Bonjour, moi c'est Marc, je me suis fait prendre par les gendarmes alors que je vendais du shit. Nuit à la gendarmerie puis passage au tribunal pour comparution immédiate. J'ai 19 ans, c'est la première fois que je vendais, c'est con. Une nuit dans une cellule, puis transfert par camionnette au tribunal. Nous sommes le 1er juin, il fait chaud, la séance est prévue pour 15h et il est déjà 16h30. L'atmosphère est étouffante, je suis assis sur un banc avec les menottes, une chaîne est reliée à un gendarme, nous sommes vendredi. Ils discutent du week-end qu'il vont passer, ils ont décidé de faire un tour en vélo. Ils n'en ont rien à faire de moi.
Une
sonnerie retentit, les gendarmes se lèvent et me disent: "C'est
à nous." Je les suis dans un dédale de couloirs. Nous
arrivons dans la salle d'audience, plafond haut, une dizaine de
personnes assise sur des bancs, la lumière filtre à travers des
fenêtres hautes, on voit la poussière danser dans les rayons de
soleil. Un greffier hurle la cour, les gendarmes se lèvent et me
font lever.
Le président, ses assesseurs, le procureur de la
république et le greffier. Ils sont tous en noir, ça fait
peur.
"Accusé, levez vous, déclinez vos prénom âge et
profession." Ce que je fais. S'en suit une litanie de griefs, de
questions pour me piéger. Dans la salle, une jeune fille avocat
commis d'office tremble comme un feuille morte. Le président
me fait un portrait de gangster. Le procureur, une femme dans la
quarantaine, belle, se lève et prononce contre moi un réquisitoire
d'une rare violence. Elle demande 6 mois de réclusion. J'en ai les
jambes coupées, vient ensuite la plaidoirie de la jeune avocate : lamentable. Heureusement que la peine de mort n'existe plus, j'y
aurais laissé ma tête. La cour se retire pour délibérer. On sort
et se retrouve dans une petite pièce à côté de la
salle d'audience.
Il fait chaud, pas de fenêtre, les
gendarmes ont repris leur conversation sur leur virée en vélo. Une
heure passe. Quand la sonnette retentit, on se lève, la cour a fini
de délibérer. On entre dans la salle et on attend ; la cour
rentre.
"Accusé levez vous, la cour vous condamne à 6
mois de prison avec 2 mois de sursis avec délivrance d'un mandat de dépôt immédiat. Vous serez transporté à la
prison de ..... où vous accomplirez votre peine. Greffier, transmettez les documents à messieurs les gendarmes. La séance est
levée."
Il est déjà 18h. On prend une série de couloirs
et d'escaliers, on arrive dans une cour où se trouve la camionnette
des gendarmes. On me fait monter à l'arrière, menottes aux poignets.
On démarre, on traverse la ville, il fait une chaleur suffocante
d'orage. On sort de la ville et on prend une route de
campagne,
on file puis on ralentit, on arrive devant une immense bâtisse
entourée de hauts murs. Un coup de klaxon, les portes s'ouvrent et
se referment derrière nous. Le moteur s'arrête, un gendarme vient
m'ouvrir. Je sors, des gardiens sont là, brève discussion amicale
entre les gendarmes et les gardiens, puis les gendarmes m'enlèvent
les menottes et me remettent aux gardiens avec les papiers du
tribunal.
