30 / Des vacances bien méritées : La plage


Le réveil est une merveille. J’ai encore les yeux fermés, mais je perçois le jour qui entre dans la chambre par la fenêtre. Je commence à peine à émerger et quelque chose me démange au niveau du ventre. Sans ouvrir les yeux, je passe une main. Je touche une touffe de poils... Non, des cheveux ! C’est la tête de Jack. Au même instant, je sens mon gland se faire aspirer par quelque chose de chaud et humide. Jack me suce. Cest la première fois ! Je m’étire et me place bien droit, lui offrant ainsi plus de facilité. Je caresse ses cheveux, son dos musculeux. Jack avale ma bite sans retenue maintenant qu’il sait que je suis réveillé. De sa main libre, il me caresse les cuisses en remontant vers mes couilles qu’il prend à pleine main. Je me laisse aller, c’est si bon. J’adore prodiguer ce genre de réveil, mais le subir : c’est très, très bien aussi ! Jack continue de me pomper et lâche mes couilles pour se diriger vers mon anus. Il me caresse la rondelle qui s’ouvre instantanément. En même temps, avec le traitement qu’elle a reçu hier, ce n'est pas étonnant. Et puis, le matin, je suis toujours détendu du cul. C’est toujours plus facile. J’écarte les jambes et il entre aussitôt deux doigts. Sa fouille et sa pipe ont raison de moi. J’envoie la purée sans prévenir. Aussitôt, j’ai peur qu’il se retire en gueulant, mais non ! Il reste sur mon gland et récupère tout mon jus. Il lâche ma bite et, fièrement, me montre qu’il avale tout. En même temps, il se positionne, la bite au-dessus de mon visage et commence à se branler. J’ouvre la bouche, prêt à recevoir ma pitance. Avec ma langue sortie, je cherche son gland, mais il le relève à chaque fois. En quelques mouvements, son sperme jaillit et arrose mes lèvres, ma langue et ma paroi buccale. Je lèche mes lèvres puis son gland, qu’il me donne enfin pour récupérer les dernières gouttes. J’avale tout à mon tour. Jack se penche vers moi, me roule un patin et nos langues jouent longuement entre elles. Il se redresse et me dit en français : « Bonjour, tu as bien dormi ? » Je suis flatté de son effort de langage et lui réponds dans l’affirmative. Je lui précise que j’adore son réveil-matin. Il sourit et me fait promettre de ne jamais en parler à Oliver. Il s’est toujours refusé à le faire. Ce sera notre secret. Je lui demande pourquoi ? Pourquoi moi ? "Parce que tu es spécial", me répond-il. Je suis un privilégié !

Aujourd’hui, Jack a prévu de m’emmener à la plage. Si tout va bien, et si ça me va, nous pourrons y passer la journée. Il suffit de préparer des sandwichs, de la bière et éventuellement du lubrifiant avant de s’y rendre. Je lui demande s’il y a du monde en cette saison. Il me répond que, n’étant pas en période de vacances, nous avons de grandes chances d’être seuls. Je souris et passe ma langue entre mes lèvres. Ses yeux s’allument. Il me gratifie de son sourire malicieux que j’adore et me dit de ne pas m’inquiéter, cela devrait bien se passer. Ma queue commence déjà à reprendre un peu de volume. Jack n’est pas en reste.

Nous prenons notre petit déjeuner au bord de la piscine puis nous dirigeons vers la salle de bain. Nous nous savonnons mutuellement sous la douche. Nos bites reprennent vie, mais nous convenons de patienter jusqu’à la plage pour reprendre nos ébats. Avant de nous « habiller » d’un simple maillot de bain, nous préparons les sandwichs et le reste. Jack joue avec moi en m’enlaçant pendant que je tartine les tranches de pain. Je sens sa bite contre mes fesses. Il bande à moitié et j’écarte les cuisses pour mieux le sentir. Il me met une petite tape sur une fesse en me disant : « Non, non ! Tout à l’heure ! » C’est malin : je bande bien moi maintenant ! On rigole, on s’habille et nous voilà partis.

