Les Docks

 Encore une de ces nuits sans sommeil, une seule idée me taraude depuis des heures : BAISER !
Mon esprit est embrumé par des images permanentes de sexes, de corps offerts et d'aventures extrêmes. Pas le choix,
faut assumer. ...
J'enfile mon cock-ring lourd et mon jean troué, sans slip ni boxer short bien sûr ! Vérification du matériel indispensable, check liste du pilote avant décollage.
Poppers, mouchoirs en papier, capotes et petites doses individuelles de gel.
La voiture roule dans un Paris désert, il est vrai qu'à 22h00 en semaine pas grand monde, de plus les vacances de pâques y sont certainement pour quelque chose.

Vite, une place se libère juste devant la porte des DOCKS, pas de fioritures, la caisse, le vestiaire et hop ! En route. Veste, sac, casquette, je ne garde que le tee shirt blanc.
Descente dans les profondeurs sombres des lieux, illuminés seulement par le scintillement des moniteurs qui diffusent en continu des scènes hard. Ici un groupe de mecs en latex des pieds à la tête et qui se pissent allègrement dessus en buvant de la bière dans ce qui semble être un égout.

Et là, sur un autre écran, un petit minou blond s'enfonce un god
e gigantesque dans le cul.

Ca commence bien ! Quelques mecs dans les couloirs, et chaque cabine offre une vision différente du phantasme de son occupant.
Panoplie complète de salope à god
e en cuir des pieds à la tête, cul offert au premier venu, visiblement graissé et prêt à tous les assauts. Dans la suivante un mec, dans la cinquantaine, joue avec sa bite tout en sniffant du poppers. S'il continue comme ça, je ne donne pas cher de sa soirée, il risque de s'endormir l'engin !
Je poursuis mes déambulations tout en repérant les mecs qui pourraient correspondre à mon phantasme du jour.

Aujourd'hui, spécial hard et domination, allez hop ! On ne se refuse rien. Donc les mecs observés sont du genre musclés, très poilus, moustachus sortis tout droit des " Village People ".
Il y'en a quelques uns qui correspondent assez bien dans leur genre.

Au détour d'un couloir je surprends un mec agenouillé à quatre pattes sur le sol d'une cabine, le cul bien en évidence, en rangers et en slip parfaitement blanc.....la particularité est qu'il à écrit sur son slip : bottez moi le cul avec une flèche dessinée pour bien montrer où il veut être botté !

Je me dis que si c'est son truc, why not ? Et je lui file quelques coups de latte en passant, juste par politesse, faut être gentil avec les gens, mes parents me l'ont toujours dit.
Faudrait peut être que je trouve, la fumée des mecs qui clopent à la chaîne commence à me piquer les yeux, ah les fumeurs, ils devraient pomper sur autre chose que des clopes ! Je connais d'autres bouts incandescents autrement plus intéressants!

Autre cabines, autres phantasmes, voici un mec qui se fait fister les yeux bandés, je pense que le trip inconnu/viol/sensation pure doit l'exciter un max car il gueule à n'en plus finir.
Il va finir par réveiller la concierge celui là !
Encore quelques glory holes d'où dépassent des bites qui vont du pitoyable au majestueux.

Et justement, en passant devant une cabine dont le glory hole révèle un engin superbe, accompagné de sa paire de couilles bien pendantes et rasées je me décide sur une impulsion soudaine à entrer et commencer à pomper ce mec dont je ne vois que la bite.
Au goût c'est déjà ça, déclic dans ma tête, message télégraphique : Ca va être un bon coup, je le sens, non seulement parce que sa queue est délicieuse, mais aussi parce que j'aime sentir son plaisir qui semble traverser la fine cloison toute tachée du foutre de multiples occupants.

Je le suce consciencieusement, a toutes les cadences voulues, doucement, violemment.
J'engloutis ses couilles dont une seule suffit à remplir ma bouche ! Un petit snif de poppers et je me dis qu'il faudra passer aux choses sérieuses et risquer de passer de l'autre côté de la cloison.
Juste à ce moment là, il retire sa queue et fait passer dans le trou un doigt qui me fait signe de venir le rejoindre.

Moment de vérité : sera-t-il "le maillon faible" ?
Je me glisse hors de ma cabine, il fait trop sombre pour le voir. Juste une ombre massive se détache. Pas le temps ni l'envie de faire des civilités, je règle la lumière du plafonnier pour mieux le voir et là je manque de tomber à la renverse où d'avoir la première éjaculation précoce de ma vie !
Ce mec est juste ce que je voulais ce soir :
Grand, brun, hyper poilu, des pecs en béton
et une moustache bien fournie. Sa tenue n'a rien d'une sortie pour gala de charité, chaps cuir, bottes de motard, et gilet cuir sur torse nu. Ses yeux sombres me dévisagent et je sens que je l'intéresse.

Un petit quelque chose me dit qu'il n'est pas si hard qu'il en à l'air, la chanson c'est une autre histoire. Mon instinct de prédateur me dit qu'il faut prendre les choses en main d' amblée.
Je lui saisis les couilles à pleines mains et tire fermement dessus pour l'obliger à s'agenouiller.
Il réagit à ma satisfaction exactement comme je m'y attends. Il gobe littéralement ma queue pendant que ma main tient fermement sa tête.

Les mots qui sortent de ma bouche feraient rougir une chaisière s'il en existaient encore !

