il est fils unique et proche de ses parents. Cet argument suffit déjà. De plus, je ne pourrais pas l’héberger chez moi, en caserne. Je peux (veux) bien quitter ma famille. Pour les relations que j’ai avec, ce n'est pas grave ! Cependant, il est hors de question que je m’installe chez les parents de Jack. Il doit reprendre ses études, donc : pas de revenus suffisants. Mon autre problème : mon boulot ! Avec six mois de préavis, suivis d’une période obligatoire de cinq ans en tant que réserviste : c’est très long, trop long ! Dernier problème : Je fais quoi après ? Il faut bien vivre et sans diplôme reconnu en Australie, j’aurai du mal à trouver un nouveau job ! Et puis, en cinq ans, il peut se passer pas mal de choses... Les heures défilent…


*


34/ Des vacances bien méritées : Notre dernière soirée seuls


Nous en arrivons, tous les deux, à la conclusion que nous vivons une histoire extraordinaire, mais qu’il vaut mieux en rester là. Gardons cette belle aventure comme un merveilleux souvenir.

Ceci dit et accepté, nous nous blottissons dans les bras l’un de l’autre en nous câlinant un peu. Profitons de nos dernières heures ensemble ! Le sexe de Jack commence à reprendre de la vigueur. Il gonfle de plus en plus. Le mien ne se laisse pas distancer. Nous bandons maintenant tous les deux et nous nous frottons avec plus de force et envie. Une bonne pelle après, Jack me surprend en me disant tout bas :


«  - J’aimerais un dernier souvenir de toi…

- Tout ce que tu veux !

- Prends-moi !

- Mais… t’es sûr ?

- Tu seras le premier et on oublie jamais sa première fois ! »


Je prends le visage de Jack entre mes mains et, bouche contre bouche, nos langues bataillent en cherchant à aller au plus loin. Jack se libère et se retourne sur le ventre. Je me glisse entre ses cuisses. Il les écarte et ouvre ses fesses de ses deux mains. Je me penche sur lui. Mon gland butte contre sa raie, mais je prends mon temps. Je ne veux rien brusquer et surtout, je veux que Jack se rappelle avec plaisir de cet instant. Je l’embrasse dans le cou puis descend en n’oubliant aucun centimètre carré de son dos. Puis je mordille gentiment ses fesses bien fermes, une à une. Il gémit et commence à remuer son fessier avec envie. Je passe ma langue à la naissance de sa raie. Il se cambre un peu pour s’offrir davantage. Je descends jusqu’à son périnée et remonte aussitôt pour m’arrêter sur sa rosette encore vierge. Ma langue titille son entrée. Je salive beaucoup. Les sons qu’il émet sont de plus en plus forts. Il bouge ses fesses aussi plus vite. 

Après un certain temps, je sens que sa porte commence à céder légèrement. Il pousse. Je tente un doigt que je porte avant à ma bouche. Je le caresse puis presse un peu. Une première phalange passe. Il gémit et me dit de continuer. Alors qu’il pousse à nouveau, je force un peu et le doigt entier entre. Jack me gratifie d’un « Ohhh Oui !! Continue ! » Je remue mon doigt en lui, puis commence à le faire entrer et sortir. Jack se détend. Je continue avec deux doigts. Il se cambre de plus en plus pour finir à quatre pattes en me demandant de l’enculer maintenant ! Je mets du gel. D’une main, je le tiens par la taille, de l’autre, je présente mon gland contre son trou et pousse. Mon gland entre ! C’est serré et chaud. Jack me crie d’y aller, de m’enfoncer. Il recule sans prévenir et c’est moi qui crie. Comme c’est bon ! Jack s’est empalé lui-même sur ma queue. Je reste un peu sans bouger. La rondelle de Jack se détend encore et je commence mes va-et-vient. Ma bite est à l’étroit. J’ai l’impression qu’elle gonfle encore à l’intérieur. Au début, j’y vais doucement, puis, au fur et à mesure que le cul de Jack s’ouvre, j’accélère. Ses gémissements se font de plus en plus rapides. Je ne suis pas loin de la jouissance. Je sors d’un coup. Jack ne semble pas apprécier, mais, quand il sent à nouveau que je lui lèche le trou, il se laisse aller. Cette fois, ma langue peut le pénétrer et elle ne se prive pas. Je vais au plus loin que je peux. Il s’ouvre encore. Je remets deux doigts qui entrent sans aucune difficulté. Jack n’arrête pas de me dire qu’il aime ce que je lui fais, que c’est bon !

