24 / En transit à Lyon


Habitant la région Rhône-Alpes. Je suis toujours célibataire et, à l’époque, sans voiture. J’ai eu un accident et mon véhicule est chez un carrossier. Devant prochainement remonter dans ma Normandie natale, je prépare mon trajet en train. Je prévois un TER jusqu’à Lyon et quatre heures d’attente avant de prendre un TGV direct pour Rouen. Il va falloir que j’occupe mon temps sur Lyon.

La veille du départ, je me connecte sur le minitel, sur une appli de rencontre et, rapidement, je suis contacté par un garçon de mon âge. Nous échangeons beaucoup. Actif, il est disponible demain toute la journée. Il habite Lyon et se propose de venir me chercher à la gare en voiture, de me faire visiter (un peu) la ville puis d’aller chez lui avant de me ramener pour récupérer mon train. Le rendez-vous est fixé.

Je prépare mes valises le soir même. Ainsi, le lendemain matin, je n’ai plus qu’à m’occuper de moi en prévision de mon passage à Lyon….

Je monte dans le train qui me déposera, une heure plus tard, à la gare de la Part Dieu. J’ai hâte. Je n’arrête pas de penser à Cyril et à ce que nous allons faire. Je me sens à l’étroit dans mon jeans. Je bande et cela se voit ; moi qui ne porte que des pantalons très serrés. En rejoignant mon siège, je croise le regard d’un homme déjà assis qui fixe mon entrejambe. Je m’assois quelques rangs derrière lui. Il ne m’intéresse pas et il ne se passe rien. À part le fait que me savoir observé me fait bander encore plus. Plus le train avance et plus mon cœur bat fort. Je ne débande pas. Cela fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de coucher avec un mec. Trop longtemps à mon goût. Je réussis à rester zen. Je ne me touche pas, je ne vais pas aux toilettes.

Le train arrive en gare. Je récupère les renseignements notés sur un bout de papier sur le lieu de rendez-vous. Cyril m’attend dans sa voiture. Je me dirige vers lui et il descend de sa vieille Traction Avant très bien entretenue. Je découvre un jeune homme plus petit que moi, visiblement sportif, châtain clair aux cheveux courts. Il m’accueille avec un beau sourire auquel je réponds bien naturellement. Après avoir mis ma valise à l’arrière de sa voiture, nous partons en direction de la colline de Fourvière. Nous discutons de tout et de rien. Nous faisons une halte au niveau de la basilique et descendons de voiture pour aller voir le paysage. Cyril me sert de guide. Je me penche et m’appuie en avant sur la balustrade pour admirer la vue. Je sens sa main droite dans mon dos. Elle descend rapidement pour s’arrêter sur mes fesses. Il me propose alors de nous rendre chez lui. Enfin, nous allons passer aux choses sérieuses !

En fait, nous sommes juste à côté. Il se gare et nous montons à son appartement. Dès qu’il ferme la porte, il se retourne et nous nous sautons littéralement dessus. À grands coups de langues, je visite sa bouche. Il en fait de même. Nous nous déshabillons en même temps. Nous luttons pour nous séparer afin d’enlever ce qu’il reste de nos vêtements. Puis, nous nous retrouvons. Nous sommes nus, debout, bite contre bite. Nos mains parcourent nos corps, nos fesses. Les siennes sont rondes et fermes. Son corps est musculeux sans être bodybuildé. Par une légère pression sur mes épaules, Cyril m’indique qu’il faut que je descende. Je ne me fais pas prier. Je passe ma langue sur son torse légèrement poilu, en descendant vers son sexe. Bien raide, épaisse et veineuse, je sens que sa queue va me faire du bien. Son gland est proéminent, comme je les aime. Je ne le prends pas tout de suite en bouche. Je m’occupe d’abord de ses couilles. Une à une, puis les deux. Je les gobe, les fais rouler dans ma bouche. Il bande raide et gémis. Je les libère et prends d’un coup sa bite sur toute la longueur. Son gland tape contre le fond de ma gorge. Je ralentis le mouvement, on a le temps. Je commence un lent va-et-vient tout en lui caressant les fesses. Il me tient la tête. Reprenant le contrôle de la situation, Cyril me relève. Il m’embrasse et me pousse sur le lit. Dans le mouvement, mes jambes se lèvent. Il les attrape et se positionne devant. Je suis sur le dos, les jambes en l’air. Lui se présente face à moi, la bite bien raide. Il la prend en main et la frotte contre mes couilles. Il descend maintenant contre mon anus. J’ai envie qu’il me prenne. Je veux qu’il mette son pieu bien dur dans mon cul. 

Il continue de pousser sur mes jambes. Je suis plié en deux, le cul offert. Il approche son visage et je sens sa langue me titiller la rondelle. Il me mouille et me fouille. Je sens que je m’ouvre. Je n’en peux plus. Je le veux en moi et le lui dit. Il se redresse et présente sa queue bandée à l’entrée de mon trou. Je lui fais signe d’y aller. Il s’enfonce, doucement, plus loin, jusqu’au bout. La chaleur m’envahit. Je me détends et il commence un long va-et-vient dans mon cul. Enfin, je l’ai bien au fond. Tout en me regardant droit dans les yeux, il n’arrête pas de me pilonner en s’appuyant sur mes jambes repliées. Il entre et sort de mon cul sans même s’aider d’une main. Ses couilles battent contre mes fesses. Je gémis et je sens la jouissance arriver. Il transpire. Sa sueur tombe sur moi. Je lèche ce que je peux récupérer. Il ralentit d’un coup, me roule une pelle et continue ses coups de piston plus en douceur. D’une main, Cyril prend mes couilles, puis ma bite et me branle. Il y va lentement, au même rythme que ses mouvements de hanches. Lorsqu’il sent que je me raidis, il lâche ma queue. Je suis sur le point d’exploser. Il enfonce sa bite au plus profond de moi et reprend ses va-et-vient plus rapides. Je suis sur un nuage, totalement à sa merci. Il peut faire ce qu’il veut de moi. D’un coup, en râlant, il se retire. Plusieurs jets de sperme m’arrosent le torse, le menton et la queue. Je prends ma bite en main et me branle. Cyril n’a pas encore repris ses esprits que, moi aussi, je balance la purée. D’une main, il me caresse le torse et la queue avec nos spermes qui se mélangent. Il porte sa main au niveau de mon visage. Ses doigts dégoulinants de sperme effleurent mes lèvres. Je tire la langue et les prends pour les lécher. Cyril s’écroule sur moi. Nous restons ainsi, quelques minutes, enlacés. Mais j’ai un train à prendre.

Nous nous levons. Pendant que je prends une douche rapide, Cyril nous prépare un repas vite fait, mais consistant. Ensuite, il me ramène à la gare et j’arrive à temps pour monter dans mon train.

Bizarrement, j’ai écourté mes vacances en famille pour revenir passer quelques jours sur Lyon avant de reprendre le travail. Ce fut un long week-end des plus torrides qui, pour une fois, se renouvela….


Dune





Le texte complet commence ici.

2 commentaires:

dany marseille a dit…

J adore merci. C est bandant je me mets à la place de chaque mec tour à tour

Jean a dit…

Très excitant merci je suis en pleine forme maintenant il va falloir faire qqchose bises