À peine dix minutes en marchant lentement et en chahutant, et je découvre une petite plage de sable pratiquement blanc. C’est une petite crique avec un seul chemin d’accès. Il n’y a personne. Nous nous installons du côté droit, à proximité de la limite du sable sec et du sable mouillé par l’océan. Jack me dit que, si d'ici une heure, personne ne vient, nous pourrons retirer nos maillots de bain. En attendant, nous sautons dans l’eau en nous tenant par la main. Elle est bonne et cela fait du bien car il fait déjà chaud.

Après plusieurs minutes de nage et de jeux pas si innocents, Jack se retrouve agrippé derrière moi, Je sens sa bite contre mes fesses au travers de nos maillots. Il me caresse le torse et m’embrasse dans le cou. Je passe mes mains sur ses puissantes cuisses. Nous restons ainsi un long moment, mais le mouvement des vagues nous déstabilise. Nous remontons vers la plage pour avoir de l’eau jusqu’à la taille. Jack ne me lâche pas. Une fois trouvé un endroit et une position stable, il reprend ses bisous dans mon cou et mon dos. Ses mains descendent de plus en plus. Il me caresse le paquet et défait le nœud de mon maillot. Il me dit que l’on peut les retirer maintenant, plus personne ne viendra. Il baisse mon maillot en s’accroupissant dans l’eau. Je lève une jambe puis l’autre pour l’aider. En le faisant, il passe la tête sous l’eau et pose sa bouche sur mes fesses. Mes couilles et ma queue, libérées, apprécient les mouvements de l’océan et je bande. Habituellement, j’ai plutôt un « kiki de piscine » une fois dans l’eau. Je me retourne et le relève. Je l’embrasse sur tout le visage en finissant sur sa bouche. Nos langues se frottent. À mon tour, je défais son bermuda. Pendant qu’il lève les jambes, comme lui, je m’accroupis. La tête sous l’eau, je gobe son sexe également bien dressé. Je le suce en apnée et cela ne dure pas très longtemps avant qu’il ne m’attrape par les aisselles et me fasse remonter. Je reprends ma respiration, Jack me retourne et plaque sa bite dans ma raie. Il jette nos deux maillots de bain en direction de notre serviette puis, après m’avoir inséré deux doigts, prend sa queue et présente son gland sur mon trou. Je pousse un peu en écartant mes fesses de mes mains. Il s’enfonce, d’abord le gland puis de plus en plus. Je me fais enculer dans l’océan Pacifique ! Le rêve ! Il commence un mouvement du bassin et me pénètre plus fort et plus profond. Ce que je ressens est incomparable. Sa bite qui va et qui vient dans mon cul et les mouvements de l’eau sur mes couilles me font gémir rapidement. Jack va de plus en plus fort puis, brusquement, m’agrippe et me maintient. Il est au fond de moi. Il pousse un cri qu’il tente d’étouffer en jouissant. Je râle très fortement également en évacuant une bonne dose de sperme dans l’océan. Nous récupérons ainsi quelques instants, en nous caressant avant de nous décoller. Lorsque la bite de Jack se retire de mon trou, j’ai comme une sensation bizarre, mais loin d’être désagréable au niveau de mon anus. Nous sortons de l’eau, Jack me propose une bière. Ce n’est pas de refus, avec l’eau de mer que j’ai quand même un peu avalé, il fait soif.

Nous nous installons sur la serviette et sirotons notre bière en nous admirant et nous confiant combien nous apprécions, chacun, l’instant présent. Alors que Jack me propose de déjeuner, j’applique la crème solaire sur mon corps en insistant sur ma bite et mes couilles qui n’ont pas l’habitude de prendre autant le soleil. C’est alors que je sens un liquide assez abondant sortir de mon cul. Il n’y a pas que le sperme de Jack, c’est trop ! J’y mets les doigts. Jack rigole et me dit de ne pas m’inquiéter : j’ai dû aspirer de l’eau de l’océan lorsque son gland est sorti de mon trou. Il faut laisser couler. C’est comme un lavement, mais à l’eau de mer. Il me dit qu’il est flatté, car, pour lui, cela veut dire que j’apprécie ce qu’il me fait et, surtout, que j’en veux encore !

