Le Kiné

 Cela fait deux semaines que j'ai mal au dos. Je n'en peux plus. Je vais voir mon médecin. Après la consultation, il me prescrit des médicaments et dix séances de kinésithérapie. En rentrant chez moi, après être passé à la pharmacie, j'ouvre l'annuaire à la recherche d'un kiné. J'ai de la chance il y en a un à 300m de chez moi. J'appelle et une voix masculine, dynamique et jeune me répond. Je lui explique mon problème, il me répond qu'il n'a plus qu'un patient et qu'il peut me prendre après.

Je prends mes affaires et me mets en route. J'arrive, la salle d'attente est vide. J'entends des voix dans la pièce à côté. Je feuillette des revues, ce sont toutes des magazines de planche à voile plein de mecs bronzés avec des corps à faire bander une statue. Dix minutes passent, la porte du cabinet s'ouvre et je vois un jeune de 18-20 ans sortir avec des béquilles. Le kiné lui tient la porte et le raccompagne en lui recommandant faire les mouvements qu'il lui a montré et de revenir dans 3 jours: "Salut et bon courage."
Il se retourne, me fait un sourire et me dit:
- "C'est vous qui venez d'appeler?
- Oui, merci de me recevoir si vite.
- C'est normal quand on peut aider quelqu'un qui souffre, il ne faut pas hésiter. Vous êtes mon dernier patient, je vais fermer la porte et couper la sonnerie de la porte d'entrée. On y va ?"

Il ouvre la porte du cabinet et me fait entrer.
- "Donnez-moi votre ordonnance s'il vous plaît, merci. Mettez-vous en slip et allongez-vous sur le ventre sur la table pendant que je remplis votre dossier."

Je commence à me déshabiller. Je m'aperçois que je ne me suis pas changé avant de quitter la maison et que j'ai un caleçon shorty en lycra blanc moulant qui descend à mi-cuisse et monte haut sur la taille. Enfin, ce n'est pas grave puisque je vais m'allonger sur le ventre. Je grimpe sur la
table vite fait avant que le kiné ne me rejoigne. Il ne verra pas mon service trois pièces moulé.
Il s'approche de moi et me demande si j'ai froid. Je lui réponds que non, son cabinet est bien chauffé.
- "Bon et bien on va commencer, me dit-il."
Il prend une huile et commence à me masser la nuque puis les épaules. Je me sens glisser dans une douce chaleur. Ses mains sont à la fois fermes et douces. Il fait jouer les muscles entre ses doigts sans me faire mal tout en appliquant une pression ferme. Je me laisse faire et je pense à ce mec qui est en train de me masser. Il fait à peu près 1m80, dans les 75kg, brun, bronzé, d'allure dynamique. Il porte une courte blouse blanche avec des manches courtes qui découvrent des avant-bras musclés.
Il ne porte rien sous sa blouse et on voit des poils noirs qui s'échappent du col. Il porte un pantalon de toile blanche. Il me fait tellement de bien que je me surprends à gémir de bien-être.
- "Excusez-moi !" lui dis-je, mais vous me faites tellement de bien que j'en gémis.
- "C'est très bien ! Détendez-vous ! Je vais vous dénouer, vous êtes tendu comme la corde d'un arc."
Sa voix est douce et amicale, il me pose des questions sur mon métier, etc...

- "Vous habitez où ?" me dit-il
- "J'habite à 300m d'ici
- Ah c'est très bien vous n'aurez pas long à faire pour rentrer chez vous."
Ses mains descendent le long de ma colonne vertébrale et arrivent à mes reins douloureux. Je commence à bander ferme. Heureusement, je suis sur le ventre. Ses mains me procurent un bien fou. Je rêve qu'au lieu d'être à une séance de kiné, ce soit un massage érotique. Du coup, mon imagination s'emballe et ma queue gonfle encore sous moi. Je m'imagine avec mon kiné, entraînés dans une séance plus érotique. Je ne peux m'empêcher de lever les fesses à chaque fois qu'il descend au bas de mes reins et que ses doigts viennent buter contre l'élastique du shorty.
Quand tout à coup, tonnerre ! Il me demande d'enlever mon shorty pour pouvoir me masser les reins plus facilement. Mon shorty le gène. Je lui dis que je peux baisser l'élastique. Il me répond que ce n'est pas grave, que je peux enlever mon shorty, on est entre hommes. Il s'écarte de la table de massage. Je me relève rouge pivoine. Je ne peux pas cacher mon érection et, comble de tout, j'ai une large tache d'humidité au bout de ma queue qui se voit sur mon shorty. Quel âne je fais. Si j'avais mis un slip taille basse, cela ne serait jamais arrivé. Ça m'apprendra ! En plus, il va voir que je suis complètement rasé ! C'est bien ma veine.
Evidemment, il remarque la tache sur mon shorty et que je bande comme un âne. Je bredouille des excuses. Il me dit que c'est fréquent que des mecs bandent quand on les masse. Il a l'habitude.