Je remets du gel sur ma bite et me présente. Cette fois, j’entre directement, en une fois. Il crie et ne peut retenir un mouvement vers l’avant, mais je le tiens par les hanches. Je le suis et nous nous retrouvons allongés. Jack me demande si on peut changer de position. Il veut me voir jouir en lui. Il veut voir mon visage, mes yeux, à cet instant ! Je ressors et aide Jack à se retourner. Il n’arrête pas de me sourire et je le lui rends. Une fois sur le dos, je relève ses jambes, présente à nouveau ma bite à sa rondelle et m’enfonce. Il crie. La sensation n’est plus la même. Ses cris se transforment vite en râles de plaisir. Je recommence mes va-et-vient, doucement. Jack me tient le haut des cuisses. Je place ses chevilles sur mes épaules et continue à la limer. Nous nous fixons constamment du regard. Je me penche en avant, l’obligeant à se plier un peu plus et lui faisant relever les fesses. Les poings posés sur le lit, les bras tendus, j’y vais de plus en plus fort. Puis, dans un dernier effort, je m’enfonce au plus loin que cela me soit possible en criant, mes yeux braqués sur ses yeux. Jack crie aussi en me maintenant serré contre lui avec ses mains me tenant les cuisses. Nous restons sans bouger un long moment. Il relâche son étreinte et je m’écroule sur lui. Encore un instant et Jack me dit qu’il sent mon sperme couler. Je me relève aussitôt. Lève ses jambes et place ma tête entre ses cuisses. Je lèche son anus dégoulinant et récupère mon sperme et avale. Il gémit de nouveau. Je continue. Il prend sa bite en main et se branle. Il expulse une bonne dose de sperme sur son torse déjà maculé d’une éjaculation précédente. Je remonte et lèche toute sa semence. Cette fois, il n’est pas chaud pour un partage. Ce n'est pas grave, j’avale tout et retourne me blottir contre lui.

D’un seul coup, je sens que l’on m’appelle. J’ouvre un œil. Jack est toujours dans mes bras. Nous nous sommes endormis et réveillés ainsi. Toutefois, dans la nuit, nous avons roulé sur le côté. Jack m’embrasse tendrement. Je lui rends son baiser et lui demande s’il n’a pas mal au cul. Il me répond que ça lui fait bizarre, mais que, vu que c’est moi qui lui ai fait ça, ça va. D’ailleurs, il me remercie pour ce cadeau qu’il ne pourra jamais oublier. Je suis le premier homme, et peut-être serais-je le seul, à qui il a donné son cul. J’en suis, pour ma part, très honoré.

Après un petit bisou sur mon gland, Jack se lève et m’invite à faire de même. Il est déjà tard. Nous prenons notre dernier petit-déjeuner à poil, finissons le ménage et changeons les draps. Il est temps de rentrer sur Sydney.



Le retour est plus calme qu’à l’aller. Une seule pause où, tout de même, je tiens la bite presque bandée de Jack pendant qu’il pisse en attendant de le sucer. Malheureusement, nous sommes dérangés et reprenons la route.

Peu de temps avant d’arriver chez ses parents. Jack me fait promettre de ne parler de rien. Il leur parlera plus tard, s’il en ressent le besoin ou s’ils l’interrogent. Il précise que, connaissant ses parents, ils sont capables de jeter le trouble et nous faire regretter notre décision.

Nous sommes accueillis par Trica et Henry, visiblement ravis de nous revoir tous les deux. Nous déchargeons la voiture, Jack me dit de mettre mon sac dans sa chambre. Les seules questions de ses parents sont de savoir si tout s’est bien passé, si Jack s’est bien occupé de moi et si je suis satisfait de mon séjour. Je ne peux répondre que par l’affirmative, non sans piquer un léger far à la deuxième question.

L’heure de l’apéro approchant, nous discutons devant un rhum-coca, puis nous passons à table. Pendant le dîner, Jack s’adresse à ses parents :


«  - Si ça ne vous dérange pas, nous dormirons ensemble cette nuit.

- Henry : vous auriez pu déjà, il y a huit jours, vous êtes des grands garçons.

- Jack : Oui, mais... nous n’aurions pas été sages.

- Tricia : Que veux-tu mon fils, c’est la vie ! »


Décidément, les parents de Jack sont très cools. Si seulement je pouvais avoir les mêmes !

Ce sont même eux, à la fin du repas, qui nous proposent de nous isoler dans la chambre. Jack ne se fait pas prier et m’attrape par la main et m’entraîne avec lui. Ses parents nous souhaitent une bonne nuit. Nous leur répondons à l'unisson en quittant la pièce.

Je récupère ma valise dans la chambre d’amis. Au moins, je n'aurais pas beaucoup de lessive à faire à mon retour, moi qui suis toujours prévoyant et prends toujours trop de linge. Jack est déjà en boxer allongé sur son lit. Je me mets à l’aise également et m’installe à côté. Nous discutons en nous caressant. L’heure tourne, il me propose de prendre la salle de bain en premier, il ira après. Terminé la douche ensemble ! Je prends ma trousse et m’y rends. Je retire mon boxer et me glisse sous le jet d’eau. Mais, pendant que je me savonne, la porte s’ouvre...