Nous dévorons notre repas et prenons une seconde bière. Jack me propose une petite sieste, le temps de la digestion. Mais avant, il veut me remettre de la crème, parce qu'il trouve que je n’en ai pas mis assez. Je me mets sur le ventre. Jack écarte mes jambes et se positionne entre elles. Il prend la crème solaire et commence à l’appliquer en commençant par la nuque, les bras et mon dos. Au début, son gland touche mes fesses. Je me dis que la sieste ne sera peut-être pas pour tout de suite. Mais il se redresse au fur et à mesure qu’il descend sur mon corps. Il poursuit l’application de la crème par un pied, puis remonte le long de ma jambe en s’arrêtant en haut de la cuisse. Il a oublié mes fesses blanches ! Il passe à la seconde jambe et fait pareil. Je bouge un peu mon bassin et Jack me dit : « Patience, j’arrive ! Je garde le meilleur pour la fin ! »

Jack reprend de la crème, beaucoup de crème. Il l’étale sur mes fesses et passe dans ma raie en descendant jusqu’aux couilles. Il remonte et me titille la rondelle. Il me dit que de l’eau s’en échappe encore un peu et qu’il va faire le nécessaire. Je lui dis qu’il peut faire ce qu’il veut, tellement je suis bien. Jack me répond qu’il est certain que cela me plaira. Aussitôt, je sens deux doigts me caresser la rondelle. Il les enfonce. Avec la crème solaire et mon trou déjà bien ouvert, ils glissent parfaitement. Il en met un troisième. Je fais onduler mon cul en signe d’approbation. Un autre doigt se présente et entre à son tour. Il entre et sort ses doigts en tournant sa main. À chaque fois, il pousse un peu plus. Je sens mon trou s’élargir. Son pouce est encore à l’extérieur. Je le veux aussi ! Je lui demande de tout mettre ! Il me répond : « O.K. mais préviens-moi si ça ne va pas, j’arrêterai tout de suite ». Il présente son pouce et force un peu tout en tournant sa main. Je n’ai jamais eu la rondelle autant écartelée. Mais ça ne passe pas. Jack ressort et recommence toujours en tournant dans un sens puis dans l’autre. Il remet un peu de crème. Je pousse et : L’extase ! Ses phalanges passent brusquement. Je pousse un cri de plaisir. Il reste ainsi en me demandant si ça va. Je lui réponds : « Oohh oui ! Qu’est-ce que c’est bon ! » Jack me répond que c’est aussi bon pour lui et reprend son mouvement du poignet. Il continue toujours à pousser lentement. Je n’arrête pas de gémir. Je lâche un jet d’urine sur la serviette. Je me contracte un peu et Jack se retire en douceur. Je souffle. Je ressens une très légère douleur lorsque les phalanges de Jack ressortent. Je me sens comblé et vide en même temps. Je tremble et ne peut refréner un large sourire béa. Je prends Jack par le coup et l’embrasse. Il me dit :


« - Tu as aimé ? Je ne t’ai pas fait mal ?

- J’ai adoré ! Et non, juste la sortie qui a été un peu plus sensible, mais non, c’était très bon !

- C’était une première pour moi….

- Pour moi aussi, Jack !…… Je n'en reviens pas ! Tu viens de me fister ! Et j’ai adoré la façon dont tu l’as fait, tout en douceur !

