27 / Diégo, le retour


Diégo est égal à lui-même, sans fard. Une fois dans la chambre, la chaleur étant difficilement supportable, il se met totalement à poil, moi aussi d’ailleurs. Nous nous retrouvons ainsi tous les soirs, nus, sur nos lits respectifs et généralement sur les draps. Avant de dormir, nous lisons un peu ou écrivons une lettre à nos familles. On discute beaucoup aussi. Bref, on peut rester ainsi quelques heures. Ce qui m’arrange, car je ne rate pas une occasion de le mater discrètement. J’adore quand je le vois se tripoter la bite ou les couilles machinalement pendant qu’il lit. D’autant qu’il lui arrive aussi régulièrement de se mettre à bander. De plus en plus souvent d’ailleurs. Cela provoque immédiatement la même réaction chez moi. Après plus d’un mois de déplacement, on ne se cache plus, même dans cet état. Après tout, on s’est déjà vu bandant tous les deux, au réveil, chez lui. Mais c’est plus fort que moi, quand ça arrive, je me mets à espérer pouvoir renouveler l’expérience de cette nuit passée sur son canapé.

Un soir, vers le deuxième mois de déplacement, je vois Diégo perturbé. Nous sommes sur nos lits, nus. Il se caresse la bite tout en soupirant ou marmonnant d’un air agacé. Je l’interroge :


- « Qu’est-ce qu’il y a ? Ça ne va pas ?

- Je n'arrive pas à accrocher à l’histoire du bouquin... Ma copine me manque !

- Plus qu’un mois à tenir et c’est bon, on rentre.

- Oui, mais j’en ai marre de me branler sous la douche. J’ai envie de baiser moi ! Regarde ! (Il me montre sa bite bien raide)

- Je crois qu’on en est tous là (je montre la mienne), puis on n'a pas le choix (les yeux rivés sur son chibre). Tu peux toujours te trouver une nana en ville ou aller voir une pute. Certains le font, même des mecs mariés.

- Pas question que je paie ! Par contre…

- Oui ?

- Euh……. J’aurais bien une idée...

- Quoi ?

- Tu te rappelles quand on s’est endormi sur mon canapé ?

- Chez toi ? Oui, bah quoi ?

- Tu ne voudrais pas recommencer ?

- Recommencer quoi ?

- Tu sais..., je ne dormais plus. En fait, je me suis réveillé dès que j’ai senti ta main prendre ma bite.

- Euh….

- Tu pourrais même peut-être la prendre un peu plus longtemps dans ta bouche, c’était très bon !

- Ah… Et ta copine ?

- Ce qui se passe à Nouméa reste à Nouméa. Puis, ce n'est pas pareil, tu es un pote !

- Dans ces conditions…. »


Je saute de mon lit et fonce vers le sien. Je ne veux pas le brusquer alors, je m’accroupis par terre, la tête à hauteur de son manche. (J’ai déjà vécu une telle expérience avec un hétéro qui te chauffe de façon explicite et qui, au dernier moment, alors qu’on est déjà à poil, fait marche arrière. C’est plus que frustrant !). Je le regarde. Il hoche la tête et me dit doucement : « Vas-y, s’il te plait ».

Il ne m’en faut pas plus. J’attrape sa bite, me rapproche et embrasse son gland. Il me regarde faire. Je sors la langue et commence à passer partout autour, sur son méat, son frein sur lequel je m’attarde. Il commence à gémir tendrement. Puis j’enserre son gland entre mes lèvres et je descends en le regardant. Il n’en rate pas une miette. Sa bite a beau être fine, elle est longue et je ne peux tout prendre sans risquer un haut le cœur. Après plusieurs tentatives, je passe sur ses couilles. Je commence par celle qui est intacte. Je lèche, je gobe. Il me dit que je peux prendre l’autre sans crainte. Ce n’est pas plus sensible. Je change donc. J’ai l’impression d’avoir les deux couilles dans la bouche alors qu’il n’y en a qu’une. Il apprécie, je l’entends. Je tente une aspiration de son autre testicule qui rentre. C’est bizarre. C’est comme si je gobais trois couilles en même temps. J’ai la bouche pleine. Je le lâche et, au moment de revenir sur sa bite, il m’interrompt. Il me fait une place sur lit et me dit de venir m’allonger à côté de lui. Il me précise tout de suite qu’il ne me sucera pas, mais qu’il a envie de toucher ma bite pendant que je le suce. Je me mets en position et reprends là où j’en étais. Diégo me caresse le pubis et descend doucement pour enfin prendre ma queue et mes couilles. Il malaxe en douceur. Il fait attention. Pendant que je poursuis mes va-et-vient de la tête sur son chibre. Je sens ses doigts explorer chaque millimètre de mon sexe. D’un coup, je réalise que ses doigts descendent encore. L’un d’eux s’aventure entre mes cuisses, cherchant visiblement mon anus. J’écarte les jambes pour lui laisser l’accès libre. Je l’entends faire un petit râle de satisfaction.

Aussitôt, je sens un doigt devant mon trou. Il me masse avec. Il ne m’en faut pas plus pour que je m’ouvre (surtout après le week-end passé avec mes deux australiens). Sa première phalange est déjà entrée. Je sens qu’il bouge son doigt à l’intérieur et qu’il tente d’aller plus loin. De mon côté, j’accélère le mouvement. Je mouille de la bouche et du cul. Il s’enfonce encore au plus loin qu’il peut avec son doigt. Je le sens alors se raidir. Il va jouir. Je ralentis la cadence, mais trop tard. Il balance la purée dans ma bouche en plusieurs jets. Je retrouve le même goût que la première fois. De sa main libre, il a attrapé son oreiller pour étouffer ses gémissements. Je continue à le lécher doucement en récupérant les dernières gouttes de sperme qu’il me donne. Diégo n’a pas retiré son doigt. Il continue à remuer en moi. Nous nous regardons et il me dit que je peux me branler comme ça, si je veux. Je prends ma queue en main et commence à m’astiquer devant lui. Son regard passe de mes yeux à ma bite puis mon cul. Cela ne prend pas longtemps avant que plusieurs jets arrosent mon torse et mon menton. On se regarde à nouveau et partons dans un éclat de rire (en sourdine). Il retire son doigt. J’ai déjà ramassé mon sperme avec mes mains et tout porté à ma bouche. Je me lève et essuie le reste avec ma serviette. Il me remercie pour ce bon moment et réitère ce qu’il a dit avant : « Ce qui se passe à Nouméa reste à Nouméa ! » De mon côté aussi, je le remercie et lui indique que son doigt m’a quelque peu surpris, mais que c’était très agréable. Il me répond que l’idée lui est venue dans l’action. En tout cas, c’était une très bonne idée….

Ce qui est bien avec Diégo, c’est qu’il assume. Enfin, entre nous. Ce qui est fait est fait et si cela s’est passé, c’est qu’il le voulait. Donc, aucun regret. Nous avons passé une fin de déplacement paisible.

Un soir, je lui raconte même mon week-end avec les deux australiens alors que beaucoup pensaient que j’avais passé la nuit avec une prostituée. Ce soir-là, nous renouvelons notre expérience à la différence que, cette fois, il a aussi goûté à ma bite et à mon jus.

Et, effectivement, ce qu’il s’est passé à Nouméa est resté à Nouméa…. jusqu’à aujourd’hui.


Dune



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