*

35/ Des vacances bien méritées : Dernière nuit australienne


C’est Jack ! Il entre et referme la porte en la verrouillant. Déterminé, il passe la paroi et vient se coller à moi. Ses mains prennent mes fesses et les tirent vers lui. Il me roule un patin puis descend. Il n’en faut pas plus pour que ma bite se redresse instantanément. Aussitôt, il gobe mon gland, joue avec sa langue tout autour en humidifiant de sa salive. Puis, il avale ma queue sur toute la longueur. Je m’adosse au mur. Il s’active alors que la douche coule toujours. Je n’ai pas joui de la journée et il ne me faut pas longtemps avant d’inonder ses amygdales. Je parviens à réfréner tout cri. Toujours accroupis, il me regarde et, avec son plus beau sourire, avale avant de récupérer les dernières gouttes sur le bout de mon gland. Maintenant que j’en connais la signification, je veux lui rendre la pareille, mais il me retient et me dit : « On a encore toute la nuit ! » Finalement, nous finissons notre douche ensemble.

Nous reprenons notre place sur le lit. Les parents de Jack regardent le programme T.V. de la soirée. Nous échangeons à nouveau, cette fois sur nos sensations ressenties lors de nos parties de baise de la semaine. La bite de Jack est tellement raide qu’elle ne touche pas le drap, alors qu’il est sur le côté, face à moi. Je la prends d’une main, ainsi que ses couilles. Il relève légèrement sa cuisse avant de tourner et se mettre sur le dos. Je commence à le branler doucement et me penche pour le prendre dans ma bouche. Son gros gland proéminent va me manquer autant que lui… Jack me caresse le dos d’une main et essaie de descendre vers mes fesses. Je me tourne un peu pour lui faciliter le passage. Directement, il glisse un doigt sur mon anus et le titille. Bien évidemment, je m’ouvre aussitôt et il entre. Jack me fait arrêter de le pomper et me demande de m’allonger sur le dos. Il se glisse entre mes jambes et les relève. Il me plie de manière à avoir mon cul face à lui. Il n’a qu’à se baisser pour me mettre sa langue qui me fouille au plus profond. Il me tient les chevilles d’une main et de l’autre attrape une serviette qu’il place sous mes fesses. Il prend ensuite le flacon de gel placé à côté et s’enduit la queue. Il s’essuie les doigts sur mon trou et présente son pieu. À son tour, il place mes chevilles sur ses épaules. L’une de ses mains, ainsi libérée, vient se coller sur ma bouche et il s’enfonce, doucement, mais jusqu’au bout, après mon second sphincter. Je souffle fort pour ne pas crier. Jack se retire un peu jusqu’à sentir à nouveau son gland qui sort de ma seconde porte. C’est plus fort encore ! Puis il recommence à s’enfoncer et à ressortir, toujours très lentement. Lorsqu’il sent que tout est bien ouvert, qu’il n’y a pratiquement plus de butée, il accélère et me pilonne avec force et rapidité. Je ne peux laisser échapper mes cris, heureusement étouffés par la main de Jack. Cependant, la tête de son lit butte contre le mur. Je dirais que cela provoque un bruit de marteau-piqueur. Mais, ce soir, Jack s’en fout, il continue. Pour la discrétion, on repassera ! Il sent aussi mon inquiétude lorsque j’entends le bruit émanant de mon anus à chacun de ses assauts. Jack me rassure et précise que c’est normal et prometteur pour la suite à venir. Je me détends encore. Il veut que mon cul se souvienne de lui au moins jusqu’à mon retour chez moi. Il y réussi !

Les yeux dans les yeux, je jouis par le cul après plusieurs minutes, suivi de Jack qui envoie de longs jets de sperme qui me tapissent les intestins. Lui ne peut retenir son cri. Au point où on en est…

Je descends mes jambes pour retrouver une position allongée. Jack se colle sur moi en me caressant. Nous restons ainsi quelques minutes. J’ai réussi à me retenir de pisser jusque-là pour ne pas inonder le lit, mais il faut vraiment que j’aille aux toilettes. Je m’y rends donc le plus discrètement possible avec ma serviette autour de la taille. Juste le temps de me vider et je suis de retour. Jack se caresse le paquet en me regardant me rapprocher de lui. Il sourit et me tend ses bras. Les bisous fusent et nous rions après avoir fait tant de bruit alors que ses parents sont dans la maison.