- Je pensais que ce serait plus compliqué. Mais tu mouilles tellement du cul quand il est bien travaillé ! C’est plus facile. »


Nous nous enlaçons et nous allongeons sur la serviette. Mais elle est trempée de mon urine. Jack se lève et me prend par la main. Nous retournons nous baigner. Quelques baisers et caresses plus tard, nous sortons de l’eau. La serviette est pratiquement sèche et, après nous être à nouveau enduits, mutuellement, de crème, nous nous installons pour un moment de repos, tournés l’un en face de l’autre. Nous nous tenons par la main, les doigts croisés. Nos regards ne peuvent se détacher, mais, rapidement, je lutte contre le sommeil avant de céder et de m’endormir.

Je me réveille, Jack dort, toujours sur le côté, face à moi. Sa main est toujours dans la mienne. J’admire son magnifique corps. Pas seulement son sexe qui pend et dont le gland touche la serviette, mais l’ensemble. Je suis bien avec lui et, il faut que je me rende à l’évidence : j'aime tout chez lui !

Il se réveille et me gratifie de son magnifique sourire. Il lâche ma main et remonte pour me caresser le visage un moment. Il se rapproche et m’embrasse. Je l’enlace. Il se colle à moi puis roule sur moi. Nous nous caressons pendant que nos langues cherchent à aller plus loin en bataillant dans nos bouches. Nos bites ne sont pas en reste. Elles gonflent et bataillent également. Puis Jack libère ma bouche et descend en embrassant chaque partie de mon corps. Il s’attarde très tendrement sur mes tétons qui durcissent sous ses caresses. Il descend encore, prend ma queue et l’avale tout aussi tendrement. Je lui caresse la tête. Mais, je ne vais pas tenir longtemps et je veux aussi sa bite. Je relève sa tête et lui demande de pivoter. Il s’exécute et nous continuons chacun avec la bite de l’autre dans la bouche. Jack alterne entre s’occuper en douceur de mon gland et tout prendre dans sa bouche tout en me malaxant les couilles. Dans le même temps, sa queue s’enfonce doucement, mais profondément, en moi, avec des mouvements du bassin très lents. Je caresse le bas de son dos et ses fesses. Sans insister sur son anus, je descends jusqu’à son périnée. Jack réagit immédiatement. Il gémit et amplifie son mouvement. J’extirpe sa queue de ma bouche pour prendre ses couilles rapidement avant de glisser ma langue sur son périnée. Il change vite de position pour me faciliter l’accès. Visiblement, il aime ça ! J’augmente mon rythme, tente d’aspirer son périnée. En faisant cela, mon nez bute contre sa rondelle. Lui qui n’aime pas qu’on y touche… Là, il s’en fout. Il prend son pied !

Ma jouissance n’est pas loin. Je reprends sa bite en bouche. Il me pilonne littéralement. Une fois au fond, il pousse encore. Je n’ai aucun haut le cœur. Je crois qu’il pourrait même aller encore plus loin. La voie est grande ouverte. De son côté, il a accéléré le mouvement également et va aussi au plus profond qu’il peut. Nous nous crispons exactement au même moment. Nous lâchons en même temps notre dose de sperme dans la bouche de l’autre, que nous avalons avant de nous rouler une nouvelle pelle bien juteuse.

Il est temps de rentrer, le soleil se couche. Nous remballons les quelques affaires, remettons nos maillots de bain et rentrons, main dans la main.

Après une bonne douche, toujours prise ensemble, nous préparons le dîner et mangeons. Pour passer la soirée, nous décidons de faire un jeu où le perdant doit faire un gage choisi par le gagnant. Nous rions beaucoup et buvons quelques bières . C’est aussi l’occasion d’explorer encore le corps de l’autre. On passe vite à l’essentiel, il n’y a aucun striptease à faire puisque nous sommes déjà nus. Nous finissons, par nous branler mutuellement, chacun notre tour, en éjaculant dans un même verre avant de se partager cette douce liqueur et d’aller au lit.

Dune



Le texte complet commence ici.

2 commentaires:

Coquin Belgium a dit…

C'est hard et en plus sur une plage avec le sable, ça doit gratter !! LOL

Dunegay a dit…

Oui ça gratte. Mais comme on avait déjà commencer à baiser, quelques mois plus tôt, sur une plage, on a pris nos précautions :)