Mon journal - II -

 II – LES VOYAGES FORMENT LA JEUNESSE ET PAS QUE...


12/L’hôpital militaire avant incorporation


Dès mon arrivée dans cet hôpital, je remarque un infirmier que je trouve très beau. Il est grand, mince, mignon et métis. Je passe ma première soirée, seul dans ma chambre, à m’imaginer faire des choses avec lui. Je ne tarde pas à arroser mes draps de mon sperme.

La seconde journée, alors que je reviens d’une batterie d’examens, un jeune homme, plus âgé que moi, est installé sur le lit d’à côté. Il vient d’être incorporé, mais ne veut pas faire son service militaire. Il me précise qu’il est prêt à tout pour parvenir à se faire réformer. Je lui indique que pour moi, c’est l’inverse. Chacun respectant le choix de l’autre, une fois seuls dans la chambre, nous discutons beaucoup.

Le soir, il me dit qu’il serait même capable de se faire passer pour un homosexuel afin d’être réformé. Intrigué (et subitement intéressé) je lui demande jusqu’où il serait capable d’aller. Il me répond qu’il pourrait tailler une pipe à un mec, en espérant se faire choper, mais pas plus. C’est malin, je bande moi maintenant ! Comme je n’ai pas l’intention d’être ce mec, je remonte une jambe sous mes draps, afin de cacher la bosse qui prend encore du volume sur mon bas-ventre. S’il espère se faire prendre dans cette position, pas moi ! Ce serait l’inaptitude assurée. Nous en restons là et je m’endors.

Je sens quelque chose d’humide autour du gland. Je suis sur le dos. Je bande. J’ouvre un œil. Il fait nuit. Il n’y a pas un bruit dans l’hôpital. Tout le monde dort. Je sens aussi quelque chose qui maintient mes couilles et les malaxe doucement. Je n’ose pas bouger. Je regarde vers le lit de mon voisin. Il est vide ! Je baisse la tête vers mon bas-ventre et je vois son crâne. Merde ! Il me suce ! Je ne veux pas, mais j’apprécie énormément sa délicatesse. Ce n’est pas un expert, mais c’est bon. Et puis, ça fait tellement longtemps….

Je me laisse aller et écarte légèrement les cuisses. Maintenant, il sait que je suis réveillé. Il s’arrête en tenant ma bite dans sa main, me regarde et me demande s’il peut continuer. Je lui réponds qu’au point où nous en sommes, il peut y aller. Je lui caresse la nuque puis descends dans son dos. Il arrête ma main lorsque j’arrive à la naissance de ses fesses. Pas touche ! Ok ! Je remonte et il prend de l’assurance. Il me pompe plus rapidement et plus loin. Je le préviens que je vais venir. Il se retire d’un coup et je crache sur mon torse une dose massive de sperme épais. Il repart aussitôt vers son lit et regarde le plafond. Je ramasse mon sperme avec les doigts que je porte discrètement à ma bouche. Puis, je l’entends demander tout haut : « Mais putain, il passe faire sa ronde à quelle heure, l’infirmier ? »

J’apprécie très moyennement l’idée qu’il se soit servi de moi. Heureusement, la ronde est faite plus tard et je le sais déjà. Je ne lui dis rien à ce sujet. Dans le même temps, j’avais les couilles pleines et il m’a fait du bien. Le lendemain, je lui propose de se chercher un volontaire dans une autre chambre, en profitant des pauses entre les examens. Il doit bien y avoir un autre mec comme lui, prêt à tout pour se faire réformer ! En attendant, à partir de maintenant, je dors sur le ventre et en sous-vêtement !

La nuit suivante, mon voisin a dû trouver un volontaire, car je le vois se lever et sortir de la chambre. Je dors lorsqu’il revient. Le matin, il me dit que l’infirmier, celui qui est beau gosse, a une énorme bite. Qu’il ne peut pas la prendre en entier dans la bouche. Purée !!!! Il se tape l’infirmier !!!! Je suis frustré, mais fais mine de rien. Comme il est de nuit en ce moment, ils doivent se retrouver la nuit prochaine. Il espère un coup de main de sa part pour la réforme.

Effectivement, je vois mon voisin sortir de la chambre la nuit suivante. Au bout de quelques minutes, tout le service est réveillé par des cris et des bruits sourds. Comme quand quelqu’un se bat. Je me précipite dans le couloir en slip. Je ne suis pas le seul. Une porte s’ouvre et tout le monde voit mon voisin de chambre sortir de la pièce en gueulant. Il est suivi par le bel infirmier qui se tient la mâchoire d’une main et le pantalon de l’autre. Des gradés, alertés, sont arrivés.

Mon voisin de chambre ne décolère pas. Il explique aux gradés que l’infirmier a tenté de l’enculer alors que lui ne demandait qu’à lui tailler une pipe. L’infirmier confirme d’un geste de la tête. Ils sont emmenés tous les deux par les gradés et chacun de nous regagne sa chambre.

Le lendemain, au réveil, mon voisin de lit fait ses bagages. Il est heureux. Il a obtenu satisfaction. Il est réformé, mais l’infirmier également.



Je termine mes examens. Je suis reconnu apte pour le service et je rentre chez moi le vendredi. J’ai encore deux semaines avant le retour de mes parents. Je cours beaucoup et vais régulièrement à la piscine municipale qui se trouve juste à côté de la maison. Le soir, je reprends aussi mes activités quotidiennes devant ma fenêtre de chambre. Ensuite, je m’installe dans le jardin avec mon télescope jusqu’à ce que mon envie de dormir prenne le dessus.