Nous continuons à discuter quand nous entendons Tricia et Henry aller se coucher. Il me dit alors : «  J’ai encore envie de jouer  ! Une dernière fois ! Mets-toi sur le sol. » Je me mets à quatre pattes et, après avoir remis la serviette entre mes jambes, Jack se positionne derrière moi. Je le vois prendre le flacon de gel puis je sens ses doigts s’enfoncer dans mon trou. Je souffle et mon orifice s’ouvre à nouveau très grand. Cette fois, sa main rentre toute seule. Il tourne et retourne en s’enfonçant. Ses doigts bougent à l’intérieur. Il ressort, mais je sens que c’est plus gros. Il a fermé son poing ! Je n’ai qu’un trou béant. Il revient à l’assaut et son poing fini par entrer. Il ressort et entre encore et encore. Jack dit : « C’est très bon, et il reste encore un peu de mon sperme, ça glisse bien ! » je lui confirme que je trouve cela très bon aussi. Comme si mes gémissements ne suffisaient pas. Il continue comme ça jusqu’à ce que j’arrose la serviette de mon jus. Jack se retire une dernière fois, m’essuie les fesses avant de faire disparaître la serviette et m’entraîne sur le lit. Après un bon moment à nous admirer en nous caressant, nous nous endormons enlacés.


Nous sommes toujours enlacés, nus, sur le drap, lorsque quelqu’un frappe à la porte de la chambre et entre sans attendre la réponse. C’est Tricia ! Elle s’excuse quand elle nous voit tous les deux dans cette position, mais il est tard et il faut se préparer pour aller à l’aéroport.

Nous nous levons, nous habillons et rejoignons les parents de Jack. Ceux-ci nous demandent si nous voulons prendre un petit-déjeuner ou déjeuner avec eux. Ils en profitent pour suggérer, avec un petit sourire, qu’avec la petite nuit que nous avons passé, nous devrions avoir faim ! C’est la première fois que je vois Jack rougir. En souriant, tout de même gêné, je réponds que j’ai besoin de sucre, un petit déjeuner suffira.

Une fois prêts, nous prenons la route tous les quatre. Jack ne me lâche pas. Je n’en ai pas envie d’ailleurs. À l’aéroport, passé l’enregistrement des bagages, les parents de Jack nous indiquent qu’il est l’heure de se dire au revoir. Chacun leur tour me font la bise, me souhaitent un bon retour et me disent de ne pas hésiter si je veux revenir.

Puis, ils laissent la place à Jack. Nous nous serrons le plus fort possible et restons ainsi quelques minutes. Henry, qui remarque que nous pleurons, attrape Jack par l’épaule et l’invite à me lâcher en le tirant. Nous échangeons un dernier : « Je t’aime ».

Je les regarde entourer leur fils pour tenter de le consoler. Il s’effondre dans les bras de sa mère. Henry m’attrape également et c’est à mon tour de m’effondrer dans ses bras. Je reprends mes esprits et me calme. Il est temps de partir. Les hauts parleurs appellent les passagers de mon vol pour l’embarquement. Après un dernier salut, de loin, à Jack et sa famille, je fais demi-tour et me dirige vers la salle d'embarquement. Le vol est inconfortable : j’ai mal au cul et rester assis devient vite pénible.

De retour en France. Il me reste des jours de congé. Comme je l’avais promis à mes parents, je les appelle de l’aéroport. Ils insistent pour que je vienne finir mes vacances chez eux. Vu mon état, j’hésite, mais ils insistent vraiment.

Je cède. Une fois sur place, ils veulent tout savoir sur l’Australie. J’essaie de faire bonne figure, mais des larmes finissent par inonder mes yeux. Mes parents, attristés, m’en demandent la raison. Je me reprends et leur explique que, sur place, j’ai vite rencontré « quelqu’un » ; que nous sommes tombés amoureux et que la séparation a été difficile.

Mon père est le plus compatissant. Ma mère ne perd pas de temps et me répond : « Dans deux mois, tu l’auras oublié, cette fille ! »

Je n’insiste pas. Ce n’est pas le moment. Je sèche mes larmes et leur décris les quelques paysages que j’ai pu voir.

Je termine mes vacances et reprends le boulot. La vie reprend son cours. Plusieurs semaines après, je ne tiens plus. J’appelle les parents de Jack. Je veux juste savoir comment il va. C’est Tricia qui me répond. Elle est heureuse de m’entendre et demande aussitôt de mes nouvelles. Je lui explique que c’est le calme plat de mon côté. Je me consacre essentiellement au travail. Jack n’est pas à la maison, Oliver l’oblige à sortir avec lui depuis quelques semaines et s’occupe de lui changer les idées. Tricia me dit que Jack a, à l’occasion de l’une de ses dernières sorties avec Oliver, rencontré un autre jeune homme et que celui-ci insiste pour passer une soirée seul avec Jack, mais il hésite. Je réponds qu’il devrait accepter et voir où cela le mène. Ses parents sont d’accord. Jack est bien entouré. Il est sur le point de passer à autre chose. J’en suis heureux pour lui. Nous poursuivons notre conversation quelques minutes avant de raccrocher. Il est temps de tourner cette page et, d’ailleurs, quelques mois plus tard...


