39/ Rapprochement interprofessionnel

 

Lors de ma journée hebdomadaire sans copine, que je passe avec Christian, policier municipal de la commune, nous allons à la salle de sport l’après-midi avant de passer la soirée ensemble. Si mon boulot le permet, il n’est pas rare que je dorme chez lui. Nos soirées sont assez arrosées et il ne serait pas prudent que je reprenne la voiture après quelques verres. Nous allons parfois en boite de nuit sur Paris, sinon, nous restons simplement chez lui à discuter.

Christian est originaire de Martinique. C’est un ancien danseur professionnel. Il est célibataire. La première fois que je le vois, il est au club de tennis de la ville, torse nu. J’ai immédiatement flashé sur lui, sa musculature. Je dois lutter pour détacher mon regard alors que nous discutons avec le responsable du club. Je suis en service, donc en uniforme. Nous avons le même âge et nous sympathisons rapidement.

Un soir, alors que nous sommes sur son canapé, je lui annonce mon prochain mariage avec Marie – C et lui demande s’il veut être mon témoin.

Il me regarde. Il a l’air dépité et me dit : « Tu sais ce que tu fais ? C’est une fille des Îles… Attends-toi à du changement après le mariage ! Elle ne te laissera plus sortir comme maintenant ! » Il a l’air triste. Je prends son visage entre mes mains et me rapproche pour lui dire des mots rassurants. Christian me regarde et, soudainement, ses lèvres se retrouvent contre les miennes. Surpris, je m’écarte. Je tiens toujours son visage entre mes mains. On ne dit plus un mot, mais nous nous regardons avec intensité.

D’un coup, on se jette l’un sur l’autre. Ma bouche s’ouvre, la sienne aussi. Nos langues se mélangent. Mes mains laissent son visage et caressent son dos musclé. On se lève et se déshabille mutuellement avec une rapidité fulgurante, tout en continuant à se galocher. Nos bites se frottent et nous bandons tous les deux. Christian attrape mes fesses et les soulève en les écartant de ses mains puissantes. Ses doigts se faufilent vers mon anus. Je râle. Cela fait tellement longtemps qu’un homme ne m’a pas touché ! Je lui dis de me prendre maintenant !

Je me retourne et me place sur le canapé, les fesses vers lui. Il se colle à moi et me caresse de tout son corps. Je sens ses muscles et sa puissance. Ses bras m’enserrent. Il me caresse le torse avec ses mains, me branle un peu avant de me caresser les flancs. Il me lèche le coup puis descend dans mon dos. Je sens sa langue parcourir chaque centimètre carré. Il finit sur ma rondelle qu’il lèche et aspire. C’est si bon ! J’en avais presque oublié le plaisir que l’on peut ressentir. Je m’ouvre. Je veux sa bite !

Je le supplie de me prendre ! Il met une capote et crache sur mon cul. Christian présente son sexe contre mon anus et pousse. Quel soulagement de le sentir me pénétrer ! Il s’enfonce. Je suis déchaîné et m’enfonce au plus profond sur sa queue. Il commence à aller et venir, d’abord doucement, puis plus rapidement. Il me besogne avec toute la puissance qu’il peut maintenant. Je suis totalement ouvert. Je sens sa transpiration couler sur mon dos. Je réussis à attraper ses couilles que je maintiens au plus près de moi. Il halète et se crispe en criant. Il jouit dans sa capote en même temps que je jouis du cul et en criant à mon tour. Quel pied !!

Nous restons allongés sur le canapé, enlacés, pendant quelques minutes. Je reprends la conversation là où nous nous étions arrêtés et lui indique qu’elle m'a garanti que je pourrais continuer à le voir comme maintenant.

Rassuré, il esquisse un sourire et nous fait rouler sur le canapé. Je me retrouve sur le dos. Christian m’embrasse à nouveau puis descend. Il lèche mon torse, s’attardant sur mes tétons avant de poursuivre sa descente. Je me remets vite à bander. Il gobe mon gland et l’enserre de ses lèvres charnues. Tout en me regardant, il avale ma bite et me suce avec une douceur telle que je ne résiste pas longtemps. Je le préviens que je vais envoyer la purée. Il remonte pour ne prendre que mon gland. Sa langue joue tout autour. Je ne tiens plus et l’inonde de mon sperme. Il garde tout dans sa bouche et remonte m’embrasser. Nous nous partageons mon foutre avant d’avaler.

Nous finissons par nous endormir, dans les bras l’un de l’autre, sur le canapé.


Dune




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4 commentaires:

Henri a dit…

Quels beaux moments, Dune, pleins ďamour, de tendresse entre deux hommes qui s'aiment. Une belle experience que je te/vous sohuaite qu'elle soit la première de tous les autres qui viendront dans ľavenir. Je suis Henri, je ťembrasse très fort.

Dunegay a dit…

Merci Henri. Je t'invite à reprendre la lecture depuis le début, car ce n'est pas la première et encore loin d'être la dernière :)
Bises

ZekY's a dit…

Comme toujours, c'est un plaisir de lire tes histoires. Bisous de l'Argentine 😘

Dunegay a dit…

Merci ZekY's :)