Demi-tour, les portes s'ouvrent la camionnette s'en
va, je suis seul avec mes gardiens. On me fait rentrer dans la loge
des arrivants, on vérifie les papiers, puis on me conduit vers
l'accueil. Là, 2 gardiens derrière un comptoir et le gardien qui
m'accompagne, encore une vérification des papiers. Un ordre, "À
poil !" J'hésite. Le gardien qui m'accompagne, un mec d'une
trentaine d'année, me sourit et me dit: "Tu te fous à poil,
t'as compris ?" J'enlève ma veste, le gardien à côté de moi
la donne au 2 autres derrière le comptoir qui la fouille, je fais
sauter mon t-shirt qui rejoint ma veste, je défais ma ceinture, le
gardien me dit de l'enlever et il la passe au 2 autres, je vais pour
enlever mes baskets il me dit d'enlever les lacets, je fais tomber
mon jeans que je tends et j'attends. Le gardien à côté de moi me
fait un sourire et me dit: "À poil !" Je baisse mon slip,
rouge de honte. Mon slip rejoint mes autres vêtements.
À ce
moment le gardien à côté de moi me dit de mettre mes pieds le long
d'un ligne blanche tracée sur le sol et de poser mes deux mains sur
le comptoir, ce que je fais. "Écarte les jambes !" Il me
donne un petit coup de pieds pour me faire écarter les pieds. Il
enfile un gant en caoutchouc, je lui demande ce qu'il fait, il me
répond avec un sourire: "On va voir si t'as rien de caché."
Les
2 autres se marrent. Je sens un contact froid sur mon cul, je vais
pour me relever, le gardien me dit de ne pas bouger, qu'il me met de
la vaseline, je gueule que je suis pas pédé. Il me répond en
rigolant que plus tard, je regretterai de ne pas en être, ce qui
fait marrer les 2 autres. Je sens un doigt qui glisse dans mon
cul et qui commence à le fouiller, bon y'a rien. Il pourrait
arrêter, mais il continue le salaud ! Il me masse la prostate et je
commence à bander. Le salaud le fais exprès, maintenant je bande
raide, son doigt ressort, il me dit: "C'est fini, tu peux te
relever."
Je bande comme un fou, je ne bouge pas. Il me
file une claque sur la fesse en me disant: "Debout !" Je me
redresse en cachant très mal ma queue raide. Les 2 autres éclatent
de rire en disant: "Il a l'air d'aimer ton petit doigt dis donc
!" Je suis rouge pivoine, le gardien à côté de moi me regarde
et dit: "J'ai l'impression que ça t'a plu..." On me rend
mes vêtements, on garde ma ceinture, mes lacets ma montre, on me
file une couverture et des draps. Le gardien qui m'accompagne me
guide vers une porte, il me pousse dans une petite pièce et me dit
de me foutre à poil pour la douche. Je me glisse sous l'eau, pendant
ma douche le gardien me dit: "Excuse moi pour tout à l'heure,
mais tu as un si beau petit cul que je n'ai pas résisté au
plaisir de te le masser." La douche est finie, je m'habille,
direction les cellules, l'heure de la soupe est passée, je mangerai
demain matin.
Un couloir avec des portes de cellules, puis on
s'arrête devant une porte, "C'est là !", me dit mon
gardien. Il fait tourner la clef, ouvre la porte, dedans à gauche de
l'entrée, des chiottes un lavabo, un peu plus loin deux lits
superposés, de l'autre côté, une table des chaises et 2 autres
lits superposés près de la fenêtre grillagée. Trois mecs, un
gras dans les 40 ans en short et t-shirt distendu, un grand maigre,
barbu pas sympathique en short lui aussi semble pas propre dans les
40 ans lui aussi, et puis un mec en jogging dans les 20 ans souriant,
semble gentil. Le gardien me présente comme le nouveau, nous
souhaite un bonne nuit et referme la porte avec un curieux
sourire.
La porte refermée, le gros se lève et me dit:
"Bonjour petit, ta place c'est là-haut !" et il me montre
le lit près de l'entrée. "Moi c'est Roger, lui," il me
montre le grand maigre, "c'est Marcel, et lui, le petit jeune
c'est Thomas. Bon on va passer aux choses sérieuses !" dit-il
en me caressant les fesses. Je lui prends le bras en lui disant que
je ne suis pas pédé, ça le fait rire et il pose une nouvelle fois
ses pattes sur mon cul. Je me dégage quand le grand maigre me prends
les couilles à pleine main en disant: "Tu vas pas jouer les
pucelles mec. Va falloir que t'y passes. " Pendant ce temps là
le gros me dégage les fesses, en moins de 2, je me retrouve à poil.
