7 / Mon dépucelage

Je ne manque jamais une occasion de mater les mecs qui m'entourent, notamment mon professeur de sport. Un rugbyman, dans la trentaine, super bien foutu. J'adore aller à la piscine, mais pour la fin du cours uniquement. Nous sommes entre mecs. Pas de fille, elles ont leur vestiaire à elles qui ne communique pas avec le nôtre. Je me surprends à aimer me balader à poil devant les copains, entre le vestiaire et la douche. Nous sommes très peu à prendre notre douche complètement à poil, beaucoup gardent leur maillot de bain. Je me souviens de mon prof qui n'a, comme beaucoup de sportifs, aucune gêne. Je me régale à le mater sous la douche. Et quand il s'essuie… Difficile de ne pas bander !!! Sa peau est cuivrée, poilu, mais pas trop et brun de la tête aux pieds. Pas très grand et massif. Son sexe semble lourd même si je ne le vois qu’au repos. Le vestiaire est aussi un endroit propice aux jeux entre jeunes adolescents. Certains s'amusent à montrer leur bite ou leur cul en commençant à se caresser devant les copains, avant que le prof n'arrive. Certains se touchent mutuellement. C’est toujours un spectacle que je ne manquerai pour rien au monde. Mais je n’y participe pas, je ne veux pas d’histoires. J’apprécie grandement le fait d’être spectateur. Il n'y a aucune cabine, le pied !!!! Je ne sais pas combien de fois j'ai pu me branler en pensant à ces visions, le soir, une fois seul dans ma chambre.....

Depuis quelque temps, j'agrémente mes séances de branle en me mettant un doigt dans le cul ou un étui à cigare que j'ai réussi à piquer à mon père et à planquer dans ma chambre. Je ne peux plus m'en passer. À chaque branle, il faut que je mette quelque chose dans mon cul. Le temps est venu pour moi de franchir le cap.

Un bon ami de mon père passe régulièrement à la maison. Il est retraité. Il a certainement l'âge d'être le père de mon père. Bien conservé (comme on dit), il porte toujours un jeans plutôt moulant. Il a une jambe raide suite à une blessure de guerre, m'a-t-on expliqué. À l’époque, il lui arrive de passer des journées entières à la maison et il s'occupe de moi après les cours. On fait des jeux, et je lui demande parfois de l'aide pour mes devoirs. Je me rends chez lui tous les mercredi après midi après les cours, mes parents travaillant.

Un jour, alors que nous sommes assis sur le canapé de la maison, je l'entends se plaindre auprès de mon père que sa femme ne veut plus rien faire avec lui alors qu'il aimerait bien. Elle dit qu'elle est trop vieille pour la bagatelle. Je me souviens de la tête de mon père lui faisant signe que j'étais juste à côté de lui....... En même temps, j'avais presque 15 ans !! Bref, la conversation tourne court et passe à autre chose. À un moment, mon père s'absente du salon et je me retrouve seul avec son ami. Je sais que mon père en a pour un bon bout de temps. Je ne sais pas ce qui me prend, mais j'y vais direct. En posant ma main sur sa cuisse et en me tournant vers lui, je glisse à l'oreille de René, l’ami de mon père : « Si tu veux faire des trucs avec moi, je veux bien remplacer ta femme ». Il tourne sa tête et me regarde sans rien dire. En disant cela, je sens la chaleur monter. Je dois être rouge comme une pivoine. Mais je ne me démonte pas, c’est trop tard ! En me tournant, ma main est remontée jusqu'à son entre-jambe et je sens bien que quelque chose se passe dans son jeans. Je pose ma main dessus. Il ne l'enlève pas ?? Je sens sa bite prendre du volume. Nous restons ainsi sans rien dire ni bouger, en nous regardant, pendant quelques secondes qui paraissent interminables. Mon père revient et je retire ma main rapidement. Nous faisons comme si rien ne s'était passé durant tout le reste de la journée.

