Je suis en permissions dans ma famille, en Normandie. Je dois reprendre le train pour retourner à la caserne pour mes deux derniers jours de service militaire. Ensuite, je pars directement vers Strasbourg rejoindre l’école sous-officier en Allemagne. Mon grand frère doit me déposer à la gare. Nous sommes en retard. Je vais louper mon train. Enfin, nous partons, la circulation est dense et ce qui devait arriver, arriva. Lorsque j’arrive sur le quai – avec mon frère qui, heureusement, m’accompagne – je vois mon train partir.
Normalement, une fois à Paris, j’ai 30 minutes de battement sur place avant de reprendre le dernier train en direction de la garnison. Mon frère, se sentant fautif, me dit de monter dans la voiture et nous voilà partis immédiatement sur Paris, qui se trouve à un peu plus de cent kilomètres. Nous sommes dimanche soir et, bien évidemment, il y a de la circulation. Je vois l’heure tourner et nous n’avançons pas beaucoup. Nous arrivons à la gare de Lyon à Paris après le départ du dernier train. Mon frère rentre et me laisse là. Je prendrai le premier train demain matin. Il pleut et il fait froid. Je tourne un peu dans la gare et je retrouve un camarade qui se trouve dans la même situation que moi.
Mon camarade est brun, un peu grassouillet alors que je suis blond, musclé, fin et sec. Nous nous installons dans un coin de la gare et nous nous préparons à passer la nuit sur place, mais la police passe pour évacuer les lieux avant la fermeture de la gare. Nous sommes contraints de sortir. Nous nous abritons sous un abribus quand un homme nous aborde.
Il est grand, noir, la trentaine et très avenant. Il nous indique qu’il attendait deux amis qui ne sont pas venus, il habite juste à côté de la gare et se propose de nous héberger pour la nuit, vu le temps et le froid. Il ne nous faut pas longtemps pour accepter. Je ne me voyais pas passer la nuit dehors sous la pluie et je n’ai pas assez d’argent sur moi pour payer une chambre d’hôtel. Nous le suivons jusque chez lui.
Effectivement, il n’est pas loin. Nous nous mettons à l’aise pendant qu’il nous prépare une boisson chaude. Il nous installe dans le salon dans lequel je peux voir tout un tas de photos accrochées au mur. Ce sont des danseurs entourant une artiste très connue de l’époque et malheureusement décédée aujourd’hui. Lorsqu’il revient, il est en t-shirt et caleçon. Un canon ! Des jambes et des bras musclés, un ventre plat, l'ensemble est parfaitement proportionné. Malgré mes tentatives furtives, je n’arrive pas à discerner ce qu’il cache sous son caleçon. J’apprécie énormément sa plastique, mais je dois faire beaucoup d’effort pour le cacher à mon camarade.
C’est là que je remarque que notre hôte est sur toutes les photos accrochées au mur. J’engage la conversation sur le sujet en buvant notre boisson. Il n’est pas loin de quatre heures du matin. Le premier train est à 06 heures 15. D’un coup mon camarade se lève et demande où nous allons dormir. Il se sent très fatigué. Notre beau danseur nous indique alors qu’un d’entre nous dormira sur un matelas à côté du lit et que l’autre partagera le lit avec lui. Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que mon camarade réagit : « je prends le matelas ! »
Nous nous couchons en sous-vêtement. Je me dépêche de me glisser sous les draps, car je suis déjà en érection et mon slip a du mal à tout contenir. À vrai dire, mon gland dépasse de la ceinture de mon slip. Mon camarade est couché sur un matelas juste de l’autre côté du lit. Notre hôte nous rejoint, se couche, éteint la lumière et s’installe dans son lit, à côté de moi, ou plutôt, à moitié sur moi….. Tout son côté gauche est sur moi. Mon bras droit se retrouve coincé sous son corps et je ne peux pas bouger. Mon cœur bat la chamade. J’ai l’impression qu’il s’emballe. Je ne dis rien et j’attends. Je n’ose pas !
Je sens, par-dessus les draps, une main se poser sur ma cuisse. Très doucement, cette main remonte. J’ai l’impression que cela prend une éternité. Puis, il arrive au niveau de mon sexe. La main se pose sur mon sexe et mes couilles. Il constate aussitôt mon état d’excitation. Il me malaxe les couilles. Il souffle un peu fort, lui aussi est excité. Il tourne la tête et me dit tout bas dans l’oreille : « Ne t’inquiète pas, ton copain dort déjà….. Il ronfle doucement ! ».