Il a l'habitude peut être, mais est-ce qu'il a l'habitude de voir des mecs bandés raides avec le bas du ventre, la queue et les couilles rasées ? Là, c'est moins évident. Enfin, au point où on en est, je ne peux plus reculer. Je prends mon courage à deux mains et baisse mon shorty. Ma queue, la traîtresse, se dresse fièrement avec un peu de liquide transparent au bout du gland. Mes couilles apparaissent rasées et bien pendantes. Il me fait un sourire et me dit:
- "Je vois ! Vous êtes très tendu à ce qu'il me semble. Allez, allongez-vous sur le ventre. Je termine avec vos reins et je vais vous faire un massage pour vous détendre."
Il se remet en place et reprend son massage sur mes reins. À un moment, il arrête ses massages. Je me retourne et il me dit qu'il a chaud et qu'il va retirer sa blouse. Il me dévoile alors une poitrine
musclée sans excès et bronzée, légèrement couverte de poils noirs.
- "Bon reprenons notre massage."
Il prend une nouvelle huile et s'en enduit les mains. Il les pose directement sur mes fesses en y appliquant une pression ferme. Il les pétrit. A chaque passage, ses pouces écartent mes fesses et se rejoignent près de mon trou. Je me laisse faire, il est expert l'animal. Maintenant, ses doigts tournent autour de mon trou. Ils se font insistant. Tantôt il écarte mes fesses pour faire glisser ses doigts sur ma rosette, tantôt il les resserre. Un vrai supplice ! Un doigt se fait plus insistant et commence à me pénétrer. Puis je sens sa main glisser sous moi, et venir me caresser la queue et les couilles.
- "Si on changeait de position ?", me dit-il. "Tourne-toi et mets-toi sur le dos !"
Tiens, il me tutoie. Sa voix est ferme et sensuelle, prometteuse de nouveaux plaisirs. Je me retourne, et lui présente ma queue raide avec un petit filet qui pend au bout du gland. Il rit et me dit :
- "J'ai l'impression que mes massages te font de l'effet, non? Bouge pas je reviens."
Il passe dans une petite pièce à côté et revient avec des gouttières comme celles qu'utilisent les gynécos pour leurs examens.
- "Tiens mets tes jambes dedans."
Me voilà allongé sur le dos, les jambes dans les gouttières, le cul et les couilles offerts. Il s'installe entre mes jambes et commence à me doigter lentement mais fermement. Son doigt entre dans mon trou, tourne et vient me masser la prostate. De son autre main il commence à me branler doucement. Il se penche sur moi et me roule une pelle magistrale. Sa langue agile tourne autour de la mienne, me pénètre, m'investit. Il continue à me branler doucement, attentif à ne pas m'emmener trop loin.
Il vient de glisser un deuxième doigt, il les fait entrer et sortir comme s'il me baisait.
Sa main quitte ma queue pour me masser les couilles qu'il tire d'avant en arrière. Il se recule pour voir si son travail de cul avance bien. Je vois une bosse imposante dans son pantalon de toile. Il a l'air satisfait. Il replonge ses doigts dans mon cul, il en profite pour y mettre un troisième. Il les fait tourner pour élargir l'entrée pendant qu'il me raconte des histoires bandantes. Tout sourire, il me dit:
- "Tu es fin prêt, il va falloir que tu m'aides un peu."
Il contourne la table et vient se placer à côté de moi. Il replonge ses doigts dans mon trou. Sa braguette est à quelques centimètres de ma bouche. Je pose mes doigts sur le bouton de la ceinture pour le faire sauter. Je sens une bête prête à bondir derrière ! Je lui masse l'entrejambe. Je sens une barre bien dure et dessous une belle paire de couilles lourdes. Sa respiration s'est accélérée.
