26/ Week-end de repos torride en outre-mer

 Je suis en déplacement professionnel, pour plus de trois mois, en Nouvelle-Calédonie. Je suis basé sur Nouméa, la capitale du territoire. Notre cantonnement est excentré dans la banlieue. C’est mon troisième séjour sur ce territoire. Cette fois, notre boulot consiste à monter la garde autour et dans des bâtiments gouvernementaux. C’est assez cool et nous avons la possibilité de bénéficier de nos jours de repos hebdomadaires. Je ne sais plus par quel hasard, mais je pose deux jours de repos en semaine et je suis le seul de mon unité à en profiter ces deux jours-là.

Le premier jour, après ma présence au petit-déjeuner avec les camarades, je prépare mon sac à dos avec mes affaires de plage puis je prends le bus en direction du centre-ville. Une fois arrivé, je flâne un peu en regardant les vitrines des magasins. Passant devant le « Café Français », je décide de m’y arrêter pour prendre une boisson chaude. Je m’installe sur la terrasse et regarde les gens passer. J’ai tout mon temps et consomme mon café doucement. Alors que je pose ma tasse vide sur la table, prêt à reprendre mes déambulations, je suis accosté par deux jeunes hommes, la vingtaine, blonds tous les deux, ne s’exprimant qu’en anglais. Ils souhaitent visiter, je ne sais plus quel bâtiment et me demandent si je connais le chemin. Comme je suis justement en train de me dire que la journée allait peut-être être longue tout seul, je me propose de les accompagner. Surtout que le chemin à faire est assez compliqué à expliquer et encore plus en anglais. Ils acceptent avec plaisir. Je règle ma consommation et nous partons.

En chemin, j’apprends qu’ils sont venus en groupe depuis l’Australie voisine et logent en auberge de jeunesse. Ils s’offrent un séjour en Nouvelle-Calédonie pour marquer la fin de leurs études. Oliver et Jack sont amis de longue date et suivent le même cursus.

Le courant passe bien entre nous trois. Je suis à peine plus âgé qu’eux de deux ans. Après la première visite effectuée, ils me demandent si je connais d’autres lieux intéressants. Je leur en propose un ou deux. Comme je suis bien avec eux, je leur propose également que nous déjeunions ensemble au restaurant avant d’aller passer l’après-midi à la plage, sur la célèbre « Baie des Citrons », vers le Club Med. L’avantage de cette plage est qu’elle est située en plein centre-ville de Nouméa. Ils acceptent volontiers le programme. Nous voilà partis. Après les visites, nous arrivons à la plage. Heureusement, j’ai une grande serviette. Nous nous installons à trois dessus. Je retire mes vêtements (je porte déjà mon mini maillot de bain). Eux ne retirent que chaussures, chaussettes et t-shirt. Ils n’avaient pas prévu d’aller à la plage. L’auberge de jeunesse n’étant pas loin, je leur propose d’aller se changer et de revenir, mais ils refusent. De ce que je comprends, ils n'ont pas envie de voir les autres et surtout de risquer que l’un d’eux se greffe à nous. Nous passons le reste de la journée à discuter et rigoler. Le temps passe très vite et le soleil se couche. Nous nous rhabillons et Jack propose que nous retournions au « Café Français » pour boire un verre et manger tous les trois. C’est ok pour moi. J’ai un bus jusque tard dans la soirée pour rentrer au cantonnement. Nous nous attablons et commandons une tournée d’apéros, puis deux, puis trois… Pour le dîner, Oliver demande une bouteille de vin. À la fin du repas, nous sommes un peu chauds tous les trois et Jack propose que nous retournions à la plage. Il précise que, comme il fait nuit, ils pourront se baigner tranquillement. Oliver semble réticent, mais nous suit.

Une fois à la plage, bien qu’il fasse nuit, il fait toujours bon. À 23 heures, il n’y a plus un chat. Jack commence à retirer ses vêtements et nous le suivons. Sauf que là, je le vois dégrafer son bermuda, le retirer et baisser son caleçon. Il est complètement à poil sur la serviette et nous invite à faire de même. Oliver fait pareil. J’ai plus le choix. Je retire mon maillot de bain également. Jack me prend par la main et m’entraîne vers l’océan en courant. Oliver ne bouge pas. Il préfère garder nos affaires. Nous fonçons dans l’eau. Jack me lâche et nous nageons l’un à côté de l’autre jusqu’à un ponton en bois amarré un peu plus loin. C’est la première fois que je me baigne nu et je dois reconnaître que la sensation est loin d’être désagréable, au contraire. Nous discutons un peu, mais rapidement, la fraîcheur se fait sentir. Nous retournons dans l’eau et nous dirigeons lentement vers la plage. Oliver est toujours assis et nous regarde. Jusqu’à cet instant précis, jamais de toute la journée, je n’ai pensé au sexe, ou si peu, même si j’apprécie beaucoup leur plastique. Il est vrai que, depuis Jacques, je suis en jachère.

