22 / Soirée bisex imprévue


Un soir, tard, à la résidence, je suis nu sous mon peignoir et connecté sur mon minitel. Quelqu’un frappe à ma porte. Je coupe rapidement l’appareil posé sur ma table de salon, ajuste mon peignoir et vais ouvrir. C’est mon tuteur et sa femme. Il n’est pas rare qu’ils passent à l’improviste, mais jamais si tard. Ils reviennent d’une balade nocturne et, voyant de la lumière chez moi, ont décidé de passer.
Philippe s’assoit dans un fauteuil et Sophie sur le canapé. Le temps de leur servir un café et je les rejoins, sur le canapé. Sans perdre de temps, Sophie me dit en montrant le minitel : « On te dérange ? Tu étais peut-être en recherche d’un plan ? » J’hésite un peu avant de répondre que je venais de déconnecter. En fait, je me tapais une queue en lisant des textes érotiques gays.
Sophie me répond : « Tu sais, dès fois, on cherche ailleurs ce que l’on a juste à côté et à disposition. » En disant cela, elle pose sa main sur ma cuisse. Comme je suis nu sous mon peignoir et assis, ses phalanges sont en contact avec ma peau. Je suis surpris, très surpris ! Je regarde son mari qui me fait un sourire accompagné d’une moue approbatrice et un signe de tête qui veut dire oui. Je laisse faire.
Sa femme remonte et caresse du bout des doigts ma bite qui se redresse instantanément. Elle prend mes couilles et les fait rouler dans sa main. Philippe commence à se caresser le paquet. Pourvu qu’il ne se contente pas de mater !
Sophie me prend la bite et se penche pour la gober. Elle passe d’abord sa langue sur mon gland. Je sursaute. Puis, elle me prend délicatement entre ses lèvres. Sa langue continue de me caresser pendant qu’elle s’enfonce sur ma queue. Je prends un peu d’initiative en lui caressant le dos et la nuque. Je n’ose pas encore aller plus bas. Philippe se met à l’aise. Il a retiré le haut et dégrafe son pantalon. Je me dégage du peignoir et écarte encore les cuisses. Pendant qu’elle me suce, les mains de Sophie parcourent mon torse et me malaxent doucement les bourses. Philippe est maintenant complètement nu. Il se caresse tranquillement le sexe, mais reste sur le fauteuil. Il bande bien. J’ai peur qu’il ne veuille que mater.
Sophie lâche ma bite et se redresse. Elle nous regarde, son mari et moi, et nous dit : « Oh, mais j’ai du retard ! Vous êtes déjà à poil tous les deux ! Tu peux m’aider Patrick ? »
Je l’aide à retirer ses quelques vêtements. Elle s’allonge sur le canapé de façon à voir son mari. Elle m’attire vers elle. Je me penche et nous reprenons nos caresses. Je tourne donc le dos à Philippe. N’ayant plus mon copain dans mon champ de vision, je me concentre sur sa femme. Après lui avoir titillé les seins avec ma langue, je descends doucement. Je déteste faire un cunnilingus, mais la situation est assez excitante pour que, pour une fois, je fasse un effort. Je descends toujours. Je me retrouve avec une jambe sur mon canapé, l’autre au sol et le cul tendu. J’arrive à sa chatte et je commence à y passer ma langue. Heureusement, elle ne mouille pas beaucoup. J’ai horreur de la cyprine !
Je ne fais plus attention à Philippe quand je sens deux mains empoigner mes fesses et les écarter. Aussitôt, une langue me fouille l’anus. Très agréablement surpris, je me redresse en lâchant un : « Oh oui ! » Sophie me demande alors si j’aime ça. Je lui réponds que j’adore ! Visiblement, mon copain sait y faire. Il me lèche, me fouille, me pénètre avec sa langue. Je ne fais que gémir et ne m’occupe plus de Sophie.
Je leur propose d’aller sur le lit pour être plus à l’aise. Ils me mettent sur le dos, les jambes en l’air. Sophie reprend ma queue en bouche pendant que son mari alterne entre mes couilles et mon anus. Ils sont tous les deux experts en jeu de langue. Puis, Philippe se relève et vient se positionner à califourchon au-dessus de mon visage. À mon tour de lui lécher le trou. Il est serré, mais je sens qu’il s’écarte un peu. D’une main, je prends sa bite et le branle lentement. Il remue ses fesses contre mon visage tout en gémissant. Cette fois, c’est Sophie que j’oublie. Elle continue de jouer avec ma bite, de me sucer ou de me caresser les couilles, mais je ne m’en soucie plus. Je me concentre sur son mari.
Je mouille un doigt et tente une avancée. Philippe réagit bien. Il se cambre un peu pendant que mon doigt le pénètre. J’alterne entre mon doigt et ma langue. Il se penche en avant et prend ma bite dans sa bouche. Sa femme s’occupe de mon trou. Elle y met deux doigts qu’elle enfonce en douceur.
Le sphincter de mon copain se dilate et je peux y mettre, à mon tour, plusieurs doigts. Puis, Philippe laisse ma queue, se redresse et descend, toujours à califourchon. Sophie tient ma bite pendant que Philippe présente son trou contre mon gland. Un dernier coup dans la bouche pleine de salive de Sophie et mon copain s’empale sur mon manche. C’est chaud et doux, mais pas si serré que cela. De ce que je vois, Sophie à la tête entre les cuisses de son mari. Elle doit le sucer pendant qu’il s’active sur ma bite. Il accélère le mouvement. Je sens que je vais jouir et le leur dis. Philippe se retire et Sophie avale ma bite. Je ne tiens plus et lâche la purée au fond de sa gorge.
Après quelques secondes, mon pote me dit : « À ton tour ! Mets-toi a quatre pattes ! Sa femme se met sur le dos et glisse sous moi pour me sucer la queue. Philippe présente son membre bien raide contre mon trou et s’enfonce après avoir craché dessus. Il rentre tout seul, d’un coup, jusqu’aux couilles. Il commence ses va-et-viens doucement puis plus rapidement. Sophie aspire ma queue, me malaxe les couilles d’une main et de l’autre se caresse le clito. Je la sens aussi me caresser les fesses et faire le tour de la bite de son homme qui me lime maintenant à fond. Il va de plus en plus fort et se retire d’un coup dans un puissant râle. Je suppose qu’il envoie son sperme dans la bouche de sa femme qui ne s’occupe plus de moi.
Nous sommes à présent tous les trois allongés sur le lit à reprendre notre souffle.
Mon tuteur engage la conversation :
« - Tu te souviens Patrick, nos premières soirées de célibataires ensemble ? Celles où on se branlait chacun de notre côté devant un porno ?
- Moi : Oui, très bien… À l’époque, je rêvais d’attraper ta bite et de te branler !
- Qu’est-ce que j’aurais aimé… En fait, je n’attendais que ça !
- Moi : Merde ! Quel temps de perdu !
- Sophie : il n’est jamais trop tard. Voilà qui est fait, et très bien fait ! Bon mes chéris, ce n'est pas le tout, mais j’en connais deux qui bossent demain…
- Oui, on va rentrer se coucher. … Euh… ça reste entre nous bien-sûr !
- Moi : ne t’inquiète pas ! À demain, au rapport. »


Dune



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