Le kiné – SUITE

 Cela fait deux semaines que je suis en province, mon kiné me manque. Ah, au fait, il s'appelle Loïc. Je l'ai tous les soirs au téléphone, il me raconte des histoires bandantes. Et comme toutes les histoires bandantes, je finis la queue raide, il ne nous reste plus qu'à nous branler en écoutant l'autre.

C'est plutôt frustrant.
Nous sommes Vendredi, je lui dis que je reviens ce soir et que je peux passer à son cabinet pour une séance de relaxation : "Tu connais les lieux et l'heure, je serais là." J'arrive donc à son cabinet, il est 18h30. La salle d'attente est vide. Toujours les mêmes beaux mecs bronzés sur planche à voile dans les magazines. Un petit quart d'heure se passe et j'entends des voix, puis la porte du cabinet s'ouvre sur un mec baraqué qui marche en grimaçant. Il ressemble furieusement à un rugbyman. Il en a tout : corps, muscle et tête. Je n'ai rien contre les rugbymen, bien au contraire. Sur ses talons un mec en blouse, manches courtes, pantalon de toile, l'accompagne. Ce n'est pas Loïc. Où est il passé ?
Je vais pour me lever et quitter la salle quand le kiné se retourne vers moi avec un large sourire:

- Que puis-je pour vous?
- Excusez moi, je pensais que Loïc était là. Je repasserai.
- Non ne vous inquiétez pas, il m'a demandé de le remplacer au pied levé. Je vais vous recevoir à sa place.

Tu parles. Me recevoir à sa place ! Il ne sait pas ce que je suis venu chercher. Enfin, il est pas si mal que ça ce mec. Dans les 1m80, roux avec des yeux verts intenses que je n'avais pas remarqué. Allons-y ! Arès tout, une séance de massage, ça ne peut pas faire de mal.

- Vous m'excusez je vais fermer la porte et couper la sonnette, vous êtes mon dernier patient.

Là, j'ai comme une petite clochette qui résonne dans mon crâne. Cela me rappelle quelque chose. Je passe dans la salle de travail. Il y fait chaud. Une musique douce est diffusée par un chaîne invisible. Plus ça va, plus je trouve ce mec pas mal. Il a la peau blanche, laiteuse et de petites tâches de rousseur, et puis ses yeux émeraude...

- Asseyez vous, monsieur !

Je lui donne mon nom, il le frappe sur le clavier d'ordinateur pour faire apparaître ma fiche. Il fait défiler ma fiche, un léger sourire passe sur ses lèvres, qu'y a-t-il sur cette maudite fiche ? Je commence à bander légèrement. Ce mec est bien foutu. Il a vu ma fiche et a souri. Le coup de fermer et de couper la sonnette comme Loïc. Tout ça fait que je commence à être à l'étroit dans mon jock-strap. Putain ! J'ai mis mon jock en pensant à Loïc, et me voilà devant un mec que je ne connais pas ! C'est tout moi ça ! Enfin, c'est trop tard !

- Bon, vous pouvez vous déshabiller et vous allonger sur la table.

J'enlève mon sweat-shirt, j'ouvre ma braguette, je commence à bander, et pour mon malheur, j'ai une belle tache au bout de ma queue, impossible à cacher, je suis rouge de honte. Et en plus, j'ai les fesses à l'air avec mon jock, la honte quoi. Le kiné me fait un large sourire, je vais pour m'allonger, et là, il me dit de tomber le jock. J'hésite. Il me dit en souriant qu'il ne faut pas être gêné et que c'est un signe de bonne santé. Je baisse mon jock, ma queue en profite pour se dresser.

Je grimpe sur la table pour cacher ma queue. C'est idiot, je sais. Il n'a rien manqué du spectacle. Au moment où je vais m'allonger, il glisse une main sous mon ventre et me rabat la queue et les couilles en arrière entre mes cuisses de sorte qu'il peut me voir bander. Je vais pour me soulever et
remettre mon matos sous mon ventre. Il pose sa main sur mes fesses pour me plaquer en me disant de me détendre. Tu parles ! Détends toi ! Avec un mec qui t'a vu bander, qui t'a pris la queue et les couilles pour les mettre en évidence sur la table !

- Bien. Détendez vous, croisez les mains sous votre menton, fermez les yeux et laissez vous aller.

J'obéis. Pendant ce temps j'entends le bruit du flacon d'huile, et deux mains fermes et douces commencent à me masser la nuque et les épaules. Je me laisse envahir par une douce torpeur. Il me parle doucement, me demande de raconter mon voyage en province, et je me laisse faire.