Lorsque mes parents rentrent et reprennent le boulot, ils me proposent de postuler pour un emploi temporaire à la Mairie de notre commune. La ville recherche quelqu’un de sérieux pour garder des bâtiments municipaux la nuit (salle de sport, écoles…) pendant des travaux de ravalement de façades et changement de fenêtres. Les polices municipales n’existent pas encore. Cela émerge à peine dans quelques villes. Ne sachant pas quand aura lieu mon incorporation, j’accepte et me présente dès le lendemain à la Mairie. Le poste est pour moi. J’ai un contrat de trois mois. J’attaque le soir même. Je dois assurer une présence et une surveillance active des bâtiments (un à la fois) de vingt-deux heures à six heures le lendemain. Je suis seul. Des patrouilles de police passent régulièrement me rendre visite pour vérifier que tout va bien. En cas de besoin, je peux téléphoner à mon responsable et au commissariat.

Dès la fin de mon contrat, je reçois la visite d’un gradé de la brigade de gendarmerie locale. Il me remet mon ordre d’incorporation. Je dois me rendre à Auxerre pour le 02 décembre 1982.

Je profite de mes derniers jours pour dire au revoir aux copains et copines du lycée, ainsi qu’à la famille.

 

*

 

13/ Service militaire :


Après avoir fait mes classes à Auxerre, puis le peloton « gradé », je suis affecté dans une unité d’autoroute dans le sud de la France. Nous sommes 15 militaires appelés du contingent. Nous occupons deux logements de type HLM situé au rez-de-chaussée d’un immeuble qui abrite l’ensemble de notre encadrement. Mon grade me permet d’obtenir une chambre individuelle. Mon intégration se passe très bien. Parmi mes camarades, j’en remarque deux en particulier. L’un est mince et brun, l’autre est blond et très bien foutu. Ancien espoir dans un club de foot près de Dijon, ce dernier a dû renoncer à sa carrière sportive suite à une blessure. Ils ont deux ans de plus que moi. Nous devenons tous les trois amis. Craquant habituellement sur les bruns, je jette mon dévolu sur Olivier, le brun. Mais rien n'y fait. Il n’est pas réceptif. Les mois passent et il ne se passe rien. Quelques jours avant sa libération, nous sortons faire la fête. Nous sommes avec Patrick, le blond, qui, lui aussi, est sur le départ. Nous nous remémorons les bons moments passés ensemble quand Patrick part aux toilettes. Olivier en profite pour me dire qu’il a compris depuis longtemps où je veux en venir avec lui, mais qu’il n’est pas intéressé. Il m’assure qu’il restera muet sur ce fait. Sinon, c’est le renvoi assuré pour moi. Il espère sincèrement me revoir après le service. D’autant que je dois être muté en région parisienne dans le cadre de mon volontariat pour un service long. La soirée se passe et nous rentrons dans nos appartements. Patrick loge dans le mien et Olivier dans l’autre. Tous les autres occupants de notre appartement sont en permission. Je me retrouve donc seul avec Patrick. Nous continuons à discuter, chahutons un peu et rigolons beaucoup, comme d’habitude. Puis, je lui indique que je vais me coucher et lui souhaite une bonne nuit. Il part dans sa chambre.

Je me déshabille et me couche, nu, comme à chaque fois. Alors que je m’apprête à éteindre la lumière, ma porte s’ouvre. Patrick porte un slip blanc, modèle fourni par l’armée. Il se précipite et se jette sur mon lit. Il tente et arrive à passer ses bras sous mes draps et me chatouille. Il passe ses mains partout où il peut sur mon corps. Ce que je devine dans son slip semble lourd et impressionnant. Cependant, je n’y suis pas du tout et tente de résister et lui rendre ses chatouilles. Patrick est sur moi, je réalise qu’il a retiré mes draps et je ne peux empêcher une totale érection. Aussitôt, il prend mes couilles à pleines mains. Je m’arrête enfin et me laisse faire. J’ose enfin regarder plus attentivement son slip et je vois un paquet qui me paraît énorme avec un barreau qui ne demande qu’à sortir. Pas un poil ne dépasse. Visiblement, il bande aussi ! Je passe ma main sur son slip. Je sens une masse bien épaisse, longue et surtout pesante. On se regarde. Plus personne ne bouge. Je donne le signal en baissant son slip et en libérant une bite bien veineuse qui dépasse mes espérances. Elle est au niveau de mon visage. Ses poils pubiens sont taillés courts, mais pas rasés. Surpris et ravi, j’ouvre la bouche. Patrick en profite et enfonce son gland entre mes lèvres. Je dois tellement écarter que cela me fait mal. Je sens alors Patrick commencer un va-et-vient dans ma bouche. Il y va doucement. Je ne peux pas tout prendre. Je lui caresse le dos, ses fesses musclées. Je suis excité comme jamais. Il me caresse les couilles et la bite. La mienne est beaucoup plus fine et plus petite, même si elle est, tout de même, au-dessus de la moyenne. Patrick se retire d’un coup. Il est sur le point de jouir et ne veut pas tout de suite.

Je l’aide à finir de retirer son slip puis il s’allonge sur moi, bite contre bite. Nous nous caressons. Pas un centimètre de peau n’est oublié. Je sens son corps musclé. Je m’aventure à passer un doigt vers son anus, mais il sert les fesses. Je retourne vers sa bite. Elle me fascine. Il refuse également que je l’embrasse sur la bouche. Maintenant, c’est lui qui s’approche de ma rondelle. Je la sens s’ouvrir sous ses caresses. Je soulève mes jambes. Son gland se présente tout seul à l’entrée. Je lui dis alors : « Vas y !! Prends-moi !! » Ce sont, je crois, mes seules paroles prononcées depuis qu’il s’est jeté sur moi et ce seront les seules avant la fin.

