42/ Vacances à Ibiza

 

Je compte bien profiter de nos vacances à Ibiza pour sortir et tester quelques boîtes dont tout le monde entend parler en France. Malheureusement, ma femme et le mari de sa copine ne sont pas chauds. Nos sorties du club de vacances sont faites exclusivement d’excursions organisées ou balades en ville. Je suis très frustré. Voir tous ces beaux mecs et ne pas pouvoir en profiter...

Lorsque nous sommes en promenade, mon épouse s’accroche à moi. Il faut dire que je me fais draguer à tous les coins de rues. Un grand blond, tirant sur le roux, et d’allure sportive, ça attire ! Du coup, elle ne me lâche pas ! Si je m’entends bien avec l’amie de Marie C, je supporte de moins en moins son mec. Il ne jure que par la religion, refuse même d’aller à la plage naturiste et je m’ennuie.

L’avant-dernier jour, nous décidons de nous rendre sur une plage située de l’autre côté de l’île. Je ne suis pas bien réveillé et pas de bonne humeur. Je suis le seul à conduire notre véhicule de location. En chemin, je ne dis pas un mot, jusqu’à ce que ma femme me demande ce qu’il y a. Je fais le bilan de notre séjour et reproche le fait que l’on n'ait pas profité à fond de ce que nous avions à disposition. Une dispute s’ensuit.

Nous arrivons à la plage et louons des transats. Je ne dis pas un mot. Lorsqu’ils partent se baigner, je reste allongé. Pris d’une petite faim, je décide de me diriger vers une cabane à laquelle je peux acheter un encas. Je porte un short de bain.

Une petite file d’attente s’est formée. Je prends ma place et je suis rapidement rejoint par d’autres personnes. Pendant l’attente, je sens régulièrement une main me frôler les fesses furtivement. Je me retourne et je découvre, juste derrière moi, un jeune homme, beau gosse, plus jeune et plus petit que moi, brun avec les cheveux courts. Il me regarde en arborant un beau sourire. Il se caresse le bas ventre, juste au-dessus de son maillot de bain taille basse. Agréablement surpris par la vue, je lui réponds en souriant et haussant les sourcils.

Le commerçant m’appelle. C’est à mon tour. Je me retourne, commande et me fais servir. C’est maintenant au tour du beau gosse. Il ne me lâche pas du regard. J’attends sur le côté en le dévisageant. La tension monte et mon sexe gonfle dans mon short. Je remarque que, de son côté, le maillot de bain semble de plus en plus petit. Une ouverture s’est formée au niveau de la taille. Sa bosse enfle.

Il me fait signe de le suivre. Tout en dégustant nos churros, nous nous dirigeons vers le parking. C’est un français, de l’Est de la France. Il est venu avec un groupe d’amis à qui il fait signe en passant. Que des beaux gosses !

Arrivés au bout de l'aire de stationnement, nous nous plaçons entre deux véhicules, sous les pins. Rémy, c’est son prénom, se retourne et m’attrape par la taille et se colle à moi. Il pose ses lèvres contre les miennes. J’ouvre aussitôt ma bouche et nos langues jouent ensemble un bon moment alors que nos mains parcourent nos corps.

Rémy se baisse, il tient mon paquet puis défait le nœud de la ficelle de mon short. Nous nous mettons à genoux. Je glisse une main dans son maillot de bain et lui caresse les fesses. Elles sont fermes et bien rondes. Il retire ma main et me fait légèrement basculer en arrière. Il tire sur l’avant de mon short et libère ma queue bien raide et fièrement dressée.

Rémy prend mes couilles d’une main et approche son visage. Il passe sa langue sur mon gland et dépose sa salive tout autour avant d’y poser ses lèvres. Il me caresse ainsi le gland en ne mettant aucune pression. Ma bite gonfle encore.

Enfin, il s’enfonce et avale ma queue en entier. De sa main, il tire mes bourses vers lui. Il ouvre encore plus grand sa bouche et gobe chacune de mes couilles. Rémy se retrouve avec ma queue et mes couilles dans sa bouche. Je suis à l’étroit dans ce fourreau chaud et humide. Je gémis de plus en plus.

Il libère mes bourses une à une et commence un long va-et-vient. Sa langue colle ma queue contre son palais. Je sens la jouissance monter. Rémy me regarde. Nous sommes les yeux dans les yeux. Il continue. Je vais cracher. Il le sent et me tient les fesses au plus près de lui. Je n’en peux plus et lui envoie plusieurs jets de foutre au fond de la gorge. Je n’ai pas joui depuis plus d’une semaine. Il est servi. Rémy semble apprécier. Il avale au fur et à mesure.

Ma source se tarit, il ressort ma bite et lèche les dernières gouttes qui perlent encore au bout de mon gland. Sa bouche est vide. Il n’a rien perdu. Il se redresse sur ses genoux et j’aperçois sa belle bite bien bandée, sortie de son maillot de bain. Je compte bien en profiter aussi.

Je le pousse légèrement en arrière et me penche pour le prendre en bouche à mon tour. Je lui prodigue la même caresse sur son gland avec mes lèvres et ma langue. Il gémit rapidement et me tient la tête. Je m’enfonce enfin doucement sur son membre un peu plus petit que le mien. Une fois bien au fond, il me bloque et je sens plusieurs jets m’inonder. Son sperme est épais, mais pas très abondant. J’avale et ne garde que son gland en bouche. Ma langue passe et repasse tout autour. J’aspire jusqu’à la dernière goutte avant de le libérer.

Nous nous relevons en rajustant nos maillots. Nous nous remercions pour ce bon moment. Rémy me propose de me joindre à son groupe. Ils sont tous gays et les soirées sont assez chaudes. Ils sont là depuis une semaine et ne sont qu’à la moitié de leur séjour. Malheureusement, je pars le lendemain et, pour la faire courte, je lui indique que je suis bi et que ma femme est là, avec moi.

Nous retournons sur la plage et nous séparons à la hauteur de son groupe d’amis. Après un dernier « merci », je fais un signe au groupe et me dirige vers les transats.

À mon retour, ma femme et nos amis sont assis et regardent dans toutes les directions. Je leur fais signe. Ma mauvaise humeur a disparu. Je me sens détendu et joyeux. Aussitôt, Marie C me demande :


« - T’étais passé où ?

- J’ai eu envie de faire un tour.

- Mais, ça fait deux heures qu’on est sortis de l’eau !

- Bah, je n'ai pas vu le temps passé…

- Tiens, on t’a pris des churros à la cabane.

- Merci, ça tombe bien, j’ai faim ! »


Nous restons encore une petite heure, puis décidons de rentrer. En regagnant la voiture, je jette un œil sur ma gauche mais le petit groupe d'amis a disparu.


Dune



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