Alors que nous avons de l’eau un peu plus haut que la taille, la main de Jack m’attrape. Il me retourne, m’enlace et me roule un patin auquel je ne peux que répondre. Ses mains me caressent le dos, descendent sur mes fesses puis remontent. Les miennes aussi parcourent son corps d’athlète. Je sens ses muscles du dos, ses fesses très fermes. Je sens aussi que nos deux bites se frottent l’une à l’autre en bandant à fond. Je passe une main sur ses abdos bien dessinés dont j’ai pu apprécier la vue dans la journée. Je prends son sexe et commence à le caresser dans l’eau. Bien raide, elle est plus épaisse et plus grande que la mienne. Son gland est proéminent, un peu comme un plug au bout d’un bon gode. Tout ce que j’aime ! Je suis encore loin de me douter tout le plaisir qu’elle va me procurer... Alors que Jack trouve mon anus et le titille du bout d’un doigt, je sens deux autres mains parcourir mon dos. Quelque chose de dur pointe sur ma raie des fesses. On dirait une tête chercheuse qui ne demande qu’à trouver l’entrée. Oliver nous a rejoint. Je me retourne et nous nous enlaçons tous les trois. Nos langues se mélangent et nos mains parcourent chacune un corps.

Avec les vagues, ce n’est tout de même pas très pratique. Il est hors de question de poursuivre sur la plage (située en centre-ville). Je ne peux pas les emmener au cantonnement et eux ne peuvent pas me ramener à l’auberge de jeunesse. Nous convenons de prendre une chambre d’hôtel. Nous sortons de l’eau rapidement et nous rhabillons aussi vite que possible, tous les trois avec la bite dressée et bien raide. Des voitures circulent à dix ou quinze mètres de nous. Nous nous mettons en quête d’une chambre d’hôtel. Il est convenu que j’attende à l’extérieur pendant qu’eux négocient la chambre. À la seconde tentative, c’est bon. Une chambre est libre et ils la règlent. Jack me fait signe de venir. Nous montons tous les trois et ne tardons pas à nous retrouver sous la douche, heureusement suffisamment grande, pour retirer le sable qui commence sérieusement à gratter. Aussitôt, les mains baladeuses reprennent du service. Tous les deux s’attardent sur mes fesses et mon anus pendant que je me saisis de leur chibre. Oliver, lui, est équipé comme moi, dans les mêmes proportions. Je leur tâte les couilles puis reprends leur manche et commence à les branler doucement. Nous nous roulons encore une pelle à trois et je décide de descendre. Je passe ma langue sur leur torse, chacun leur tour, je lèche leurs abdos saillants et me dirige vers leurs glands fièrement dressés. J’en prends un, puis l’autre, puis les deux en bouche. Ils s’embrassent et se caressent. Ils coordonnent leur mouvement de bassin, léger, pour pénétrer ma bouche un peu plus. Jack me fait signe d’arrêter. Il coupe la douche. On se sèche et nous sautons sur le lit. Je me retrouve à quatre pattes. Jack se place devant moi et je le reprends en bouche. Oliver est derrière et je sens sa langue me caresser la rondelle, ses mains écartant mes fesses. J’enfonce la bite de Jack au plus profond dans ma bouche alors que la langue d’Oliver ouvre le passage. Il y glisse un, puis deux doigts avant de me pénétrer.

Ils changent de place. Jack se place derrière moi et présente directement son gland à l’entrée de mon trou. Il pousse, je m’ouvre et le prends en entier. Une fois au fond, Oliver se rapproche et me présente son gland qu’il met entre mes lèvres. Comme j’ai déjà la bouche ouverte, lui aussi pousse un peu et me pénètre. Je m’ouvre au maximum et détend mes mâchoires. Tous les deux sont coordonnés : ils poussent en même temps. Je passe un très, très bon quart d’heure ! Ils accélèrent le mouvement, le ralentissent, toujours en même temps. Ils entrent et sortent de mes orifices au même instant. Cette fois, c’est Oliver qui demande une pause. J’en profite pour leur dire combien j’apprécie le traitement. Ils me retournent le compliment.