Visiblement surpris, mais excité, il crache dans ses mains pour lubrifier son gros pieu et tente de me pénétrer. Ça ne veut pas ! Mon petit trou n’a pas reçu de visite depuis plusieurs mois et l’excitation actuelle ne suffit pas à permettre l’entrée de son gros chibre. Il se lève, repasse son slip et part en me disant de l’attendre. Il revient très rapidement. N’ayant pas de gel sous la main, il est parti chercher du beurre dans la cuisine de l’autre appartement. Par chance, personne ne l’a vu. Je sors du lit et me mets debout contre le mur en écartant les jambes. Comme si j’allais me faire fouiller. En fait si, j’allais me faire fouiller par l’engin de Patrick. Et quel engin !!

Patrick introduit ses doigts dans mon trou et y dispose quelques morceaux de beurre. Il lubrifie son sexe qui n’a pas débandé et se présente à ma porte. Je le sens qui force le passage. Il pousse et je sens son gland me pénétrer, doucement, mais sûrement. Une chaleur m’envahit. J’ai le cul en feu. Patrick ne bouge plus quelques instants et, dès que je me détends, reprend sa progression. Je sens chaque millimètre de sa bite me pénétrer. Il m’écartèle la rondelle. Il se sert contre moi. Je sens son souffle sur ma nuque. Son torse chaud et imberbe caresse contre mon dos. Ses bras musclés et ses mains remontent sur mon torse. Il reste ainsi quelques secondes avant de commencer un lent va-et-vient. Je me détends encore. Je sens ses lourdes bourses taper contre mes cuisses. Il met une main sur ma bouche pour m’éviter de crier. Il accélère le mouvement. Je sens sa sueur couler dans mon dos. Puis, il s’enfonce à fond. Il se cramponne à moi et je sens mon cul se remplir d’un liquide épais et chaud. Nous restons ainsi quelques instants avant que Patrick ne se retire. Il me fait une petite tape sur la fesse et me souhaite une bonne nuit en précisant de ne pas trop rêver à ses 23 centimètres. Son sperme coule sur le sol.

J’efface toutes les traces avant de me coucher.

Après une courte, mais très bonne nuit, je me lève heureux et satisfait. Je retrouve mes camarades dans la cuisine pour le petit déjeuner.  Patrick est là, en short de sport blanc. Il m’ignore et ne m’adresse pas la parole. Je ne comprends pas, mais je ne peux rien dire. À l’époque, l’homosexualité n’est pas tolérée dans l’armée. Deux jours après, Patrick et Olivier rentrent chez eux, libérés de leurs obligations militaires.

J’apprends plus tard, par Olivier, que Patrick avait une copine ; il s’est marié peu de temps après son retour. Olivier rajoute : « je ne sais pas pourquoi, mais Patrick veut oublier cette période et ne veut plus voir personne. Tu aurais une idée ?  » Je réponds que je ne sais pas...

 

À la faveur d’une demande de volontariat, j’ai postulé pour intégrer une unité constituée dans le but d’effectuer une mission de quatre mois sur un théâtre d’opération extérieur. C’est une première. C’est la première fois que la gendarmerie participe à ce genre de mission en envoyant des appelés du contingent. La seule condition est d’être agréé pour intégrer une école sous-officier à l’issue de son service militaire. C’est mon cas. Je suis muté en région parisienne en tant que volontaire service long. Je rempile pour six mois de plus.

Les hommes du rang sont des gendarmes auxiliaires comme moi. L’encadrement est composé de sous-officiers et officiers d’active. Les quatre premiers mois sont consacrés exclusivement à la formation militaire.

J’ai vingt ans depuis une semaine lorsque nous partons pour un pays de l’Est du bassin méditerranéen. Avec mon peloton, nous sommes chargés de la sécurité du consulat de France. Nous sommes déployés dans le cadre d’une force multinationale.

Au bout de deux mois, les forces françaises sont les dernières à quitter la capitale de ce pays. La force multinationale est dissoute. Toutes les autres troupes étrangères sont déjà parties. Nous devons rentrer. Le bilan humain n’est que de trois blessés légers pour notre unité. Nous sommes relevés par un escadron de gendarmerie mobile. Pour eux, le bilan sera plus lourd puisqu’ils compteront deux morts.

Nous réintégrons notre caserne en région parisienne.

 

*

 

 14/ Exhibition et Voyeurisme à la caserne

 

 À la caserne, nous sommes douze par chambre, avec des lits superposés. À notre retour de permissions, il reste environ un mois avant le départ en école sous-officier. Nous bénéficions d’une semaine de permissions et rejoignons tous nos familles. À la fin de cette semaine de congés, j’arrive assez tôt la caserne. Ma chambre est déserte au début et se remplie au fur et à mesure des arrivées.

Je suis déjà au lit lorsque mes deux voisins de lits d’en face arrivent. Ce sont les derniers de la chambrée. Ils se mettent rapidement en slip et se couchent. L’un d’eux fait ma taille, typé asiatique, mon âge. Il a le lit du bas. L’autre, Alexandre, est plus petit (taille limite réglementaire), brun, poilu et plus âgé. Hétéro, il est marié et père d’une petite fille. Depuis le début, tous les mecs sont admiratifs de la taille de son sexe. Alors que nous ne l’avons vu qu’au repos, il a une vraie bite de cheval, accentuée par sa petite taille.

Avec les allées et venues et la lumière qui s’allume constamment dans le couloir, je ne dors pas encore. Lorsqu’il fait noir, j’entends Alexandre et son voisin de lit chuchoter. Quand la lumière s’allume à nouveau, quelle vision !! Alexandre se tient debout, de profil, en face de moi. Notre camarade, qui est assis sur son lit du dessous, lui suce la bite. Rapidement, ils se séparent et chacun se recouche. Mais c’est trop tard, je les ai vus !

Même si je n’en vois pas les détails avec la pénombre, quelle bite ! Déjà au repos, c'est impressionnant, mais là ! Elle paraît vraiment démesurée.

