44/ Le parc régional

 

En cinq minutes à pied, nous entrons dans le parc régional et nous précipitons à l’ombre des arbres. Nous sommes déjà en sueur. Plus habitué au parc municipal qui borde la caserne, je ne connais pas bien celui-ci qui est, au moins, quatre fois plus grand. Nous décidons d’en faire le tour. Il y a du monde. Beaucoup de gens recherchent la fraîcheur.

Tout en discutant, nous bifurquons sur la gauche et prenons l’allée. À un moment, Pierre me fait remarquer qu’il n’y a plus personne. Nous nous arrêtons et regardons autour de nous. Tout le monde passe par le chemin juste au-dessus. Nous pouvons les entendre. Entre les deux passages, il y a pleins de petits bosquets assez larges pour s’y tenir à l’intérieur. D’ailleurs, en y prêtant plus attention, l’un d’entre eux semble déjà occupé. On ne voit rien, mais on entend de petits gémissements. D’après les bruits, un couple s’y trouve déjà en pleins ébats.

Pierre me prend la main et m’entraîne vers un autre bosquet. Nous cherchons l’entrée et nous nous y engouffrons. L’endroit est propre et assez vaste, une fois allongés, plus personne ne nous voit et nous sommes tranquilles.

Nous sommes allongés sur le côté, l’un en face de l’autre. Je sors une bière du sac, que nous partageons. Une fois vide, Pierre me prend le bras et m’attire sur lui. Nos langues fraîches se mélangent. Ses mains parcourent mon corps pour se rejoindre sur mes fesses. Il en glisse une à l’intérieur de mon short et cherche directement ma rondelle. Je lui facilite le passage. Il ne tarde pas à m’enfoncer un doigt. Je gémis en sourdine et mes lèvres lâchent sa bouche. Je descends. Ma main dégrafe son premier bouton de jeans. Je descends encore mon visage en le léchant sur tout le torse. Je me redresse légèrement, afin de libérer mon autre main. Maintenant, je peux ouvrir son jeans et le baisser.

Pierre soulève ses fesses pour m’aider. Je baisse son jeans et sa grosse bite surgit devant mes yeux. J’ouvre la bouche et prends son gland entre mes lèvres. Il passe mieux qu’hier. De son côté, Pierre tente de baisser mon short, mais je suis à genoux. Je lâche sa bite et tente de me lever. C’est bon, personne en vue. Je retire complètement mon short avant de reprendre ma position, sa bite dans ma bouche. Pierre me demande de me mettre en position de 69. Ainsi, il a accès plus facilement à mon trou. Il prend le flacon de gel et s’enduit les doigts et mon anus. Aussitôt, je sens qu’il me fouille. C’est frais et ça fait du bien.

Excité par la situation, je m’ouvre très amplement. C’est dingue l’effet que cela fait de se faire fouiller le cul et de sucer une grosse bite en sachant qu’à trois ou quatre mètres, pleins de gens passent, s’amusent, discutent et rient sans se douter de rien !

J’ai maintenant plusieurs doigts dans le cul. Pierre me fouille toujours et je m’élargis de plus en plus. Tout d’un coup, je ressens une vive douleur et je me mords les lèvres pour ne pas crier. La main de Pierre est passée ! Ce n’est pourtant pas la première fois, mais Pierre a des mains beaucoup plus larges que celles de Jack. La douleur se transforme vite en plaisir et j’en redemande. Il me fouille désormais en profondeur. Je tiens sa bite d’une main, mais je ne peux plus le sucer de peur de le mordre. Ma tête s’écroule entre ses cuisses. Je me retrouve le cul en l’air avec une main dedans, en pleine ville, en plein jour et avec du monde autour ! Je prends mon t-shirt, le mets en boule et le porte à ma bouche pour étouffer mes cris de jouissance. Je jouis par le cul, mais aussi, j’arrose la bite de Pierre de mon sperme qui jaillit tout seul. Il retire sa main et je m’écroule complètement sur lui après un dernier râle. Putain ! Quel pied j’ai pris !

Je me retourne et m’allonge aux côtés de Pierre, tout contre lui. Je prends la serviette et essuie le mélange de sperme et de gel sur son corps. Nous restons ainsi quelques minutes puis il me demande de me mettre à quatre pattes en lui tournant le dos. Déjà prêt à remettre ça ? C’est que j’ai un peu mal au cul, là ! Mais non, il prend la serviette et m’essuie à son tour en me précisant qu’il se réserve pour plus tard. Une fois terminé, nous nous rhabillons et partageons une nouvelle bière. Le soleil tape bien et les bruits des gens se font plus rares. Heureusement, nous sommes à l’ombre. Avec la chaleur, la bière et notre activité, nous nous assoupissons.

Nous sommes réveillés par des bruits de gamins qui jouent à proximité. Après un bisou, nous décidons de bouger. Je range la serviette, qui est presque sèche, dans le sac. Pierre ramasse les deux canettes de bière vides et nous nous relevons pour rejoindre l’allée. Les gamins, surpris, s’arrêtent et nous regardent avant de reprendre leur jeu. Nous nous éloignons en riant.

Nous poursuivons notre chemin et finissons le tour du parc. Dès que l’on se trouve à l’écart du monde, nous nous roulons une pelle en caressant mes fesses pour lui et sa poutre pour moi. À chaque fois, nous sentons le sexe de l’autre grossir et nous devons nous faire violence pour arrêter.

De retour à l’appartement, après une bonne douche, Pierre propose de m’emmener sur Paris. Il souhaite m’inviter dans un restaurant qu’il connaît bien pour le dîner. J’enfile un jeans et une chemise, puis nous partons en direction d’une célèbre brasserie, tout près de la place de la Bastille. Nous passons une bonne soirée à discuter, bien manger, le tout en nous dévorant du regard. Pierre aimerait me faire connaître un établissement situé pas très loin. C’est une boîte, enfin, plutôt un bordel. Je n’ai encore jamais mis les pieds dans un tel établissement et je ne suis pas chaud. Quand, en plus, il me dit que c’est assez hard, je préfère décliner pour ce soir. Peut-être une autre fois. Pierre comprend.

Après une balade digestive, nous rentrons chez moi. Pendant qu’il conduit, je caresse sa cuisse. Je ne peux pas m’empêcher de monter jusqu’à sa poutre toujours apparente. Il dégrafe son jeans et me laisse faire tout en me demandant, toutefois, de ne pas aller trop loin. La soirée n’est pas terminée...

Une fois arrivés dans mon appartement. Il me déshabille entièrement avec douceur et en m’embrassant partout. Je fais de même. Nous bandons tous les deux et nous dirigeons vers la chambre. Nous tombons sur le lit en nous roulant des pelles. Pierre me retourne et me mets sur le ventre. Il se couche sur moi. Je sens son gros chibre se placer directement devant mon anus. J’écarte les jambes, il pousse et entre. Encore ouvert de la journée, il me pénètre sans aucune préparation, ni gel. Il me lime rapidement et avec puissance. N’ayant pas joui de la journée, il ne lui faut pas longtemps pour m’inonder de son foutre. Il s’écroule sur moi en soufflant et nous nous endormons ainsi.


Dune





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2 commentaires:

dany marseille a dit…

J aime bien suis déjà dur ce matin après ton Récit. 20/5 vais aller au cinéma porno cette aprem . Trop excité

Dunegay a dit…

MMmmmmmm
Merci... je te rejoindrais bien
Bisous