32 / Des vacances bien méritées : Un samedi avec Oliver - 1ᵉʳ round


Le matin du septième jour, le samedi, je réveille Jack avec mes lèvres autour de son gros gland. Il me caresse la tête et me pousse à aller plus loin. Je m’enfonce et, après quelques va-et-vient, il éjacule dans ma bouche. J’avale et l’embrasse longuement. Il finit par se retirer et me dit :


« - Mince, tu m’en as pas laissé ! Tu as tout avalé avant !

- Bah, pour un mec qui ne fait jamais ça, je trouve que tu y prends vraiment goût.

- Il n’y a que ton sperme que je veux avaler, ou le mien si c’est toi qui me le donnes.

- Il est si bon que ça (le mien) ? Tu as déjà goûté celui d’un autre ?

- Je te l’ai déjà dit : il est spécial et j’aime son goût. Et non, ça ne m'intéresse pas de goûter celui d’un autre ! N’empêche, tu m’en as pas laissé. Tu as été vilain ! Tu seras puni !

- Ohh oui, puni moi ! (En me mettant à quatre pattes et lui présentant mes fesses)

- Pas maintenant, mais c’est promis (en me tapotant les fesses)……. Bon, il faut se lever. Ce matin, on va faire des courses. Oliver arrive cette après midi. »


Pendant que je prépare les tartines de pain, Jack se frotte à moi, sa bite version demi-molle contre mes fesses. Il me caresse le torse et m’embrasse dans le cou. Je fais un mouvement en arrière pour augmenter la pression. Jack, qui commence à bander sérieusement, s’écarte et me demande d’arrêter de l’allumer. Nous rions.

Une fois près, nous partons à l’épicerie faire le plein de bières, rhum, coca et de friandises à grignoter. Pour participer aux frais et comme il me reste de l’argent, je règle les courses. Jack trouve sur un présentoir un tout petit Koala en peluche. Il le prend et le paie. Nous remontons dans la voiture et je lui dis :


«  - C’est mignon, ce petit Koala, tu vas le mettre où ?

- Ce n'est rien….. Une bricole…..., mais c’est pour toi.

- Oh, merci !! J’adore !

- J’espère que tu le garderas en souvenir.

- Tu peux compter sur moi ! »


Je me penche vers lui et l’embrasse sur la joue. Jack me rappelle notre secret et me dit que si Oliver me demande quoique ce soit à ce sujet, je peux faire comme je veux. Ce sera peut-être même mieux s’il l’apprend. Puisqu’il en connaît la signification.

Nous arrivons à la maison et débarquons les courses que nous rangeons immédiatement. À peine terminé, Oliver arrive. Il est souriant. Il me prend dans ses bras et me fait un smack. Aussitôt, il feint l’inquiétude, se tourne vers Jack et demande s’il n’a pas fait une bêtise, s’il a le droit de m’embrasser sur la bouche. Jack lui répond, en souriant, qu’après notre week-end en Nouvelle-Calédonie, il a tous les droits. Avant de rajouter : « Ou presque ! »

Oliver ne relève pas cette remarque, gratifie Jack du même smack et pose son sac à dos. Il n’a pas changé, à part son attitude. Il est beaucoup moins réservé que lorsque je l’ai connu. Oliver rajoute à l’attention de Jack :


« - Dis-moi, tu ne m'avais pas dit que vous viviez à poil ici ?

- On vient juste de rentrer des courses et de les ranger.

- Bah, qu’est-ce qu’on attend ? »