Instantanément, ma bite gonfle et se redresse. Je la prends en main et me caresse doucement. Alexandre l’avoue facilement : il est accro au sexe. C’en est presque maladif. Passé un certain point d’excitation ou d’envie, il se fout de savoir où et avec qui il se trouve. S’il a envie de se vider les couilles, il le fait.

Je caresse lentement ma bite d’une main, alors que de l’autre, je malaxe mes burnes, sans oublier de passer un doigt sur ma rondelle. La lumière s’éteint et les murmures reprennent à nouveaux. Les lits superposés grincent un peu. Puis, j’entends un « Ohh oui !!! » en sourdine, mais assez distinct. Ils insistent et remettent ça. J’en suis persuadé. J’augmente la pression sur ma queue. La lumière du couloir s’allume encore. Bingo ! J’avais raison !

Mais, cette fois, ils continuent au risque que la porte ne s’ouvre. Je suis aux premières loges avec un très bon angle de vue. Ils sont de profil. Alexandre a retiré son slip et se fait caresser les fesses. Son énorme bite va et vient dans la bouche de notre camarade du dessous. Alexandre lui tient la tête d’une main. Ce doit être un spécialiste des gorges profondes, car il le prend très bien. La lumière n’est pas encore éteinte que je vois Alexandre se crisper, se cramponner d’une main à son lit et, de l’autre, maintient la tête de notre camarade, sa bite bien enfoncée dans sa bouche. Alexandre gémit, immédiatement suivi du second qui ne cherche visiblement pas à se libérer. Je peux l’entendre déglutir. Alexandre jouit dans sa bouche et il avale tout !

La lumière s’éteint à nouveau. Je ne tiens plus et j’évacue une bonne dose de foutre sur mon torse. Je ramasse ce que je peux avec mes doigts que je lèche dans le noir. J’espère pouvoir assister à une nouvelle scène de ce genre. Et, pourquoi pas, me joindre à eux. Malheureusement, ils se feront beaucoup plus discrets par la suite et, de toute façon, nous allons bientôt tous être éparpillés dans les différentes écoles sous-officiers. 

 

 

Bien évidemment, je ne suis pas le seul à assister à la scène. Si je ne parle de rien, des bruits courent rapidement entre les appelés...

Après une semaine, nous bénéficions d’une nouvelle permission, la dernière avant de revenir pour deux jours, finir notre service et rendre le paquetage. Je repars chez mes parents.

 

*


 15/ Quand tu rates ton train :


Je suis en permissions dans ma famille, en Normandie. Je dois reprendre le train pour retourner à la caserne pour mes deux derniers jours de service militaire. Ensuite, je pars directement vers Strasbourg rejoindre l’école sous-officier en Allemagne. Mon grand frère doit me déposer à la gare. Nous sommes en retard. Je vais louper mon train. Enfin, nous partons, la circulation est dense et ce qui devait arriver, arriva. Lorsque j’arrive sur le quai – avec mon frère qui, heureusement, m’accompagne – je vois mon train partir.

Normalement, une fois à Paris, j’ai 30 minutes de battement sur place avant de reprendre le dernier train en direction de la garnison. Mon frère, se sentant fautif, me dit de monter dans la voiture et nous voilà partis immédiatement sur Paris, qui se trouve à un peu plus de cent kilomètres. Nous sommes dimanche soir et, bien évidemment, il y a de la circulation. Je vois l’heure tourner et nous n’avançons pas beaucoup. Nous arrivons à la gare de Lyon à Paris après le départ du dernier train. Mon frère rentre et me laisse là. Je prendrai le premier train demain matin. Il pleut et il fait froid. Je tourne un peu dans la gare et je retrouve un camarade qui se trouve dans la même situation que moi.

Mon camarade est brun, un peu grassouillet alors que je suis blond, musclé, fin et sec. Nous nous installons dans un coin de la gare et nous nous préparons à passer la nuit sur place, mais la police passe pour évacuer les lieux avant la fermeture de la gare. Nous sommes contraints de sortir. Nous nous abritons sous un abribus quand un homme nous aborde.

Il est grand, noir, la trentaine et très avenant. Il nous indique qu’il attendait deux amis qui ne sont pas venus, il habite juste à côté de la gare et se propose de nous héberger pour la nuit, vu le temps et le froid. Il ne nous faut pas longtemps pour accepter. Je ne me voyais pas passer la nuit dehors sous la pluie et je n’ai pas assez d’argent sur moi pour payer une chambre d’hôtel. Nous le suivons jusque chez lui.

Effectivement, il n’est pas loin. Nous nous mettons à l’aise pendant qu’il nous prépare une boisson chaude. Il nous installe dans le salon dans lequel je peux voir tout un tas de photos accrochées au mur. Ce sont des danseurs entourant une artiste très connue de l’époque et malheureusement décédée aujourd’hui. Lorsqu’il revient, il est en t-shirt et caleçon. Un canon ! Des jambes et des bras musclés, un ventre plat, l'ensemble est parfaitement proportionné. Malgré mes tentatives furtives, je n’arrive pas à discerner ce qu’il cache sous son caleçon. J’apprécie énormément sa plastique, mais je dois faire beaucoup d’effort pour le cacher à mon camarade. 

    C’est là que je remarque que notre hôte est sur toutes les photos accrochées au mur. J’engage la conversation sur le sujet en buvant notre boisson. Il n’est pas loin de quatre heures du matin. Le premier train est à 06 heures 15. D’un coup mon camarade se lève et demande où nous allons dormir. Il se sent très fatigué. Notre beau danseur nous indique alors qu’un d’entre nous dormira sur un matelas à côté du lit et que l’autre partagera le lit avec lui. Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que mon camarade réagit : « je prends le matelas ! »

Nous nous couchons en sous-vêtement. Je me dépêche de me glisser sous les draps, car je suis déjà en érection et mon slip a du mal à tout contenir. À vrai dire, mon gland dépasse de la ceinture de mon slip. Mon camarade est couché sur un matelas juste de l’autre côté du lit. Notre hôte nous rejoint, se couche, éteint la lumière et s’installe dans son lit, à côté de moi, ou plutôt, à moitié sur moi….. Tout son côté gauche est sur moi. Mon bras droit se retrouve coincé sous son corps et je ne peux pas bouger. Mon cœur bat la chamade. J’ai l’impression qu’il s’emballe. Je ne dis rien et j’attends. Je n’ose pas !