*


36/ Un plan à trois imprévu !

Et le fond du gouffre…



Je reçois une longue lettre de Jack. Je passe les détails. Il m’informe qu’il a rencontré quelqu’un. Cela semble sérieux et il s’installe avec lui. Il me précise qu’il respectera notre promesse et ne m’oubliera jamais. Toutefois, Jack me demande de ne plus appeler au téléphone. Cette fois, c’est vraiment fini !

Après une blessure en sport, je rate un déplacement professionnel de plusieurs semaines. Je suis contraint de rester à la caserne. Fort heureusement, Guillaume, l’un de mes potes, nouvellement affecté, est, lui aussi, resté au dépôt. Nous nous retrouvons presque tous les soirs, quand nous ne sommes pas de service au poste, à l’entrée de la caserne. Il est plus petit que moi, brun et très bien proportionné. Motard, il m’emmène souvent en balades pendant nos temps libres. Il m’arrive de dormir chez lui lorsque nous avons un peu trop abusé d’alcool et de ses cigarettes roulées à la main. Pour rentrer chez moi, je dois traverser la caserne à pied et il ne faudrait pas qu’un gradé me tombe dessus dans cet état ! Guillaume dort dans sa chambre et moi dans le canapé-lit du salon. J’ai, à plusieurs reprises, eu l’occasion de le voir nu et réciproquement. Il m’attire, mais je ne veux pas risquer de tout briser. Et puis, malgré mes efforts, je pense toujours à Jack.

Une fois, l’alcool et les cigarettes aidant, nous nous sommes masturbés devant un film de cul hétéro dont il avait la cassette. Nous étions totalement nus tous les deux, assis chacun à un bout du canapé. Je matais, le plus discrètement possible, Guillaume et sa bite de bonne taille, une fois bandée. J’imaginais bien des choses avec lui, mais il est « officiellement » hétéro et est persuadé que je le suis aussi.

Nous sommes en fin de semaine et aucun de nous ne travaille le lendemain. Guillaume me dit dans la journée qu’un de ses potes de Lyon sera chez lui ce soir. Du coup, je reste chez moi pour la soirée et en profite pour me connecter sur un site de rencontres, via le minitel. Je me suis déjà préparé, au cas où il faudrait que je sorte. Je n’ai plus qu’à m’habiller. Pour l’instant, je suis nu sous mon peignoir.

Rien ! Je ne fais aucune touche. À croire que tout le monde est sorti. Par défaut, l’idée d’une bonne branle me passe par la tête et ma bite commence à réagir.

Quelqu’un frappe à ma porte. Qui peut bien venir me déranger à minuit ? Je réajuste mon peignoir et ouvre. Guillaume est là, avec un autre jeune homme de nos âges, brun. Très brun même, de cheveux et de peau. Du genre que j’adore ! Je les fais entrer dans mon salon et je fais la connaissance de Gabriel, originaire des Antilles et habitant Lyon, comme Guillaume avant. Ils sont amis d’enfance. Je nous sers un verre. Visiblement, ils en sont toujours à l’apéro et ont déjà fumé quelques cigarettes. Je crois que c’est Gabriel qui commence à parler de cul et à faire des allusions sur la vie en communauté uniquement entre hommes. Il n’est pas militaire et est persuadé que nous avons déjà couché ensemble, Guillaume et moi. Nous nions en riant. Hors de question de lui dire que nous nous sommes déjà branlés en présence de l’autre. Il n’insiste pas, mais continue à parler de cul. L’alcool continue à couler gentiment. D’un coup, alors que je passe à la hauteur de Gabriel pour aller dans la cuisine, il attrape un pan de mon peignoir et tire dessus. Il s’ouvre. J’ai les mains prises et je ne réagis pas rapidement. Gabriel prend mon sexe et mes couilles puis les malaxe devant Guillaume. En le regardant, il dit à son pote :


« Regarde, il commence déjà à bander ! Je suis sûr qu’il aime ça ! Tu ne veux pas une petite pipe, Guillaume ? Ça te ferais du bien ! »


