Après avoir fait mes classes à Auxerre, puis le peloton « gradé », je suis affecté dans une unité d’autoroute dans le sud de la France. Nous sommes 15 militaires appelés du contingent. Nous occupons deux logements de type HLM situé au rez-de-chaussée d’un immeuble qui abrite l’ensemble de notre encadrement. Mon grade me permet d’obtenir une chambre individuelle. Mon intégration se passe très bien. Parmi mes camarades, j’en remarque deux en particulier. L’un est mince et brun, l’autre est blond et très bien foutu. Ancien espoir dans un club de foot près de Dijon, ce dernier a dû renoncer à sa carrière sportive suite à une blessure. Ils ont deux ans de plus que moi. Nous devenons tous les trois amis. Craquant habituellement sur les bruns, je jette mon dévolu sur Olivier, le brun. Mais rien n'y fait. Il n’est pas réceptif. Les mois passent et il ne se passe rien. Quelques jours avant sa libération, nous sortons faire la fête. Nous sommes avec Patrick, le blond, qui, lui aussi, est sur le départ. Nous nous remémorons les bons moments passés ensemble quand Patrick part aux toilettes. Olivier en profite pour me dire qu’il a compris depuis longtemps où je veux en venir avec lui, mais qu’il n’est pas intéressé. Il m’assure qu’il restera muet sur ce fait. Sinon, c’est le renvoi assuré pour moi. Il espère sincèrement me revoir après le service. D’autant que je dois être muté en région parisienne dans le cadre de mon volontariat pour un service long. La soirée se passe et nous rentrons dans nos appartements. Patrick loge dans le mien et Olivier dans l’autre. Tous les autres occupants de notre appartement sont en permission. Je me retrouve donc seul avec Patrick. Nous continuons à discuter, chahutons un peu et rigolons beaucoup, comme d’habitude. Puis, je lui indique que je vais me coucher et lui souhaite une bonne nuit. Il part dans sa chambre.
Je me déshabille et me couche, nu, comme à chaque fois. Alors que je m’apprête à éteindre la lumière, ma porte s’ouvre. Patrick porte un slip blanc, modèle fourni par l’armée. Il se précipite et se jette sur mon lit. Il tente et arrive à passer ses bras sous mes draps et me chatouille. Il passe ses mains partout où il peut sur mon corps. Ce que je devine dans son slip semble lourd et impressionnant. Cependant, je n’y suis pas du tout et tente de résister et lui rendre ses chatouilles. Patrick est sur moi, je réalise qu’il a retiré mes draps et je ne peux empêcher une totale érection. Aussitôt, il prend mes couilles à pleines mains. Je m’arrête enfin et me laisse faire. J’ose enfin regarder plus attentivement son slip et je vois un paquet qui me paraît énorme avec un barreau qui ne demande qu’à sortir. Pas un poil ne dépasse. Visiblement, il bande aussi ! Je passe ma main sur son slip. Je sens une masse bien épaisse, longue et surtout pesante. On se regarde. Plus personne ne bouge. Je donne le signal en baissant son slip et en libérant une bite bien veineuse qui dépasse mes espérances. Elle est au niveau de mon visage. Ses poils pubiens sont taillés courts, mais pas rasés. Surpris et ravi, j’ouvre la bouche. Patrick en profite et enfonce son gland entre mes lèvres. Je dois tellement écarter que cela me fait mal. Je sens alors Patrick commencer un va-et-vient dans ma bouche. Il y va doucement. Je ne peux pas tout prendre. Je lui caresse le dos, ses fesses musclées. Je suis excité comme jamais. Il me caresse les couilles et la bite. La mienne est beaucoup plus fine et plus petite, même si elle est, tout de même, au-dessus de la moyenne. Patrick se retire d’un coup. Il est sur le point de jouir et ne veut pas tout de suite.
Je l’aide à finir de retirer son slip puis il s’allonge sur moi, bite contre bite. Nous nous caressons. Pas un centimètre de peau n’est oublié. Je sens son corps musclé. Je m’aventure à passer un doigt vers son anus, mais il sert les fesses. Je retourne vers sa bite. Elle me fascine. Il refuse également que je l’embrasse sur la bouche. Maintenant, c’est lui qui s’approche de ma rondelle. Je la sens s’ouvrir sous ses caresses. Je soulève mes jambes. Son gland se présente tout seul à l’entrée. Je lui dis alors : « Vas y !! Prends-moi !! » Ce sont, je crois, mes seules paroles prononcées depuis qu’il s’est jeté sur moi et ce seront les seules avant la fin.
Visiblement surpris, mais excité, il crache dans ses mains pour lubrifier son gros pieu et tente de me pénétrer. Ça ne veut pas ! Mon petit trou n’a pas reçu de visite depuis plusieurs mois et l’excitation actuelle ne suffit pas à permettre l’entrée de son gros chibre. Il se lève, repasse son slip et part en me disant de l’attendre. Il revient très rapidement. N’ayant pas de gel sous la main, il est parti chercher du beurre dans la cuisine de l’autre appartement. Par chance, personne ne l’a vu. Je sors du lit et me mets debout contre le mur en écartant les jambes. Comme si j’allais me faire fouiller. En fait si, j’allais me faire fouiller par l’engin de Patrick. Et quel engin !!
Patrick introduit ses doigts dans mon trou et y dispose quelques morceaux de beurre. Il lubrifie son sexe qui n’a pas débandé et se présente à ma porte. Je le sens qui force le passage. Il pousse et je sens son gland me pénétrer, doucement, mais sûrement. Une chaleur m’envahit. J’ai le cul en feu. Patrick ne bouge plus quelques instants et, dès que je me détends, reprend sa progression. Je sens chaque millimètre de sa bite me pénétrer. Il m’écartèle la rondelle. Il se sert contre moi. Je sens son souffle sur ma nuque. Son torse chaud et imberbe caresse contre mon dos. Ses bras musclés et ses mains remontent sur mon torse. Il reste ainsi quelques secondes avant de commencer un lent va-et-vient. Je me détends encore. Je sens ses lourdes bourses taper contre mes cuisses. Il met une main sur ma bouche pour m’éviter de crier. Il accélère le mouvement. Je sens sa sueur couler dans mon dos. Puis, il s’enfonce à fond. Il se cramponne à moi et je sens mon cul se remplir d’un liquide épais et chaud. Nous restons ainsi quelques instants avant que Patrick ne se retire. Il me fait une petite tape sur la fesse et me souhaite une bonne nuit en précisant de ne pas trop rêver à ses 23 centimètres. Son sperme coule sur le sol.
J’efface toutes les traces avant de me coucher.
Après une courte, mais très bonne nuit, je me lève heureux et satisfait. Je retrouve mes camarades dans la cuisine pour le petit déjeuner. Patrick est là, en short de sport blanc. Il m’ignore et ne m’adresse pas la parole. Je ne comprends pas, mais je ne peux rien dire. À l’époque, l’homosexualité n’est pas tolérée dans l’armée. Deux jours après, Patrick et Olivier rentrent chez eux, libérés de leurs obligations militaires.
J’apprends plus tard, par Olivier, que Patrick avait une copine ; il s’est marié peu de temps après son retour. Olivier rajoute : « je ne sais pas pourquoi, mais Patrick veut oublier cette période et ne veut plus voir personne. Tu aurais une idée ? » Je réponds que je ne sais pas...
2 commentaires:
elle histoire, comme d'habitude!
Merci Xersex :)
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