37/ Mon arrivée en région parisienne

 

À peine 25 ans et ma carrière prend un nouveau virage. Je change de subdivision pour devenir enquêteur. Je suis muté en région parisienne ; en petite couronne plus exactement. À l’époque, il y a encore des brigades dans presque toutes les communes. Me retrouvant une nouvelle fois sans voiture, je fais le trajet en train alors que mes meubles montent avec le camion de déménagement. Je me suis organisé pour voyager léger, juste avec un petit sac de sport acheté en Australie. Normalement, je dois arriver sur ma nouvelle affectation quelques heures avant le camion, qui n’est pas attendu avant 09 ou 10 heures. Le trajet se passe sans histoire. J’arrive sur ma nouvelle résidence à 07 heures 00, par le R.E.R. La gare n’est qu’à quelques minutes, à environ 600 mètres. Je sors et, le temps de me repérer, je prends l’avenue en me dirigeant vers mon nouveau chez-moi. C’est simple, c’est tout droit et au bout à gauche. J’ai l’intention de repérer les lieux puis d’aller prendre un café dans un bar du centre-ville en attendant de me présenter à ma nouvelle unité et prendre possession de mon appartement. Je n’aurai pas le temps pour le café...

Après Jack et Guillaume, j’ai décidé de m’interdire de tomber amoureux d’un mec. A partir de maintenant, je consomme et puis je jette ! Surtout pas d’attache !


De suite, je passe au niveau d’un immense chantier, ou du moins à ce qu’il en parait. Des palissades métalliques en barrent l’accès et la vue. Je continue à avancer quand je vois un homme marcher vers moi, sur le même trottoir. Il est châtain foncé, dans la vingtaine également, vêtu d’un jeans slim aussi moulant que le mien et d’allure athlétique. Arrivé à quelques mètres de moi, celui-ci me dit : « Oh ! Le charmant militaire ! …. En permission ? » Il s’arrête à mon niveau. Je lui explique que je suis affecté ici, je viens tout juste d’arriver et que je ne connais pas du tout le coin. C’est alors qu’il me répond : « Alors, j'aimerais te souhaiter la bienvenue… à ma manière. Ça te dit ? » en se caressant l’entrejambe. Guillaume occupe toujours mes pensées, mais il me faut avancer. Je lui réponds que je ne suis pas contre. Bien au contraire. Il me prend le bras et m’emmène quelques mètres plus haut. Il écarte deux panneaux de la palissade, entre et me tire de l’autre côté. Il semble bien connaître les lieux. C’est un immense terrain vague. Les travaux n’ont pas encore commencé et surtout, il n’y a personne ! Cela deviendra une immense zone d’activité.

Il m’attrape par les hanches et nous nous frottons l’un l’autre. Je sens son sexe dur et le mien n’est pas en reste. Je laisse tomber mon sac de sport au sol. J’ouvre son pantalon. Il dégrafe le mien. Je caresse sa bite au travers de son caleçon. Lui, glisse directement sa main dans mon boxer. Je fais comme lui et passe ma main à l’intérieur. J’attrape sa bite bandée et commence à le branler. Il baisse mon pantalon au milieu des cuisses et s’abaisse. Tenant toujours ma bite d’une main, il approche sa bouche. Sa langue me caresse et fait le tour de mon gland. Il passe, repasse dans tous les sens. Puis, elle descend le long de ma queue. Il prend mes couilles à pleine main et les malaxe. Il les embrasse, les lèche avant d’en gober une, puis deux tout en me branlant légèrement. Il libère mes couilles et gobe ma bite. Il se jette dessus comme s’il avait faim. Il mouille bien et prend toute la longueur avant de revenir juste sur mon gland. Il le tète, l’aspire et reprend ma queue de plus belle. Je vacille. Heureusement, je suis dos à la palissade, la bite en avant. Je gémis quand, n’y tenant plus, je crie en lâchant ma dose de foutre au fond de sa gorge. Il avale tous mes jets de sperme. Il n’en perd pas une goutte. Il reprend ma bite en main, recule légèrement pour me regarder droit dans les yeux. Avec un air satisfait, il me dit : « Voilà, bienvenue en région parisienne.» Aussitôt dit, il remet mon gland entre ses lèvres. Il lèche les quelques gouttes de sperme qu’il peut récupérer avant de le lâcher. Puis, il se redresse. Je vois qu’il s’est branlé en même temps. Il remballe sa bite encore à moitié bandée dans son jean et se réajuste.

Je lui dis que j’aimerais lui rendre la pareille, mais lui me répond qu’il doit prendre son train et qu’il est déjà à la bourre. Il me précise aussi qu’il ne vit pas ici et qu’il sort d’un plan cul dans le centre-ville. Je remets mon pantalon et nous quittons le terrain vague. Après un bref salut, nous partons chacun dans une direction opposée.

Un tel accueil laisse présager de bons moments dans cette nouvelle affectation

Je ne l’ai jamais revu, ni croisé en ville.


Dune


















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