Je sens que je suis rouge de honte, mais je ne bouge pas. En fait, il a raison, j’en meurs d’envie depuis que je connais Guillaume. Ma bite ne résiste pas au traitement et je bande. Après de très rapides hésitations, Guillaume se lève et s’approche de moi avec un air interrogateur. Il me demande confirmation. Je lui fais signe de la tête. Guillaume dégrafe alors son pantalon. Gabriel lâche mes couilles et me libère de ce que je porte dans les mains. J’ai déjà vu la bite de Guillaume au repos ou bandant. Je n’ai pas de surprise. Je m’agenouille devant lui. Je prends sa queue, déjà bien raide, d’une main et la présente devant ma bouche ouverte en grand. Je gobe son gland que j’humidifie avec ma salive. Guillaume prend ma tête dans ses mains et m’enfonce doucement sa bite au fond de ma bouche. Je sens son gland buter contre ma glotte. Sa bite grossit encore. Je profite d’un petit relâchement de Guillaume pour jeter un œil au-dessus. Je les vois se rouler une pelle magistrale et se caresser. Mes mains partent à la recherche de la braguette du jeans de Gabriel. Je l’ouvre tout en continuant de sucer Guillaume. Je découvre et libère une bite correspondante à la réputation des blacks, sans être un « monstre ». Je la prends et la présente aussi devant ma bouche. J’alterne, je ne suis pas sûr que les deux entrent en même temps. J’essaie tout de même. Au mieux, je ne prends que leurs glands, mais c’est déjà beaucoup !

Gabriel prend les choses en main. Il me relève. Tous les deux finissent de se déshabiller et nous allons tous les trois sur mon lit. Je sors un flacon de gel et Gabriel me demande de me mettre sur le dos et de relever les jambes. Je m’exécute bien volontiers. Guillaume se positionne à l’arrière, prêt à m’enculer et Gabriel passe devant. J’ai l’impression de rêver. Guillaume entre en premier. Mon trou s’écarte au passage de sa bite. Il entre à fond avant de commencer un lent va-et-vient. Le gland de Gabriel se présente à mes lèvres. J’ouvre en grand et il s’enfonce.

Après plusieurs minutes, Gabriel donne le signal à Guillaume et ils échangent leur place. La queue de Guillaume me baise la bouche directement alors que je sens la bite de Gabriel, sur chaque millimètre, qui me pénètre. Tous les deux me liment les trous. Je n’en peux plus et la jouissance arrive. Sans me toucher la queue une seule fois, j’expulse de longs et puissants jets de sperme. Certains atterrissent sur le ventre de Guillaume. Gabriel se retire et explose à son tour. Il m’arrose littéralement de son sperme chaud et très épais. J’ai l’impression que mon cul n’est qu’un trou béant. C’est au tour de Guillaume. Il positionne sa bite juste au-dessus de mon visage et se termine en se masturbant. Je garde la bouche ouverte pour récupérer ce que je peux. Je ne suis pas déçu. Juste avant de cracher, il dirige sa bite vers ma bouche et je peux tout prendre. C’est épais et abondant. Je joue un peu avec, avant d’avaler.

Tous les deux s’écroulent à côté de moi. Nous terminons ainsi la nuit, tous les trois, dans mon lit.

Nous nous réveillons le lendemain midi, satisfaits et ravis. Tellement, que nous nous promettons de remettre ça au plus vite. Gabriel ajoutant qu’il aimerait bien tenter une double sodo la prochaine fois. Je lui confirme que mon trou est à leur disposition.

Tous les deux m’affirment qu’il n’y avait rien de prémédité avant leur venue. Apparemment, Guillaume et Gabriel n’avaient jamais rien fait ensemble avant cette soirée. Gabriel admet coucher avec des mecs de temps en temps. Pour Guillaume, c’était une première avec un homme et il ne regrette pas du tout.

Mais, Gabriel n’aura jamais l’occasion de revenir...


Avec Guillaume, nous devenons inséparables. La journée, nous sommes collègues et amis, mais le soir, nous sommes amants. D’accord, parfois, ce dernier point déborde aussi sur la journée, en toute discrétion. Nous nous voyons tous les soirs pendant plusieurs semaines et, une fois à l’abri dans l’un de nos appartements, nous passons au lit et faisons l’amour pendant des heures. Nous n’avons jamais un seul geste en public qui pourrait laisser penser que nous sommes amants. Mais vivant en vase clos, tout le monde a compris. Mais, tant qu’il n’y a pas d’histoires, tout le monde se tait.

Alors que toute l’unité se trouve en congé pour deux semaines, nous restons à la caserne. Nous passons ainsi nos journées et toutes les nuits ensemble. Nous avons même notre chanson à nous : « Pas toi » de Jean-Jacques Goldman, sortie déjà depuis quelques années. Guillaume adore cette chanson et l’écoute régulièrement. Moi, j’aime tous les morceaux de ce chanteur. C’est mon artiste français préféré de l’époque.

Un soir, entre deux parties de jambes en l’air, Guillaume m’avoue qu’il envisage sérieusement de démissionner. Le métier ne lui plait pas et, comme je dois être muté dans quelques mois, dans une autre région, il veut me suivre. Il commence même à postuler dans des boîtes de la région parisienne et se renseigne sur les appartements. Nous vivons des jours heureux et, pour la première fois, je peux réellement envisager une vie à deux. Cette fois, contrairement à mon aventure australienne, avec quelques aménagements, c’est réalisable.