Jack, qui est sur le dos, me demande de grimper sur lui et de m’empaler sur son pieu. Je crois qu’il n’a pas le temps de finir sa phrase que je suis déjà en position. Je prends sa bite et m’enfonce sur lui. Qu’est-ce que c’est bon !!!! Oliver se remet debout, devant et je le pompe. Jack me maintient les fesses en hauteur et c’est lui qui me lime de plus en plus vite. Je sens mon trou s’élargir comme jamais. J’adore cette position !! Tout en continuant, Jack dit à Oliver qu’il peut venir, c’est bon. Je m’attends à devoir bouger, mais non ! Jack ralentit la cadence, ne me tient plus les fesses et je m’enfonce jusqu’aux couilles. Il m’enlace et me penche en avant. Aussitôt, je sens le gland d’Oliver se présenter, lui aussi, devant mon trou déjà occupé. Pas besoin de me faire un dessin. Excité comme je suis, je leur dis d’y aller. Oliver pousse et sa bite finit par entrer, elle aussi. Je me sens comme écartelé. Je crie, mais c’est tellement bon que je râle de plaisir très vite. J'ai les deux bites dans mon cul ! Une fois la queue d’Oliver bien ancrée en moi, les deux se mettent à bouger. Je suis au septième ciel. Je m’accroche et eux me liment le cul, toujours en même temps. Je ne sais pas combien de temps cela dure. Je suis déchaîné. Ils se défoulent dans mon trou jusqu’à ce que je sente plusieurs vagues de liquides bien chauds m’envahir. Je n’en peux plus et je jouis aussi sur le torse de Jack. Nous restons ainsi tous les trois quelques minutes avant qu’Oliver ne se retire. Toutefois, il me maintient dans ma position. Je sens alors sa langue passer sur mon anus et la bite de son pote. Il récupère leurs spermes ! Il retire la bite de Jack de son alcôve. Je suppose qu’il le suce un peu et reprends mon trou. Il aspire tout ce qu’il peut puis me libère. Je me relève et pivote sur le dos, à côté de Jack. Oliver se précipite sur le torse de son pote et lèche mon sperme, puis il vient lécher ce que j’ai aussi sur mon torse. Visiblement, il adore ça ! En rigolant, je leur dis que j’aurais aimé goûter aussi. Ils me répondent tous les deux en même temps (toujours en anglais) : « Peut-être demain ? Ce sera ton petit déjeuner ! »

Nous retournons sous la douche tous les trois. Nous nous nettoyons mutuellement et j’ai l’impression qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que les affaires reprennent. Mais, cette fois, il est vraiment tard, ou tôt le matin. Il faut dormir un peu. Nous nous couchons. Je suis au milieu et tous les deux m’enlacent. On n'a pas besoin de berceuse pour s’endormir.

Après quelques heures de sommeil, je me réveille le premier. Il fait jour et nous devons rendre la chambre dans les deux heures qui suivent. Oliver et Jack sont toujours endormis, sur le dos et légèrement tournés vers moi. Je m’aventure à glisser mes mains vers leur bas ventre. Ils bandent tous les deux. Je commence alors à les caresser. D’abord les couilles, doucement, puis je remonte et prends délicatement leur queue. Je passe un doigt sur leur méat. Les deux bites ont un sursaut. Je continue et commence très lentement un mouvement de va-et-vient. Ils commencent à bouger et émergent gentiment. Jack ouvre un œil et sourit, suivi d’Oliver. Ils se mettent bien sur le dos et me laissent faire un moment. J’augmente légèrement la pression et le rythme. Jack donne le signal à Oliver. Ils se lèvent et me disent de venir les sucer tous les deux. Je suis à genoux et je tiens leur bite dans mes mains et les présente devant ma bouche. J’ouvre en grand et j’avale les deux glands. Dans le même temps, je les branle. Ils me tiennent la tête. J’arrête de les branler et je commence à malaxer leurs couilles. Il ne faut pas longtemps pour qu’ils m’honorent de leur jus. Il est chaud et très épais (ce que je n’avais pas pu vérifier la veille). Un arrière-goût sucré que j’adore. Bref, un excellent petit déjeuner protéiné. Bien évidemment, j’avale tout et je ramasse les dernières gouttes qui perlent au bout de leur gland. Je les remercie pour ce délicieux repas.

Cette fois, nous prenons une dernière douche, mais en restant sages. Il faut rendre la chambre. Nous nous séparons après avoir échangé nos numéros de téléphone (fixes à l’époque) et fait la promesse de garder le contact. Jack et Oliver repartent l’après midi même en Australie.

Dune




Le texte complet de la mise à jour est ici.



1 commentaire:

dany marseille a dit…

Bravo et merci c est bandant