28 / Des vacances bien méritées : Mon arrivée
« Dans ce récit, en huit
parties, la seule liberté que j’ai prise est dans les dialogues.
Bien que je sois bilingue, je ne comprends pas toujours tout ce que
l’on me dit du premier coup et je cherche souvent mes mots. Je suis
donc allé à l’essentiel mais le résultat est le même. »
Plusieurs mois sont passés depuis
mon dernier déplacement en Nouvelle-Calédonie.
Je suis toujours en contact avec Jack,
l’un des deux australiens rencontrés lors de mon dernier séjour
outre-mer. Jack m’a proposé plusieurs fois de venir passer
quelques jours chez lui et, l’occasion m’étant donnée, j’ai
finalement accepté. Ayant mis suffisamment de côté, je peux me
payer le billet d’avion.
Jack vit encore chez ses parents. J’ai
déjà eu l’occasion d’échanger quelques mots avec eux au
téléphone. Ils ont confirmé l’invitation et nous prêtent leur
maison de vacances pendant mon séjour. Ils savent que nous avons
passé une nuit ensemble. Par contre, j’ignore s’ils ont
connaissance qu’Oliver était aussi avec nous.
...
Le matin, Jack vient me réveiller
avec la douceur que je lui connais. Il me demande de ne pas trop
traîner. Le petit déjeuner est prêt et l’on part dès que
possible. C’est l’occasion pour moi de goûter la Vegemite, une
pâte à tartiner locale. Je ne suis pas spécialement fan, mais mes
hôtes ont tout prévu. J’ai droit à ma plaquette de beurre avec
le pain. Nous terminons de nous préparer et disons au revoir aux
parents de Jack.
C’est parti pour environ quatre heures de route.
Jack a son propre véhicule, un petit pick-up. Il me décrit
l’endroit où nous nous rendons, me précise que nous y serons
tranquilles, sans parents et personne pour nous déranger. Nous
poursuivons notre conversation et revenons sur notre précédent
week-end, cette fois avec les détails.
La discussion réchauffe les
esprits et les bites. Jack revient sur notre nuit à l’hôtel en se
caressant l'entre-jambe. Je le regarde faire en passant ma langue sur
mes lèvres. Il me sourit et ouvre la braguette de son bermuda. Sa
bite sort directement, bien raide et dressée. Je tends la main, il
bouge un peu pour me faciliter le passage. Je prends son membre et
commence à le caresser.
Je descends et glisse mes doigts dans son
bermuda pour attraper ses bourses. Je tire un peu sur le vêtement et
les sors. Jack tend le bras vers moi et place sa main gauche sur ma
nuque. Il ne m’en faut pas plus. Je me penche et gobe son gland. Je
le tète en passant ma langue tout autour. Il gémit et dit :
« Enfin ! J’avais tellement hâte d’être enfin
seul avec toi ! ».
Je salive autour de sa bite et
m’enfonce. Je vais au plus loin possible et commence tout doucement
mes va-et-vient. Jack oscille sur son siège en gémissant. Il ne lui
faut pas longtemps pour m’inonder la bouche de sa semence
particulièrement épaisse et chaude. Je me redresse en avalant et en
souriant. Je retrouve ce petit arrière-goût sucré que j’aime
tant.
Je lui fais un bisou dans le cou. Lui me dit de ne pas m’en
faire. Avant cette fois, il n’a pas éjaculé depuis plus d’une
semaine, préférant se garder pour moi. Jack a de la réserve...
Nous passons le reste du voyage à
discuter, chacun une main sur ou entre les cuisses de l’autre. Nous
nous arrêtons pour faire quelques courses et déjeuner avant
d’arriver à destination. C’est une belle maison, aussi avec
piscine, plus grande. La plage n’est qu’à quelques centaines de
mètres, vite faits à pied. Mais surtout : elle est isolée de
toute autre habitation. Aucun vis-à-vis !
Jack me fait visiter.
Dans sa chambre, équipée d’un grand lit, il me dit que je peux
retirer tous mes vêtements. Ici, sans la famille, c’est la
liberté ! Joignant le geste à la parole, il retire tout en
quelques secondes. Je l’imite aussitôt.
Il me montre alors une
chambre que ses parents ont prévue pour moi, si toutefois, nous ne
dormons pas ensemble. Jack me regarde d’un air interrogateur. Je le
fais languir un peu avant de lui répondre que, bien évidemment, il
n’est pas question que je passe encore une nuit seul dans ce pays.
Jack m’attrape et me roule un de ces patins, visiblement ravi de ma
réponse. Nos deux corps sont serrés. Instantanément, nos bites
gonflent et se redressent, collées l’une à l’autre.
On se
calme ! Rangeons les courses et installons-nous d’abord.
Dune
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