Je sens, par-dessus les draps, une main se poser sur ma cuisse. Très doucement, cette main remonte. J’ai l’impression que cela prend une éternité. Puis, il arrive au niveau de mon sexe. La main se pose sur mon sexe et mes couilles. Il constate aussitôt mon état d’excitation. Il me malaxe les couilles. Il souffle un peu fort, lui aussi est excité. Il tourne la tête et me dit tout bas dans l’oreille : « Ne t’inquiète pas, ton copain dort déjà….. Il ronfle doucement ! ».

Je tourne ma tête vers lui et nous nous retrouvons bouche contre bouche. Nos langues se cherchent et se trouvent. Il se tourne en libérant mon bras droit. Nous nous enlaçons aussitôt et l’une de mes mains part à la conquête de son entre-jambe. En passant, je caresse ses fesses. Elles sont bien rondes et fermes. Je glisse mes doigts dans son caleçon. Je ne suis pas déçu !! Catégorie TTBM !! J'attrape son sexe bien raide. J’ai du mal à en faire le tour. Je le caresse, lui prends les couilles et me retourne. Lui, baisse mon slip pour avoir accès à mes couilles, ma bite et mon trou du cul. Je présente mes fesses face à son gros manche que je tiens toujours. Je ne veux pas le lâcher, de peur de le perdre. Je place son gland contre mon trou. Je fais des petits mouvements avec mes fesses. Je veux qu’il me prenne là ! Maintenant !

Il a bien compris le message et se retourne pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit. Mes yeux se sont habitués à l’obscurité et j’arrive à tout distinguer. Il prend du gel, en met sur ma rondelle et son sexe. Nous sommes allongés sur le côté et je le sens qui entre. Cette fois, ça rentre tout seul. Cette bite n’a rien à envier à celle de Patrick (que je n’ai pas oublié), même plus imposante encore. Le gel aidant, je la sens me fendre sans douleur. Je crois bien que j’ai fait les quatre coins du lit. Il m’a limé pendant un temps admirablement long et dans toutes les positions. Il jouit en premier. Je suis sur le dos, au milieu du lit, les jambes en l’air. Lui est debout, sa bite me perforant de tout son long quand il lâche la purée tout au fond. Nous nous retenons de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller mon camarade, mais franchement, là, j’en ai, et depuis un moment, plus rien à faire. Le plaisir est beaucoup plus important !

Après un petit instant, mon étalon se retire et s’absente en me demandant de l’attendre. Il veut me faire jouir à son tour. Avec du mal, je réussis à résister à l’envie de me finir pour dormir un peu. Je ne sais pas l’heure qu’il est. Je le vois revenir et se présenter à moi, nu, avec la bite à demi bandée et encore imposante. Il se met de côté et descend son visage vers ma bite toujours bien raide. Il embrasse mon gland mouillé. Tourne sa langue et descend pour la prendre en entier. Avec une telle excitation et après un tel traitement, je ne tiens pas longtemps. En effet, je finis par envoyer de gros jets de sperme dans sa gorge. Je sens que ça n’arrête pas. Je n'ai jamais autant craché. Je sens que c’est bien épais, consistant. Il lâche ma bite et me regarde tout en avalant mon sperme. Cette vue motivera quelques séances de branles à la caserne pour les semaines à venir….

J’en veux encore !

Je me retourne et grimpe sur lui. J’aperçois mon camarade qui dort à côté. Je roule une pelle à mon danseur et descend à mon tour tout en le léchant. J’arrive au niveau de son membre qui a retrouvé sa forme. Je passe ma langue tout autour de son gland. Je lèche sa bite sur toute la longueur. Je ne veux pas rater un millimètre. Je prends ses grosses couilles une à une dans ma bouche. Je joue avec ma langue. Je remonte et prends son sexe à pleine bouche….. Enfin, ce que je peux. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge et la ressort. À chaque fois, j'essaie de la prendre plus profond. Il me tient la tête et appuie quand je sens un liquide chaud et épais envahir ma bouche. Il se crispe et gémit. À mon tour, j’avale son jus….

Ce sera mon petit-déjeuner, car aussitôt, le réveil sonne. Nous nous précipitons pour remettre nos sous-vêtements. Nous avons vingt minutes pour prendre notre train. Ainsi, quand mon collègue ouvre un œil, nous venons officiellement de nous lever après une courte nuit de sommeil.

Nous nous habillons puis nous prenons congé de notre hôte. Je n’ai pas eu le temps de lui demander ses coordonnées. Je ne sais même pas comment il s’appelle. Nous sautons dans notre train et arrivons juste à l’heure pour le rapport. Je n’ai jamais su si mon camarade avait vu ou entendu quelque chose. La journée à été très longue mais le souvenir de cette nuit m’a aidé à tenir.



Après avoir rendu notre paquetage, nous sommes libérés de nos obligations militaires, mais, comme nous sommes tous admis en école sous-officiers, nous rejoignons Paris et nous dispersons en fonction de nos affectations en école. Nous nous retrouvons une petite trentaine à prendre le train pour Strasbourg.