À la fin de la seconde semaine de congé, nous décidons d’aller faire un tour à Chambéry. C’est à quelques dizaines de kilomètres, vraiment pas loin. Notre route nous fait passer par le « Tunnel du Chat ». Dans le sens aller, la sortie de ce tunnel est immédiatement suivie d’un virage à angle pratiquement droit. C’est un secteur très accidentogène, notamment pour les deux roues.

En arrivant à proximité de cette sortie, Guillaume ralenti afin d’amorcer le virage. Malheureusement, il y a souvent des flaques d’huile ou d’essence à cet endroit. Il perd le contrôle de sa machine. Nous faisons une embardée et je suis éjecté. Guillaume et sa moto glissent sur la chaussée.

Quelques instants plus tard, je reprends conscience. Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé. Il y a du monde autour de moi. Des sirènes, des pompiers et des collègues que je ne connais pas. Je demande où est Guillaume, mais je n’obtiens pas de réponse. Je suis aussitôt embarqué en ambulance vers l’hôpital de ma ville de résidence pour des examens. Apparemment, je ne suis pas blessé. Je suis juste en état de choc.

Le lendemain, allongé sur mon lit d’hôpital, je vois entrer le commandant de mon unité. Bizarre, il s’adresse à moi en m’appelant par mon prénom. D’habitude, il n’utilise que les noms de famille. Aussitôt, je lui présente mes respects et le rassure sur mon état. Je lui précise que je compte bien être présent au boulot dès lundi, mais j’aimerais avoir des nouvelles de Guillaume. Il paraît qu’il est dans un autre hôpital. Mon patron a une tête déconfite. Il prend une chaise, s’assoit à côté de mon lit et m’annonce qu’il a une mauvaise nouvelle. Aussitôt, je pense à une blessure grave, une paralysie, mais non. Guillaume n’a pas survécu !

Je passe sur ma réaction et mes pleurs. Mon patron ne bouge pas et attend, en silence, que je me calme avant de me dire :


« - Je ne sais pas ce qui vous liait à lui... Je m’en doute un peu, mais je ne veux surtout pas le savoir ! Une délégation se rendra aux obsèques la semaine prochaine. Je suppose que vous voudrez venir ?

- Oui

- D’accord, mais vous serez dans la délégation. Je ne veux pas vous entendre et je ne veux pas que vous parliez à ses parents ! C’est un ordre !

- Oui, mon commandant.

- Voulez vous qu’on prévienne votre famille ?

- Ce ne sera pas nécessaire.

- Bon, normalement, vous sortez demain. Remettez-vous. Je vous donne la journée de lundi. Vous reprendrez mardi matin, et en pleine forme ! »


Sur ces paroles, il se lève, me serre la main et part. Je suis dévasté. Fort heureusement, des collègues sont rentrés de vacances. Ayant appris la nouvelle, certains viennent me voir peu après. Cela me change un peu les idées. Aucun n’est officiellement au courant de ce que je vivais avec Guillaume. Le lendemain, après une mauvaise nuit, je sors de l’hôpital. Tout va bien pour moi. Je n’ai absolument rien, à peine une égratignure. Je rentre à l’unité, puis à mon domicile à pied. Ce n'est pas loin. Je me couche aussitôt en m’effondrant. Je ne sors du lit que le mardi matin, pour aller travailler. Je n'ai pas envie, mais je n'ai pas le choix. Puis, il faut que je me tienne informé des obsèques.

Depuis un an, lorsque mon unité est à résidence, je suis responsable du « bureau instruction ». Je rédige les plannings des diverses formations, fait élaborer des aides pédagogiques demandées par les différents instructeurs. Je demandais régulièrement que Guillaume vienne me donner un coup de main.

Lors du rapport du matin, le commandant nous apprend que les obsèques auront lieu jeudi après-midi, près de Lyon. Une délégation s’y rend. Il nous indique la tenue à porter puis nous libère. Chacun vaque à ses occupations. Il m’appelle et me prend à l’écart pour me demander si cela ira. Je lui réponds par l’affirmative. Il me rappelle alors son ordre. Je lui confirme que j’ai bien compris et que je m’y conformerai.

Le jeudi, nous partons avec un autocar de l’unité. Je m’installe avec les potes. Je ne parle pas beaucoup. Les copains, sachant que nous étions proches, sont compréhensifs et me foutent la paix. Deux d’entre eux viennent me voir en me disant qu’ils seront placés derrière moi pendant la cérémonie, alors que je serais tout devant. Si je ne me sens pas bien, je n’ai qu’à leur faire signe et ils me sortiront des rangs.

Nous arrivons à l’église et nous mettons en place, en ordre. Effectivement, je suis au premier rang. Le commandant présente ses hommages aux parents de Guillaume. À leur côté se tient une jeune femme. Je suppose que c’est sa sœur. Elle regarde toute la délégation, comme si elle cherchait quelqu’un. J’aperçois aussi Gabriel, loin derrière, qui me fait un petit signe discret de loin. Je lui réponds par un hochement de tête. Je ne peux pas bouger. Par geste, il me fait comprendre que l’on se verra après la cérémonie.