Je tourne ma tête vers lui et nous nous retrouvons bouche contre bouche. Nos langues se cherchent et se trouvent. Il se tourne en libérant mon bras droit. Nous nous enlaçons aussitôt et l’une de mes mains part à la conquête de son entre-jambe. En passant, je caresse ses fesses. Elles sont bien rondes et fermes. Je glisse mes doigts dans son caleçon. Je ne suis pas déçu !! Catégorie TTBM !! J'attrape son sexe bien raide. J’ai du mal à en faire le tour. Je le caresse, lui prends les couilles et me retourne. Lui, baisse mon slip pour avoir accès à mes couilles, ma bite et mon trou du cul. Je présente mes fesses face à son gros manche que je tiens toujours. Je ne veux pas le lâcher, de peur de le perdre. Je place son gland contre mon trou. Je fais des petits mouvements avec mes fesses. Je veux qu’il me prenne là ! Maintenant !
Il a bien compris le message et se retourne pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit. Mes yeux se sont habitués à l’obscurité et j’arrive à tout distinguer. Il prend du gel, en met sur ma rondelle et son sexe. Nous sommes allongés sur le côté et je le sens qui entre. Cette fois, ça rentre tout seul. Cette bite n’a rien à envier à celle de Patrick (que je n’ai pas oublié), même plus imposante encore. Le gel aidant, je la sens me fendre sans douleur. Je crois bien que j’ai fait les quatre coins du lit. Il m’a limé pendant un temps admirablement long et dans toutes les positions. Il jouit en premier. Je suis sur le dos, au milieu du lit, les jambes en l’air. Lui est debout, sa bite me perforant de tout son long quand il lâche la purée tout au fond. Nous nous retenons de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller mon camarade, mais franchement, là, j’en ai, et depuis un moment, plus rien à faire. Le plaisir est beaucoup plus important !
Après un petit instant, mon étalon se retire et s’absente en me demandant de l’attendre. Il veut me faire jouir à son tour. Avec du mal, je réussis à résister à l’envie de me finir pour dormir un peu. Je ne sais pas l’heure qu’il est. Je le vois revenir et se présenter à moi, nu, avec la bite à demi bandée et encore imposante. Il se met de côté et descend son visage vers ma bite toujours bien raide. Il embrasse mon gland mouillé. Tourne sa langue et descend pour la prendre en entier. Avec une telle excitation et après un tel traitement, je ne tiens pas longtemps. En effet, je finis par envoyer de gros jets de sperme dans sa gorge. Je sens que ça n’arrête pas. Je n'ai jamais autant craché. Je sens que c’est bien épais, consistant. Il lâche ma bite et me regarde tout en avalant mon sperme. Cette vue motivera quelques séances de branles à la caserne pour les semaines à venir….
J’en veux encore !
Je me retourne et grimpe sur lui. J’aperçois mon camarade qui dort à côté. Je roule une pelle à mon danseur et descends à mon tour tout en le léchant. J’arrive au niveau de son membre qui a retrouvé sa forme. Je passe ma langue tout autour de son gland. Je lèche sa bite sur toute la longueur. Je ne veux pas rater un millimètre. Je prends ses grosses couilles une à une dans ma bouche. Je joue avec ma langue. Je remonte et prends son sexe à pleine bouche….. Enfin, ce que je peux. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge et la ressort. À chaque fois, j'essaie de la prendre plus profond. Il me tient la tête et appuie quand je sens un liquide chaud et épais envahir ma bouche. Il se crispe et gémit. À mon tour, j’avale son jus….
Ce sera mon petit-déjeuner, car aussitôt, le réveil sonne. Nous nous précipitons pour remettre nos sous-vêtements. Nous avons vingt minutes pour prendre notre train. Ainsi, quand mon collègue ouvre un œil, nous venons officiellement de nous lever après une courte nuit de sommeil.
Nous nous habillons puis nous prenons congé de notre hôte. Je n’ai pas eu le temps de lui demander ses coordonnées. Je ne sais même pas comment il s’appelle. Nous sautons dans notre train et arrivons juste à l’heure pour le rapport. Je n’ai jamais su si mon camarade avait vu ou entendu quelque chose. La journée à été très longue mais le souvenir de cette nuit m’a aidé à tenir.
Dune
5 commentaires:
mmmhh :-)
une histoire merveilleuse et je crois qu'elle s'est réellement produite. Toi, Dune, tu es une tentation vivante!
Cette aventure restera gravée à jamais : Mon premier homme de couleur et en plus, imprévu.
Tu racontes très bien les histoires.
Merci JG. Le fait que ce soit du vécu m'aide énormément :)
Bises
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