36/ Un plan à trois imprévu ! Et le fond du gouffre…
Je reçois une longue lettre de Jack. Je passe les détails. Il m’informe qu’il a rencontré quelqu’un. Cela semble sérieux et il s’installe avec lui. Il me précise qu’il respectera notre promesse et ne m’oubliera jamais. Toutefois, Jack me demande de ne plus appeler au téléphone. Cette fois, c’est vraiment fini !
Après une blessure en sport, je rate un déplacement professionnel de plusieurs semaines. Je suis contraint de rester à la caserne. Fort heureusement, Guillaume, l’un de mes potes, nouvellement affecté, est, lui aussi, resté au dépôt. Nous nous retrouvons presque tous les soirs, quand nous ne sommes pas de service au poste, à l’entrée de la caserne. Il est plus petit que moi, brun et très bien proportionné. Motard, il m’emmène souvent en balades pendant nos temps libres. Il m’arrive de dormir chez lui lorsque nous avons un peu trop abusé d’alcool et de ses cigarettes roulées à la main. Pour rentrer chez moi, je dois traverser la caserne à pied et il ne faudrait pas qu’un gradé me tombe dessus dans cet état ! Guillaume dort dans sa chambre et moi dans le canapé-lit du salon. J’ai, à plusieurs reprises, eu l’occasion de le voir nu et réciproquement. Il m’attire, mais je ne veux pas risquer de tout briser. Et puis, malgré mes efforts, je pense toujours à Jack.
Une fois, l’alcool et les cigarettes aidant, nous nous sommes masturbés devant un film de cul hétéro dont il avait la cassette. Nous étions totalement nus tous les deux, assis chacun à un bout du canapé. Je matais, le plus discrètement possible, Guillaume et sa bite de bonne taille, une fois bandée. J’imaginais bien des choses avec lui, mais il est « officiellement » hétéro et est persuadé que je le suis aussi.
Nous sommes en fin de semaine et aucun de nous ne travaille le lendemain. Guillaume me dit dans la journée qu’un de ses potes de Lyon sera chez lui ce soir. Du coup, je reste chez moi pour la soirée et en profite pour me connecter sur un site de rencontres, via le minitel. Je me suis déjà préparé, au cas où il faudrait que je sorte. Je n’ai plus qu’à m’habiller. Pour l’instant, je suis nu sous mon peignoir.
Rien ! Je ne fais aucune touche. À croire que tout le monde est sorti. Par défaut, l’idée d’une bonne branle me passe par la tête et ma bite commence à réagir.
Quelqu’un frappe à ma porte. Qui peut bien venir me déranger à minuit ? Je réajuste mon peignoir et ouvre. Guillaume est là, avec un autre jeune homme de nos âges, brun. Très brun même, de cheveux et de peau. Du genre que j’adore ! Je les fais entrer dans mon salon et je fais la connaissance de Gabriel, originaire des Antilles et habitant Lyon, comme Guillaume avant. Ils sont amis d’enfance. Je nous sers un verre. Visiblement, ils en sont toujours à l’apéro et ont déjà fumé quelques cigarettes. Je crois que c’est Gabriel qui commence à parler de cul et à faire des allusions sur la vie en communauté uniquement entre hommes. Il n’est pas militaire et est persuadé que nous avons déjà couché ensemble, Guillaume et moi. Nous nions en riant. Hors de question de lui dire que nous nous sommes déjà branlés en présence de l’autre. Il n’insiste pas, mais continue à parler de cul. L’alcool continue à couler gentiment. D’un coup, alors que je passe à la hauteur de Gabriel pour aller dans la cuisine, il attrape un pan de mon peignoir et tire dessus. Il s’ouvre. J’ai les mains prises et je ne réagis pas rapidement. Gabriel prend mon sexe et mes couilles puis les malaxe devant Guillaume. En le regardant, il dit à son pote :
« Regarde, il commence déjà à bander ! Je suis sûr qu’il aime ça ! Tu ne veux pas une petite pipe, Guillaume ? Ça te ferais du bien ! »