- Vas y !
Pompe mec, doucement, bave dessus, les couilles aussi....je n'arrête pas de lui ordonner de se plier à ma volonté. Ca c'est le pied ! Une grosse brute épaisse à mes pieds et que je domine de toute ma puissance. Il devient mon objet.
- Suce, salope, pince toi les seins...

Imaginer qu'un mec comme moi, à l'allure de gentil monsieur, mince et urbain en train de mater cette bête m'excite à un point !

Je le retourne fermement vers le banc en lui tirant sur son gilet en cuir pour qu'il me présente son cul. Il est exactement comme je les aimes : poilus et ferme
s.
Je me dis qu'il faudrait peut être lui faire un petit plaisir, ma bouche épouse les contours de son trou poilu et ma langue titille doucement sa rondelle. Il aime, c'est déjà ça.

Je lui demande ce qu'il veut et il me glapit littéralement aux oreilles " encule moi " !

Non mec ! c'est moi qui décide quand je vais te la mettre, demande encore et plus gentiment.
De sa voix grave et virile il me répond :

S'il te plaît, mets la moi bien profond, je la veux, accède à ma demande je t'en prie.
C'est déjà mieux lui dis je, présente moi ton trou, mais avant je veux savoir comment tu embrasse. Et si tu n'est pas bon, je te jettes.

Il approche humblement son visage du mien et me roule un palot d'enfer, sa langue s'engouffre dans ma bouche, j'ai l'impression qu'il va me bouffer les amygdales, pas terrible comme début...
Mais très vite il aspire doucement ma langue et la suce en la savourant.
Bien ! C'est mieux, je crois que je vais finalement lui en mettre un bon coup.

Ma bite est bien raide, dure à casser des cailloux ! Je souris en pensant à SAN-ANTONIO qui en aurait sûrement fait un passage de bouquin !

Techniquement pour qu'elle rentre bien il aurait fallu que je lui lubrifie le cul et que je l'ouvre et le prépare gentiment.....ce soir je ne suis pas gentil du tout.
Il se la prend d'un coup ! A fond, je m'enfonce en lui tel un brise glace au pole sud ! En attendant c'est son pole à lui qui en prend pour son grade.
Il semble apprécier. Pour faire bonne mesure, je lui claque les fesses avec violence en le traitant de tous les noms, chienne, trou à bite, lope....

Tout en l'enculant sauvagement et en lui claquant les fesses d'une main, je continue à lui tirer sur les couilles. Elles sont vraiment énormes, ce mec doit avoir une production de foutre aussi importante qu'une usine de moufles au Groenland....

J'ai envie de voir ce que ça donne de le faire gicler.

J'arrête mon limage de cul, retire ma bite, la lui fait sucer puis le fais s'asseoir sur le " banc " cuisses écartées, bite et couilles pendantes, chaps bien en évidence. Sa bite est vraiment belle, mais ce sont se couilles qui " m'interpellent au niveau du vécu " comme dirait l'autre...
Impossible de les bouffer ensemble ! Trop grosses, je décide alors de le branler avec vigueur histoire de voir ce dont il est capable.

Tiens, maintenant c'est moi qui ai envie de recevoir une bonne giclée sur la gueule, bouche ouverte et langue offerte en plateau. Je lui ordonne sur un ton sans appel :

- Tu vas me donner ton foutre mec !

Puis, une idée plus vicelarde me traverse l'esprit, finalement je ne vais pas lui bouffer son jus, c'est lui qui va bouffer le sien et à ma manière !

Je fais monter progressivement la cadence de ma main sur sa bite et ses couilles se soulèvent et retombent lourdement à chaque poussée de mon poignet.

Un filet de salive s'échappe de sa bouche et s'accroche à sa moustache et à sa barbe de
trois jours.
Je sens que l'on n'est pas loin du but. J'attrape son épaule pour l'obliger à se lever, surpris, il ne comprend pas ce que j'attends de lui.

Désorienté, il me regarde faire pendant que je présente ma queue devant la sienne, où plus précisément SOUS la sienne. Et là, il comprend, saisit sa queue et se branle avec obstination et fermeté. Il commence à rugir comme un lion en chasse et je vois un gros flot épais de foutre se répandre sur ma queue.
Cela ne semble ne plus finir, jet après jet son jus inonde ma queue, et la recouvre entièrement d'un liquide chaud.

Et maintenant à genoux mec ! Il ne demande pas son reste et tombe devant moi en une position de soumission totale.
Lave moi cette bite mec, c'est toi qui à fait ça c'est à toi de la nettoyer !
Il lèche ma bite, récupère sa semence qui borde sa moustache maintenant humide de jus.
Il me rend une bite propre et luisante, mais je n'en ai pas fini avec lui.

Je commence à m'astiquer avec application. Présente moi ton torse mec, ouvre ton gilet en cuir.
Malgré la détumescence de sa queue, il soupire d'aise et tend vers moi sa poitrine puissante et velue.
Je jouis, le foutre est partout sur son torse, son gilet, et même au bout de son nez.
Il aime.....moi aussi d'ailleurs.
Mes grognements témoignent de ma satisfaction de la " domination accomplie ". Je quitte la cabine sans un mot ni un regard pour le mec.

Il n'existe plus...mission accomplie.

D'un coup sans trop savoir pourquoi...je me sens plus léger...je ne comprends pas...et vous ????

TERRY94 

 


 

1 commentaire:

Xersex a dit…

belle histoire, comme toujours.