Le grand maigre me serre les couilles pour que je ne me débatte pas.
Je cherche à lutter et je me ramasse un paire de baffes
magistrales.
"Tu vas te calmer, petit, sinon tu vas
déguster. Tiens, pour commencer tu vas me nettoyer la queue."
Il me présente une queue, courte mais très large qui pue comme pas
permis. Je refuse, l'autre manque de m'arracher les couilles, une
main me plaque le visage contre cette queue immonde. Pour m'obliger à
ouvrir la bouche il me pince le nez, je manque d'étouffer, j'ouvre
la bouche et il en profite pour me rentrer sa queue nauséabonde.
J'en ai des hauts le coeur. "Suce petite salope, vas-y,
nettoie-moi l'engin." L'autre, le grand maigre, me masse le cul,
sans lâcher mes burnes. J'étouffe, je suis au bord du vomissement.
Heureusement, le troisième ne bouge pas. "C'est bien petite
chienne, suce bien, j'ai la queue bien raide les couilles pleines,
Maintenant tu vas me les vider."
Sur ces mots, il se retire
de ma bouche, me fait tourner et me prend par les hanches. Je vais
pour gueuler quand le grand maigre me file sa queue qui n'est pas
plus propre dans la bouche. Elle est plus fine mais plus longue. Je
la sens toucher ma luette, je vais vômir. Il le sent et se retire un
peu.
Le gros, pendant ce temps m'a rentré un, puis deux doigts
dans le fion sans ménagement. J'ai mal mais je ne peux hurler avec
la queue de l'autre dans la bouche. Il retire ses doigts et pose son
gland contre mon trou, je me raidis. Il me fille une claque sur la
fesse en me disant de me détendre si je ne veux pas avoir mal. Et
d'un coup, il me pénètre. La douleur est fulgurante. J'ai
l'impression d'un pieu en fer rougi au feu. Je manque de m'évanouir.
Le grand maigre m'a filé une baffe, je ne peux me soustraire à la
queue dans mon cul et l'autre dans ma bouche. La douleur est
insupportable. Le gros me lime rapidement sans se préoccuper de moi,
il accélère la cadence et crache dans mes entrailles. Il se retire
satisfait.
"À toi !" balance-t-il au grand maigre. Le
grand maigre se retire de ma bouche et vient m'enfoncer sa queue,
sans crier gare. Elle est plus fine et passe mieux mais la douleur
est encore là. Le gros me donne sa queue à nettoyer, comme je vais
pour refuser, je me ramasse une nouvelle baffe et je me retrouve avec
sa queue baveuse de sperme à nettoyer. Le grand me défonce, ne
s'intéressant qu'au plaisir qu'il retire de mon cul. La douleur
s'efface petit à petit, il me file des claques sur les fesses et me
branle en même temps, je ne bande pas. Puis il pousse un cri et se
vide dans mon trou. Le gros s'est assis sur le lit et regarde tout
sourire en se branlant doucement. Le grand maigre se retire d'un coup
et me donne sa queue à nettoyer. Il dit au jeune : "Vas-y, il
est à toi."
Le jeune s'approche de mes fesses, les caresse et
pose doucement son gland contre mon trou distendu et visqueux. Il
pousse doucement et me pénètre lentement. Il commence des
mouvements de bassin lentement. Il me lime doucement. Je
commence à sentir du plaisir, je n'en reviens pas. Il n'y a plus de
douleur, il me baise pour se donner du plaisir mais il veille au
mien. Sa main glisse sous mon ventre et vient me branler. Je commence à bander, je ressens du plaisir. Son gland vient frotter
sur ma prostate et me fait découvrir des sensations inconnues. Je
sens sa queue grossir, il va bientôt jouir. Je sens les contractions
de sa queue, il accélère les mouvements de sa queue et de sa main
sur ma queue bien raide. Il pousse un gémissement et vient dans mon
trou, moi de mon côté je viens dans ses doigts. Il se retire
doucement, me caresse les fesses et me dit: "Je vais faire ton
lit..."
