Un soir, tard, à la résidence, je
suis nu sous mon peignoir et connecté sur mon minitel. Quelqu’un
frappe à ma porte. Je coupe rapidement l’appareil posé sur ma
table de salon, ajuste mon peignoir et vais ouvrir. C’est mon
tuteur et sa femme. Il n’est pas rare qu’ils passent à
l’improviste, mais jamais si tard. Ils reviennent d’une balade
nocturne et, voyant de la lumière chez moi, ont décidé de passer.
Philippe s’assoit dans un
fauteuil et Sophie sur le canapé. Le temps de leur servir un café
et je les rejoins, sur le canapé. Sans perdre de temps, Sophie me
dit en montrant le minitel : « On te dérange ? Tu
étais peut-être en recherche d’un plan ? » J’hésite
un peu avant de répondre que je venais de déconnecter. En fait, je
me tapais une queue en lisant des textes érotiques gays.
Sophie me répond : « Tu
sais, dès fois, on cherche ailleurs ce que l’on a juste à côté
et à disposition. » En disant cela, elle pose sa main sur ma
cuisse. Comme je suis nu sous mon peignoir et assis, ses phalanges
sont en contact avec ma peau. Je suis surpris, très surpris !
Je regarde son mari qui me fait un sourire accompagné d’une moue
approbatrice et un signe de tête qui veut dire oui. Je laisse faire.
Sa femme remonte et caresse du bout
des doigts ma bite qui se redresse instantanément. Elle prend mes
couilles et les fait rouler dans sa main. Philippe commence à se
caresser le paquet. Pourvu qu’il ne se contente pas de mater !
Sophie me prend la bite et se
penche pour la gober. Elle passe d’abord sa langue sur mon gland.
Je sursaute. Puis, elle me prend délicatement entre ses lèvres. Sa
langue continue de me caresser pendant qu’elle s’enfonce sur ma
queue. Je prends un peu d’initiative en lui caressant le dos et la
nuque. Je n’ose pas encore aller plus bas. Philippe se met à
l’aise. Il a retiré le haut et dégrafe son pantalon. Je me dégage
du peignoir et écarte encore les cuisses. Pendant qu’elle me suce,
les mains de Sophie parcourent mon torse et me malaxent doucement les
bourses. Philippe est maintenant complètement nu. Il se caresse
tranquillement le sexe, mais reste sur le fauteuil. Il bande bien.
J’ai peur qu’il ne veuille que mater.
Sophie lâche ma bite et se
redresse. Elle nous regarde, son mari et moi, et nous dit :
« Oh, mais j’ai du retard ! Vous êtes déjà à poil
tous les deux ! Tu peux m’aider Patrick ? »
Je l’aide à retirer ses quelques
vêtements. Elle s’allonge sur le canapé de façon à voir son
mari. Elle m’attire vers elle. Je me penche et nous reprenons nos
caresses. Je tourne donc le dos à Philippe. N’ayant plus mon
copain dans mon champ de vision, je me concentre sur sa femme. Après
lui avoir titillé les seins avec ma langue, je descends doucement.
Je déteste faire un cunnilingus, mais la situation est assez
excitante pour que, pour une fois, je fasse un effort. Je descends
toujours. Je me retrouve avec une jambe sur mon canapé, l’autre au
sol et le cul tendu. J’arrive à sa chatte et je commence à y
passer ma langue. Heureusement, elle ne mouille pas beaucoup. J’ai
horreur de la cyprine !
Je ne fais plus attention à
Philippe quand je sens deux mains empoigner mes fesses et les
écarter. Aussitôt, une langue me fouille l’anus. Très
agréablement surpris, je me redresse en lâchant un : « Oh
oui ! » Sophie me demande alors si j’aime ça. Je lui
réponds que j’adore ! Visiblement, mon copain sait y faire.
Il me lèche, me fouille, me pénètre avec sa langue. Je ne fais que
gémir et ne m’occupe plus de Sophie.
Je leur propose d’aller sur le
lit pour être plus à l’aise. Ils me mettent sur le dos, les
jambes en l’air. Sophie reprend ma queue en bouche pendant que son
mari alterne entre mes couilles et mon anus. Ils sont tous les deux
experts en jeu de langue. Puis, Philippe se relève et vient se
positionner à califourchon au-dessus de mon visage. À mon tour de
lui lécher le trou. Il est serré, mais je sens qu’il s’écarte
un peu. D’une main, je prends sa bite et le branle lentement. Il
remue ses fesses contre mon visage tout en gémissant. Cette fois,
c’est Sophie que j’oublie. Elle continue de jouer avec ma bite,
de me sucer ou de me caresser les couilles, mais je ne m’en soucie
plus. Je me concentre sur son mari.
Je mouille un doigt et tente une
avancée. Philippe réagit bien. Il se cambre un peu pendant que mon
doigt le pénètre. J’alterne entre mon doigt et ma langue. Il se
penche en avant et prend ma bite dans sa bouche. Sa femme s’occupe
de mon trou. Elle y met deux doigts qu’elle enfonce en douceur.
Le sphincter de mon copain se
dilate et je peux y mettre, à mon tour, plusieurs doigts. Puis,
Philippe laisse ma queue, se redresse et descend, toujours à
califourchon. Sophie tient ma bite pendant que Philippe présente son
trou contre mon gland. Un dernier coup dans la bouche pleine de
salive de Sophie et mon copain s’empale sur mon manche. C’est
chaud et doux, mais pas si serré que cela. De ce que je vois, Sophie
à la tête entre les cuisses de son mari. Elle doit le sucer pendant
qu’il s’active sur ma bite. Il accélère le mouvement. Je sens
que je vais jouir et le leur dis. Philippe se retire et Sophie avale
ma bite. Je ne tiens plus et lâche la purée au fond de sa gorge.
Après quelques secondes, mon pote
me dit : « À ton tour ! Mets-toi a quatre pattes !
Sa femme se met sur le dos et glisse sous moi pour me sucer la queue.
Philippe présente son membre bien raide contre mon trou et s’enfonce
après avoir craché dessus. Il rentre tout seul, d’un coup,
jusqu’aux couilles. Il commence ses va-et-viens doucement puis plus
rapidement. Sophie aspire ma queue, me malaxe les couilles d’une
main et de l’autre se caresse le clito. Je la sens aussi me
caresser les fesses et faire le tour de la bite de son homme qui me
lime maintenant à fond. Il va de plus en plus fort et se retire d’un
coup dans un puissant râle. Je suppose qu’il envoie son sperme
dans la bouche de sa femme qui ne s’occupe plus de moi.
Nous sommes à présent tous les
trois allongés sur le lit à reprendre notre souffle.
Mon tuteur engage la conversation :
« - Tu te souviens Patrick,
nos premières soirées de célibataires ensemble ? Celles où
on se branlait chacun de notre côté devant un porno ?
- Moi : Oui, très bien… À
l’époque, je rêvais d’attraper ta bite et de te branler !
- Qu’est-ce que j’aurais aimé…
En fait, je n’attendais que ça !
- Moi : Merde ! Quel
temps de perdu !
- Sophie : il n’est jamais
trop tard. Voilà qui est fait, et très bien fait ! Bon mes
chéris, ce n'est pas le tout, mais j’en connais deux qui bossent
demain…
- Oui, on va rentrer se coucher. …
Euh… ça reste entre nous bien-sûr !
- Moi : ne t’inquiète pas !
À demain, au rapport. »
Dune
Le texte complet commence ici.
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