20 / Convoqué au Tribunal


J’ai à peine 23 ans. Je suis depuis peu affecté dans la région Rhône-Alpes. Je suis convoqué au Tribunal de Bar le Duc (compétent sur mon ancienne affectation) pour une affaire de violence sur dépositaire de l’autorité publique, en qualité de victime donc. L’audience est prévue le matin vers 10 heures. Je décide d’arriver la veille et de prendre une chambre à l’hôtel situé à côté. Le voyage se passe sans encombre. À mon arrivée, je prends possession de ma chambre. Elle se trouve dans un bâtiment annexe, de l’autre côté de la rue. Je précise qu’il pleut sans discontinuer. Je vide mon sac et range mes affaires, mais j’y laisse toutefois les deux godes et le gel que j’ai prévu pour passer la soirée.

À l’heure du dîner, je descends à la salle de restaurant. Je suis placé à une table sur laquelle je vois deux couverts. Le serveur m’indique que le restaurant de l’hôtel étant complet, je vais devoir partager la table avec un V.R.P. de passage. Je m’installe et je commande une bière en attendant. Ma boisson arrive en même temps que l’homme qui va me tenir compagnie.

Il commande immédiatement la même chose que moi. Nous nous présentons et choisissons notre menu. Il fait à peu près ma taille, châtain foncé, la trentaine, marié (hétéro donc). Habillé en pantalon de ville et chemise. Je vois tout de suite que ce n’est pas un sportif assidu, mais il est quand même bien gaulé. Représentant en matériel médical, il fait le tour des hôpitaux de la région. Comme avec tout bon V.R.P., la discussion est facile. Le courant passe bien. Nous nous tutoyons. À la fin du repas, il me propose de continuer notre conversation dans sa chambre située dans le bâtiment principal, pour boire un dernier verre. Je le suis volontiers, mes godes attendront. D’autant que la pluie tombe de plus belle.

Nous arrivons dans sa chambre, il fait chaud. Il me dit de me mettre à l’aise et qu’il va en faire autant. Il se rend dans la salle de bain tout en continuant à discuter, sans fermer la porte. De là où je suis, je ne vois rien. Lorsqu’il revient, il porte un short en coton, style pyjama, et c’est tout. Mon regard est automatiquement attiré sur son entre-jambe. Je peux facilement deviner qu’il ne porte rien en dessous et je me dis que les godes ne me serviront peut-être pas. De mon côté, j’ai retiré mon blouson, mon sweat et mes baskets. Je suis en jeans, t-shirt et chaussettes. Il ouvre le mini-bar et me propose une boisson. Je prends un whisky. Nous nous installons à la petite table, dans les fauteuils de l’hôtel, l’un en face de l’autre. Doucement, mais sûrement, la discussion dévie sur le cul. Puis, sans être pressant, il me pose pas mal de questions, du style :

« Ça ne doit pas être évident de tirer un coup quand on ne vit qu’avec des hommes ? Ça arrive qu’il y ait des histoires entre vous ? Vous faites des partouzes ? »

Je lui réponds du mieux que je peux en lui expliquant que nous vivons entre hommes seulement pendant les déplacements. Le reste du temps, c'est chacun chez soi avec épouse et enfants pour ceux qui en ont. Que nous avons chacun notre appartement. Quant aux partouzes, je n’en ai fait qu’une, à la fin de mon école sous-officier, avec des collègues et quelques femmes offrant des services tarifés.

« Et entre vous ? Pendant la partouze, entre collègues ? »

J’hésite à répondre. Je n’assume déjà pas, alors le raconter à un mec hétéro que je connais à peine….

Il perçoit ma gêne et me dit :

« J’ai toujours été attiré par les mecs. J’aimerais beaucoup….. »