Les 2 autres sont tout sourire.
Le gros me
dit : "T'es un bon petit, maintenant couche toi, demain il faut
être prêt pour le p'tit déj." Il se lève, pisse et va se
coucher, le grand maigre en fait autant. Le jeune m'aide à monter
dans mon lit, me fait un sourire. Je m'allonge sur le lit, j'ai le
cul en compote. La lumière s'éteint.
Quelques minutes pus tard
les ronflements du gros et du grand maigre démarrent. La honte
m'étouffe, j'ai mal, des sentiments confus se mélangent dans ma
tête, et une envie irrésistible de pleurer m'envahit. Je sanglote
dans le noir, quand tout à coup une main vient se poser sur moi, je
me relève un peu. C'est le jeune qui est monté sur mon lit. Il se
couche à côté de moi et me dit tout bas: "Ne t'en fais pas,
ils m'ont fait pareil quand je suis arrivé, ils ne sont pas méchants
mais comme tu as pu t'en rendre compte, ils n'ont aucune éducation."
J'ai glissé ma tête sur l'épaule du jeune et je pleure en silence.
Il me parle doucement pendant que sa main me caresse, je lui dis que
je ne suis pas pédé, mais que j'ai pris du plaisir quand il m'a
baisé. Il me confie, qu'il ne voulait pas me baiser mais s'il ne
l'avait pas fait les autres auraient piqué une colère et m'auraient
fait subir des sévices.
Il approche ses lèvres de moi, j'ouvre
la bouche, sa langue vient rencontrer la mienne, un long baiser s'en
suit. Il me dit pour me faire pardonner : "Je vais te sucer, tu
veux ?" "Je veux bien," lui dis-je dans un souffle. Il
glisse sur le côté et je sens sa bouche envelopper mon sexe qui
durcit immédiatement, il me suce en douceur, sa langue tourne autour
de mon gland, je me retiens de gémir, je sens que je vais venir. Je
tente de me retirer, il poursuit et je viens dans sa bouche. J'ai
l'impression que je vais me vider, la tête me tourne. Quand ma queue
redevient molle, il remonte et me donne un baiser où se mêlent sa
salive et mon sperme. Le goût me surprend, mais je lui rends son
baiser. Il me dit : "Passe une bonne nuit, je veille sur toi."
Je m'endors, une nuit pleine de cauchemars.
Le lendemain
matin au réveil, le gros et le grand maigre tirent sur mes
couvertures, et me disent de descendre, je m'exécute. Il me
disent: "C'est l'heure du p'tit déj !" Comme je les regarde
sans comprendre, le gros me dit : "Il faut nous purger les
burnes, allez, tu nous suces !" Il me fait mettre à genoux, et
me présente sa queue. Je gobe et il commence à me limer la bouche,
il vient rapidement. Le grand maigre prend sa place, et me fourre la
bouche sans ménagement. Il vient rapidement, se retire et va pisser.
Le gardien arrive accompagné d'un prisonnier qui apporte le petit
déjeuner. Le gardien me dit avec un petit sourire :
- T'as
passé une bonne nuit ?
Je vais pour dire ce qui s'est passé
quand je rencontre le regard dur du grand maigre.
- Oui je vous
remercie.
- Bon. Si tu veux, après le petit déjeuner, tu peux
aller travailler avec les autres, tu veux ?
- Pas aujourd'hui.
-
Bon comme tu veux.
