33 / Des vacances bien méritées : samedi avec Oliver – 2d round


C’est moi qui donne le départ du second round en disant :


« - Ce gode que tu as ramené Oliver, j’ai bien envie de le tester !

- Oliver : Fais-toi plaisir, quand tu l’auras inséré, je viendrai me mettre à l’autre bout.

- Jack : Ohh, je vais avoir droit à un beau spectacle ! »


Aussitôt, je m’installe sur les matelas. Je me tourne le cul face à mes deux spectateurs et m’enfonce direct trois doigts, afin de voir si le gode pourra passer. Il est plus épais que celui que j’ai chez moi. Une chose est certaine, je ne pourrais pas le plier pour prendre les deux glands en même temps ! Je l’enduis de gel sur un côté, tartine ma rondelle avec le reste de gel sur mes doigts et présente le jouet devant mon trou. Je force à peine et il entre. Jack et Oliver me félicitent. Oliver se lève et me rejoint. Il s’agenouille derrière moi, mais de façon à laisser Jack tout observer. Il prend le double gode et commence à me l’enfoncer en le tournant dans les deux sens. Je le sens bien m’élargir. Je le sens aussi s’enfoncer. Oliver force un peu sur la seconde porte, cela ne passe pas. Il ressort le gode et remet du gel. Puis, il l’enfonce à nouveau au plus loin qu’il peut. Il me lime le cul avec, tout en forçant lorsqu’il arrive au bout. Il continue jusqu’à ce que ma seconde porte cède. Je crie un peu, mais c’est tellement bon. D’autant qu’Oliver ne s’est pas arrêté. Il continue de me limer le cul. Il fait entrer et sortir le gland du gode juste au niveau de mon sphincter interne. Il se dilate. Oliver prévient qu’il va aussi s’installer de l’autre côté du gode. Je l’entends prendre du gel et, quelques secondes plus tard, je sens une poussée à l’intérieur. Le gode remonte encore en moi. Oliver demande à Jack de venir tenir le milieu du gode entre nos deux culs. Jack fait la remarque qu’il apprécie d’être aux premières loges. Oliver s’enfonce à son tour sur le double gode. Il me demande de pousser pour envoyer le gode plus chez lui. Ensuite, c'est lui qui pousse et moi qui reçois. Nous jouons ainsi quelques minutes, mais Jack est très excité et veut jouer aussi maintenant.

Nous lâchons le gode. Jack s’allonge et me demande de le chevaucher face à lui. Ce que je fais aussitôt, sans gel. Mon cul étant largement ouvert. Il me tire en avant et demande à Oliver de venir glisser sa bite dans mon cul. Il bande bien raide, contrairement à moi. J’ai tendance à débander quand on m’encule. Visiblement pas lui. Après avoir mis une nouvelle capote, il entre d’un coup. N’ayant pas mal, je ne crie pas. Je râle de plaisir et leur dit de me défoncer le cul. Ils s’activent et me bourrent sans ménagement. Après plusieurs minutes, ils n’en peuvent plus. Jack m’inonde le cul de son foutre alors qu’Oliver s’est déjà retiré pour se finir en se branlant au-dessus de moi. Il m’arrose le dos en évitant le visage de Jack. Une nouvelle fois, je jouis par le cul en criant.

Nous reprenons nos esprits quelques instants et Jack nous dit :


« - J’ai encore envie de jouer. Ça vous dirait que je m’occupe de vos deux trous du cul en même temps ?

- Moi : Tu sais bien que je ne dis pas souvent non.

- Oliver : Moi également Jack.

- Jack : Ok, on fini notre bière et en position ! Vous vous mettez à quatre pattes l’un à côte de l’autre en me présentant votre cul bien ouvert.

- Moi : Bien chef ! (en riant) »


Jack se place derrière nous, au milieu. Oliver ne se doute pas encore de ce qui l’attend, mais j’ai compris. Je demande à Oliver s’il s’est déjà fait fister. Oliver, surpris, me répond que, à sa connaissance, Jack n’a jamais fait ça. Il s’attend à recevoir sa bite ou le gode. Je regarde Oliver avec un petit sourire complice. Il comprend et semble apprécier l’idée.

Jack présente ses mains enduites de gel devant nos trous, et enfonce quatre doigts pour commencer. Il tourne un peu et ressort. Il revient et cette fois, tous les doigts sont présents. Il pousse, nous aussi, et la main entre. Nous émettons un léger son de satisfaction lorsqu’il commence à tourner sa main dans notre anus en même temps. Il tourne et enfonce encore. Nous l’entendons nous dire que l’os de ses poignets est déjà rentré. Même chez moi ! Il tourne encore, mais ne peut plus aller plus loin. Nos prostates sont sollicitées. Oliver et moi jouissons et arrosons le matelas. Heureusement que Jack a mis une protection. Il se retire doucement, se relève et commence à se branler. Nous nous retournons, Oliver et moi, nous nous positionnons la tête sous les couilles de Jack. Jack nous regarde nous rouler une pelle bien baveuse et nous honore d’une quantité de foutre encore impressionnante, que nous nous efforçons de rattraper et d’avaler.

Cette fois, nous sommes vidés. Nous nous réinstallons sur les transats, avec une serviette sous les fesses et reprenons une bière.

Le téléphone sonne. Jack répond et discute un peu. C’est le mec d’Oliver qui veut parler à son homme. Oliver part dans le salon et reprend le combiné. Jack vient s'installer tout près de moi. Il m’embrasse à pleine bouche.


Lorsque nos lèvres se séparent, je commets l’irréparable. Je lui tiens la nuque et je prononce tout bas les mots qu’il ne fallait pas prononcer à son oreille : « Je t’aime ! »

Jack me regarde un instant sans bouger. Des larmes lui montent aux yeux. Je lui caresse le visage. Puis il me répond : « Moi aussi, je t’aime ! » Il s’écroule sur moi. Nous restons ainsi sans rien dire, juste en se caressant doucement.

Oliver revient. Jack se redresse précipitamment et se lève.

Oliver nous dit :


«  - Les gars, j’ai une……..(il nous voit)……. mauvaise nouvelle ! Je ne peux pas rester jusqu’à demain. Il faut que je rentre ! Mon mec à un problème familial et je dois l’accompagner. On part demain à la première heure. Mais avant, j’ai une question à vous poser :


« - Oliver : Je vous ai bien regardé cette après-midi avec vos regards complices et vos petits gestes attentionnés. Il n’y aurait pas autre chose que vous ne m’avez pas dit ?

- Jack : Oui…..(En me serrant la main assez fort)

- Oliver : Tu l’as sucé ! (en parlant de moi) Jusqu’où ?

- Jack : La totale !

- Oliver : Oh merde !... Je suis super heureux pour vous, mais vous vous rendez compte dans quel merdier vous êtes maintenant ? Vous allez faire quoi ? Une relation très longue distance ?

- Moi : J’envisage de revenir et de vivre ici ! Mais ce n'est pas si simple…

- Oliver : Très compliqué même ! Et moi qui dois partir... Je suis désolé. Vous avez jusqu’à demain soir pour trouver une solution et prendre une décision. Ça va être invivable pour vous deux et je vous souhaite à tous les deux bon courage ! Quoi que vous décidiez ! On se rappelle Jack !

- Jack et moi : On va trouver, ne t’inquiète pas. Rentre et ne va pas trop vite, fais attention sur la route. »

Oliver s’habille, nous embrasse et part...


Dune



Le texte complet est ici.

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