Je me retrouve assis en face de mon camarade Alexandre dont j’ai pu admirer le profil avantageux, surtout quand il se fait pomper le manche. Un mec, qui n’était pas de notre chambrée, revient sur l’épisode de la pipe et lui demande si cela s’est réellement passé. Notre camarade confirme tout en précisant qu’il espère que cela n’aura pas de suite, ni de conséquences. Il explique qu’il a fini par céder aux avances de l’autre collègue, car il était en manque de sexe et que l’autre se proposait avec insistance. Depuis, il ne le lâche plus et l’a même relancé pendant les vacances. Enfin, Alexandre est soulagé de savoir qu’ils ne sont pas dans la même école. Personne ne semble offusqué et la discussion bifurque sur un autre sujet. Moi qui commençais à me dire que j’avais peut-être mes chances de me taper Alexandre, ça sent le roussi. En plus, il y a tout ce qu’il faut à Berlin pour se vider les couilles. Alexandre ne devrait pas être en manque trop longtemps. 

Deux semaines après notre arrivée, Alexandre est convoqué chez le commandant de l’école. Ce dernier vient de recevoir un appel téléphonique du Ministre de la Défense en personne. Le contrat d’Alexandre est résilié avec effet immédiat. Il a deux heures pour faire ses bagages avant de prendre un avion pour Paris, payé par l’Armée.

Entre deux cours, il vient nous dire au revoir rapidement. Il nous raconte qu’en fait, le mec qui l’a sucé pendant le service militaire n’est autre que le neveu d’un autre ministre en exercice. Alexandre ayant mis fin à leur relation, celui-ci a tout raconté à son oncle. Résultat, ils sont virés tous les deux, officiellement pour avoir eu des relations homosexuelles au sein de l’institution.

Je ne dis rien, mais je n’en mène pas large. Et si mon camarade me dénonce, après la nuit que nous avons passée à Paris chez ce beau danseur black ? Ce serait la fin de mon contrat et, à coup sûr, le renvoi de chez mes parents.

Après quatre mois, nous bénéficions d’une permissions. Je rentre chez moi. 



*



16/ Centre-ville


Je suis en permissions chez mes parents en Normandie. Célibataire, il m’arrive souvent de sortir seul pour faire les magasins ou aller au cinéma. Nous sommes en semaine. Ce soir-là, je suis au cinéma situé rive droite et, n’ayant pas de voiture, je rentre chez mes parents à pied.

C’est l’été. La température est encore agréable vers 23 heures. Je marche tranquillement, sans me presser. Il n’y a plus personne dans les rues. Je passe le pont et continue tout droit. Je suis sur une avenue assez large, au niveau d’un immeuble résidentiel, lorsque j’entends quelqu’un siffler avec insistance derrière moi. Je me retourne et j’aperçois, sur le trottoir opposé, un jeune homme qui me fait de grands signes. Il est arrêté à l’entrée d’une résidence et ne semble pas vouloir avancer plus. Je ne me pose aucune question et je fais demi-tour pour aller à sa rencontre. On verra bien.

Je traverse l’avenue et arrive à sa hauteur. Je suis accueilli par un garçon très souriant, visiblement heureux de voir que j’ai répondu à son appel. Brun, ma taille, mince, peut-être un peu plus jeune que moi. Nous nous saluons. Aussitôt, il porte l’une de ses mains au niveau de son sexe et me demande :


« Lui :  ça te dit ? 

Moi : Je ne dis jamais non... (en passant ma langue sur mes lèvres et fixant son jeans).

Lui : Suis moi ! »


Nous marchons l’un à côté de l’autre, dans notre direction initiale, pendant plusieurs minutes. J’apprends qu’il m’a repéré au cinéma. Nous avons vu le même film. Il n’a pas osé m’approcher tout de suite, car j’étais placé au milieu de la salle. Par contre, il a été agréablement surpris de voir que nous prenions la même direction en sortant du cinéma. Il est donc resté en arrière pendant un bon moment. Après le pont, voyant que je prenais la même direction que lui, il s’est décidé à m’appeler.

Après la résidence, il y a un grand bâtiment municipal avec un petit parc public. Nous nous y rendons. Mon inconnu cherche un bosquet. Le troisième est le bon. Il me fait signe de le suivre.

Aussitôt entré, il se jette sur moi et m’enlace, me caresse au travers de mes vêtements légers. J’en fais de même. Il dégrafe rapidement mon pantalon et prend mes couilles à pleine main. Je bande raide comme jamais. En fait, je bande depuis que je suis allé à sa rencontre. Je caresse ses fesses et essaye de passer devant, pour prendre sa bite à mon tour. Il me retient et remet ma main sur ses fesses qu’il cambre. Pendant qu’il malaxe mes couilles et ma bite, je glisse mes doigts dans sa raie. Je trouve son anus. Il gémit un peu et s’offre encore plus. Il veut que je le prenne ! Moi qui ne suis que passif…

Nous restons debout. Nous retirons nos pantalons et ne gardons que le haut. La situation m’excite au plus haut point. Je vais le prendre… ici, dehors, en pleine ville ! Ma bite est raide comme elle n’a jamais été. Il se penche sur elle et l’avale. Il gobe mon gland. Je sens qu’il bave beaucoup. Nous n’avons pas de gel (pas de capote non plus), la salive fera l’affaire. Puis, il se redresse et se retourne. Debout, il me présente son cul et se penche en avant. Il écarte les jambes, prend ses fesses à deux mains et s’offre en me demandant de l’enculer.

Je prends ma bite bien raide et la présente devant son trou. Il s’ouvre. Je pousse et mon gland entre. C’est chaud. C’est doux et ferme en même temps. Il gémit et me dit d’aller plus loin. Je m’enfonce doucement. C’est une première pour moi ! C’est le premier mec que j’encule. D’habitude, c’est moi qui prends ! Je commence mes va-et-vient lentement. Son anus se détend. Je m’enfonce encore. J’aime beaucoup cette sensation de douce pression et de chaleur sur ma bite. Il se cramponne à une branche de l’arbuste. Maintenant, je sens mes couilles battre sur ses fesses. J’accélère. Il gémit de plus en plus en faisant attention d’étouffer le son.

