Je logeais à l'internat.
J'arrive le premier
jour, et découvre ma nouvelle chambre. Je la partage avec Stéphane.
Je ne soupçonne alors que très peu mes préférences sexuelles.
Cependant, je dois avouer que Steph est particulièrement mignon, la
peau mate, les cheveux courts, le visage fin et de très beaux yeux.
C'est tout ce que je vois de lui (pour l'instant).
On fait
rapidement connaissance. J'apprends qu'il a un frère d'un an son
cadet et qu'il vient également de déménager dans la région. Après
le repas du soir, on bavarde encore un peu. Il finit par me demander
si j'ai une copine. Je lui réponds que je n'en ai pas, lui non plus.
Il me dit simplement que les filles ne sont pas sa principale
préoccupation.
Sur ce, il est l'heure de dormir et on se
déshabille assez rapidement, sans toutefois nous cacher (on est tous
les deux des mecs). C'est ainsi que je vois Steph nu : un vrai
Apollon, imberbe mis à part autour de sa bite généreuse. Lui-même
jette un coup d'oeil rapide à ma constitution. Rien de plus ce soir
là. Il faut dire que cela fait beaucoup de changements d'un coup et
on est pas mal crevés. Une fois couchés, la pensée de voir Steph
nu me fait bander très dur mais je n'ose pas me branler de peur
qu'il m'entende. On s'endort finalement rapidement.
Le
lendemain matin, on prend une douche. Les douches sont communes à
l'étage, sans porte, de sorte que l'on voit celui qui prend sa
douche en face. Par le plus grand des hasards, les seules douches
libres sont face à face. C'est ainsi que je peux à nouveau
contempler Steph, ses formes. Je me mets à bander et suis obligé de
me retourner pour cacher mon membre. L'émotion passée, je peux
enfin sortir de la douche et m'habiller.
La journée se passe
bien. C'est la rentrée, Steph et moi sommes dans la même classe.
Bien sûr, nous nous asseyons l'un à côté de l'autre, tous les
autres se connaissent. Cela nous permet de faire plus ample
connaissance.
Les journées suivantes et les soirées
suivantes sont assez similaires à la première. On rentre chacun
chez soi les week-ends. C'est le moment privilégié que je choisis
pour me branler en pensant à Steph. Je jouis à chaque fois une
sacrée quantité de foutre sur tout mon torse. Cela permet de me
retenir la semaine.
Mais au fur et à mesure que les
semaines avancent, j'imagine les fantasmes les plus fous. Le fait d'y
penser le soir dans mon lit me file une trique d'enfer. Je ne suis
visiblement pas le seul. En effet, il me semble percevoir, certains
soirs, le bruit caractéristique de Steph en train de se branler :
respiration accélérée, gémissements. Ceci me fait craquer et je
me mets aussi à m'astiquer, profitant des quantités
impressionnantes de precum dues à l'excitation pour lubrifier ma
pine et rester discret. J'évacue le foutre dans
des mouchoirs en papier.
Un soir, nous sommes tous les
deux torse nu et en caleçon. Nous révisons chacun dans notre lit ;
ce qui me permet de bander sans le montrer. Steph me demande si je
peux lui expliquer une partie du cours qu'il n'a pas bien compris.
-
OK, lui dis-je, qu'est-ce que t'as pas compris ?
- Non, mais
viens t'asseoir sur mon lit, c'est dans un des exos. Ca sera plus
facile si je peux te montrer.
Je suis gêné, car j'ai une
trique d'enfer et n'ose pas sortir de mon lit.
Steph me demande
ce que j'attends. Il se lève et vient s'asseoir sur le rebord de mon
lit.
- Allez ! Pousse-toi et fais moi de la place, me
dit-il.
C'est alors que je remarque son paquet bien
conséquent (bien que pas tout a fait excité). Cela me file un coup
de plus et je ne suis pas prêt de débander.
Je m'assois en
essayant tant bien que mal de cacher mon excitation.
- Ah
mais je vois, t'as la trique ! Tu connais le dicton : trique du soir,
espoir ! Trique du matin, chagrin ! C'est quand même pas le cours de
math qui te mets dans cet état ?
- Pas vraiment.
- Alors
c'est quoi ? insiste-t-il alors que je sais très bien qu'il connaît
la réponse. D'ailleurs, son caleçon commence à gonfler de façon
non dissimulable.
- Je crois que c'est la même chose que toi,
si j'en crois ce que je vois, dis-je en passant la main au-dessus de
son entre-jambes sans le toucher.
C'est alors qu'il me
regarde dans les yeux. Ce regard m'achève et on s'embrasse avec
fougue. Jamais je n'avais embrassé un mec, et je dois avouer que
c'est mon plus beau souvenir de Steph. On enlève rapidement nos
caleçons qui, de toutes façons, ne cachaient plus rien du tout. On
est là l'un à côté de l'autre, nos dards pointés vers le ciel.
Steph commence à me caresser le ventre, puis les jambes, en se
rapprochant peu à peu de ma bite. Je suis sur un nuage, déjà
presque prêt à jouir. Je le préviens, et il me demande
alors de le caresser à mon tour. Je pose ma main sur sa peau douce
et fais le tour de son bel organe jusqu'à le frôler. Steph fait de
même avec le mien, et on commence à se branler tout doucement. Le
contact de sa main sur ma pine me fait l'effet d'un courant
électrique, et je pense que ma main lui fait le même effet, car on
ne tarde pas à jouir et éjaculer de puissants jets de sperme sur
nos torses.
Un peu calmés, je lui demande s'il y a vraiment un
exo de math qu'il ne comprend pas. Il me répond que bien sûr que
non, il voulait me provoquer depuis le temps qu'on se branlait chacun
de notre côté. Bien sûr il s'en était
rendu compte tout comme moi.
Le fait d'évoquer nos
occupations nocturnes nous excite à nouveau et nous revoilà bandés.
Je recommence à caresser Steph en étalant le sperme qu'il a encore
sur le ventre. J'en viens à le lécher et me rapproche de son sexe
recouvert de precum. Et voilà un de mes fantasmes : je pose mes
lèvres sur son gland et goûte ce goût salé. Steph pousse des
gémissements de plaisirs mais ne reste pas inactif : il me caresse
la queue et les couilles. Je prends entièrement sa bite dans ma
bouche. Steph se tord de plaisir et se rapproche de ma bite avec sa
bouche ; notre premier 69 (et loin d'être le dernier.). On prend
vraiment plaisir, nos corps vibrent à l'unisson, les mouvements de
ma langue et de mes lèvres sur ses couilles et le dard de Steph sont
à l'image de son action. A nouveau, je finis par sentir la
jouissance au fond de moi. Au même moment, je sens des
tressaillements dans le membre de Steph. On jouit en même temps,
chacun dans la bouche de l'autre. Je goûte le sperme de Steph et je
l'aime!
On s'embrasse à nouveau. Nos
spermes se mélangent dans nos bouches. On reste enlacés et on passe
la nuit ensemble.
Voilà pour notre première nuit
d'amour.
A suivre.
6 commentaires:
Fun with 69, gripping the cock with his lips and the ass with his hands for that F-ticket ride to sexual ecstacy :)
-CA jock
Très bonne cuvée ce matin
Wow ma bite 20/5 est bien dure
Il fut un temps ou je savais , mais plus maintenant...
Tu savais quoi ?
MMMmmm Je n'en occuperais bien volontiers :)
Dune quand j'étais jeune je me suçais et j'adorais ça...je jouissais dans m bouche. Maintenant je ne sais plus me sucer
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