En même temps, il se touche le paquet. Je vois qu’il bande. J’aperçois même une petite tâche humide sur son short au niveau de son gland. Je remonte les yeux vers son visage. Je le regarde droit dans les yeux, lui souris et lui saute littéralement dessus. Je m’approche de sa bouche et lui fourre directement ma langue. La sienne réagit et nous jouons ainsi quelques minutes. En même temps, ma main droite va se coller à son paquet. Je malaxe ses couilles et sa bite. Lui, commence à me caresser le dos, mais je sens qu’il n’ose plus aller plus loin. Alors que nous sommes toujours bouche-à-bouche, je dégrafe mon jeans et le baisse autant que je peux. J’ai bien fait de ne rien mettre en dessous ! Ma queue raide jaillit devant lui, toujours assis. Je me redresse et lui mets sous le nez. Il me regarde puis la prend d’une main et se rapproche. Il passe sa langue sur mon gland, doucement au début, puis plus franchement. Il le gobe. Il s’enhardit et commence à descendre doucement sur mon membre. Ses lèvres m’enserrent la queue. Je sens mon gland battre contre son palais alors que sa langue glisse par le dessous. Pour un hétéro, il semble déjà avoir de la pratique !

Je me retire et lui propose d’aller sur le lit. J’en profite pour finir de me déshabiller. Il retire son short et je découvre enfin une belle tige bien veinée, je dirais dans la moyenne, et plus épaisse que la mienne. Il s’allonge sur le lit et je le rejoins en commençant par lui caresser les pieds. Puis je prends un gros orteil dans ma bouche et simule une fellation. Il gémit de plaisir. Je m’occupe ainsi de chaque orteil, de chaque pied avant de remonter doucement vers ses couilles. Je suis à quatre pattes, le cul tendu et il peut voir le reflet dans le téléviseur accroché au mur en face. Je lèche ses couilles. Elles sont petites et je prends les deux dans ma bouche. Je les fais rouler avec ma langue. Puis je relâche tout en aspirant, ce qui le fait sursauter. Je prends alors sa bite directement à fond. Je salive suffisamment pour que ça passe. En même temps, je sens mon cul s’ouvrir par spasmes. À chaque fois que j’enfonce sa queue dans ma gorge, ma rondelle s’ouvre !

Mon représentant me demande d’arrêter. Il ne veut pas jouir tout de suite. Je me retire et lui dit que maintenant, il m’en fallait un peu plus. Je lui demande s’il veut m’enculer et lui, fou de joie, me répond : « Quelle position tu préfères ? » Je me mets sur le dos, relève les jambes et, lui présentant mon anus, je lui dis : « Si ça te va, tu peux y aller ! Encule-moi ! »

Il se redresse et vient présenter son gland contre mon anus. Je lui demande de cracher dessus et d’y aller franchement. Ce qu’il fait. Son gland entre d’un coup, mais bloque après. Sans gel, ce n'est pas toujours évident (dommage, j’en ai dans ma chambre !). Il se retire, recrache et recommence. De mon côté, j’humidifie ma rondelle de la même manière et avec quelques doigts. Il est prêt et retente de me pénétrer. Cette fois, ça passe. Il s’enfonce doucement et à fond. Je sens son pubis contre moi. Puis, il se met à bouger. De petits va-et-viens au début. Ma rondelle est détendue. Il accélère et met de l’amplitude dans son mouvement. Je sens la chaleur monter. Il me lime ainsi plusieurs minutes puis finit par me donner de gros à-coups en gémissant encore plus fort. Je sens alors son jus chaud m’inonder l’arrière-train. Je prends ma bite pour me branler et je jouis aussitôt. Je lâche la purée sur mon torse. Il s’écroule sur moi et nous restons ainsi quelques instants. Son membre reste en moi et je le sens décroître pour, finalement, s’extraire tout seul. Je sens aussi sa semence couler sur le lit.

L’heure avançant, il est malheureusement temps de retourner dans ma chambre pour dormir un peu afin d’être à peu près en forme demain pour le procès. Nous nous remercions mutuellement de ce bon moment et je prends congé. Une fois dans ma chambre, je me couche tout de suite, satisfait. Le lendemain, en refaisant mon sac avant d’aller au Tribunal, je vois mes godes et le gel dans le fond. Amusé, je me mets à leur parler : « Dommage pour vous, j’ai trouvé mieux hier soir !. »

Dune




Le texte complet commence ici.



5 commentaires:

dany marseille a dit…

Bravo . Ma queue est bien raide après ce récit. Merci

Dunegay a dit…

Merci Dany :) Avec grand plaisir

Jean a dit…

Parfait je suis très en forme après cette lecture merci bisous

Dunegay a dit…

Merci Jean
Bises à tous

Xersex a dit…

Belle histoire, merveilleusement racontée