- "Ça ne vous ennuie pas si j'enlève ma blouse, mais je commence à avoir chaud !
- Non pas du tout".

Ça me rappelle quelque chose, deuxième coup de sonnette dans mon crâne. J'ouvre les yeux. Il est en pantalon de toile, et si je vois bien, il y a comme une belle bosse derrière la braguette. Sa peau est laiteuse, un peu de poils roux autour des seins, puis un mince filet de poils qui partent du nombril pour disparaître sous la ceinture du pantalon.
Il s'est placé à ma tête et me masse maintenant les reins. Il s'allonge presque sur moi. J'ai le visage à hauteur de sa bosse. Ses mains tournent le long de ma colonne vertébrale et descendent de plus en plus vers mes fesses. Ça y est ! Il m'a caressé les fesses ou plutôt, massé fermement. Maintenant à chaque passage il les écarte, laisse glisser ses doigts sur ma rosette, encore un peu et ses doigts glissent entre mes cuisses et viennent effleurer ma queue. J'attends, j'attends qu'il aille un peu plus loin. Ses doigts recommencent à faire le tour de ma rosette. Il commence à appuyer un peu
pour voir sa résistance. C'est bon ! Alors qu'il me masse la rosette, sa braguette vient buter contre mon nez. Je ne bouge pas et reste collé.
Je me lance. Je fais sauter le bouton du pantalon et baisse le zip. Il ne porte rien en dessous. Une jolie queue blanche apparaît au milieu d'une touffe de poils roux, légèrement décalottée. Je tire sur la peau et découvre un gland un peu englué d'un beau rose. Je le hume avant d'y passer le bout de ma langue. Il gémit. Je commence à le prendre en bouche, d'abord le gland que je fais tourner avec ma langue puis sa queue que je commence à sucer. Lui, de son côté, a mis de l'huile sur ma rosette et commence à y faire glisser son doigt. C'est bon ! Je continue de le sucer. Il m'écarte bien les fesses et me masse le trou. Le temps semble suspendu.
De mon côté, je commence à le branler en le suçant. Je masse ses couilles entourées de poils roux, il gémit. Je me laisse faire, il écarte mes fesses, me caresse les couilles, quand tout à coup, je sens une langue me lécher le trou. Panique ! Impossible que ce soit lui ! Je vais pour me relever mais il me prend la nuque et me force à le sucer. Puis, j'entends la voix de Loïc me dire de me calmer et de me laisser faire. Revenu de ma surprise, je me laisse faire et sa langue rentre dans mon trou. J'ai une belle queue dans la bouche, tout va bien.
La belle queue est sur le point d'exploser. Il va pour se retirer. Je le prends par les hanches pour qu'il reste en bouche. Il hésite un moment puis se met à me baiser la bouche. Une puis deux, trois contractions et voilà qu'il envoie quatre longs jets dans ma bouche en criant comme un forcené. Loïc lui a continué de me préparer. Il me demande de me mettre sur le dos, ce que je fais. Il me roule une pelle d'enfer. Pendant que nous nous embrassons, il pose sa queue sur mon trou dilaté et me pénètre d'un seul mouvement jusqu'à ce que ses couilles viennent buter contre mes fesses.
Il est tout sourire et me présente Emmanuel un copain d'école de kiné à qui il raconte tout. Là il me dit qu'Emmanuel, après avoir entendu ses récits, voulait me rencontrer. Un seul hic, Emmanuel est hétéro. Je ne m'en serais pas douté, vu le plaisir qu'il a eu à se laisser sucer et la façon particulière qu'il a de masser. Loïc me dit qu'il a tout vu, qu'il est excité au plus haut point et qu'il va bientôt venir. Je demande à Emmanuel de me sucer, il me dit qu'il ne veut pas, mais qu'il veut bien me branler. Il s 'attaque à ma queue qui ne demande que ça. Je sens que je vais venir et mes contractions se transmettent à Loïc qui, dans un cri, se libère dans mon trou. De mon côté, je couvre la main d'Emmanuel de mon foutre épais.
Après avoir repris nos esprits, je propose à Loïc et Emmanuel de venir à la maison. Je sens qu'Emmanuel est réticent, j'insiste. Il finit par accepter. En douce, je dis à Loïc que je vais essayer de faire virer son copain. Il me dit :

- "Tu peux essayer mais tu n'as pas beaucoup de chance, il préfère les nanas.
- Veux-tu m'aider quand même?
Loïc me répond:
- Oui, ça m'amusera, j'avais renoncé à lui faire goûter aux mecs".

