
Elle ne veut pas se calmer !
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Ils n'osent pas se regarder ?
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Ils vont profiter d'une belle après-midi
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Première avec un mec
Tout d'abord, quelques précisions : Je suis bi, sans aucun doute, mais surtout, je suis hyper timide, c'en est presque maladif. Même écrire ne m'est pas facile, mais bon... il faut bien commencer quelque part...
Cela remonte à 3 ans, fin mai
début juin.
J'étais alors étudiant dans un IUT dit
"délocalisé", autrement dit, perdu en pleine campagne,
avec rien à faire autour. On avait quand même la chance d'avoir
deux départements d'IUT, et donc d'avoir un trou pour le logement.
Pratiquement personne ne se connaissait avant d'arriver dans cet
endroit paumé et, à part quatre ou cinq personnes, nous venions
tous des quatre coins du pays, voir de plus loin encore. Autrement
dit, n'étant pas très nombreux dans chacun des départements d'IUT,
on a rapidement appris à se connaître presque tous. Donc, pour
animer les soirées on à rapidement pris le rythme de manger en
groupe, notamment le soir. On faisait des courses en commun, puis
avec des tréteaux et des portes des douches, on s'installait
tranquillement dans le couloir. Généralement tout se passait bien,
mais comme vous pouvez imaginer, une trentaine d'étudiants, ça fait
du bruit...
Ce soir là, j'étais arrivé en retard au
repas, et je me trouvais donc en bout de table. On venait à peine de
commencer à manger (avec la préparation, il était presque minuit),
quand un des retardataires comme moi nous prévint que son voisin de
chambre se plaignait du bruit.
Le mec qui se plaignait était un
étudiant de l'autre département d'IUT, j'avais déjà discuté
plusieurs fois avec lui, il était au moins aussi timide que moi.
Je
me suis donc décidé à sonner à sa porte pour l'inviter, me disant
qu'au moins je pourrais discuter avec lui (pour ne rien gâcher, il
était très mignon).
Et là, il m'a ouvert... Pour autant
que je m'en souvenais, il était mignon, il avait une belle gueule,
mais là... Il ne portait qu'un caleçon ! Il avait le torse halé,
pas bronzé, dessiné mais pas trop, les jambes un peu poilus, mais
très clair, et bien musclé.
Bref, je suis resté planté là...
heureusement pour moi, une de mes collègues m'avait suivi, et sa
première réaction à été : "Whaoooo, le mec !!!". Ce
qui a eu pour effet de nous faire éclater de rire tous les
trois.
Bref, je lui propose de nous rejoindre à table
pour qu'il puisse participer au bruit. Il n'étais pas très motivé
d'autant qu'il avait déjà mangé... Au bout de presque une heure de
parlotte, il se décide finalement. Je rejoins la table pendant qu'il
s'habille (quand même) et en profite pour manger un peu. Il nous
rejoint alors que nous en sommes tous au digestif. Bref, la soirée
continue, bien arrosée.
A force de discuter et de boire
un verre avec tout le monde, il est quatre heures du mat', et on a
tous bien trop bu. Beaucoup sont déjà allé se coucher, et on se
retrouve à cinq pour débarrasser. Bien entendu, on continue à
discuter. La seule chose que l'on a gardé après avoir débarrassé,
ce sont les bouteilles... La soirée n'est pas terminée...
Bonant
malant, on se retrouve à trois. Il est cinq heures. Un pote de
promo, le voisin très mignon et moi décidons d'aller se coucher.
Mon pote de promo n'est pas au même étage que nous, il nous quitte
donc le premier. Moi, je continue ma discussion avec Fabrice tout en
nous dirigeant vers nos chambres. Je lui dit que de toute façon,
j'ai cours à huit heures et que, vu l'heure, je ne vais pas me
coucher. Lui aussi me précise qu'il a cours de bonne heure. Il me
propose un café dans sa chambre pour nous tenir éveiller. Je ne me
suis pas fait prier... Nous voilà tous les deux dans sa chambre à
attendre que le café coule. Vous imaginez les chambres étudiantes,
environ 15m², donc cela implique une certaine proximité.
