21/ Je branle un collègue :

 Militaire, j’ai régulièrement l’occasion de prendre des douches collectives avec mes camarades. J’apprécie généralement la vue. Les formes de mes camarades ne me laissent pas indifférent. Dans le lot, l’un d’eux, d’origine espagnole, grand, très mince. Il est brun au teint mat. Diego présente une particularité physique qui intrigue tout le monde à la caserne. Ses parties génitales font penser qu’il a, non pas deux, mais trois couilles.

Nous avons le même âge. Nous avons vite sympathisé et le fait d'être voisins favorise certainement la chose. Nous sortons souvent ensemble (avec d’autres camarades) les soirs ou week-ends de quartier libre. Nous allons souvent en boîte de nuit et en faisons souvent la fermeture. Malheureusement pour moi, il est hétéro. Du genre à consommer sur place, dans une voiture, sur le parking ou à l’extérieur, mais ne ramène jamais de fille chez lui. Sa devise : « Tu baises tout de suite ou tu dégages ! ».

Un soir, ou plutôt un matin, après avoir passé la nuit dehors, un peu arrosée, mais sans excès, nous finissons tous les deux chez lui pour mater un film. Il se met à l'aise, en caleçon et me dit que je peux en faire autant. Je porte un slip tanga. Nous nous installons sur le canapé et il lance le film. C’est un film de science-fiction, notre genre préféré à tous les deux. Nous discutons un peu en regardant le film et j’ose lui demander l’origine de sa particularité génitale. J’apprends qu’il faisait du hand-ball, comme moi, avant de s’engager. Il était gardien de but. Au cours d’un entraînement, le ballon a terminé sa course dans son bas ventre. Il ne portait pas de protection. La puissance et la vitesse du ballon ont fait qu’une de ses bourses a explosée. Il me rassure et me dit qu’aujourd’hui, il n’en souffre plus et que les filles aiment beaucoup jouer avec. Nous reprenons le cours du film et il finit par s'endormir. Le jour commence à se lever.

À un moment, je constate que son boxer est plus que gonflé. Le bouton de sa braguette n’est pas boutonné. Le spectacle m’attire. Un morceau de chair ne demande qu’à sortir. Je ne regarde plus la télé, mais j’ai les yeux rivés sur ce que j’aperçois en partie. Son barreau m'appelle. Je le vois se tendre encore par petits coups. Son caleçon monte et libère encore plus la vue sur son engin. Je ne tiens plus. Il faut que je tente quelque chose. Je passe doucement ma main dessus en l’effleurant. Pas de réaction. J'appuie un peu plus mon geste et je fais des va-et-vient par-dessus son caleçon avec la paume de ma main. Toujours pas de réaction. Je glisse mes doigts par l’ouverture et j’entre enfin en contact direct avec sa bite. Je l’enserre de deux doigts et la sors délicatement par la braguette. Sa bite est fine et longue, très longue. Elle me paraît plus fine que la mienne, mais bien plus longue. Diégo ne bronche pas. Aucune réaction à part celle de sa bite bien raide. Je commence à la caresser en commençant par le gland. Un léger filet humide s’en échappe. Je le ramasse et le branle doucement. Je me risque même à passer le bout de ma langue sur son gland. Je récupère sa mouille. Il bouge un peu. Par réflexe, je me retire rapidement. Il dort toujours, ou du moins fait comme si, et me laisse faire. Je reprends sa bite en main. Je remonte et descends autour de son mat. Je place mon visage au-dessus, la bouche ouverte. Soudain, je vois qu’il se crispe. Je place mes lèvres autour de son gland bien rouge. Il envoie la purée. Son sperme est épais et abondant. J’ai la bouche pleine et quelques gouttes s’en échappent. J’avale sa semence au goût exquis.

Je lèche mes doigts et remets en place son sexe encore bien dur dans son caleçon. Il semble toujours dormir. À mon tour, je ne tiens plus. Je baisse mon slip et prends ma bite en main. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour arroser mon torse. Avec l’excitation, j’ai du sperme sur le menton que je ramasse avec mes doigts avant de les lécher. Je m’essuie le torse à l’aide d’un essuie-tout resté sur la table basse. Je remets mon slip en place et continue de regarder la télé avant de m'endormir à mon tour.

Diégo ouvre les yeux avant moi. Je suis contre lui, le visage sur son ventre et le bras droit sur sa cuisse. Nous sommes à moitié allongés et assis sur le canapé. Diégo me réveille doucement en me secouant légèrement l’épaule. Pendant notre sommeil, il a passé son bras droit par-dessus mes épaules. J'ouvre un œil avant de bouger. De suite, j’ai la bite de Diégo fièrement dressée et sortant de son caleçon juste devant les yeux. Quoi ? Je vais pouvoir le sucer ? Il a envie ? Je commence à peine à remuer, qu’il me dit : « Lève-toi, il faut que j’aille pisser ! ». Il se lève sans se cacher plus et va en direction des toilettes. Je me redresse et je réalise que, moi aussi, je bande. Ma bite est sortie de mon slip. Je la remets en place.

Lorsqu’il revient, il me dit avec un petit sourire : « Je vois que toi aussi, tu es en forme le matin ! » Je sens que je rougis et il conclut : « ce n'est pas grave, on est entre nous ! Par contre, il va falloir que je parte, je suis attendu !  ».

Je m’habille et rentre chez moi pour prendre une douche. Bien évidemment, j’en profite pour me soulager avec une bonne branle, d’autant que je n’ai toujours pas débandé depuis le réveil.

Quelques jours après, il me présente sa nouvelle copine. Celle-ci s’installe vite chez lui. Je comprends que cette soirée, seul avec Diégo, ne se renouvellera pas.

Dune




Le texte complet de la mise à jour est ici.


Je vous souhaite un excellent week-end. On se retrouve dès lundi



5 commentaires:

Coquelicot.secret04 a dit…

Hummmm ❤️ ❤️ ❤️ ❤️ moi aussi j'aime branler une belle queue tout comme j'adoooooore être branler...

Léo AUREL a dit…

merci Dune pour ce récit très excitant. Bisous Léo

Xersex a dit…

Je pense que c'était une expérience merveilleuse. Et du sperme exquis!

Xersex a dit…

Je pense que c'était une expérience merveilleuse. Et du sperme exquis.

Coquelicot.secret04 a dit…

Tout à fait.... c'est hummmm...