D’un coup, nous arrêtons tout. Restons immobiles et retenons notre souffle. Je suis bien au fond de lui pendant qu’un véhicule de police passe à quelques mètres, juste devant nous, dans la rue transversale. Nous voyons la voiture tourner et s’éloigner. Ils ne nous ont pas vus….

Je reprends mes mouvements. Je le tiens par les hanches. L’excitation est à son comble. Je me cramponne à lui. Je le plaque tout contre moi. Je le préviens que je vais jouir et lui me répond de le remplir…. Ma bite est bien à fond dedans quand je lâche la purée. Je ne peux m’empêcher de crier. Lui aussi. J’envoie plusieurs jets de sperme au fond de son trou. Je me colle à lui avant de me retirer après quelques secondes. Il se retourne et s’accroupit. Il prend ma bite dans sa bouche et me nettoie. Nous nous rhabillons et nous séparons après un merci mutuel.

Depuis, lorsque je vais au cinéma, je me place au fond de la salle. On ne sait jamais...



Suite aux évènements survenus au début de la formation avec Alexandre, je ne fais pas parler de moi de tout le stage. J’évite la boîte gay qui se trouve à proximité de la caserne, car l’entrée de celle-ci est surveillée de l’ouverture à la fermeture. Si un militaire entre, il est renvoyé dès le lendemain.

À l’époque, le mur n’est pas encore tombé. Je suis toujours, officiellement, hétéro. Alors, pour faire « bonne figure », je fréquente un club dans lequel certains copains vont aussi pour se vider les couilles.



*


 

17/ Sortie de fin d’école sous-off


J’ai eu la chance de faire mon école sous-officier à l’étranger, en Allemagne, Berlin plus précisément. La formation dure 10 mois. La tradition veut que chaque fin de stage soit marquée par une journée « détente » avec après midi récréative suivie d’un dîner dans un restaurant chic, avant de finir dans le club (bordel) où je vais régulièrement. Théoriquement, il est privatisé pour l’occasion.

À force d’aller dans ce club pour hétéro, j’ai mes petites habitudes et je ne vais qu’avec une seule fille. Elle a vite compris ce qui me plaît. Pendant nos ébats, elle me doigte le cul et c’est un bon moyen pour que je jouisse avec elle.

Pour en revenir à cette soirée, à la grande surprise de nos cadres, il y a un raté et nous ne sommes pas les seuls clients. Cela fait beaucoup de monde et les filles n’arrêtent pas. Avec deux ou trois copains, nous prenons une table juste devant la scène. Ainsi, nous ne manquerons rien du spectacle. Plusieurs filles font leur show : bof !

Vient le tour de celle avec qui j’ai l’habitude d’aller. Elle est brune, dans nos âges, typée asiatique. Elle a besoin d’un partenaire et sollicite les clients pour monter sur scène avec elle. Personne ne se bouscule, certainement intimidés par le monde dans la salle. Elle finit par me demander de venir et, alors que je m’apprête à y aller, la patronne fait signe que non. Elle ne veut pas que ce soit moi, car nous couchons ensemble régulièrement. Je me rassois et c’est un de mes potes qui se lève et monte sur scène. Je vous passe les détails, mais il finit à poil, bandant comme un taureau et la bite dans la bouche de la fille. Lui est bien foutu, roux, une longue bite, très longue, pas très épaisse, montée sur des petites couilles poilues.

Je ne rate rien du spectacle et je me sens à l’étroit dans mon jeans. Elle me regarde dès qu’elle le peut. Le show se termine lorsqu’il jouit dans sa bouche. Elle se tourne alors vers le public et montre comment elle joue avec le sperme de mon pote avant de le cracher dans un verre. En le faisant, elle me regarde avec un petit sourire auquel je réponds. Il se rhabille et nous rejoint à la table en me disant qu’il comprenait pourquoi j’allais toujours avec elle. Elle sort de scène et disparaît pour réapparaître quelques minutes plus tard.

Elle est complètement nue, alors que, d’habitude, les filles se rhabillent entre chaque passe pour revenir en salle. Elle traverse la salle et se dirige directement vers moi. Tout le monde la suit du regard. Elle pousse un copain pour passer et vient s’asseoir sur moi, face à moi. Elle me prend la tête et me roule une pelle alors que tout le monde nous regarde. Je sens le goût du sperme. Elle ne s’est pas rincée la bouche. J’ai le goût du sperme de mon pote. Je rebande aussi sec. Le spectacle n’est plus sur scène, mais à ma table. Je commence à la caresser. Elle aussi. Elle me malaxe le paquet et, sentant que je suis en forme, me dit que l’on doit aller dans une chambre. La patronne ne veut pas que l’on fasse ça ici. Elle se lève, me prend la main et m’entraîne vers les chambres. Elles sont toutes prises et il y a même une file d’attente. Quatre de mes collègues sont là aussi, avec trois filles. La plus grande chambre se libère. Le lit est immense et les filles nous proposent d’y aller tous ensemble en même temps. Un rapide coup d’œil aux copains et c’est ok. On y va !

