40/ Au cinéma

 

Je ne suis pas loin de Paris, de repos, je n’ai rien à faire aujourd’hui. J’ai comme une envie de sexe. Mes godes ne suffiront pas. Je veux de la bite ! Ma femme est encore à la Réunion. Je me prépare et m’habille léger. Un bas de survêtement et un sweat feront l’affaire.

Je pars vers la capitale, Place Pigalle. Je me gare et me dirige à pied vers un cinéma porno que j’ai repéré depuis un bon moment sans avoir eu l’occasion de m’y rendre. Je paie l’entrée et monte les escaliers. J’arrive au premier étage. Il fait noir. Je croise des hommes qui sortent ou qui attendent à l’entrée d’une première salle. Un film porno hétéro est diffusé. Que très moyennement intéressé par la bite de l’acteur, je sors et reprends ma déambulation. J’arrive dans une autre salle. Il n’y a personne et aucun film n’est diffusé. Je ne m’attarde pas et continue vers la dernière salle, au fond du couloir. Mes yeux s’habituent à l’obscurité. En arrivant, je vois que les sièges sont bien remplis. Visiblement, le film diffusé intéresse beaucoup plus de monde ici. J’entre. Enfin ! À l’écran, trois jeunes hommes baisent dans un spa. Je me dirige vers le fond de la salle. Un homme pouvant être mon grand-père est assis sur la dernière rangée de sièges. Je n’ai pas le temps de m’installer que je sens une main se saisir de la mienne. Un homme m’entraîne vers le couloir. Je le suis. Il me plaque contre le mur. Il doit connaître les lieux, car il me pousse dans un petit recoin isolé face à la sortie de la salle. Il me tient toujours la main et la dirige sur son sexe. Il bande ! Il porte un jogging qu’il fait descendre de sa main libre. Il ne porte rien en dessous et je distingue une bite bien raide. Nous n’échangeons aucune parole.

Je me baisse et prends son gland dans la bouche. Il me prend la tête aussitôt et commence à pousser. Il me lime la bouche rapidement. Il veut un coup rapide. Je le laisse faire. Il me pilonne la bouche, son gland bute contre mon palais. Puis, il se retire et envoie son sperme contre le mur. Il se rajuste, me remercie dans un français approximatif et s’en va. Je reste sur ma faim et je bande. Je me relève et je vois qu’un petit attroupement s’est formé à la sortie de la salle de projection pour nous mater. Il m’en faut plus !

Je rentre à nouveau dans cette salle et m’installe deux rangs avant le dernier. Vu mon état, je me caresse la bite par-dessus mon pantalon. Il ne faut pas attendre longtemps. Une main surgit de derrière et prend le relais. Il masse ma queue et me demande de le rejoindre au fond. Je ne perds pas une minute. Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre. Il descend mon survêtement et commence à me branler tout en douceur. Lui, c’est le grand-père de tout à l’heure. Dommage, il ne me laisse pas lui rendre la pareille.

Il me malaxe les couilles. Il passe des couilles à la bite en prenant son temps. Nos ébats ne passent pas inaperçus. Un homme s’approche et sors une bite énorme. Il commence à se masturber devant nous, en nous matant. Je lui fais signe de se rapprocher de moi. Ce qu’il fait. J’ai son gland devant ma bouche. J’ouvre en grand et passe ma langue dessus. Il apprécie et me lance : « oui ! Vas-y ! » Je prends son gland. Je ne peux pas tout enfourner tellement elle est grosse et longue. Il me laisse faire. Je suis maintenant allongé, les fesses sur les genoux du grand-père qui continue le massage de ma queue et de mes couilles, et avec une énorme bite dans la bouche. Mon sweat a volé et je suis torse nu, le survêt et le boxer sur les chevilles. Trois ou quatre spectateurs profitent du spectacle avec la queue à l’air. Après plusieurs va-et-viens, l’homme à la grosse bite se retire. Il râle en se masturbant. Je sens alors plusieurs jets de liquide chaud atterrir sur mon torse. Je passe une main. Il vient de balancer son sperme sur moi et pas qu’un peuIl se rhabille et part.

Le grand-père est un expert. Dès qu’il sent ma jouissance proche, il arrête de me branler pour s’occuper de mes couilles ou me caresser le torse avant de reprendre.

L’un des spectateurs s’approche à son tour. Il veut aussi en profiter et je ne vais pas le décevoir. Après tout, je suis venu pour ça. J’ouvre la bouche et il enfonce directement sa bite. De taille beaucoup plus raisonnable, j’éprouve moins de difficulté. Il me tient la tête et me baise la bouche en douceur, mais profondément. J’aime sentir que je ne peux pas aller plus loin, que toute la bite est en moi. Que ce soit dans la bouche ou dans le cul. Je suis tellement excité que je n’ai même pas de haut-le-cœur. Tout rentre et facilement en plus. Son gland titille ma glotte. Lui aussi se retire d’un coup. Par contre, il n’a pas le temps de se tourner qu’il crache tout son jus sur ma tête. Il se réajuste et disparaît. Dans le même temps, je sens que mon tour est arrivé. Le grand-père ne peut plus empêcher ma jouissance et mon sperme de jaillir. Il continue de me branler pendant que je crache. Je reçois mon propre sperme sur mon torse et aussi sur mon visage. Le grand-père, qui a tout prévu, sors un mouchoir et m’essuie. Nous discutons un peu et faisons connaissance. Il vient ici tous les mardis après-midi, profitant que sa femme est avec des copines. Il me fait promettre de revenir, car il a beaucoup apprécié.

Je sors du cinéma satisfait avec l’odeur du sperme restant dans mes cheveux ou sur mon corps. Il doit forcément en rester. Avec la pénombre, difficile de tout essuyer correctement partout.

Moi qui m’étais préparé pour une totale, je n’ai qu’un regret. J’aurais bien aimé qu’un autre spectateur visite ma rondelle pendant que je m’occupe d’une bonne grosse bite.


Dune








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