Le gros et le grand maigre partent
travailler, le jeune leur dit qu'il va rester avec moi pour la
première journée.
- Ok comme tu veux.
La porte se referme
et je me retrouve seul avec le jeune.
- Bon, moi c'est Thomas et
toi?
- Moi c'est Marc.
- T'es là pour combien de temps?
-
Quatre mois et toi?
- Moi Il me reste 3 mois. Quand je suis
arrivé ils m'ont violé comme toi, ça a duré 1 mois tous les
jours, et puis ils ont arrêté, maintenant ils me baisent 1 fois
tous les 15 jours. Je n'y prends pas plaisir mais si je ne dis rien,
ils me foutent la paix, alors...
- Tu es homo ?
-
Non, comme toi j'avais des copines. Jamais je n'aurais pensé que je
baiserais un jour avec des mecs ou que je me ferais baiser. Quand tu es entré
hier soir, je me suis dit : "le pauvre, il va morfler". Je
n'avais pas le choix sinon ils m'auraient tapé dessus. Tu ne
m'en veux pas?
- Non je ne t'en veux pas, tu as été doux avec
moi et je dois dire que tu m'as donné 2 fois du plaisir. Je ne
croyais pas qu'on pouvait jouir avec une queue dans le cul.
- Si
tu veux ce soir après qu'ils t'auront encore baisé et qu'ils
dormiront, tu pourras me baiser.
La journée se passe
sans encombre, et le soir, de nouveau, le gros et le grand maigre me
baisent, mais cette fois sans violence. Ils se couchent, et peu de
temps après, les ronflements démarrent. Thomas attend un peu et
vient me rejoindre.
"Je tiens parole, si tu veux me baiser,
vas-y." Il caresse ma queue qui gonfle rapidement, se retourne
et me présente son trou. J'avance le bassin, mon gland vient toucher
son trou. Il me dit : "Vas-y !" Je pousse mon gland, il
rentre sans trop d'effort. Ma queue glisse dans son trou, c'est doux
chaud. Je commence des va-et-vient. Il accompagne mes mouvements par
des mouvements du bassin, il a tourné sa tête et me donne un
baiser. Je vais jouir, lui dis-je. Je sens les contractions de son
trou, il va jouir aussi. Ses contractions provoquent ma jouissance,
je sens son jus venir dans mes doigts. Il se retourne, je l'embrasse
en lui disant :
- Merci.
- Tu n'as pas à me remercier, j'y
ai pris du plaisir aussi. Si tu veux on recommencera.
Les jours
se suivent et se ressemblent, quand un matin de douche, le gros et le
grand maigre y vont tout joyeux, ils reviennent propres et souriant.
Le soir, je m'attends encore une fois à subir leurs assauts quand le
gros nous dit: "On sort demain les gamins alors ce soir, c'est
vous qui nous baisez." Thomas et moi, on se regarde incrédules,
le grand maigre nous dit : "Oui, on sort demain alors notre cadeau
à nous, c'est qu'on vous offre notre cul pour vous remercier de nous
avoir soulagé." Ce faisant ils baissent leur short et nous
présentent leurs culs. Thomas me fait un signe, il me montre le
grand maigre et me dit : "Je commence par le gros."
Thomas
file une claque sur les fesses du gros. Celui-ci, surpris, se
retourne. Thomas lui dit: "Suce moi un peu pour m'aider à
bander." Le gros s'exécute.
Je dis au grand maigre: "Et
toi alors, tu vas me faire bander ?" Il se retourne et commence à
me sucer. Il est doué le salaud. Thomas et moi nous sommes bien
raides. "Allez, tournez vous !" Le gros et le grand maigre
nous présentent leur cul. Thomas attrape les hanches du gros et, sans
préliminaire, l'enfile jusqu'à la garde, le gros pousse un petit
cri. Moi j'en fais autant, le grand maigre tente d'échapper mais je
le rattrape et l'enfile d'un coup. Il pousse un cri, je ne m'en
occupe pas et le lime sans faiblesse. Je vais venir, Thomas me lance
un regard, je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. On
lâche notre purée en même temps. On se retire. Le gros et le grand
maigre se redressent. Thomas leur dit de nous sucer pour nettoyer nos
queues. Ils vont pour protester, mais Thomas leur dit: "Allez,
en vitesse !" et on échange le gros prend ma queue en bouche et
le grand maigre prend Thomas. Nos queues reprennent de la
vigueur.