Le mercredi suivant, comme d'habitude, dès la sortie du collège, je me rends chez l'ami de mon père. Depuis le matin, je suis tout excité à l’idée de passer l’après-midi chez René, d’autant que je sais que sa femme n'est pas là. Elle est partie en famille, à la campagne, et ne rentre que le lendemain. Il me fait entrer et me sert un jus de fruit, comme tous les mercredi. Je suis assis à table dans la cuisine. René se place tout près de moi, debout, mais ne fait rien. Il me colle, ne dit rien et reste figé en me regardant boire. Je dois prendre l'initiative. Tout en buvant mon verre, ma main libre commence à caresser son jeans. Il ne bouge toujours pas et respire fort. J'appuie alors mon geste pour que ce ne soit pas qu'un simple effleurement. Je passe ma main de haut en bas sur le côté puis, sur l'avant. Il ne fait rien et me laisse faire. Je pose mon verre et place la paume de ma main sur son paquet que je prends et malaxe doucement. Il bande !!! Je sens une bite de cheval, épaisse et longue ; et de grosses couilles sous son pantalon. Je me retourne vers lui. Il met ses mains sur mes épaules et, sans un mot, me tire vers lui. Mon visage est au niveau de sa braguette. Je déboutonne son jeans. Il porte un caleçon. Je vois une barre de chair en travers de l'ouverture. J'abaisse le tout et son sexe jaillit, épais, lourd. Son gland est proéminent et décalotté, sa bite est épaisse, bien dure avec des veines apparentes qui m'excitent. Je soupèse ses couilles, grosses et poilues. Aujourd'hui, je pourrais dire qu'elles étaient pleines...... Il me laisse faire, ne me tient plus et me regarde. En croisant son regard, j'ouvre ma bouche et sors ma langue que je pose sur son gland. Il sursaute. Je lèche son sexe, ses couilles puis remonte vers son gland que je prends entre mes lèvres. Il a du mal à passer, j'ouvre de tout ce que je peux et je commence à l'avaler. Il pousse déjà des gémissements. Je vais de plus en plus vite et j'essaie d'aller de plus en plus loin. Je la veux toute entière, mais n'y arrive pas. Soudain, il me pousse la tête en arrière. Je reste la bouche ouverte, sans sa bite à l'intérieur, et le regarde. Il s'adresse enfin à moi en disant : « Attends, ça fait tellement longtemps, je n'ai pas envie de jouir tout de suite ».

On fait une courte pause et on en profite pour aller dans sa chambre se mettre à l'aise. Je me déshabille pendant qu'il enlève le haut. Je suis nu, le sexe bandé, quand il me demande si je peux l'aider à retirer la chaussure de sa jambe raide. J'enlève sa chaussure, sa chaussette et termine de retirer son jeans et son caleçon qu'il avait sur les chevilles. Nous sommes maintenant nus tous les deux. Il bande toujours autant. J’ai la tête entre ses cuisses.

Je me mets à quatre pattes sur le lit et lui présente mon cul en lui disant que j'ai envie qu'il mette sa grosse bite dedans. Il sort un tube de vaseline de sa table de nuit et commence à m'enduire le trou. Je sens quelque chose de dur tenter de me pénétrer. Ce n'est pas sa grosse bite, mais juste l'un de ses doigts. Il a de grosses mains avec de gros doigts. Bien que ces ongles soient coupés, je sens surtout son ongle et je me demande s'il ne va pas me déchirer. Je prends mes fesses à deux mains et les écarte. Doucement, il finit par entrer. Je sens son doigt qui s'enfonce en douceur. Une petite douleur laisse vite place à la chaleur. Son doigt coulisse bien maintenant. J'aime ce que je ressens. Puis, il essaie de se mettre en position derrière moi. Avec sa jambe raide, il n'y arrive pas. Je lui dis de s’allonger, de se mettre sur le dos et de me laisser faire.

Je m’assois au-dessus et face à lui, je prends sa grosse bite dans ma main et la présente à mon cul. Son gros gland est contre mon anus et je fais des petits mouvements pour l'aider à entrer. Il s'enduit le sexe de vaseline à nouveau et là, je sens une vague de chaleur me pénétrer. Son gland est en moi....... Je ne ressens aucune douleur, j'ai juste envie de la prendre en entier dans mon jeune trou du cul. Je m'enfonce doucement, en m'arrêtant de temps en temps pour souffler, puis je reprends. Je sens que tout s'écarte sur le passage de sa bite. Puis, je ne peux plus aller plus loin........ J'y suis !!!!! J'ai une bite dans le cul, et elle est énorme !!!!!!!