Une fois entrés, tout le monde se dessape et va directement sur le lit. Au début, chaque couple et le trio prend une partie du lit et s’occupe dans son coin. Mais rapidement, tout le monde se mélange tant et si bien qu’on ne sait plus qui fait quoi. Alors que j’ai dans mon champ de vision les quatre filles, je sens une main se saisir de ma queue et de mes couilles. Ce n'est pas possible ! C’est obligatoirement un de mes potes. Le problème est que je ne sais pas lequel. Il me malaxe et me branle un peu avant de lâcher et passer à autre chose. Je ne suis pas en reste pour en faire autant. Un peu plus tard, je me retrouve avec une bite au-dessus de ma tête, à portée de langue. C’est si gentiment proposé que je ne résiste pas. Je gobe le gland mis à ma disposition et le suce jusqu’à ce que le mec bouge et se retire. Je passe sur les mains au cul, des mains plutôt viriles. Alors que je pénètre la fille avec qui je suis venu, je sens même un doigt insistant sur ma rondelle. Comme elles ont toutes les ongles longs, je sens bien que c’est l’un de mes potes. Je le sens tout contre mon trou. Il le caresse et je m’ouvre. Malheureusement, il arrête avant d’entrer. Nous finissons les cinq mecs allongés, serrés les uns contre les autres avec les quatre filles qui nous branlent. On se regarde tous et on ne peut pas s’empêcher d’éclater de rire. Les filles nous engueulent, car ça nous fait débander. On se reprend et on se concentre. Lorsqu’elles sentent qu’on est prêt à balancer la sauce, elles nous prennent en bouche pour recevoir le sperme avant de recracher dans l’évier de la salle de bain.

Au fur et à mesure, la chambre se vide. Je suis le dernier à jouir. Ma « copine » prend mon sperme et, au lieu d’aller le cracher, remonte vers mon visage et me roule un patin. Je récupère mon sperme et nous jouons avec un bon moment avant d’avaler. On se rhabille et libérons la chambre.

La soirée ne fait que commencer...



À ma sortie d’école, je suis affecté en Gendarmerie Mobile, en Lorraine, dans le trou du cul du monde (chaque région en a un !). La caserne est vieille. J’ai la chance d’obtenir un logement dans un pavillon avec jardin. C’est un ancien logement « officier » déclassé et j’ai la chance d’avoir un cumulus produisant de l’eau chaude. Cependant, il n’y a pas de salle de bain. Dans l’entrée, une extension en bois a été construite. J’y dispose de toilettes et d’une douche. Mais il n’y a pas de chauffage. Je me chauffe avec un poêle à charbon. Les autres « bénéficient » de cabines de douches situées tout au fond de la caserne qui est l’une des plus grandes, en superficie, de France. L’hiver, je dois casser la glace dans les toilettes. Dans le village dans lequel nous sommes, il n’y a qu’un seul bar. Celui-ci nous est interdit ! Bref, ce n'est pas la joie et, j’ai envie de faire demi-tour dès que j’aperçois la caserne pour la première fois.

Les gradés sont à l’image des bâtiments. Heureusement, je me fais quelques amis parmi mes collègues. Un tuteur m’est attribué. Philippe est jeune, deux ans de plus que moi, déjà de carrière et marié à Sophie depuis peu. Nous nous entendons tout de suite très bien. Notre unité n’assure que des déplacements sur Paris : soit de la garde d’ambassades ou le Palais de Justice.

Bon, j’ai quand même mon premier chez-moi et je me dois de fêter ça. Pour un week-end, j’invite mon copain, Olivier, du service militaire et les deux copains qui me restent du lycée.

Avec Olivier, nous sommes comme des frères maintenant. On se voit dès que possible et les nombreux déplacements sur Paris le favorisent. Ses parents m’ont adopté et je squatte souvent chez eux mes jours de repos. Lorsque je dors chez eux, c’est dans la chambre de mon pote. On se branle quelques fois en même temps, mais on ne touche pas la bite de l’autre. Sauf une fois, mais il ne m’a pas laissé aller jusqu’au bout et nous étions alcoolisés.

Bref, le week-end se passe super bien, on s’amuse et on boit beaucoup. Dans la soirée, alors que nous étions dans le jardin, Olivier m’attrape par la taille et va pour m’embrasser sur la joue. Au même moment, je tourne la tête et nos lèvres se rencontrent. Les deux autres copains nous chambrent et parient que nous ne serions pas capables de recommencer, volontairement cette fois. Olivier, alcoolisé, leur répond qu’on l’a déjà fait et, joignant le geste à la parole, prend ma tête entre ses mains et m’embrasse à pleine bouche, avec la langue. Ça, c’est une première avec Olivier ! Après quelques secondes, nous nous séparons en riant. Nous avons gagné notre pari. Nous en restons là et le week-end se termine avec le départ de tous mes invités, le dimanche midi.

Quelque temps après, je reçois une lettre de mes parents. Elle est signée de ma mère et de mon père. En gros, ils ont appris que j'ai roulé une pelle à mon meilleur copain devant mes anciens amis de lycée. L’ultimatum et le suivant : « Si tu es PD, ce n’est pas la peine de revenir à la maison ! Et si c’est le cas, nous te dénoncerons à ta hiérarchie ! »

Étrangement, aucun de mes amis du lycée ne me répond. Et bien, soit ! Je ne donne plus de nouvelles et je ne vais plus en Normandie ! Quant à ma hiérarchie, on verra le moment venu !

Quelques mois après mon arrivée, il est question de dissoudre l’unité. La caserne doit être rasée et refaite à neuf. Ceux qui veulent rester en Lorraine le peuvent, les autres partiront en Rhône-Alpes, dans des locaux neufs. En attendant, nous avons, enfin, l’autorisation de souscrire à un abonnement téléphonique à titre individuel. Jusque-là, nous devions passer par le standard de la caserne.

Bien évidemment, je saute sur l’occasion et j’en profite pour prendre un minitel. Cette formidable invention permet le démarrage des applications de rencontre. Hasardeuses, c’est la loterie. Il n’y a aucune possibilité d’échanger des photos. Quand on ne se fait pas poser un lapin, soit le mec correspond à la description donnée, soit c’est tout l’inverse et on rentre bredouille. Mais parfois, on a de très bonnes surprises...


Rendez-vous pour la suite le dimanche 12 mai...

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