Arrivés chez moi, où j'avais poussé le chauffage à tout hasard, mes invités ont chaud. Je leur propose de se débarrasser de leurs vêtements pendant que je prépare un verre. On s'installe: Loïc à côté de moi sur le canapé et Emmanuel en face de moi sur un fauteuil qui fait que quand on est bien calé, on a une vue plongeante sur la braguette de son hôte. Le verre de cognac aidant, Emmanuel se dégèle un peu. Je lui fais remarquer que pour un hétéro, il avait l'air d'apprécier mon jeu de bouche. Il sourit en rougissant un peu. Je lui dis qu'il me doit un retour. Il me répond qu'il est hétéro et que, s'il a aimé se faire sucer, il a peur d'en faire autant. Je lui dis qu'il ne risque rien. Il est un peu mal à l'aise.
Loïc se lève pour prendre une clope et, au passage, s'arrête à coté d'Emmanuel. Il lui fait remarquer que, pour un hétéro, le fait de parler queue le fait bien bander et que cela se voit. Moi qui suis en face, je lui dis qu'en effet, de là où je suis, je peux attester qu'il bande bien et qu'il ferait mieux de se donner un peu d'air, sinon sa queue va asphyxier. Il pose sa main sur sa braguette pour la cacher. Je lui dis de ne pas avoir honte. Après tout, sa queue je la connais déjà. Elle était, il y a moins d'une heure, dans ma bouche. Emmanuel, surpris, éclate de rire et dit qu'après tout, on a raison. Sur ce, il se lève, ouvre sa braguette et fait glisser son jeans et se retrouve en slip, ma foi bien gonflé.

- "Tu peux continuer, lui dis-je.
- Je me mettrais à poil quand vous y serez tous les deux, ok?
- Ok !"

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je me lève et m'approche de Loïc. Je commence un long déshabillage sous les yeux d'Emmanuel qui n'en perd pas une miette. Quand Loïc est en slip, j'arrête et c'est lui qui entreprend de me déshabiller. À mon tour je me retrouve en slip. Je m'approche d'Emmanuel et je lui dis de faire glisser mon slip avec ses dents. Il hésite puis approche de mon slip. Au moment où il va toucher ma bosse, je lui plaque contre ses lèvres. Son nez frotte mon paquet. Il est en train de craquer. Doucement, il remonte jusqu'à l'élastique de mon slip, il en profite pour me lécher le ventre et commence à baisser mon slip. Ma queue se libère et viens frapper son visage. Il recule, je lui prends la nuque et présente ma queue devant sa bouche.

- "Non, je ne veux pas.
- Si... Tu vas essayer."

Pendant ce temps, Loïc s'est placé derrière lui et lui masse le dos en le poussant en avant. Il hésite encore puis ouvre la bouche timidement. Je ne le force pas. C'est lui qui vient au devant de ma queue. Je sens son souffle. Il avance et referme sa bouche sur ma queue. Je sens sa langue, il ne bouge plus. Il goûte. Enfin, il commence un long va-et-vient.

- "Tu vois ce n'est pas difficile."