Je fais descendre le zip, il ne porte pas de slip et la bête jaillit sous mon nez. Elle doit faire dans les 19cm et le gland est recouvert par le prépuce. Il n'a pas de poils, lui aussi est rasé. Sa queue n'en paraît que plus longue et ses couilles plus importantes.
Il me fait un sourire et me demande de le lubrifier. Je prends sa queue, tire doucement sur la peau et dégage son gland. Un petit coup de langue pour lécher le liquide transparent au bout et je fais glisser son gland entre mes lèvres serrées comme s'il s'agissait d'un petit cul vierge.
Il apprécie et m'invite à continuer.
Sa queue glisse dans ma bouche. Ma langue tourne autour de son gland, lui arrachant des soupirs. Ma main glisse sous ses couilles pour les masser et s'aventurer jusqu'à sa rondelle. Il ne proteste pas, au contraire il bouge son bassin pour accompagner mes mouvements. Il pousse des gémissements, des "hum c'est bon".
- "T'es prêt ?", me dit-il.
Je me redresse sur les coudes et je peux voir son gland posté à l'entrée. Il me fait un sourire et enfonce lentement son gland que je sens entrer en moi. Sa chaleur se communique. Il fait une petite pose le temps que je me fasse à son engin. Puis, d'une seule et longue poussée, il me pénètre à fond.
Quand ses couilles viennent toucher mes fesses, il s'arrête. Avec un sourire, il me laisse le temps de prendre la dimension de son engin. Il a vu la petite grimace que j'ai faite quand il est entré. Il me dit "Détends toi !" et, joignant le geste à parole, il entreprend de me masser les seins et les épaules. Je me laisse faire, la douleur a disparu et je ne sens plus que sa queue qui ne demande qu'à s'activer dans mon antre.
Il se penche vers moi pour me donner un baiser langoureux et profond et commence ses va-et-vient. Doucement, il entre et sort, au passage son gland vient frotter contre ma prostate déclenchant des ondes de plaisir. Une douce chaleur envahit mon bas-ventre. Pour le caresser, je serre les muscles de mon sphincter comme si je voulais le branler avec mon cul.
- "Oui continues à me serrer c'est bon ! Vas y !."
Il accélère son rythme. Sa respiration est plus courte. Moi-même, je sens mes couilles remonter, la jouissance approche. Il le sent et me dit qu'il va venir. Il va de plus en plus vite. Je sens les premières contractions dans mon cul. Je vais jouir sans me toucher. Mes contractions se communiquent à sa queue qui, elle aussi, semble gonfler un peu plus. Mes spasmes passent à sa queue. Mes couilles me font mal. Je sens le jus monter, puis une impression de vertige. Je me vide sur mon ventre. Au même moment, je sens sa queue se contracter dans mon cul, il pousse un cri rauque et m'envoie cinq longs jets dans les entrailles. Il se laisse tomber sur moi haletant et me donne un baiser fiévreux.
- "Merci" me glisse-t-il à l'oreille. "Veux-tu me rendre la pareille quand tu auras repris la forme ?
- Je ne demande pas mieux !" lui dis-je, mais cette séance m'a donné faim. "Veux-tu venir chez moi ?
- Avec plaisir !" me dit-il.
Nous rangeons la salle, puis il se change pendant que je me rhabille. Nous quittons le cabinet et cinq minutes après, nous sommes chez moi.
On prend un verre, le temps de réchauffer un plat en repassant en vue les derniers moments que nous avons passés ensemble. Le dîner se passe le mieux du monde, interrompu par des caresses et des baisers. On passe au salon pour un verre de cognac assis l'un à côté de l'autre. Il me dit:
- "J'ai envie de toi, maintenant !
- Viens !", en l'entraînant vers la chambre.