Thomas leur dit: "Allez, en position." Les
deux compères se retournent et nous présentent à nouveau leur cul.
Je prends le gros par les hanches et lui enfile ma queue d'un coup,
il pousse un cri. Pendant ce temps Thomas enfile le grand maigre
jusqu'à la garde. Thomas leur dit: "Allez les salopes,
embrassez-vous." Ils s'embrassent pendant qu'on les lime. Je
viens dans le cul du gros, je sens qu'il vient lui aussi, il pousse
un long soupir. Thomas s'est vidé lui aussi et s'est retiré; le
grand maigre se finit à la main.
Le lendemain au réveil,
Thomas saute sur ses pieds et me dit de descendre. On se lève et on
présente nos queues pour le p'tit déj. Le gros et le grand maigre
nous vident les burnes. "Bonne journée les mecs et profitez de
la liberté."
Nous sommes seuls maintenant depuis 3
semaines et nous nous aimons tous les soirs.
Quand, un soir, la
porte s'ouvre. On nous amène un nouveau. Le gardien se retire. Le
jeune est un peu effrayé, nous le rassurons, tu ne risques rien, on
va pas te violer. Le jeune monte dans son lit. Nous nous caressons. Le jeune nous regarde sans rien dire. Nous l'oublions et nous nous
aimons. Plus tard dans la nuit nous entendons le bruit
caractéristique d'une branlette, c'est le petit dernier qui se
soulage.
Le lendemain soir, il va pour se coucher et se déshabille. Quand il enlève son pantalon, son slip est super tendu. Il tente de
cacher son érection, je lui dis :
- Si tu veux, tu peux baiser
avec nous.
- Non, non, dit-il tout rouge.
- Allez, on voit
bien que tu bandes ! dit Thomas.
- Non, non, dit-il sans
conviction.
Je pose une main sur son paquet, il ne bouge pas.
Thomas s'est approché de lui et lui caresse les fesses, il ne réagit
pas. Doucement, je fais glisser son slip, sa queue libérée vient
frapper son ventre. Je la prends en bouche et commence une pipe. Il
gémit doucement. Thomas lui roule une pelle d'enfer. Il se libère
et se laisse aller au plaisir. Nous finissons la soirée à
trois.
Les jours ont passé. Thomas est libéré aujourd'hui. Je
l'embrasse avant que le gardien n'arrive, il me dit qu'il m'attendra
quand je sortirai. Maintenant qu'il est parti, le petit jeune couche avec moi de
temps en temps, mais ce n'est pas pareil qu'avec Thomas.
Mon
tour arrive, je donne un baiser au petit jeune. Formalités et puis
la porte de la prison s'ouvre. Thomas est là ! Il sort de la voiture,
prend mes affaires qu'il met dans le coffre, nous montons. La porte
de la prison s'est refermée, il passe un bras autour de mes épaules
me donne un long baiser et me dit :
- Bienvenue dans le monde
libre. Tu sais où aller ?
- Non.
- Viens chez moi si tu
veux.
Mon coeur fait un bond. Je lui fais un grand sourire et
lui dis avec joie :
- Je n'osais pas te le demander.
Un
grand sourire illumine son visage.
- Tu resteras tant que tu
voudras, je t'aime.
- Merci, Thomas. Moi aussi je t'aime, tu
m'as manqué terriblement.
- Ok, allons y ! La vie est belle...

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