Je me retire et lui dis de goûter au morceau de son copain d'école. Bref moment d'hésitation puis, à genoux, il baisse hardiment le slip de Loïc et s'empare de sa queue. Il semble y prendre goût. Pendant ce temps, Loïc et moi nous roulons une pelle. Loïc se retire et lui dit que, pour un débutant, il est bon. Je propose à Loïc et Emmanuel de faire un 69. Ils acceptent avec enthousiasme. Je les regarde se sucer. Emmanuel semble prendre beaucoup de plaisir. Loïc est allongé sur le dos et Emmanuel est à califourchon au dessus de lui. Il présente son cul qu'il a rasé, curieux pour un hétéro ! Je m'approche de lui et commence à lui lécher les couilles. Il ronronne de plaisir. Je remonte un peu plus et je commence à lui lécher le trou. Il s'arrête de sucer Loïc pour me dire d'arrêter. Comme je n'en fais rien, il reprend sa suce et se laisse faire.
Ma langue et mes doigts ont vite fait de lui ouvrir son petit cul vierge. Il est bien ouvert et couvert de salive. En dessous, je vois le visage de Loïc qui le suce. Il me fait un clin d'oeil pour m'inviter à prendre son copain d'école. Je pose mon gland sur son trou ouvert. Emmanuel se redresse pour protester. Loïc lui prend la nuque et l'oblige à revenir le sucer. Emmanuel abandonne et se laisse faire. 
Je lui dis de se détendre et que tout va bien se passer. Il se laisse faire. Je glisse mon gland dans son trou. Je sens sa chaleur se communiquer à moi. J'attends un peu qu'il se fasse à mon gland puis, tout doucement, je m'enfonce. Quand je sens mon pubis toucher ses fesses, j'arrête. Il est haletant. J'attends encore un peu qu'il se fasse à ma queue puis je commence mes mouvements. Au début lentement. Je vois Loïc qui continue de le sucer plus lentement. Ma queue rentre et sort cette fois sans problème. Elle coulisse parfaitement. Emmanuel est complètement libéré. Je n'entends plus que des: "Oui ! C'est bon ! Défonce moi !" J'accélère. Je sens son conduit se contracter. Une fois, deux fois, il va me faire jouir. Ses contractions passent à travers ma queue. Je sens une onde de chaleur partir de ma bite, envahir mes couilles qui deviennent un peu douloureuses pour remonter le long de ma colonne vertébrale. Je sens la jouissance monter, mes couilles se ratatinent dans leur sac. Je préviens Emmanuel que je vais jouir. Il contracte son trou. Je sens mon foutre se ruer vers la sortie et inonder le cul d'Emmanuel.
Lui, pendant ce temps, s'est mis à crier et a déversé son sperme dans la bouche de Loïc qui n'en perd pas une goutte. Je m'écroule sur le dos d'Emmanuel qui roule sur le côté. Nous nous retrouvons tous les trois vidés et heureux. Au bout d'un long moment de récupération, Emmanuel se dresse en nous disant qu'il veut nous enculer tous les deux. Je dis oui et me mets à quatre pattes. Emmanuel, qui apprend vite, me prend les couilles et la queue dans sa main et les place entre mes fesses. Ainsi, il peut me lécher la queue, remonter jusqu'à mes couilles et finir par me lécher le cul. Comme il est très excité et que l'idée de me faire enculer par un "parfait hétéro" m'amuse, je lui demande de me prendre.
En deux temps trois mouvements, il pose sa queue sur mon trou. Il pousse et, avant que j'aie eu le temps de dire ouf, m'enfonce d'un seul coup la queue. Une vive douleur me parcoure. Je tombe sur le lit en criant. Emmanuel reste la bouche ouverte et me demande pardon. Loïc lui dit d'y aller plus doucement. Alors, il recommence à me lécher l'entrée. La douleur disparaît. Je lui propose de recommencer mais en douceur. Son gland passe la barrière, il attend. Cette fois, c'est moi qui recule pour m'empaler sur sa queue. Une fois bien en moi, je lui dis d'y aller. Il commence doucement puis accélère un peu. Loïc qui s'ennuie un peu, m'a donné son cul à bouffer et à préparer. Ce que je fais avec entrain. Quand je juge le trou de Loïc prêt pour la bataille, je propose à Emmanuel de
changer.
Loïc vient se placer près de moi. Emmanuel se retire et plonge dans le trou de Loïc. Puis, régulièrement, il change de cul. Nous nous embrassons pendant qu'Emmanuel s'occupe de nous.

- Les mecs je vais venir, nous dit-il. Je ne sais pas quel cul remplir.

On se retourne tous les deux et nous plaçons nos langues de chaque côté de sa queue. Deux mouvements et elle explose. Loïc et moi récupérons sa semence abondante. Emmanuel rayonne en se vidant. Puis, sans prévenir, tombe raide sur le lit, terrassé par l'effort. Nous nous assurons qu'il va bien. En fait, il dort !
Un dernier baiser à Loïc et je lui dis que demain après le super marché, nous aurons un samedi et un dimanche pour nous éclater. Loïc me demande si je ne lui en veux pas pour son stratagème de tout à l'heure dans son cabinet. Je lui réponds que non et que j'ai passé une soirée inoubliable. Il me fait un sourire radieux et me dit:

- Lui, c'est un copain depuis longtemps mais toi, tu es mon amant. N'oublies pas !
- Oh que non, je n'oublies pas. Allez, bonne nuit ! Il faut retrouver des forces pour affronter ce bel hétéro.

Loïc et moi éclatons de rire à côté de notre bébé endormi. Il est déjà 3 heures moins le quart. J'éteins la lumière et Loïc passe un bras autour de ma poitrine. Il s'endort presque aussitôt et je le suis. Ce week-end sera fatiguant. On verra bien...

Joao



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