Oliver retire son t-shirt, puis le reste. Nous le suivons. Jack prend les vêtements et va les poser sur son lit. Pendant ce temps, Oliver me montre le contenu de son sac à dos. Il sort un flacon de gel et un gros double gode. En me montrant ce dernier accessoire, il me demande si je suis toujours passif. Il me précise que, depuis que nous nous sommes vus, il a découvert, lui aussi, son côté passif et qu’il aime énormément ça. Jack nous rejoint. Je réponds à Oliver par l’affirmative, en tâtant le gros double gode. Je lui précise toutefois que je peux quand même enculer si je suis bien excité. Oliver semble apprécier ma réponse en regardant ma bite qui commence à gonfler. Jack me prend par la taille en se collant dans mon dos, sa bite contre mes fesses, et nous propose de prendre une bière et de quoi grignoter, puis de se diriger vers la piscine. Il a déjà placé des matelas au sol. Nous nous installons sur les transats. Oliver nous questionne sur notre semaine, sur ce que nous avons fait. Il se caresse le sexe en même temps. Nous lui racontons les détails sans, toutefois, préciser que Jack est devenu accro à mon sperme. Attendons qu’il pose la question, m’avait dit Jack ! Nous aussi, nous nous caressons et nos sexes gonflent en racontant nos histoires. Oliver bande bien maintenant et nous montre son état en disant : « Bref, vous n’avez pas arrêté de baiser mes salops ! J’ai du rattrapage à faire, on y va ? Je suis chaud là ! »

Nous sautons sur les matelas et nous plaçons tous les trois à genoux et nous roulons une pelle en nous caressant le dos. Nos bites se font face et sont toutes les trois bien dressées. La queue d’Oliver, moins impressionnante que celle de Jack m’attire moins. Je me baisse et prends le gros gland de Jack en bouche. Oliver se penche à son tour. Il me fait pivoter pour dégager l’accès à mon membre et l’avale. Jack n’a pas bougé et nous regarde faire en nous caressant le dos pour Oliver, la tête pour moi. Nous y allons doucement et cela dure un certain temps. Jack se libère de ma bouche et se place derrière Oliver. Je me retourne sur le dos. Je veux prendre la bite d’Oliver en bouche, mais celui-ci m’arrête. Jack me dit alors : « Mince, les capotes sont restées sur la petite table ! C’est plus prudent de mettre une capote avec Oliver. On ne sait pas avec qui il a pu baiser avant aujourd’hui. D’ailleurs, je vais aussi en avoir besoin rapidement ». Oliver confirme avec un petit sourire malicieux en précisant que c’est une simple protection. Aux dernières nouvelles, il n’est pas malade. Je récupère la boite et reviens me mettre en position devant la bite d’Oliver. Je donne une capote à Jack et en sors une pour la mettre sur la bite que je compte bien avaler. Je m’y reprends à deux fois, mais c’est bon, j’ai réussi. Je me replace sur le dos et attrape le sexe d’Oliver. C’est bizarre ! C’est ma première pipe avec emballage. Malgré le goût fraise, je n’apprécie pas autant. J’ai vite des hauts le cœur. J’arrête !

Je me relève. Jack encule Oliver, avec capote. Je passe derrière eux. Je caresse le torse et le dos de Jack et lui roule une pelle. Je le lâche et descends pour voir d’un peu plus près ce qu’il se passe en bas. J’ai une vue imprenable sur la bite de Jack qui ramone le cul, déjà bien ouvert, d’Oliver. Les couilles de Jack battent contre les fesses d’Oliver. Je caresse les bourses d’une main et pause mon autre main sur les fesses de Jack. Instantanément, Jack change légèrement de position et je vois, maintenant clairement, son anus rose et inexploré. Je pose mon nez dans sa raie et tire la langue. Je lèche et titille sa rondelle pendant qu’il encule Oliver. Il me tient la tête d'une main pour que je suive le mouvement. Jack commence à haleter. Oliver gémit de plus en plus fort. Jack s’arrête, sors et m’invite à prendre sa place. J’enfile vite fait une capote et m’enfonce d’un coup sec dans ce cul largement ouvert. Oliver râle de plaisir. Jack se positionne devant Oliver et lui présente sa bite à sucer. Il a changé de capote. J’accélère le mouvement et je ne tiens pas longtemps. Je crache mon sperme au fond de la capote en râlant. Oliver crie, suivi par Jack qui inonde aussi sa capote.

Nous nous désengageons et retirons les protections que nous mettons de côté. Nous sommes tous en sueur. Il fait chaud et il nous faut une bière. Nous faisons une pause...


Mon petit Koala, Jack, n'est jamais loin de moi, même 36 ans après.


Dune




Le texte complet est ici.


3 commentaires:

Jeremy a dit…

...Jack Harrer in the middle :-)

Alexian a dit…

Très chaud ton texte.

Dune a dit…

Merci Alexian