Il me
dit qu'il va se prendre une douche pendant que le café passe. Ok
pour moi, je n'ose pas faire le premier pas. Le café se termine
enfin. Je vais vers le coin cuisine pour le verser dans les muggs.
Pendant ce temps, lui avait fini sa douche. Il passe derrière moi
avec juste une serviette autout des hanches.
Le couloir étant
très petit, je me sers bien contre l'évier pour le laisser passer
(pas trop quand même) mais on se frôle tout de même amplement.
Arrive ce qui doit arriver. Lui passe, mais pas sa serviette. Je
passe par toutes les couleurs de l'arc en ciel, tout comme lui
d'ailleurs. Mais bon chacun fait semblant de rien, moi je me verse le
café sur la main, et lui ramasse sa serviette. Il me demande si je
m'en sors avec le café. Je me suis quand même bien brûlé la main,
et je me retourne un peu vite pour lui répondre... Bref, on se
retrouve bouche contre bouche en une seconde.
L'alcool
aidant, on va dire que les réctions sont plus lentes... la mienne en
tout cas. Je ne me suis pas écarté tout de suite. Sa réaction à
lui ne s'est pas fait attendre, et ce n'est pas une serviette de
douche qui aurait pu cacher quoi que ce soit...
Je suis
timide, mais bon, comme on dit, l'occasion fait le larron... et je
lui ai posé les mains sur les hanches, au pire, je savais que
j'avais des glaçons dons mon frigo pour faire disparaître le
cocard... mais non, il s'est encore plus rapproché de moi. M'a pris
dans ses bras et on a commencé à jouer avec nos langues. Le lit
étant à moins d'un mètre, on s'est rapidement allongé, tout en
continuant à s'embrasser.
Pour moi, c'était ma première
fois avec un mec, je ne savais donc pas trop quoi faire, d'ailleurs,
pour lui aussi comme il me l'a dit après.
Bref, on se
caressait, s'embrassait tendrement sans oser aller plus loin. Mon
truc, c'est les oreilles. J'adore jouer avec ma langue dans le cou et
les oreilles de mes partenaires, et généralement, cela plait assez.
A partir de ce moment là, tout a vraiment commencé. Il appréciait
vraiment mes jeux à ce niveau là. Nos ondulations l'un contre
l'autre nous avait vraiment mis en forme.
Son bas ventre
collé contre la braguette de mon jean, il se masturbait contre. Je
lui ai pris le pénis dans la main, et j'ai commencé à le masturber
lentement. Lui pendant ce temps commençait à ôter mon sweat, puis
mon jean. En dessous, je portais un calecon qui maintenait ma bite
contre la jambe.
Il a ensuite commencé à m'embrasser dans le
cou, puis il à joué avec mes tétons, léchant le contour, puis
mordillant les bouts... J'avais mal tellement ma queue forçait sur
les coutures du caleçon pour remonter...
Il est descendu
lentement, passant par mon nombril, en jouant avec au passage, puis
s'est décidé (enfin) à faire descendre mon calbut. Enfin libérée,
ma queue lui est revenu d'un coup lui fouettant le visage au passage.
Pas mécontent de son effet, il a continué à me lécher et me
mordiller tout autour, sans toucher mon pénis pendant dix bonnes
minutes, pour enfin l'engloutir. C'était la première fois qu'on me
faisait une vraie fellation. J'avais déjà essayé avec certaines de
mes ex copines, mais aucune n'était vraiment emballée. Là, c'était
l'apothéose, il jouait avec sa langue tantôt en me léchant le
frein, tantôt en essayant de pénétrer le petit orifice, que le
precum aidait à lubrifier.
Je lui ai pris la tête entre
les mains pour le faire arrêter avant d'exploser, et le fit remonter
pour lui donner un long baiser. Enfin, à mon tour, je me décidais à
descendre le long de son corps, tout en profitant au passage de
chacune des courbures de son torse.
J'ai commencé à
jouer avec son bout, je ne suis pas désavantagé par la nature, mais
lui était plus que gâté... on était à peu près de même
longueur, mais lui était beaucoup plus large. Il était au dessus de
moi, j'en profitais donc pour lui masser les fesses en même temps.
