25/ Mon chef

     Mon unité est appelée en renfort au profit d’une autre brigade de Haute-Savoie. Celle-ci vient de faire l’objet de dégradations après un long épisode de violences urbaines. C’est l’été. Un détachement de 8 hommes est envoyé en renfort, pour deux semaines, sur cette commune afin de prévenir et réprimer toute récidive. J’en fais partie. Nous effectuons nos propres patrouilles en lien étroit avec la brigade locale. Il semble que la situation soit redevenue calme. Dans ces conditions, il n’est pas prévu de nous faire travailler de nuit. Mais nous devons nous tenir prêt à intervenir à tout moment. Tous les matins, nous faisons du sport et patrouillons les après-midi. Nous sommes logés dans un centre routier, à proximité de la ville. À deux par chambres, je partage celle du chef de détachement. Il faut dire que nous nous connaissons de longue date, puisqu’il faisait partie de mon encadrement lorsque j’effectuais mon service militaire « long ». Depuis son arrivée dans mon unité, nous entretenons des relations respectueuses dues à nos grades respectifs. Cela ne nous empêche pas, après le travail et lorsque l’occasion se présente, de faire la bringue ensemble, avec d’autres célibataires de l’escadron. À aucun moment, en arrivant dans cette ville de Haute – Savoie, je n’aurai pensé que notre relation allait prendre une autre direction.

N’étant pas employés le soir, chacun est libre de faire ce qu’il veut, dès lors qu’il reste joignable et prêt dès le moindre rappel.

Le premier soir, tout le monde va se coucher en même temps après le film diffusé à la télé du centre. Je rentre dans la chambre le premier et commence à me déshabiller. Jacques, mon chef, entre à son tour. Je suis totalement nu, me dirigeant vers la douche. Entre militaires, il n’y a rien d’extraordinaire à cela et je ne me cache pas du tout. Je prends ma douche et, lorsque j’en sors, Jacques attend sur son lit, nu, pour prendre la place. Il a 42 ans, sportif, châtain, peu poilu, un peu plus grand que moi. Il se lève dès que je sors de la douche et nous nous frôlons pour passer. Nos corps se touchent un bref instant. Sur le coup, je ne pense à rien en particulier. C’est là que je remarque que les lits ont bougé. Nous avons chacun un lit une place séparés par une table de nuit. Cette dernière a été déplacée et les lits sont rapprochés, mais pas collés. Je commence à me poser des questions, mais je n’ose imaginer faire quoi que ce soit avec mon chef. Il faut dire que le Ministre vient encore d’annoncer officiellement que l’armée ne compte aucun homosexuel dans ses rangs...

Jacques sort de la douche, nu comme un vers. Je range mes affaires dans l’armoire de la chambre avant de me coucher. J’ai encore ma serviette autour de la taille. Nous discutons un peu. Jacques s’allonge sur les draps et je peux voir son sexe, au repos et ses deux petites couilles en dessous. En discutant, il se caresse un peu de temps en temps. Je le rejoins et m’allonge, à mon tour, sur mon lit. Je retire la serviette. Je suis aussi nu que lui. Je remarque tout de suite son regard qui se porte sur mon sexe. Je suis mal à l’aise et je n’ose rien faire. D’autant qu’à l’époque, le simple regard d’un mec peut me faire bander. Je sens l’excitation me gagner. Je me glisse alors sous les draps en pensant que cela passerait. Je bande !

J’ai vite trop chaud et je ne supporte pas d’être bordé. Je me redresse et défais les draps et couvertures pour me sentir plus à l’aise. Je m’allonge et me tourne vers Jacques pour continuer notre discussion. Je suis certain qu’il a vu ma queue raide, même furtivement. Il fait pareil mais se met dos sur la tête de lit. Ses draps lui couvrent juste les jambes jusqu’au pubis. J’ai la tête à cette hauteur, l'entre-jambe de Jacques au niveau des yeux. Tout en discutant, je suis comme hypnotisé. Je ne lâche plus son corps et son drap du regard. Je suis persuadé qu’il le remarque, car de temps en temps, une de ses mains descend sous le drap. Il se caresse de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps. Par moment, j’aperçois sa bite dépasser du drap. Je n’en peux plus. Il faut que j’en aie le cœur net. Avec ma main droite, si je veux, je peux l’atteindre. J’en ai très envie, mais je n’ose pas. Je change légèrement de position et j’en profite pour poser ma main sur son lit, juste à côté de son corps, de sa bite. Je suis tétanisé ! Et si je me trompais ? Je ne peux pas aller plus loin ! J’ai déjà vu des camarades nous quitter précipitamment pour cause d’homosexualité !