Je commence alors des va-et-viens. Je suis déchaîné. Je vais de plus en plus vite. Je remonte jusqu'au gland pour m'enfoncer à nouveau à fond. C'est alors que je sens une main prendre ma queue bandée. Il ne m'avait pas encore touché. Il commence à me branler pendant que je m'empale sur son pieu. C'est si bon, mon sphincter se contracte et je ne peux retenir de puissants jets de sperme. J'enserre sa queue pendant que mon foutre n'en fini pas de jaillir. Je crie, j'ai l'impression de hurler mon plaisir... J'en envoie partout. Il a du sperme sur le front et les cheveux. Je reprends mon souffle, sa bite bien encrée au fond de moi. Je veux reprendre mon mouvement. Il m'arrête en me disant qu'il va jouir aussi et il veut quelque chose de spécial. Un fantasme que sa femme lui a toujours refusé... Il veut jouir dans ma bouche !

Toujours haletant, je relève mon cul doucement pour bien sentir encore cette grosse bite énorme dans mon cul. Lorsqu'elle sort complètement, je ressens comme un grand vide en moi et j'ai l'impression d'avoir le trou béant. S'il y avait eu un miroir, j'aurais pu le vérifier. J'ai froid. Je m'allonge à côté de lui. D'une main, je caresse mon cul et j'y mets trois doigts d'un coup et sans aucun problème. Chose que je n'avais jamais réussi à faire seul. J'approche ma tête de sa superbe grosse bite. Je la lèche puis je tète son gros gland. Je sens alors sa queue se raidir encore plus. Il râle. Une de ses mains me tient la tête et, dans un cri, il lâche une dose de foutre très épais et chaud dans ma bouche. J'ai l'impression qu'il ne va jamais s'arrêter d'envoyer la purée. Je ne sais pas combien de jets je reçois. Ma bouche est pleine, son sperme déborde et coule le long de son sexe. J'avale en plusieurs fois tellement il y en a. Après quelques secondes de répit, je me mets à le nettoyer. Je ramasse son sperme avec ma langue et récupère ainsi tout son foutre que j'ai pu laisser échapper de ma bouche.

Il me prend dans ses bras et nous restons comme ça quelques minutes. Il est bientôt l'heure de rentrer chez mes parents. Nous nous levons et je vais prendre une douche rapide. Pendant que je m'habille, et que je l'aide à se rhabiller, mon amant me demande de ne rien dire à personne et de garder ce secret pour nous. Vu mon âge et mes parents, ce n'est pas moi qui allais nous trahir !!

La fois d'après, il me demande si j’ai une envie particulière. Je lui réponds que j’aimerais qu’il me prenne dans la cuisine, debout. Aussitôt dit, je me retrouve accoudé à la table. Il se place derrière et, après m’avoir fouillé avec ses doigts, me pénètre sans ménagement. J’ai encore pris un pied fou.

Notre relation dure ainsi plusieurs mois, presque jusqu'à la fin du collège. Nous nous voyons tous les mercredis après midi chez lui, ou chez mes parents si sa femme est là. Le meilleur, c'est que mes parents sont rassurés de me savoir en sa compagnie. Au moins, pendant ce temps-là, je ne fais pas de bêtises......... S'ils savaient !!!! 

 

Dune

 


Le texte complet est ici.

5 commentaires:

Doremi a dit…

Merci C'était formidable

Xersex a dit…

un ami vraiment précieux.

Dunegay a dit…

Merci, c'est un plaisir de partager avec vous

Vincky31 a dit…

Le mien fut fait avec toi ! Quel souvenir :)

JG (BelamiFan) a dit…

Je vois que tu aimes écrire des histoires.
Il se trouve que j'en ai écris une trentaine diffusées sur mon blog