16/ Centre-ville

 Nous sommes en 1985. Je suis en permissions chez mes parents en Normandie. Célibataire, il m’arrive souvent de sortir seul pour faire les magasins ou aller au cinéma. Nous sommes en semaine. Ce soir-là, je suis au cinéma situé rive droite et, n’ayant pas de voiture, je rentre chez mes parents à pied.

C’est l’été. La température est encore agréable vers 23 heures. Je marche tranquillement, sans me presser. Il n’y a plus personne dans les rues. Je passe le pont et continue tout droit. Je suis sur une avenue assez large, au niveau d’un immeuble résidentiel, lorsque j’entends quelqu’un siffler avec insistance derrière moi. Je me retourne et j’aperçois, sur le trottoir opposé, un jeune homme qui me fait de grands signes. Il est arrêté à l’entrée d’une résidence et ne semble pas vouloir avancer plus. Je ne me pose aucune question et je fais demi-tour pour aller à sa rencontre. On verra bien.

Je traverse l’avenue et arrive à sa hauteur. Je suis accueilli par un garçon très souriant, visiblement heureux de voir que j’ai répondu à son appel. Brun, ma taille, mince, peut-être un peu plus jeune que moi. Nous nous saluons. Aussitôt, il porte l’une de ses mains au niveau de son sexe et me demande :


« Lui :  ça te dit ? 

Moi : Je ne dis jamais non... (en passant ma langue sur mes lèvres et fixant son jeans).

Lui : Suis moi ! »


Nous marchons l’un à côté de l’autre, dans notre direction initiale, pendant plusieurs minutes. J’apprends qu’il m’a repéré au cinéma. Nous avons vu le même film. Il n’a pas osé m’approcher tout de suite, car j’étais placé au milieu de la salle. Par contre, il a été agréablement surpris de voir que nous prenions la même direction en sortant du cinéma. Il est donc resté en arrière pendant un bon moment. Après le pont, voyant que je prenais la même direction que lui, il s’est décidé à m’appeler.

Après la résidence, il y a un grand bâtiment municipal avec un petit parc public. Nous nous y rendons. Mon inconnu cherche un bosquet. Le troisième est le bon. Il me fait signe de le suivre.

Aussitôt entré, il se jette sur moi et m’enlace, me caresse au travers de mes vêtements légers. J’en fais de même. Il dégrafe rapidement mon pantalon et prend mes couilles à pleine main. Je bande raide comme jamais. En fait, je bande depuis que je suis allé à sa rencontre. Je caresse ses fesses et essaye de passer devant, pour prendre sa bite à mon tour. Il me retient et remet ma main sur ses fesses qu’il cambre. Pendant qu’il malaxe mes couilles et ma bite, je glisse mes doigts dans sa raie. Je trouve son anus. Il gémit un peu et s’offre encore plus. Il veut que je le prenne ! Moi qui ne suis que passif…

Nous restons debout. Nous retirons nos pantalons et ne gardons que le haut. La situation m’excite au plus haut point. Je vais le prendre… ici, dehors, en pleine ville ! Ma bite est raide comme elle n’a jamais été. Il se penche sur elle et l’avale. Il gobe mon gland. Je sens qu’il bave beaucoup. Nous n’avons pas de gel (pas de capote non plus), la salive fera l’affaire. Puis, il se redresse et se retourne. Debout, il me présente son cul et se penche en avant. Il écarte les jambes, prend ses fesses à deux mains et s’offre en me demandant de l’enculer.

Je prends ma bite bien raide et la présente devant son trou. Il s’ouvre. Je pousse et mon gland entre. C’est chaud. C’est doux et ferme en même temps. Il gémit et me dit d’aller plus loin. Je m’enfonce doucement. C’est une première pour moi ! C’est le premier mec que j’encule. D’habitude, c’est moi qui prends ! Je commence mes va-et-vient lentement. Son anus se détend. Je m’enfonce encore. J’aime beaucoup cette sensation de douce pression et de chaleur sur ma bite. Il se cramponne à une branche de l’arbuste. Maintenant, je sens mes couilles battre sur ses fesses. J’accélère. Il gémit de plus en plus en faisant attention d’étouffer le son.

D’un coup, nous arrêtons tout. Restons immobiles et retenons notre souffle. Je suis bien au fond de lui pendant qu’un véhicule de police passe à quelques mètres, juste devant nous, dans la rue transversale. Nous voyons la voiture tourner et s’éloigner. Ils ne nous ont pas vus….

Je reprends mes mouvements. Je le tiens par les hanches. L’excitation est à son comble. Je me cramponne à lui. Je le plaque tout contre moi. Je le préviens que je vais jouir et lui me répond de le remplir…. Ma bite est bien à fond dedans quand je lâche la purée. Je ne peux m’empêcher de crier. Lui aussi. J’envoie plusieurs jets de sperme au fond de son trou. Je me colle à lui avant de me retirer après quelques secondes. Il se retourne et s’accroupit. Il prend ma bite dans sa bouche et me nettoie. Nous nous rhabillons et nous séparons après un merci mutuel.

Depuis, lorsque je vais au cinéma, je me place au fond de la salle. On ne sait jamais...


Dune



Le texte complet de la mise à jour est ici.




4 commentaires:

Léo AUREL a dit…

humm superbe histoire très excitante. Merci Dune. Bisous Léo

Anonyme a dit…

Franchement pas prudent sans préservatif ! C'est la roulette russe...

Xersex a dit…

Belle histoire que j'imagine être vraie.

[pas prudent ... mais n'as-tu eu un problème de m***e?

Dunegay a dit…

Merci...
Son trou du cul était nickel. Tout propre
D'ailleurs, moi même, je ne faisais pas de lavement au début, jusqu'au jour où...