Fort heureusement, je n’ai pas à attendre longtemps. Jacques, qui ne dit plus rien, pose sa main sur la mienne. Il la prend et l’emmène directement sur son sexe. Il bande, comme moi. Sa bite n’a rien d’extraordinaire, mais est bien raide. Il n’en faut pas plus. Je me redresse et me penche aussitôt vers sa queue. Je baisse ses draps, attrape sa queue et la met en bouche. Je le suce en lui malaxant les couilles. Il ne lui faut pas longtemps. Il jouit dans ma bouche. J’avale son sperme chaud. Je me redresse et tente un baiser qu’il me rend. Il goûte à son propre sperme. Il en reste un peu dans ma bouche. Puis, il prend mes fesses et les tire vers lui. Je me lève et présente ma queue devant son visage. Il écarte les lèvres et je m’enfonce doucement. Nous ne devons pas faire de bruit, les murs de l’hôtel sont fins et nos camarades sont dans les chambres autour. Je le guide un peu puis le laisse faire. Je jouis à mon tour dans sa bouche, en silence.

C’est à ce moment que quelqu’un frappe à la porte. Je fonce me remettre dans mon lit en vitesse. J’ai à peine le temps de remonter mes draps que la porte s’ouvre. Et si quelqu’un nous avait entendus ? C’est l’un de mes camarades qui veut confirmation de la tenue à porter demain matin. Jacques lui répond un peu sèchement et la porte se referme. Je suis soulagé, Jacques aussi. J’apprends qu’il est bisexuel, célibataire, mais pas libre. Il a une copine qui l’attend dans sa région natale. Au niveau expérience, ce n'est pas terrible. Il en est encore qu’à la pipe. Il me dit aussi que cela fait longtemps qu’il a envie de moi ; depuis mon service militaire. Il paraît que je l’excite avec mes tenues moulantes. Nous en restons là pour ce soir. Il est tard.

Le lendemain, nous nous organisons, car nous voulons profiter de notre soirée. Sous un prétexte quelconque, mais cohérent, nous prenons congé de nos camarades très tôt ; dès le début du film qu’ils regardent à la TV. Une fois dans la chambre, nous nous déshabillons et nous enlaçons. Je descends rapidement vers son sexe bandé et le suce. Jacques me demande s’il peut me prendre. Il en a envie. Ni une, ni deux, je saute sur le lit à quatre pattes et lui tends mon cul. Je sens ses mains écarter mes fesses et sa langue titiller ma rondelle. Il souffle fort. Je sens qu’il tente un doigt. Je l’aspire avec mon cul. Un deuxième se présente, que je prends également. Jacques se redresse et présente sa bite devant mon trou bien élargi. Il mouille son gland avec de la salive et s’enfonce. Après quelques mouvements, il se crispe et balance la purée. Il se retire aussitôt. Je sens son sperme couler sur mes couilles. Il me demande de me placer sur lui et de me branler. Il veut me voir et recevoir mon sperme sur lui. Il s’allonge et je me positionne sur lui, assis sur sa bite maintenant au repos. Je prends ma queue et commence ma masturbation. Par moment, je m’avance pour placer mon gland sur ses lèvres, mais il ne veut pas les ouvrir. Il veut me regarder. Je finis par lâcher plusieurs jets sur son visage et son torse. Il me fait un bisou sur le gland encore humide. Une petite tape amicale sur mes fesses et me dit : «  Gardons-en pour demain ! »

Nous passons le reste du déplacement à baiser tous les soirs. Nous continuons une fois rentrés à la caserne, mais moins régulièrement. Je suis très flatté, moi, le plus jeune des deux, qui lui sert de guide. Du haut de mes 24 ans, j’apprends des trucs à mon amant de 18 ans mon aîné.


Dune




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