Tout en me concentrant sur sa bite, j'en profitais pour me rapprocher
de sa rondelle. Cela devait lui plaire car il fit tout ce qu'il pu
pour écarter les fesses. Je profitais pour introduire un doigt, il
se mit à gémir de plaisir. Sur le coup, je me suis demandé s'il
allait venir. Pour une première fois, je ne me sentais pas près à
le recevoir dans la bouche. Il a du percevoir mon trouble et se mit à
caresser ma main dont une partie était en lui.
Je lui demandais
s'il voulait essayer. Il me dit que oui, en sortant un préservatif
de sa table de nuit. J'allais pratiquer la sodomie pour la première
fois, et je ne savais pas trop comment faire. D'après ce que j'avais
lu, cela pouvait faire mal au partenaire, et il fallait aussi
lubrifier. J'ai mis de la salive dessus, et essayé de rentrer
doucement, étape par étape. En fait, tout s'est bien passé, il
gémissait en souriant, me motivant pour aller plus loin. Quand je
suis rentré à fond en lui, il m'a enserré très fort et à
commencé le mouvement de va et viens, à son rythme. Je lui griffais
doucement le dos puis lui effleurait à peine jusqu'a ce qu' il ait
la chair de poule. Cela m'aidait à me contrôler pour ne pas venir
trop vite. Au bout de 10 minutes, il commença à accélérer le
mouvement tout en gémissant en rythme de plus en plus vite. On ne
pouvait pas faire trop de bruit, les murs n'étant pas spécialement
épais dans ce style d'immeuble. Enfin, j'ai senti les muscles de son
ventre se contracter par à-coups. Ce qui déclencha en moi une vague
de chaleur et me fit jouir dans les secondes suivantes. Nous avons,
en fait, joui en même temps, lui sans même se toucher et moi en
lui.
Je me suis écroulé sur lui, lui embrassant la
nuque, il était en sueur. Je me souviendrais toujours de cette
odeur, forte et délicate. Je sentais encore l'odeur de son gel
douche, mêlée à cette odeur de sueur de l'amour.
Après
m'être retiré, nous nous sommes longuement embrassé, profitant des
derniers instants de calme avant le rush des premiers étudiants dans
le couloir. Je lui ai demandé si je pouvais prendre une douche. Il
m'a répondu "oui, mais pas tout seul"... Nous nous sommes
savonnés mutuellement et il ne nous a pas fallu longtemps avant de
retrouver la forme... Nous sommes sortis de la douche par obligation,
n'ayant plus d'eau chaude.
Je suis sorti de chez lui à
sept heures en profitant qu'il n'y avait personne dans le couloir.
J'ai rapidement regagné ma chambre. J'étais bien décidé à ne pas
aller en cours pour récupérer et profiter encore de cette première
nuit avec un mec. A dix heures, j'étais encore au lit, les yeux
ouverts à penser à lui quand on a sonné à ma porte. Je rêvais
que ce soit lui, car à vrai dire, on avait beaucoup discuté pendant
la soirée, mais assez peu pendant et après notre fin
de nuit... En fait, c'était une de mes collègues, qui
s'inquiétait de ne pas m'avoir vu en cours le matin. Il faut dire
que je l'ai un peu expédié manu militari pour retourner à mes
rêveries. Cinq minutes après, rebelote... sonnerie, histoire de
vous mettre de mauvaise humeur... Mais non, cette fois, c'était lui
!!. "J'allais en cours quand j'ai vu Steph sonner chez toi...".
Je ne sais pas si il y avait quelqu'un dans le couloir à ce moment
là, mais je ne pense pas, j'ai jamais eu de remarques. Je l'ai
attrapé par les fesses et tiré vers moi pendant que lui
m'embrassait. On a passé toute la journée ensemble...
Nous
étions tous les deux en première année, mais dans deux
départements différents. J'ai fini mes cours mi-juin, et suis parti
avec un groupe de collègues dans le sud de la France. A mon retour,
il n'était plus là. A la rentrée suivante, j'ai appris qu'il avait
changé de département et donc de fac.
On à quand même
passé presque trois semaines ensemble, et croyez moi, je suis pas
près de les oublier...
Angelo
Je prends le relais avec grand plaisir
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Je pourrais pas tout prendre !
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