43/ Pierre, la rencontre

 

Connecté sur mon appli de rencontre, je contacte un mec qui se présente comme un black actif sur Paris. Il n’a pas encore de photo disponible et moi non plus. Nous discutons un peu via le tchat. Il me dit être originaire des Antilles, fonctionnaire en disponibilité et plutôt bien monté. Il est prêt à venir chez moi, si je peux recevoir.

Je lui réponds en lui indiquant ma profession et précisant que je vis au-dessus de mon lieu de travail. Soit il met fin à la discussion, soit ça le branche ! Il me dit alors que l’idée de baiser un flic l’excite beaucoup. Ça tombe bien, j’ai une grosse envie ! Il ne peut pas venir tout de suite, mais promet d’être devant chez moi à 14 heures 30. Je lui laisse l’adresse, mon téléphone fixe et l’attends.

14 heures 25, le téléphone sonne. C’est Pierre ! Il est garé devant la caserne. Je descends lui ouvrir. Il fait ma taille, très mince et porte un jeans très moulant. Mon regard est immédiatement attiré par sa poutre apparente. Je ne peux m’empêcher de passer ma langue sur mes lèvres. Il me regarde et me dit : « Je pense qu’on va bien s’amuser tous les deux... »

Je l’invite à me suivre et montons jusqu’à mon appartement. Vu la chaleur (nous sommes en période de canicule), je ne porte qu’un short en mode freeball et suis torse nu. Aussitôt la porte de mon appartement fermée, je lui saute dessus. Nous nous roulons une pelle d’enfer. Il aspire ma langue tant qu’il peut. Je sens sa poutre grossir de plus en plus contre mon pubis.

Je ne perds pas de temps et dégrafe son jeans. Il ne porte rien en dessous et je libère la bête. Elle n’est pas très longue, mais au niveau diamètre, record battu ! Même le mec dans le train de nuit ne peut rivaliser. Ses couilles sont rasées, grosses et pendantes. Il me faut les deux mains pour tenir tout ça !

Pierre est obligé de me demander de calmer le jeu si on veut que cela dure un peu. Ok, je lui offre un verre et, après nous être dessapés, nous faisons connaissance dans le salon. Il est bi. Il vit avec sa copine et elle est au courant. Elle sait même où il se trouve actuellement et pour quoi faire. Je l’envie ! En fait, il est comme moi, baiser avec un mec lui permet d’assurer après avec sa meuf. D’ailleurs, il me prévient qu’il peut faire ce qu’il veut à la condition de rentrer chez lui pour la nuit. Pierre a dix ans de plus que moi.

Pendant que nous discutons, je ne peux m’empêcher de le toucher. Nous sommes nus tous les deux et on se caresse. Son impressionnante bite reprend de la vigueur et se redresse. Je ne résiste pas. Je me penche et tente de l’engloutir dans ma bouche. Il me laisse faire et se positionne mieux pour me dégager le passage. J’ai du mal à prendre son gland tellement il est proéminent. À force d’insister, ma mâchoire se détend et je le gobe enfin.

Pierre me caresse les fesses et se dirige rapidement vers mon trou qui s’ouvre instantanément sous l’insistance de ses doigts.

Pierre me dit alors :


« - Toi, tu veux que je t’encule !

- Oh oui !!

- As-tu du gel ?


Je vais dans ma chambre chercher le flacon. Il me suit sans entrer dans la pièce. Il reste à la porte. Je lui tends le gel qu’il prend d’une main. De l’autre, il m’attrape, me retourne et me plaque gentiment contre le mur du couloir en me disant de ne pas bouger. Je me retrouve dans la position d’un mec qui va se faire fouiller. J’écarte les jambes. Il enduit mon anus de gel et commence à me fouiller le cul avec plusieurs doigts. Il fait ça en douceur. Je cambre mes reins pour lui faciliter l’accès. Je pousse et il me dit : « Encore un doigt et je te fiste ! » Je râle de plaisir.

Il retire sa main et présente aussitôt son gros chibre qui s’enfonce tout doucement en moi. Je suis comme écartelé et c’est trop bon ! Une fois bien au plus profond, il commence ses va-et-viens. Je suis serré au début, mais me détends très vite. Je crie tellement j’aime ça. Il continue en alternant entre rapidité et lenteur. Pierre me tient par le coup et me fait reculer. Je me penche encore plus.

Il me défonce littéralement le cul en y allant à fond. Nous sommes en sueur tous les deux. Il me prévient qu’il va jouir et me demande de me retourner. Il se retire d’un coup. Je me retourne et m’accroupis devant lui. Il tient sa bite face à ma bouche et envoie la purée. Quelle dose ! J’ai la bouche pleine ! J’avale en plusieurs fois tout en le regardant. Je reprends son gros gland en bouche pour ramasser les dernières gouttes qui perlent. Il me caresse le visage et les cheveux.

Je me relève avec son aide et nous retournons au salon. Nous reprenons notre discussion, devant une bière bien fraîche, en nous caressant.

L’heure tourne. Pierre doit rentrer. Je lui propose de prendre une douche, ce qu’il accepte. Malheureusement, on ne tient pas facilement à deux. Il y va donc le premier et se rhabille. Alors que c’est mon tour, Pierre reste dans la salle de bain et me regarde me doucher. Il prend ma serviette et me sèche. Je ne peux m’empêcher de bander à nouveau. D’une main, il prend ma bite, qui paraît minuscule à côté de la sienne, et me branle. Je ne tarde pas à arroser le carrelage de mon sperme.

Au moment de nous dire au revoir, Pierre me demande s’il peut revenir le lendemain. Je suis encore de repos toute la journée et j’accepte avec plaisir...


Dune






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