Nous sommes chauds tous les deux et j’ai grave envie de me faire remplir. Après le passage à la salle de bain, nous descendons vers le parc municipal entre la résidence et la rivière. Nous allons vers notre tronc d’arbre préféré, mais il y a du monde à proximité. Michel m’entraîne alors de l’autre côté du parc. Nous montons sur une petite colline. Il n’y a personne au sommet et aucun chemin ne passe par là. Nous devrions être tranquilles.
Nous nous couchons sur l’herbe et nous nous caressons en nous embrassant. Il fait encore bon et nos vêtements ne tardent pas à voler. Nous ne voyons plus personne dans le parc, juste les lumières de la résidence. Michel s’assoit, je me place entre ses cuisses et prends sa bite bien raide en bouche. Les fesses à l’air et en l’air, le petit vent très léger me fait de l’effet et je sens que ma rondelle apprécie. J’avale la bite de Michel puis ses couilles avant de revenir à sa queue. Michel se dégage et passe derrière moi. Il prend et écarte mes fesses pour mieux me lécher l’anus. Il me travaille un long moment en humidifiant bien avec sa salive. Je m’ouvre !
Il prend quelque chose dans le sac à dos qui nous accompagne à chaque sortie. Je sens alors quelque chose de tout petit, mais, très, très doux. Michel caresse ma rondelle avec. Il y va doucement. Quelle sensation !! je monte vite et m’écarte comme si j’avais un gros gode ou une main dans le rectum. Je prends mon pied ! Il continue et passe maintenant l’objet dans mon sphincter. Il me frôle à peine et je jouis. Il continue, je m’ouvre encore et je pousse de tout ce que je peux !
Puis, il arrête et enfourne directement sa bite bien au fond de mon trou. Il n’y a aucune résistance, comme si je m’étais fait fister avant. J’ai l’impression qu’il touche à peine les bords ! Michel m’attrape par les hanches et me lime à fond. Je jouis en même temps qu’il me remplit de son sperme, en plusieurs jets.
Michel se retire et, aussitôt, ses doigts me fouillent. Il met du gel et s’enfonce. Quatre, puis rapidement tous les doigts entrent. Il pousse encore un peu et c’est toute la main que je sens en moi. Il tourne et s’enfonce encore, en douceur. Je me sens comblé. Je me détends encore et il continue sa progression. Je sens ses doigts bouger légèrement en moi. Derrière, je l’entends me dire : « WAOW !! Je ne suis jamais allé aussi loin ! »
Je lui marmonne de continuer. Je suis si bien… Il semble se retirer, mais, avant de sortir complètement sa main, il revient à la charge et s’enfonce à nouveau. Je serre les dents pour ne pas hurler de plaisir. Il recommence l’opération plusieurs fois. Je m’accroche à chaque brun d’herbe avant de l’arracher et de passer au suivant. Quel pied !
C’est lorsque l’avant-bras de Michel est bien au fond, en moi, que nous sommes surpris par un : « Oohh ! » émis par une voix féminine. Nous relevons la tête et voyons une silhouette de femme accompagnée d’un enfant à deux mètres de nous. Elle est arrivée par l’autre côté et nous ne l’avons pas entendu. Comme nous sommes dans une partie sombre, sans éclairage, elle aurait pu nous marcher dessus. Passé la surprise, elle attrape son enfant par la main et fait demi-tour en courant.
Je pose mon front sur le sol en soufflant. Nous avons été aussi surpris qu’elle. Michel, lui, n’a pas bougé. Son avant-bras est toujours en place. Il reprend ses mouvements et ressort complètement. Je me sens vide et j’ai l’impression que l’air, plus frais, s’engouffre dans mon rectum. Je me retourne et m’assoit sur les fesses. Je le regarde et nous partons dans un fou rire incontrôlé. Michel réussit tout de même à me dire qu’il vaut mieux rentrer. On ne sait jamais.
Nous ramassons nos affaires, nous rhabillons et retournons vers l’appartement. Nous rions encore. En chemin, je demande à Michel avec quoi il m’a fait jouir la première fois. Il me montre un coton-tige. Jamais je n’aurais pensé qu’un simple objet comme celui-là me procurerait un tel plaisir !
Dune
L'épisode complet : ici.
3 commentaires:
humm , super plan fist en extérieur, ça me rappelle un de mes plans fist en extérieur. Merci Dune pour ce plaisir matinal. Bisous
Le gamin a dû demander à sa mère : "Dis maman, ils faisaient quoi les Monsieurs ?"
MDR
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