Il faisait chaud.
Je me promène dans les rayons du supermarché quand
j'aperçois un beau mec sur un escabeau en train de ranger des
boites.
Je lui demande un produit que je ne trouve pas. Il me
répond avec un sourire fantastique. Je lui dit : "Vous avez un
très beau sourire, c'est agréable !"
Il me remercie et
descend de son escabeau en s'appuyant sur mon épaule. Je frémis. Je
lui dis : "Il fait chaud, on serait mieux a la plage !".
Il
me répond : "Pas la peine d'être à la plage pour se mettre à
l'aise. On peut le faire ici !".
Il a compris ce qui
m'intéresse chez lui ! Il me fait un signe et m'entraîne vers la
réserve.
Là, à peine arrivés dans une remise un peu sombre,
il m'arrache presque mes vêtements et me roule une pelle d'enfer. Il
embrasse bien !
La première surprise passée, je mets ma main derrière
sa nuque et j'appuie pour le faire plier et descendre. Il comprend et
se met a genoux. Je bande comme un âne !
Il ouvre mon jean, me
prend la queue et commence à me sucer. Oh bonne mère, il suce comme
un dieu !
Nous n'avons toujours pas échangé un mot depuis que
nous avons quitté la surface de vente. Il me suce tellement bien que je
deviens très dur et je sens que je vais jouir, mais je veux faire
durer le plaisir. Je retire ma queue de ses lèvres et le pousse en
arrière. Il tombe doucement sur le dos et se retrouve allongé sur
une sorte de toile de tente. A mon tour, je lui arrache son pantalon
et lui relève les jambes à hauteur de la tête. Je découvre alors
son anus et je plonge tête la première pour lui dévorer en
grognant. Il bouge son cul en gémissant. Je le sens s'ouvrir. Ma
langue lubrifie bien sa rondelle toute rose.
Quand il est bien excité et bien écarté, prêt à me
recevoir, toujours sans un mot, j'enfile rapidement un chapeau
de caoutchouc. Il me regarde faire avec envie. Je me présente devant
lui et le poignarde de mon dard en feu. Il ne dit toujours rien. Il
gémit, c'est tout !
Je le lime comme un étalon. Je le baise
comme un taureau, à grands coups de reins ! Il me regarde au
dessus de lui, le dominant, tandis que je l'encule à mort ! Pendant
un bon quart d'heure, je le baise comme ça, toujours sans un mot,
avec seulement des grognements et des gémissements.
Je sens que je vais venir. Je me retire de son cul en
feu et enlève la capote. Je me mets à califourchon sur sa poitrine
pour lui fourrer de nouveau ma belle pine très dure dans la
bouche. Il me regarde avec ses beaux yeux marron clair. Je
lime comme un fou dans sa bouche. Il me suce à nouveau comme un dieu
et, finalement, j'explose entre ses lèvres. Plusieurs giclées de
foutre chaud se répartissent pour moitié dans sa bouche et sur son
visage !
Il avale et continue de me sucer pour bien me nettoyer
la bite. Il me la rend bien propre et rose.
Je la range, je me
relève, je fais demi-tour et je m'en vais.
Nous n'avons pas
échangé un seul mot pendant nos ébats mais, putain, que c'était
bon !
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