50/ Le second soir

 

Nous passons le début de soirée à discuter. Michel prépare le repas. Il a ramené ses courses. Cela me change de mes plats préparés ! Goliath a déjà pris possession des lieux. Après le dîner, nous sortons le chien. Dans le parc attenant à la résidence, nous croisons un couple d’hommes avec un bouledogue français. Nous nous saluons rapidement de loin et poursuivons notre chemin.

C’est un collègue qui héberge officiellement son « cousin » de province qui vient de trouver du travail sur la capitale. Ils ont à peu près dix ans de moins que nous. En fait, ce n’est pas son cousin, mais son mec. Je le suis sur X-Tube depuis des mois et les vidéos qu’il propose, en solo ou en couple avec mon collègue, sont très hot ! Même si mon camarade ne montre jamais son visage (il est toujours cagoulé), je l’ai reconnu à ses yeux et sa voix. De plus, il leur arrive de baiser en tenue (uniforme gendarmerie pour un et sneackers pour l’autre). Comme je commente régulièrement, ils savent que je sais. Mais nous n’abordons jamais le sujet en live, surtout pas au travail. De plus, mon collègue semble être du genre très jaloux… Quand j’explique tout ça à Michel, il paraît intéressé et me dit que nous pourrions peut-être faire comme eux : filmer et partager. Ah oui, c’est une bonne idée. À partir de maintenant, la plupart de nos parties de baise sont filmées et partagées sur X-Tube. Les week-ends, si Michel est au magasin, je fais des vidéos en solo que je diffuse également sur le site de partage. J'envoie le lien à mon homme avant qu'il ne rentre du travail et ça le chauffe bien. Le copain de mon camarade les commente à son tour.

Une fois au fond du parc, il n’y a plus personne, nous nous arrêtons et nous enlaçons pour nous embrasser. Ma bite frétille dans mon short et je sens la queue de Michel grossir dans le sien. Il me caresse les fesses. C’est tout de même un lieu de passage très fréquenté et il est encore un peu tôt. Nous rentrons alors que la tension monte de plus en plus.

Aussitôt la porte fermée, Michel libère son chien et m’attrape par les fesses. Il me colle à lui et, en nous caressant, nous nous roulons une nouvelle pèle. Ma langue est aspirée très fort, presque à faire mal. Je sens ma rondelle s’ouvrir toute seule. Nous sommes encore dans l’entrée que nous nous déshabillons rapidement. Michel me plaque contre la porte et se colle à moi, dans mon dos. J’écarte les jambes. Il se baisse. Il prend mes fesses à deux mains et les écarte. Aussitôt, sa langue me titille la rondelle. Je suis déjà ouvert. Je gémis doucement.

Nous entendons l’ascenseur s’ouvrir. C’est mon voisin de palier, un collègue, qui rentre du bureau. Michel me met un doigt. La situation m’excite et je tends encore plus mon cul. Mon voisin referme sa porte. La langue de Michel me fouille à nouveau. Il se redresse et son gland se présente. Il pousse en même temps que je recule. Il entre et j’émets un cri de soulagement. Je lui dis de me défoncer le cul.

Michel ne se fait pas prier et me ramone de plus en plus vite et fort. Il met une main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Il continue jusqu’à ce qu’il envoie son foutre dans mon rectum. Il reste au fond de moi un bon moment et reprend son mouvement de va-et-vient. C’est trop bon !

Il se retire et m’entraîne vers le lit. Michel me demande de me mettre sur le dos, la tête dans le vide. Dès que c’est fait, Il se retourne et me présente son cul en passant ses jambes de chaque côté. J’ai une vue imprenable sur sa rondelle et ses couilles. Je le prends par le haut des cuisses et l’attire vers moi. Ma langue passe et repasse sur son trou serré. Il oscille du bassin. J’humidifie ma langue avec ma salive et lui aspire la rondelle en poussant sur mon muscle. Elle commence à céder et je sens le bout de ma langue entrer sur quelques millimètres.

Michel se redresse, se retourne et enfourne sa queue redevenue raide dans ma bouche. J’ouvre en grand et il me baise la bouche. Il y va doucement, mais à fond. Puis, il sort et me présente ses couilles. Je les gobe toutes les deux. Ma langue joue avec. Il gémit depuis un moment et le niveau sonore augmente.

Michel se penche alors sur moi et prend ma bite en bouche à son tour. C’est la première fois qu’il me suce. Nous poursuivons un très bon 69 mais, il a déjà joui une fois et pas moi. J’ai la bouche pleine et je ne peux pas le prévenir. Je balance la purée. Michel s’arrête et attend que j’aie fini d’évacuer mon foutre dans sa bouche. Il se redresse, sors sa bite et recule. Là, il met son visage au-dessus du mien et ouvre ses mâchoires. Mon sperme coule directement au fond de ma gorge. Je le bloque avec ma langue pour ne pas m’étouffer et conserve le tout dans ma bouche. Je me redresse, fais tourner ma langue et avale.

Michel me rejoint et s’allonge sur le lit, tête bêche, à côté de moi. Nous restons ainsi un long moment à nous caresser. Pas un centimètre carré n’est oublié. Nous avons soif et retournons dans le salon avec une bière. Il se fait tard et je travaille demain. Pendant que nous sirotons notre boisson fraîche, je me lève et vais chercher un jeu de clés que je donne à Michel en disant :


«  - Tu risques d’en avoir besoin demain !




Dune


L'épisode complet : ici.

Reprendre depuis le début : ici.

Les chapitres précédents : ici et ici



3 commentaires:

Maxime a dit…

superbe plan. Bisous

dany marseille a dit…

J adore lire tes contes érotiques et les pics du dimanche sont toutes reussies . Merci

Dunegay a dit…

Merci Dany