Je sens que je suis rouge de honte, mais je ne bouge pas. En fait, il a raison, j’en meurs d’envie depuis que je connais Guillaume. Ma bite ne résiste pas au traitement et je bande. Après de très rapides hésitations, Guillaume se lève et s’approche de moi avec un air interrogateur. Il me demande confirmation. Je lui fais signe de la tête. Guillaume dégrafe alors son pantalon. Gabriel lâche mes couilles et me libère de ce que je porte dans les mains. J’ai déjà vu la bite de Guillaume au repos ou bandant. Je n’ai pas de surprise. Je m’agenouille devant lui. Je prends sa queue, déjà bien raide, d’une main et la présente devant ma bouche ouverte en grand. Je gobe son gland que j’humidifie avec ma salive. Guillaume prend ma tête dans ses mains et m’enfonce doucement sa bite au fond de ma bouche. Je sens son gland buter contre ma glotte. Sa bite grossit encore. Je profite d’un petit relâchement de Guillaume pour jeter un œil au-dessus. Je les vois se rouler une pelle magistrale et se caresser. Mes mains partent à la recherche de la braguette du jeans de Gabriel. Je l’ouvre tout en continuant de sucer Guillaume. Je découvre et libère une bite correspondante à la réputation des blacks, sans être un « monstre ». Je la prends et la présente aussi devant ma bouche. J’alterne, je ne suis pas sûr que les deux entrent en même temps. J’essaie tout de même. Au mieux, je ne prends que leurs glands, mais c’est déjà beaucoup !
Gabriel prend les choses en main. Il me relève. Tous les deux finissent de se déshabiller et nous allons tous les trois sur mon lit. Je sors un flacon de gel et Gabriel me demande de me mettre sur le dos et de relever les jambes. Je m’exécute bien volontiers. Guillaume se positionne à l’arrière, prêt à m’enculer et Gabriel passe devant. J’ai l’impression de rêver. Guillaume entre en premier. Mon trou s’écarte au passage de sa bite. Il entre à fond avant de commencer un lent va-et-vient. Le gland de Gabriel se présente à mes lèvres. J’ouvre en grand et il s’enfonce.
Après plusieurs minutes, Gabriel donne le signal à Guillaume et ils échangent leur place. La queue de Guillaume me baise la bouche directement alors que je sens la bite de Gabriel, sur chaque millimètre, qui me pénètre. Tous les deux me liment les trous. Je n’en peux plus et la jouissance arrive. Sans me toucher la queue une seule fois, j’expulse de longs et puissants jets de sperme. Certains atterrissent sur le ventre de Guillaume. Gabriel se retire et explose à son tour. Il m’arrose littéralement de son sperme chaud et très épais. J’ai l’impression que mon cul n’est qu’un trou béant. C’est au tour de Guillaume. Il positionne sa bite juste au-dessus de mon visage et se termine en se masturbant. Je garde la bouche ouverte pour récupérer ce que je peux. Je ne suis pas déçu. Juste avant de cracher, il dirige sa bite vers ma bouche et je peux tout prendre. C’est épais et abondant. Je joue un peu avec, avant d’avaler.
Tous les deux s’écroulent à côté de moi. Nous terminons ainsi la nuit, tous les trois, dans mon lit.
Nous nous réveillons le lendemain midi, satisfaits et ravis. Tellement, que nous nous promettons de remettre ça au plus vite. Gabriel ajoutant qu’il aimerait bien tenter une double sodo la prochaine fois. Je lui confirme que mon trou est à leur disposition.
Tous les deux m’affirment qu’il n’y avait rien de prémédité avant leur venue. Apparemment, Guillaume et Gabriel n’avaient jamais rien fait ensemble avant cette soirée. Gabriel admet coucher avec des mecs de temps en temps. Pour Guillaume, c’était une première avec un homme et il ne regrette pas du tout.
Mais, Gabriel n’aura jamais l’occasion de revenir...
Dune
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