Là, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis "Laisse- toi faire", ce qui le rend radieux. Maintenant, il est nu devant moi. Je me mets à genoux et prend sa queue dans ma bouche. De ma main gauche, j'explore ses fesses et je trouve son petit trou, il gémit. Il me relève, me donne un baiser en me déshabillant à mon tour. Mon doigt n'a pas lâché son trou, qui devient humide. Maintenant, nous sommes nus l'un contre l'autre, queue contre queue. On s'allonge sur le lit en position de 69. Je lui donne ma queue à sucer et lui m'offre son trou à préparer. Ma langue s'agite autour du trou et commence à y pénétrer. Pendant ce temps, lui s'active sur ma queue qui devient de plus en plus raide. Son trou s'ouvre progressivement. J'y glisse alternativement mon doigt et ma langue, lui arrachant des soupirs. Maintenant, son trou est ouvert, ce sont trois doigts qui entrent et sortent. Il s'active de plus en plus sur ma queue. Je lui demande de se calmer sinon il va ma faire jouir.
- "Oh non ! Je veux ta queue dans mon cul !
- Je suis prêt, on y va ?
- Oui. Allonge toi sur le dos, je vais m'enculer tout seul."
Je m'allonge sur le dos. Il vient s'asseoir à califourchon sur moi. Il prend ma queue couverte de salive et la présente sur son trou. Mon gland est à l'entrée. Des deux mains, il s'écarte les fesses puis se laisse descendre le long de ma queue. Je sens mon gland entrer dans cet antre chaud et humide qui me serre. Mon gland vient de passer le barrage de son sphincter. C'est maintenant le reste de ma queue qui force le passage. Il descend toujours lentement pour bien prendre la mesure de mes 18,5cm. C'est bon ! Ses couilles viennent de toucher mon pubis, je suis à fond en lui. Il me sourit, il a une petite larme au coin de l'oeil. Il a du souffrir un peu au passage de ma queue. Il souffle fort pour s'oxygéner. Je sens son conduit se détendre, je suis bien. Je commence un petit mouvement de va-et-vient. Il me dit:
- "Arrête, c'est moi qui vais faire le travail !". Il commence ses mouvements de bas en haut, le long de ma queue, ponctué de : "Que c'est bon !"
Il se déchaîne. J'ai l'impression qu'il est monté sur un cheval de rodéo, tant il s'agite. Je lui dis de se calmer, mais rien y fait. Il se défonce sur ma queue. Je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. Je sens les premiers spasmes dans son cul qui provoquent chez moi la montée de la jouissance. Comme une décharge électrique, ma queue explose dans son cul si chaud et humide, provoquant sa jouissance, son cul se contracte plusieurs fois avant qu'il ne me balance 6 longs jets de foutre sur le corps. Il y en a même un qui me tombe sur les lèvres, que je m'empresse de lécher.
Il s'écroule sur moi. Je lui donne à goûter le sperme qu'il m'a envoyé sur les lèvres. Il me rend un baiser furieux. Nous nous écroulons épuisés et heureux. Je lui propose de passer la nuit avec moi, il accepte avec enthousiasme.
Ce matin, je suis réveillé d'une bien agréable façon. Il s'est glissé sous la couette et ma sucé doucement. C'est le contact de sa langue sur mon gland qui m'a réveillé. Je l'ai laissé faire. Je me suis vidé dans sa bouche. Il m'a bien nettoyé, puis il est venu partager mon sperme dans un baiser des plus tendres.
- "Je suis bien ! Veux-tu que nous soyons amants?
- Ce sera avec joie !
- Voilà une journée qui commence bien !", me dit-il en se levant. Dans un éclat de rire, il me donne une tape sur la fesse en me disant : "Allez ! Debout ! On a une journée de travail devant nous. Comment va ton dos?
- J'ai plus mal. Ce doit être ta crème et ton sirop qui m'ont guéri."

Nous éclatons de rire tous les deux et nous nous préparons pour notre journée de travail.


Joao



1 commentaire:

Albert Belgium a dit…

Je me mets à rêver d'un tourbillon de joie au pays des fesses, avec le bonhomme qui fait du grand huit dans ce doux écrin !