57 /Je prends son pied

 

Jean arrive et m’appelle. Je descends à sa rencontre. Sur le parking de la résidence, il veut me faire un smack que je refuse. Je suis tendu. Aussitôt, je m’excuse et lui explique la situation. Il comprend. Plus âgé que moi, Jean est plus petit et légèrement bedonnant, comme moi. Il a les cheveux courts et le poil gris. Il est divorcé depuis peu et papa de deux petites filles. Il n’a pas fait son coming-out.

Je l’invite à me suivre et montons dans mon appartement. Nous continuons à discuter dans l’ascenseur, sans nous toucher.

Arrivés chez moi, je me lance. Je l’attrape et l’embrasse. Nos lèvres se touchent puis nos langues. Nos mains caressent tout ce qu’elles peuvent. Je me libère et lui propose un verre. Il me répond qu’il en prendra un après. Nous allons dans la chambre.

Tout en nous roulant une pelle, nous nous déshabillons mutuellement. C’est agréable, mais il n’y a aucune passion. Lorsque je libère sa bite, je vois un sexe mou. Je me baisse et le prends en bouche. Jean me tient la tête pendant que je le pompe. Même s’il prend du volume, il n’ira pas loin. Ce n'est pas grave, maintenant que j’y suis, c’est déjà bien pour une reprise. En douceur, nous glissons sur le lit. Je suis sur le dos et Jean me demande de lui montrer mon cul. Je relève mes jambes. Il lèche ma rondelle, un peu. Rapidement, il prend les jouets que j’ai mis à sa disposition.

Il enduit un premier gode et me l’enfonce lentement dans le cul. Il y va doucement. Je sens la chaleur m’envahir. Ça fait si longtemps… Il va-et-vient, de plus en plus vite et plus loin. Mon anus retrouve les sensations et s’ouvre. Jean semble impressionné. Il pousse le gode au plus profond et le lâche.

Fouillant dans mon coffre à jouets, il sort un petit spéculum que j’ai commandé récemment. Je ne l’ai pas encore testé. Jean l’enduit de gel, sort le gode et place, précautionneusement, le spéculum à la place. Il l’écarte. Je m’ouvre. Alors qu’il est au max, Jean se met à genoux devant moi et présente sa bite devant mon trou béant. Je ne vois pas ce qu’il fait. Je sens alors un liquide chaud m’envahir. Je suis surpris mais j’aime beaucoup. Je gémis. Il me remplit le cul avec sa pisse !

Cela déborde vite. Heureusement, j’ai mis une protection. Il arrose mes couilles et s’arrête. Aussitôt, il replie le spéculum et le sort. Je sens alors ses doigts prendre la place. Jean met du gel et s’enfonce. Il force et entre. Le reste de pisse passe par les bords. Je me vide alors qu’il s’enfonce encore. À chaque poussée, j’évacue sa pisse. J’ai l’impression que cela n’en finit pas. Je commence à crier de plaisir.

Jean se retire, sa pisse coule encore un peu. Nous sommes assis, l’un en face de l’autre. Nous allumons une cigarette et discutons un peu. Pendant ce temps, il place une jambe entre les miennes. Nous n’avons pas terminé notre clope que je sens ses doigts de pieds osciller contre ma rondelle. Je ne bouge pas et pousse un peu. Il écrase son mégot dans le cendrier et regarde son pied à l’œuvre. Je suis chaud et je veux encore qu’il me remplisse.

Jean prend le flacon de gel, s’enduit le pied et me dit d’écarter les fesses. Aussitôt fait, il pousse sur sa jambe et je me retrouve vite avec tous ses doigts de pieds dans le cul. Je m’ouvre à nouveau. Il pousse encore et son pied fini par rentrer, jusqu’au talon. Je me suis pourtant déjà pris très gros, mais là, c’est une sensation encore inconnue. Jean remue son pied à l’intérieur de moi. Je jouis !

Il se retire et vient se branler au-dessus de moi. Je veux le prendre en bouche mais il refuse. Jean m’arrose d’une dose de foutre et se rassoit. Nous restons ainsi quelques instants. Il se redresse et dit qu’il doit rentrer et récupérer ses filles.

Pendant qu’il s’habille, j’apprends qu’il est professeur de technologie, dans un lycée professionnel, sur Paris. Il me propose de revenir en précisant qu’étant adepte du « chemsex », il peut ramener ce qu’il faut la prochaine fois. Il me garantit que je peux prendre beaucoup plus. Tout faux !!

Premièrement, le fait qu’il soit prof sur Paris, dans un lycée professionnel, suppose qu’il est subordonné à l’ex de Michel. Ils se connaissent forcément ! Et s’il y a quelqu’un que je n’ai pas envie de revoir, c’est bien lui ! Deuxièmement, je lui rappelle que je suis gendarme et que je ne cautionne pas du tout l’usage de telles drogues. Il part.


Dune




Voilà qui clôture la série de mes récits autobiographiques dont l'intégralité est à retrouver sur les pages : "Mon journal - I à V -", notamment ma rencontre avec celui qui deviendra mon mari.

1 commentaire:

Tom a dit…

Ton récit est très chaud et excitant. Merci pour le partage. Bises et bon dimanche à toi