Tout va à peu près bien pendant la cérémonie. J’arrive à me contenir quand, à la fin, une musique est diffusée. Celle que nous aimions tant : « Pas toi ! » Je craque et fond en larmes. Je fais signe à mes deux camarades, ils me tirent en arrière et occupent la place. Je peux pleurer, en silence, hors de la vue de tout le monde, masqué par le peloton.

Nous accompagnons le cercueil au cimetière situé à quelques mètres. J’ai repris ma place. Celle que je pense être la sœur de Guillaume n’arrête pas de se retourner dans ma direction. Je tiens jusqu’au bout. Après l’enterrement, tout le monde est convié à boire un dernier verre en mémoire de Guillaume.

Le peloton se disperse dans l’assemblée. Je prends mon verre et me mets à l’écart, à l’extérieur. J’ai envie de crier. C’est extrêmement frustrant de ne pas crier au monde entier que nous nous aimions !

Puis, je vois Gabriel. Il me cherche, accompagné de la jeune femme qui s’avère bien être la sœur de Guillaume. Dès qu’il est proche de moi, il me prend dans ses bras et nous restons ainsi plusieurs minutes. Puis, il me présente Sylvie, la sœur. À son tour, elle me prend dans ses bras et nous pleurons encore tous les trois. Nous nous séparons puis commençons à discuter. Gabriel nous laisse. Nous parlons de Guillaume. Sylvie m’apprend qu’il lui avait parlé de moi et de ce que nous vivions tous les deux. Elle est la seule de la famille à être au courant. Guillaume s'apprêtait à faire son coming-out. Il attendait la réception de mon ordre de mutation pour démissionner et me suivre en région parisienne. Nous restons ainsi à discuter jusqu’à ce que je sois appelé par un camarade. Il faut rentrer. Sylvie me fait la bise et me souhaite bon courage. Je lui souhaite la même chose et elle me répond : « Moi, je ne suis pas toute seule, tu en auras plus besoin que moi ! » J’esquisse un semblant de sourire et me dirige directement vers le véhicule.

Nous embarquons et reprenons la route. Aussitôt partis, le commandant se lève, se retourne et me nomme sèchement bien fort (il est à l’avant et moi à l’arrière de l’autocar) :

 

« - Je vous avais dit de ne parler à personne !

- Rectificatif, mon commandant, de ne pas parler aux parents !

- Vous avez discuté avec sa sœur, c’est pareil !

- Désolé mon commandant, mais je la connais ! J’ai fait sa connaissance, chez Guillaume, il y a un moment ! (petit mensonge qui me sauve la vie) Et, de toute façon, c’est elle qui est venue vers moi ! »


L’un de mes camarades confirme que la sœur de Guillaume me cherchait pendant le vin d’honneur et lui a demandé où je pouvais me trouver. C’est lui qui lui a indiqué que j’étais à l’extérieur. Mon patron ne trouve rien à dire de plus et s’assoit sur son siège. Je suis en colère. Mes camarades, qui ont tous assisté à la conversation, n’insistent pas.

Le travail reprend, la routine. Au gré des mutations, je vois de nouvelles têtes. Je ne me consacre qu’à mon boulot. Pendant les semaines qui suivent, je ne sors plus avec personne. Calme plat. Je me fais la promesse de ne plus jamais tomber amoureux d’un mec, encore moins d’un collègue. Ça fait trop mal !

Ma mutation est enfin prononcée. Une nouvelle vie va commencer...



La suite est ici.

6 commentaires:

dany marseille a dit…

J adore lire ton texte le matin dans mon lit. Ma bite devient dure . Ça me mets en forme pour la journée. Merci

Dunegay a dit…

Merci Dany

J'adorerais voir ça :)

ripida-mente a dit…

Merci pour les belles histoires que vous racontez, en particulier la dernière qui se déroule en Australie - j'attends la suite avec impatience.
Je vous remercie.
Grazie per le belle storie che racconti, soprattutto quest’ultima ambientata in Australia: attendo con impazienza la continuazione.
Grazie

Dunegay a dit…

Grazie mille per questo bellissimo commento.
È incoraggiante

ripida-mente a dit…

tutto questo dolore in così poco tempo… è terribile!

toute cette douleur en si peu de temps... c'est terrible!

Dune a dit…

L’anno scorso è stato uno dei più caldi ma anche il più orribile per me. Fortunatamente fui trasferito a diverse centinaia di chilometri di distanza e non rividi mai più nessun collega di allora. Quanto al mio capo, ha fatto una brutta fine... Ma questa è un'altra storia.